Publié le 1er octobre 2010, le rapport Mapping des Nations-Unies sur les graves violations des droits de l'homme et du droit international humanitaire perpétrées en RDC entre mars 1993 et juin 2003, a totalisé 11 ans d'existence ce vendredi 30 septembre.
Au cours d'un point de presse organisé à cette occasion, l'organisation de la société civile "Groupe de travail sur la Justice transitionnelle", dresse un bilan négatif. Contrairement aux recommandations de ce rapport, il n'existe pas à ce jour en RDC un début de mise en place des mécanismes de la justice transitionnelle, de l'installation du Tribunal pénal international et de la création d'une commission vérité et réconciliation.
Pour la coordonnatrice du "Groupe de travail sur la justice transitionnelle", Thérèse Kulungu Mbungu, le silence sur ce rapport constitue une prime à l'impunité et une incitation à poursuivre, voire à intensifier les crimes contre les populations congolaises.
"Le rapport moisit dans les tiroirs des Nations-Unies sans jamais avoir été exploité. Pendant ce temps, les auteurs présumés de ces crimes affreux circulent allègrement et occupent des postes politiques, militaires ou sécuritaires importants en RDC et dans les pays voisins, au grand dam des victimes et de leurs proches", a-t-elle dénoncé.
Le Groupe de travail sur la justice transitionnelle se dit inquiet de constater que la volonté exprimée par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, lors du Conseil des ministres du 7 août 2020, de mettre en place des mécanismes de Justice transitionnelle, n'a pas été suivie d'actes à ce jour.
Les acteurs de la société civile pensent que la mise en place des recommandations du rapport Mapping permettra d'établir la vérité sur le passé, d'engager les poursuites judiciaires, de procéder à la réforme effective des institutions, de procéder à la réparation des victimes, d'effectuer un travail de mémoire et d'eviter la répétition de l'histoire.
Avant de clore son intervention, Thérèse Kulungu a réitéré la déclaration du prix Nobel de la paix, le Dr Denis Mukwege, du 9 septembre dernier, dans laquelle il a invité le chef de l'État congolais à faire adopter une résolution à l'ONU pour mettre en place une équipe d'enquêteurs devant exhumer les nombreuses fosses communes dans l'Est de la RDC, collecter et préserver les éléments de preuve d'actes susceptibles de constituer des crimes de guerres, des crimes contre l'humanité et des crimes de génocide perpétrés sur le sol congolais.
"Le moment est venu pour le chef de l'État de concrétiser son engagement à faire adopter une stratégie nationale de Justice transitionnelle et à demander de manière expresse aux Nations-Unies, l'établissement d'un Tribunal pénal international pour la RDC et le soutien à la mise en place des chambres spécialisées mixtes pour rendre justice aux victimes des crimes les plus graves et mettre fin à la culture de l'impunité qui alimente les conflits dans notre pays depuis les années 90", a-t-il déclaré.
Conseiller en matière de justice transitionnelle au ministère des Droits humains, Joseph Kasa a réaffirmé la détermination de Fabrice Puela à mettre en place les mécanismes de la Justice transitionnelle avant son départ à la tête de ce ministère.
Rappelons que le rapport Mapping a été publié le 1er octobre 2010 après découverte par la mission onusienne de 3 fosses communes dans la province du Nord-Kivu à la fin de 2005. Il documente 617 incidents auxquels se rapportent les violations les plus graves des droits de l'homme et du droit international humanitaire sur la période de mars 1993 à juin 2003.
Orly-Darel Ngiambukulu
Colruyt group a lancé officiellement, ce jeudi 30 octobre à Kinshasa, son projet de plantation de 12 millions d'arbres sur plus de 10 milles hectares dans les regroupements de Sua Kasongo et Sua Kahumba, chefferie de Pelende Nord (Kwango) pour une durée de 25 ans.
Ce projet s'inscrit dans le cadre de la lutte contre le dérèglement climatique via le reboisement en appuyant le programme présidentiel jardin scolaire 1 milliard d'arbres à l'horizon 2023.
