Lors de la visite officielle du couple présidentiel à Paris, la Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi a tenu mardi 29 avril, des discussions avec une délégation du campus The Land et du Campus France. Ces deux structures collaborent étroitement avec la Fondation DNT pour encadrer les boursiers, et lors de cette rencontre, l’objectif était de faire le point sur l’évolution des étudiants tant sur le plan académique que social.
Au cours de sa visite au campus de Campus France, la Première Dame et la directrice de l’agence, Donatienne Hissard, ont passé en revue les différentes phases de leur partenariat des cinq dernières années. Celui-ci a été jugé satisfaisant, notamment grâce aux excellents résultats académiques des 37 boursiers actuellement accueillis.
Un nouveau contrat a été signé afin d’accueillir 40 boursiers supplémentaires pour la prochaine rentrée de septembre.
À Campus The Land, la délégation conduite par le directeur général Jean-Marc Esnault a présenté les formations dispensées, en particulier le cursus de gestion de projets alternatifs et solidaires suivi par les 27 boursiers Excellentia accueillis depuis 2023. Ceux-ci obtiendraient d’excellentes notes. Satisfaite, la Première Dame Denise Tshisekedi a émis le souhait de renforcer le partenariat avec The Land pour permettre à davantage de lauréats du programme d’en bénéficier.
Ces rencontres ont permis de faire le point sur les résultats positifs des boursiers soutenus par la Fondation DNT et de jeter les bases d’une collaboration future encore renforcée entre les trois institutions, au bénéfice de la formation des jeunes congolais.
La Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi a mis en place l’Académie Internationale de Management Excellentia (AIME). Un contrat a été signé avec le campus The Land pour animer les cours de cette académie.
À ce jour, l’AIME compte deux promotions, la première étant composée de 27 étudiants, tous en L3 à Rennes. La deuxième promotion comprend 13 étudiants qui se trouvent actuellement au niveau B1, tous basés à Kinshasa.
Ézéchiel T. MAMPUYA
Les députés provinciaux ont voté, lundi 29 avril 2024, au second degré (suffrage indirect), les Sénateurs ainsi que les Gouverneurs et Vice-gouverneurs de province. Seulement dans les vingt (20) provinces sur les vingt-six (26) que compte la RDC -République démocratique du Congo-. Que des surprises -agréables ou désagréables, c'est selon-, avec de nouvelles figures à la tête des dix-sept (17) provinces. Sauf dans les deux (2) provinces, le Lualaba et le Haut Katanga, où, respectivement, Fifi Masuka (qui était intérimaire) et Jean Jacques Kiabula ont été réélus. Au Sud Kivu, il y aura un deuxième tour dans 72 heures. Au-delà du spectacle électoral pour le moins désolant auquel les députés provinciaux ont fait assister l'opinion tant nationale qu'internationale, quelles leçons y tirer et quelles précautions prendre, pour que, dans l'avenir, des conséquences néfastes soient évitées à la RDC ?
Constat
Il s'est observé, d'une manière générale, que, dans les Organes délibérants de toutes les vingt (20) provinces, les scrutins combinés des Sénateurs, des Gouverneurs et Vice-gouverneurs se sont bien déroulés. Tout s'y est passé comme prévu, sous la direction de la CENI -Commission électorale nationale indépendante- et la surveillance des observateurs électoraux et des témoins tant des partis et regroupements politiques que des candidats indépendants. Aucun incident majeur, même mineur, n'y a été enregistré.
Des leçons tirées
Il ressort de ces élections, précisément celles des Gouverneurs et Vice-gouverneurs, qu'il y a eu l'arrivée de nouvelles figures à la tête de la plupart des provinces. Ce qui, à première vue, répond aux aspirations des populations meurtries, qui ne juraient plus que sur la sanction négative à infliger à tous ces Gouverneurs affairistes n'ayant pas su bien gérer leurs juridictions respectives, les ayant rendues invivables, pour ne pas dire ingouvernables, exposées à une insécurité généralisée doublée de l'insalubrité.
