Pas des reformes structurelles, pas d’élections à la Fédération congolaise de football association (FECOFA). C’est en tout cas ce qui a poussé la CAF à annuler les élections prévues ce 28 novembre.
L’instance du football africain donne parmi les préalables avant la tenue de ces élections le changement des textes de la FECOFA qui, de l’avis presque général, ne s’adaptent plus aux défis actuels du football en rapport avec la bonne gouvernance prônée par la FIFA et la CAF.
Il faudrait aussi des textes pour pallier aux dysfonctionnements et à la situation financière actuels de la FECOFA, par de nouvelles stratégies marketings.
La CAF et la FIFA sont disposées à accompagner la FECOFA dans ces réformes indispensables. Pour cela, le comité intérimaire de la FECOFA est convié à une réunion le 2 décembre au Caire.
Les nouvelles élections à la tête de la FECOFA devaient permettre d’élire le successeur de Constant Omari qui a démissionné en juin dernier de son poste après 18 ans de gouvernance.
Socrate Nsimba