Déjà, deux pépinières sont déjà disponibles sur le terrain avec un groupe d'ingénieurs qui y travaillent.
"On a déjà démarré le projet. Nous avons deux pépinières. L'objectif c'est d'avoir un élément écologique et aussi un élément social. On va faire 12 millions d'arbres sur 12 milles hectares dans la province du Kwango. On est très heureux de pouvoir faire ça. On a déjà signé des accords avec des chefs locaux, on a des ingénieurs avec qui on va travailler. On a cherché un endroit où il n'y a plus d'arbres, tout est brillant. C'est-à-dire la reforestation c'est important là bas. C'est assez près de Kinshasa pour le transport, pour l'organisation. On a trouvé la chefferie qui était très accueillante et intéressée de travailler avec nous. C'est aussi un élément qui nous a poussé à faire le projet au Congo. Le projet 1 milliard d'arbres est fantastique, on veut travailler avec cela. C'est une belle initiative", a expliqué M. Jef Colruyt.
Grâce à cette reforestation, Colruyt group ambitionne de capter 120 000 tonnes de CO2 à l'horizon 2030.
Un partenariat win-win avec les communautés locales
Le gouvernement provincial avec les autorités locales ont remis dans un premier temps, un espace totalement déforesté de 4 milles hectares sur les 10 milles souhaités. Une campagne de sensibilisation de la population afin de soutenir le projet de reboisement et de lutter contre l'abattage d'arbres est lancée.
"C'est une opportunité que la province du Kwango ne peut donc pas louper. C'est la contribution du Kwango aux problèmes climatiques. La contribution du Kwango, dans un premier temps, j'ai donné quatre milles hectares pour le reboisement. C'est une destruction massive chez-moi essentiellement pour le commerce de la braise. Je pense que cela a des conséquences. Et un tel projet, nous ne pouvons pas rester bras croisés. C'est ce qui justifie ma présence personnellement ici. Il y a une campagne qui a été menée, une sensibilisation pour faire comprendre à la population que le déploiement est un problème. J'ai lancé une 4 ou 5 équipes afin de faire connaître à la population le problème climatique qu'il y a et ensuite le projet Colruyt et qu'est-ce qu'ils vont en bénéficier. Le cahier de charge est sur mon bureau. Il y aura des écoles et des ponts qui seront construits. J'ai signé le contrat pendant 25 ans. Quatre milles hectares ne seront pas touchés et pendant 20 ans nous aurons la forêt", a expliqué le gouverneur du Kwango, Jean-Marie Peti Petit.
"Je suis satisfait parce que c'est un projet que j'ai accompagné depuis le début. Toute la prospection de terres qu'ils ont prises. C'est dans ma chefferie. C'est dans deux des 25 groupements de ma chefferie que ça se trouve. Ce sont deux noms qui ont été cités dans le discours : Sua Kasongo et Sua Kahumba. Je suis très heureux de ce lancement officiel aujourd'hui. La population de la chérie est consciente. Le processus a commencé depuis le mois de mars. De là jusqu'au mois d'août où le protocole d'accord, nous avons fait plusieurs visites, pas moins de 15 visites. Nous avons sensibilisé mais c'est un travail de longue haleine. Déjà les travaux qui sont faits là, c'est la population locale qui y travaillent. En plus, le fait qu'ils ont cédé leurs terres c'est une façon d'accompagner le projet", a ajouté le Chef coutumier Louis Makambu, de la chefferie de Pelende Nord, territoire de Kenge (Kwango).
À son tour, Colruyt group va mettre en place des programmes en gestion forestière et en agriculture. Le projet devra construire des infrastructures sociales (Hôpital, école et pont) et donner des opportunités d'agroforesterie aux communautés locales.