Seulement voilà : au fond, ce changement n'est que factice, de façade. Car, en clair, ceux que d'aucuns appellent à tort les Grands électeurs, les députés provinciaux, ont fait la honte de la République, en n'ayant pas voté en âme et conscience, comme le veut le principe sacro-saint du jeu démocratique. Par contre, ils ont préféré, toute honte bue, suivre le mot d'ordre de leurs regroupements politiques, tels des moutons de Panurge, ou se laisser corrompre, en monnayant leurs voix.
Au vu et su de tout le monde, les députés provinciaux, à cause du mot d'ordre de la hiérarchie et/ou de leur cupidité, ont voté, à quelques exceptions près, la médiocrité et l'incompétence au détriment de l'excellence et de l'expertise.
Ainsi, ils ont sacrifié les provinces et les populations sur l'autel de leurs intérêts politichiens et autres appétits gloutons.
Des conséquences inévitables
Toutes choses restant égales par ailleurs, rien, en vérité, n'a changé au fond. Comme par le passé, les fameux Grands électeurs n'ont, en réalité, que confié la gestion des provinces à des gens qui ne seront jamais redevables à leurs gouvernés. Car, ces Gouverneurs visiblement nommés qu'élus, auront plus des comptes à rendre à leurs regroupements politiques, grâce au mot d'ordre desquels les élus provinciaux les ont votés.
Aussi, ces Gouverneurs et Vice-gouverneurs travailleront beaucoup plus pour leurs propres intérêts, afin d'amasser le plus vite possible des richesses qui devront combler les vides laissés par les fortunes englouties dans la corruption des députés provinciaux, pour se faire élire
Ce qui veut dire que les attentes et aspirations des populations seront reléguées au second plan, comme cela a toujours été le cas.
L'insécurité grandissante tant décriée, le banditisme urbain qui prend de plus en plus de l'ampleur dans toutes les agglomérations, au point de plonger toutes les provinces, pour ne pas dire tout le pays dans l'ingouvernabilité, l'insalubrité ainsi que les conditions sociales précaires des Congolais dues à la modicité salariale, l'érosion monétaire, la perte du pouvoir d'achat et au chômage cohabiteront encore longtemps avec les paisibles citoyens floués et déçus, qui n'auront que leurs yeux pour pleurer leurs mères, femmes et filles violées, ainsi que leurs parents, frères et enfants tués ou kidnappés par les rebelles, les miliciens, les terroristes ou les agresseurs.
Malgré la décentralisation du pouvoir voulue par le Constituant, pour rapprocher les gouvernants des gouvernés, en vue de promouvoir la politique de proximité, le petit peuple, pourtant souverain primaire, ne jouira nullement de la gestion participative de ses entités territoriales décentralisées.
Vivement les suffrages directs
Les mêmes causes produisent les mêmes effets, dit-on. Tant que les élections des Sénateurs, des Gouverneurs et Vice-gouverneurs se dérouleront au second degré, c'est-à-dire au suffrage indirect, l'on assistera toujours à ce même spectacle désolant de corruption à ciel ouvert. Un spectacle entretenu par ceux-là même qui aspirent à diriger les provinces du pays, en complicité avec leurs électeurs qui seront leurs contrôleurs, sous l'œil complaisant des autorités compétentes et impuissant d'une Justice politisée.
Que faire alors ? Décidément, à l'unanimité, des voix s'élèvent de partout pour le changement du système électoral des Sénateurs, des Gouverneurs et Vice-gouverneurs.
Que plus jamais les députés provinciaux, qui font de ces élections indirectes leurs fonds de commerce, n'élisent les Sénateurs, les Gouverneurs et Vice-gouverneurs. Par contre, que désormais soient au suffrage universel direct les élections des Gouverneurs et Vice-gouverneurs, comme l'est la présidentielle.
Cela, de l'avis de plus d'un observateur, permettra de rendre les futurs Gouverneurs redevables devant leurs gouvernés, et responsables devant les députés provinciaux. Ces derniers, à leur tour, devront effectuer un contrôle parlementaire sans complaisance de l'action gouvernementale de l'Exécutif provincial, tant ils ne se sentiront nullement coupables d'une dette morale de la part de qui que ce soit, hormis leur redevabilité au peuple qu'ils représentent au niveau des Assemblées provinciales.