Ce qu'il faut savoir du Colruyt group
Colruyt Group est actif dans la distribution de denrées alimentaires et de produits non alimentaires en Belgique, en France et au Grand-Duché de Luxembourg, avec plus de 600 magasins en gestion propre et environ 580 magasins affiliés. En Belgique, il s'agit des magasins Colruyt, Okay, Bio-Planet, Cru, Dreamland, Dreambaby, Bike Republic et des magasins affiliés Spar et Spar Compact.
En France, le groupe compte des magasins Colruyt, mais également des magasins affiliés Coccinelle, Coccimarket et Panier Sympa. Le groupe est actionnaire majoritaire de The Fashion Society, qui regroupe les chaînes de vêtements ZEB, PointCarré, The Fashion Store et ZEB For Stars. JIMS exploite des clubs de fitness en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg. Solucious et Culinoa livrent des produits de foodservice et de détail à des clients professionnels en Belgique (hôpitaux, PME, horeca...).
Les autres activités englobent la fourniture d'énergie par DATS 24 en Belgique (carburants, gaz naturel et énergie verte), les solutions d'impression et de gestion de documents (Symeta Hybrid) et la production d'énergie verte (Eoly). Le groupe emploie plus de 32.000 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires de EUR 9,9 milliards en 2020/21. Colruyt est coté à la bourse d'Euronext Bruxelles (COLR) sous le code 15IN BE0974256852.
Auguy Mudiayi
Dans le souci d’assainir la ville province de Kinshasa, cinq jeunes étudiants chercheurs, ont présenté ce lundi le prototype de la poubelle intelligente autrement dénommée »Smart fulu ».
Ces jeunes chercheurs devant les journalistes de vitrin’infos.net ont expliqué la spécificité de cette poubelle.
« C’est une poubelle connectée à un logiciel, est composée d’un fut, d’un capteur, d’une machine à poids permettant de mesurer et d’évacuer les poids, d’un panneau solaire, d’un système de taux de remplissage, d’un haut-parleur aidant les citoyens à faire mieux canaliser les déchets » ont-ils expliqué.
Pour les inventeurs de cet engin, c’est en réponse de la lutte contre la pollution et pour la prévention de l’environnement en RDC que cette poubelle a été créée.
Et pour une mise en exécution de ce projet, ces jeunes chercheurs sollicitent un financement du gouvernement pour le mettre à la disposition de la population et être mise dans des places publiques.
Notons que cette œuvre est la deuxième création de ces jeunes chercheurs après la création d’un robot nettoyeur.
Ischuô Lulendo et Grace Ngolela
AVEC LES JEUNES, NOUS DEVONS PRODUIRE DES SPECTACLES SELON LES OBJECTIFS DU DEVELOPPEMENT DURABLE*
Le ministère va coopérer avec les organisations culturelles partenaires et les autres ministères (de la jeunesse, de l’Enseignement Supérieur, du Genre, de l’Enseignement Primaire et Secondaire, du tourisme,...) dans le but de promouvoir l’éducation à l’industrie culturelle dès le bas âge.
LA VALORISATION DES ARTISTES
Le Ministère de la Culture, Arts et Patrimoines va travailler sur la loi de la culture et les statuts de l’artiste Congolais. Nous devons libéraliser le secteur du droit d’auteur et numériser toute activité culturelle pour lutter contre les piratages les œuvres de l’esprit. Le ministère va créer un site Web consultatif pour la promotion et la protection des œuvres culturelles. Toute consultation sur le site doit être payante. Le ministère de la Culture, Arts et Patrimoines a des représentants dans toutes les vingt -six provinces du pays. Les ministères provinciaux de la culture avec les directions provinciales de la Culture, Arts doivent être outillés avec le troisième pilier des PATRIMOINES. Pour agir sur tout le territoire national, madame le ministre veut lancer une Conférence Nationale de la Culture. Tous les ministres provinciaux devront se réunir une fois l’an , à Kinshasa ou dans une autre capitale, afin de partager leurs expériences de gouvernance culturelle et participation à la maximisation des recettes de l’État et amélioration de la vie des artistes. La question sur les impôts et taxes des entités doit être bien discutée et évaluée chaque an née, pour limiter les compétences administratives.
LA DNPPAC
L’AXE 61 , point 326 du gouvernement demande à la ministre de la Culture, Arts et Patrimoines de "Créer la Direction Nationale de Production et de Promotion Artistique et Culturelle (DNPPAC) Cette Direction Nationale aura des compétences exclusives et partagées avec les autres services de l’Etat. Elle produira des Grand s évènements culturels variés sur Fonds propres et/ou avec les opérateurs culturels privés. Elle va promouvoir la création artistique, culturelle et concrétiser la politique de l’État dans les domaines des Arts Plastiques, des Arts Vivants, des Arts du Spectacle et Créer des Industries Culturelles.
6 EXTENSIONS DE L’INDUSTRIE MUSICALE, THÉÂTRALE ET CINÉMATOGRAPHIQUE*
Le ministère va créer des zones culturelles industrielles selon la géographie linguistique Congolaise. Avec l’appui de l’ACADEMIE POUR L’APPRENTISSAGE, LA PROMOTION ET LA PROTECTION DES LANGUES NATIONALES ; les Zones Swahili, Lingala, Kikongo, Tshiluba et y ajouter le Français et l’Anglais sont des références. Ces extensions en zones d’éducation culturelle et de proximité, seront des zones de productions des documentaires pour une approche novatrice. LE CENTRE STRATÉGIQUE DE LA CULTURE ÉTHIQUE NATIONALE Pour la Nouvelle Citoyenneté, le ministère de la Culture, Arts et Patrimoines va se charger des Déclarations, de Crédos , des Politiques et CODES DE CONDUITE OFFICIELS . La société Congolaise doit être constamment éduquée. La réputation du Congolais jouisseur, paresseux, dépensier, vivant dans la saleté...est à corriger. Le Congolais doit affirmer ses valeurs culturelles par l’éthique et la morale dans tout. La lutte contre la corruption commence à la base et c’est par la culture avec son Centre Stratégique de la Culture Éthique Nationale que tout est possible . Le ministère doit donner du sens philosophique de l’éthique et de la morale aux talents Congolais, dans le repère pour la pensée et de guide pour l’action
À quelques semaines de la sortie officielle de son album international, l'artiste musicien Ferré Gola a dévoilé, ce mercredi 29 septembre 2021, la version vidéo et l'audio de la chanson "Pyromane" contenue dans cet opus.
"Pyromane", un morceau chanté en français et lingala, annonce les couleurs du long playing "Harmonie" qui sera lancé sur toutes plateformes de téléchargement avant la fin de l'année.
Le chanteur congolais tient à relever le défi en chantant dans un nouveau style "Rumba Trappe" dont il est le créateur.
Cet album connaîtra la participation de plusieurs musiciens de renom, et sera mis dans le bac au même moment que l'opus "Dynastie", œuvre musicale qui a connu la participation des anciens musiciens du Wenge Musica Maison Mère.
Gratis Makabi
Dans le cadre de sa lutte contre les antivaleurs, Etienne Tshisekedi, d’heureuse mémoire, voulait assigner des missions particulières au ministère ayant la Culture dans ses attributions. Il les a évoquées au micro de l’auteur de ces lignes pour le compte de « culturecongolaise.com ». Le respect du bien public, la noblesse de la musique congolaise et le refus de la médiocrité, bref le non recours à la corruption, était pour le père de la démocratie congolaise des valeurs cardinales pour la renaissance du Congolais nouveau. Le leitmotiv était la bataille pour l’éradication, in fine, des maux qui rongeaient et qui rongent la société congolaise par le changement de mentalité. Et à travers ces quelques mots, le sphinx y croyait fermement.
Certes une décennie s’est écoulée depuis cette interview, mais le sujet reste d’actualité surtout que l’actuel chef de l’Etat congolais, Félix Tshisekedi, poursuit le même combat contre les antivaleurs à s’appuyant notamment sur le ministère de la Culture.