C'est seulement à ce prix là que les provinces du Congo ne seront plus jamais à la merci de ceux qui continueront de servir leurs partis politiques et leurs propres intérêts égoïstes, au grand dam des provinces elles-mêmes et des populations.
Agir autrement, même si l'on assiste à l'avènement de nouvelles figures à la tête des provinces, c'est déshabiller saint Pierre pour habiller saint Paul.
Bijou NDJODJI BATEKO
Le commandant du service national, le général-major Jean-Pierre Kasongo Kabwik, a reçu six cents (600) jeunes volontaires du Kasaï oriental dans le cadre de la reconstruction du pays.
Ces jeunes filles et garçons désœuvrés ont été directement acheminés à Kaniama Kasese, où ils vont suivre une formation paramilitaires de cinq à six mois, suivie d'un apprentissage des métiers.
Le général -major Jean-Pierre Kasongo a précisé que depuis quatre ans, plusieurs bâtisseurs qui vont à Kaniama Kasese transitent par la ville de Mbuji-Mayi; mais, en soi, la dite ville n'a jamais offert un seul bâtisseur.
"Les jeunes du Kasaï oriental ont voulu, maintenant, aller librement à la reconstruction du pays", a-t-il fait savoir.
En clair, ces jeunes veulent également, comme d'autres jeunes avant eux, devenir des bâtisseurs de la nation.
Fadi Lendo
L'international footballeur congolais de Beşiktaş JK, Arthur Masuaku Fuka, s'est exprimé sur le nouveau statut de l'équipe nationale de la République Démocratique du Congo, après un excellent parcours à la dernière phase finale de la dernière CAN -Coupe d'Afrique des Nations- déroulée en Côte d'Ivoire.
Dans un entretien exclusif accordé à nos confrères de Léopardfoot, le latéral gauche de 30 ans a fait savoir que la sélection congolaise a dorénavant les atouts pour se qualifier au prochain mondial.
"La qualité qu'on a en équipe nationale, c'est vraiment très élevée et agréable. Les gens doivent savoir qu'on est enfin une nation sérieuse. Je me rends compte du bonheur que je peux donner aux gens. Et ça, pour moi, ça n'a pas de fin, je prends toujours plaisir à aller en sélection", a-t-il déclaré.
Pour rappel, la sélection congolaise a fini 4ème de la CAN 2023, après avoir été battue par les Bafana Bafana d'Afrique du Sud aux tirs aux buts, samedi 10 février dernier. Elle a été éliminée en demi-finale par la Côte d'Ivoire, vainqueur de la compétition.
Bien avant cela, les Fauves congolais ont terminé en deuxième position du groupe F, avec 3 points, derrière les Lions de l'Atlas du Maroc. Les Congolais ont éliminé les Pharaons d'Égypte et le Syli national de la Guinée, respectivement en huitièmes et quarts de finale.
Il est à noter que les Léopards vont affronter les Lions de la Teranga du Sénégal, en juin prochain, au stade Abdoulaye Wade de Dakar, dans le cadre de la 3ème journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026. La RDC est 3ème du groupe B, avec 3 points, juste derrière le Sénégal et le Soudan qui comptent 4 unités chacun.
Gratis Makabi
Le procès contre le pasteur responsable de l'église primitive de Kinshasa - Lingwala, Pierre Kasambakana, a repris depuis le lundi 29 avril devant le TGI -Tribunal de grande instance- de Kinshasa/Gombe, siégeant en chambre foraine, à la prison centrale de Makala. La prochaine audience est prévue le 13 mai prochain.
Pour rappel, son arrestation fait suite à son énième mariage avec une prétendue mineure ressortissante de la province du Kongo-Central, d'après les documents scolaires de la nouvelle mariée.
Il convient de souligner que le pasteur Pierre Kasambakana, son beau-père Mabiala Nzuzi et un officier de l'état civil de la cité de Kinzaumvuete, dans la province du Kongo central, sont poursuivis pour quatres préventions dont le faux en écriture, l'usage de faux et le mariage forcé.
Fadi Lendo
La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) appelle au calme la communauté catholique et toute la société civile du Congo face à la demande de l’ouverture d’une information judiciaire contre le Cardinal Fridolin Ambongo.