Ali Kalonga
Soraya Odia est une jeune kinoise de 25 ans que le public a découvert sur les réseaux sociaux via son engagement pour la promotion de la lecture à travers des bibliothèques ambulante et numérique. Le 24 septembre, son activisme littéraire a été récompensé par l'association Bootunani. La jeune activiste a empoché 2.000.000 FC (l'équivalent de 1.000 $).
« Bookutani est une association initiée par les congolais de la diaspora pour la promotion de la littérature. J’ai adhéré au groupe public sur Facebook, quand je me connecte de temps à temps j’y vois des informations et des sujets ayant trait à l’actualité. J’ai vu récemment que l’association avait lancé le prix littéraire Émilie-Flore Faignond, édition spéciale 2021 », explique-t-elle.
Le prix Émilie-Flore Faignond est sensé récompenser des jeunes écrivains congolais. Pour cette première édition, le jury s’est résolu de récompenser une personne qui œuvre pour la promotion de la littérature en RDC.
« Ce prix me motive à faire beaucoup plus. A continuer dans l’activisme littéraire. Il y a des moments où on est fatigué, la lassitude gagne du terrain. Avec de telles récompenses, savoir qu’il y a des personnes qui nous voient et croient en nous, nous redonne de la force, de l’espoir.»
Soraya Odia est détentrice d’un diplôme de licence en Economie rurale, environnement et gestion des projets. Cependant, la littérature a toujours été sa grande passion.
« Depuis toute petite, j’aimais lire, j’ai commencé à écrire avant de me lancer dans la promotion de la littérature. Mais, comme c’est un domaine qui n’est pas forcément porteur financièrement, en RDC comme ailleurs, j’ai décidé d’avoir un second plan. J’ai étudié de l’économie pour pouvoir gagner de l’argent », confie-t-elle.
Par ailleurs, la jeune femme a pour motivation son amour pour la littérature. Elle prend pour modèles « les personnes qui créent du contenu éducatif sur les réseaux sociaux et aussi celles qui font découvrir l'Afrique ». Notamment l'ivoirienne Tchonté Silué et Sandy Abena.
Prisca Lokale
La slameuse Soraya Odia alias Majuscaux a remporté vendredi 24 septembre dernier le prix littéraire « Emilie-Flore Faignond » (PEFF), au cours de deux cérémonies organisées simultanément à Kinshasa et à Bruxelles, par la structure dénommée « Bookutani ».
Soraya Odia a remercié les organisateurs de cet événement pour le choix porté sur sa personne en lui décernant le PEFF, soulignant que la somme de 1000$ lui remise quant à ce, constitue une récompense, en même temps, un moyen pour lui de persévérer dans sa profession.
Pour sa part, l’écrivaine, depuis Bruxelles, Emilie-Flore Faignond a remercié l’association Bookutani de voir son nom désormais être officiellement associé à un prix littéraire.
Née en 1996, la gagnante du PEFF est une passionnée de la littérature qui a débuté par la bande dessinée avant de se lancer à l’écriture des romans.
Membre l’association des jeunes écrivains du Congo (AJCO), Soraya Odia est aussi réputée pour ses nombreuses initiatives, notamment des résumés de romans lus et des analyses des mots qu’elle a l’habitude de partager en vue de susciter le goût de la lecture aux autres.
Blogueuse et chroniqueuse, elle est licenciée en Économie rurale, environnement et gestion des projets. Elle tient à favoriser l’accès aux belles lettres en organisant des ateliers d’écriture et création pour les petits et les adolescents, également un club hebdomadaire de lecture pour les jeunes adultes.
Soraya Odia a déjà remporté le troisième prix du concours des « Nouvelles des plumes consciente » en 2012 et le prix Voix des femmes de Habari RDC, en 2020.
Le PEFF a été crée à l’initiative de la diaspora congolaise pour récompenser un jeune écrivain ou une jeune écrivaine congolaise qui se distingue dans la littérature. Il est également un hommage à l’auteure et poétesse Émilie-Flore Faignond.
ACP/CC