Dans un communiqué publié, mardi 30 avril, la CENCO affirme que le dossier est traité « de manière responsable avec les autorités compétentes, dans le respect des textes légaux du pays, y compris l’Accord cadre entre la RDC et le Saint-Siège, lequel garantit un régime de collaboration loyale et sincère entre l’Eglise catholique et l’Etat, au service du peuple congolais ».
Interrogé par Radio Okapi, ce mercredi 1er mai, le secrétaire général de la CENCO, Mrg Donatien Nshole estime qu’à ce stade d’une information judiciaire dont a besoin le Parquet, « il n’y a rien à dramatiser ».
Et d’ajouter : « Le Cardinal Fridolin Ambongo n’a jamais refusé de répondre à une invitation de la justice. Mais si ça se transforme en tracasserie, ça va appeler une autre réaction ».
Le Procureur général près la Cour de cassation, Firmin Mvonde a ordonné, dans une note destinée au procureur général près la cour d’appel de Matete, le 27 avril, d’ouvrir une information judiciaire contre le Cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa.
Il ordonne au procureur général près la Cour d’appel de Matete d'investiguer sur le « comportement séditieux entraînant des faits infractionnels contre le Cardinal Ambongo ».
Selon le procureur général près la Cour de cassation, au moment où le pays fait face à la guerre dans sa partie orientale, il s'observe dans les comportements du prélat une constance des propos séditieux tenus lors des points de presse, interviews et sermons de nature à décourager les militaires des FARDC qui combattent au front.
radiookapi.net/CC
La France comme partenaire de la République Démocratique du Congo dit tenir au respect de sa souveraineté et de son intégrité territoriale. Alors que des voix ne cessent de se lever pour exiger des sanctions à l'endroit du Rwanda soutien numéro Un du M23, Emmanuel Macron, président français dit croire encore à l'option de la résolution de la crise par voie de dialogue et diplomatique.
Toutefois, E. Macron a rappelé que son pays la France a eu à condamner déjà publiquement les agissements Rwandais à l'Est de la République Démocratique du Congo et ce à plusieurs reprises depuis la fin 2022. À l'en croire, cette option n'est pas exclue et sera examinée à chaque étape de l'évolution de ce dossier.
« Nous avons aussi pris des sanctions au niveau européen c'est parce que la France a plaidé justement pour le renforcement du régime en vigueur en décembre 2022 que des mesures restrictives individuelles inédites ont été prises six mois plus tard à l'encontre des groupes armés congolais M23 et FDLR et d'un officier Rwandais impliqué sur le terrain au Nord-Kivu. Nous continuerons à explorer cette voie à chaque fois qu'elle sera nécessaire, on a d'ailleurs parlé très précisément de ce sujet avec le Président », a déclaré Emmanuel Macron à l'issue de l'entretien avec son homologue Félix Tshisekedi mardi 30 avril 2024 à Paris.
À lui de poursuivre :
« Pour le moment nous considérons que d'abord on continuera à apporter des sanctions comme ça individuelles et ciblées en fonction des évolutions sur terrain, notre priorité elle est à l'action DDR à l'égard de tous les groupes armés, reinmplication des Forces régionales Onusiennes reconnues et acceptées par la RDC sur son sol et avec un travail et des engagements que nous demandons au Rwanda et ce faisant nous pensons que le dialogue et la recherche de la solution diplomatique et sécuritaire est plus efficace à ce jour mais rien ne doit être exclu, nous ferons tout ce qui est utile à chaque étape comme nous l'avons fait tous ces derniers mois, ces dernières années ».
La partie orientale de la République Démocratique du Congo reste une zone en proie à l'insécurité due à l'activisme des groupes armés depuis plusieurs décennies. Malgré les opérations militaires contre ces groupes armés et la proclamation de l'état de siège, la situation demeure particulièrement préoccupante, surtout avec la résurgence des rebelles du M23 soutenus par Kigali dans la province du Nord-Kivu.
Des initiatives régionales lancées peinent à donner des résultats escomptés sur terrain. En même temps, une bonne partie des territoires de Masisi, Rutshuru et Nyiragongo est toujours entre les mains des rebelles du M23 soutenus par le régime de Paul Kagame.
Clément MUAMBA
Le dirigeant qatarien, président du club parisien, et Félix Tshisekedi ont échangé ce mardi matin 30 avril dans les salons de l’hôtel de Crillon, dans le VIIIe arrondissement de la capitale. Ils ont pu évoquer ensemble l’avenir du Trophée des champions 2024.
Le stade des Martyrs de la Pentecôte de Kinshasa accueillera-t-il le PSG lors du Trophée des champions 2024 mi-août ? La question était au menu d’une discussion matinale ce mardi entre le président de la République démocratique du Congo (RDC) et le président du PSG. Selon nos informations, Félix Tshisekedi et Nasser Al-Khelaïfi ont pu se rencontrer dans les salons de l’hôtel de Crillon, dans le VIIIe arrondissement de Paris, palace de la place de la Concorde.
Félix Tshisekedi espère convaincre Nasser Al-Khelaïfi, membre du Conseil d’administration de la Ligue de football professionnel (LFP), qui doit décider cette semaine du lieu du Trophée des champions. En concurrence avec la Chine, probablement la ville de Shenzhen où ont déjà eu lieu deux éditions en 2018 et 2019, Kinshasa veut profiter de la visite officielle du président congolais pour peser sur la future décision de la LFP. La Côte d’Ivoire fait aussi partie des candidats.
Le stade des Martyrs de la Pentecôte peut recevoir 80 000 personnes. La parole de la RDC est portée par Thierry Braillard, l’ancien ministre des sports français, redevenu avocat. Kinshasa était déjà candidate pour l’édition 2023 entre le PSG et Toulouse. La Chine aurait les préférences de la LFP pour l’heure. D’autant qu’un contrat de trois éditions avait été signé entre Shenzhen et la LFP pour 2018, 2019 et 2020. Un contrat interrompu par la pandémie du Covid-19.
La première journée de la visite officielle du Président Félix-Antoine Tshisekedi en France a été consacrée à la diplomatie parlementaire. Le chef de l'Etat congolais a eu des entretiens, élargis à ses collaborateurs, avec Gérard Larcher, président du Sénat français.
Entouré du président du groupe d'amitié France-Afrique centrale, Guillaume Chevronnier et Mme Sophie Primas, vice-présidente du Sénat et présidente déléguée pour la République Démocratique du Congo, le Président de la République a exploré plusieurs perspectives de coopération dans le cadre de la diplomatie parlementaire, rapporte la Présidence congolaise.
À l'Assemblée nationale française, le Président Tshisekedi a eu des échanges avec Mme Yaël Braun-Pivet, présidente de la Chambre basse du parlement français, toujours sur une coopération parlementaire plus approfondie.
Au cours de ces audiences, le Président de la République était accompagné du vice-Premier ministre des Affaires étrangères Christophe Lutundula, de l'ancien vice-Premier ministre, ministre de l'Économie Vital Kamerhe, candidat président de l'Assemblée nationale et des membres de son cabinet.
Ce mardi 30 avril à 13h, le Président Félix-Antoine Tshisekedi sera reçu par son homologue français Emmanuel Macron.
radiookapi.net/CC
Les chanteurs Ferre Gola et Serge Beynaud offriront à leur public francilien une soirée musicale exceptionnelle le 11 mai prochain à Saint-Denis.
Les deux icônes de la rumba congolaise et de la soukouss ivoirienne se produiront sur la même scène lors d’un mini-concert commun.
Ce showcase promet d’être une féria pour les mélomanes, avec la promesse d’assister à un show réunissant deux artistes majeurs de l’afrobeat.
C’est l’occasion unique de voir Ferre Gola, fraichement auréolé de deux concerts à guichets fermés à l’Adidas Arena de Paris, partager l’affiche avec la superstar ivoirienne Serge Beynaud.
La connexion entre Kinshasa et Abidjan prendra tout son sens lors de prestations qui permettront d’apprécier la virtuosité des deux Padres.
De quoi ravir les fans des deux communautés qui se donneront rendez-vous en masse pour célébrer la richesse de la musique africaine. Un événement prometteur pour les amoureux de rumba et de zouk.
mbote/CC