Rosie Tabora a permis à la RDC d'engranger sa toute première médaille dans ces 13ièmes Jeux Africains Accra 2024. La seule lutteuse engagée dans ces olympiades chez les 68KG, a obtenu le bronze, le dimanche 10 Mars 2024 en demi-finale sans pour autant compétir contre la Brazzavilloise Itsambo Ngal .
Débarquée à Accra avant la levée de l'aurore du Dimanche, Tabora était la première du dernier contingent congolais à se livrer sur le Tatami dans la matinée. Elle a fait montre d'une abnégation et d'un courage remarquable pour y arriver. Par tombé, elle a disposée tout d'abord de la béninoise Kaiwato isifo du Bénin pour caler après en quart contre la camerounaise, Ngiri.
«Je suis extrêmement contente parce que je ne l'avais pas calculé mais la grâce de Dieu a fait que je tienne cette médaille encore que j'étais la seule fille en lice. Elle tombe à pic en ce mois de la femme. Ma joie est inexprimable. Tout était au point, je m'étais bien préparée pour ça. J'ai fait trois combats, je tenais à ce que j'arrive en finale mais la fatigue ne m'a pas facilité la tâche. Je suis entrée en lice, cinq heures après notre arrivée à Accra. Je crois si nous étions arrivée à temps, on aurait pu faire mieux. Pour le futur, je vais rectifier les tirs pour aller croquer l'or», a-t-il déclaré après la remise du médaille à la presse.
Ce lundi la lutte est encore en danse avec Aaron Mbo Isomi qui défiera Abdel Assad chez les 97KG d'abord en lutte Gréco-Romaine, plus tard, il sera contre Benjamin Rubio Ronda en lutte libre. Rabby Kilongi, chez 57KG va combattre devant Frimpong Miles, toujours en Lutte libre.
Jenovic Lumbuenadio
Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine (UA) a appelé à un transfert accéléré de l'équipement de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) à sa mission en RDC (SAMIDRC) pour lutter contre le M23 et l'armée rwandaise.
Lors de sa 1203e réunion le 4 mars 2024, le CPS a adopté une résolution soulignant l'urgence de soutenir la SAMIDRC dans sa mission de stabilisation de l'est de la RDC.
A en croire le CPS, le transfert rapide de l’équipement de la SADC stocké à Douala, au Cameroun, va augmenter l’efficacité des éléments sur terrain dans la lutte contre le M23 et l’armée rwandaise.
Le CPS salue par ailleurs les efforts déployés par les troupes de l’Afrique du Sud, du Malawi et de la Tanzanie dans le cadre de cette mission. A cause de leurs sacrifices, environ 2 soldats sud-africains en ont payé le prix de leur vie, le 14 février 2024, selon des sources du ministère sud-africain de la défense et la mission de la SADC en RDC.
D’autres parts, le CPS lance un appel à la Commission de l’UA et à la SADC de définir les modalités de l’appui à apporter à la SAMIRDC et lui en fournir des mises à jour de façon régulière. Dans la même logique, le CPS demande à la commission de l’UA de tenir informer le conseil de sécurité de l’ONU de la mission de la SAMIRDC en vue d’obtenir son soutien financier et matériel.
Dans le même communiqué, le CPS a également condamné fermement les attaques du M23 et l'implication du Rwanda, exigé le retrait immédiat du M23 des zones occupées, appelé à la cessation des hostilités et à la reprise du dialogue et réaffirmé son soutien au processus de Nairobi.
Le déploiement des forces de la SADC dans l’Est de la RDC est toujours mal perçu par les dirigeants rwandais. Dans une lettre adressée à Moussa Faki Mahamat, Président de la Commission de l'UA le 03 mars dernier, le Rwanda s’indignait que les forces de la SADC ne s’attaquent qu’au M23 et épargnent le FDLR.
Selon les dirigeants rwandais, il serait mieux de privilégier des voies diplomatiques et pacifiques pour résoudre cette crise. Voie que le pays de Paul Kagame a du mal à suivre, après plusieurs violations des accords de Luanda et de Nairobi, notamment par l’occupation de certains territoires congolais par le M23 et l’armée rwandaise, causant plusieurs morts et plusieurs déplacés dont les conditions de vie se dégradent chaque jour.
Bruno Nsaka
Arrêté depuis le 08 septembre 2023, Stanis Bujakera, directeur de publication du journal en ligne "Actualités.cd" totalise 6 mois de détention à la prison centrale de Kinshasa, communément appelée "Prison de Makala ".
Lors de l’instruction de son dossier, toutes les demandes de sa liberté provisoire introduites par ses avocats ont été systématiquement rejetées par le Tribunal de Grande instance de la Gombe qui a reçu, vendredi 08 mars 2024, les réquisitoires du Procureur Serge Bashonga qui a requis 20 ans servitude pénale contre Bujakera pour " contrefaçon, faux en écriture, usage de faux, et propagation de faux bruits".
Lors de cette dernière audience à la prison de Makala, l’un des points déterminant pour l’issue de ce procès, a été la remise du Rapport de l’Expert désigné par le Tribunal et qui démontre qu'il est impossible de déterminer que Stanis Bujakera est le premier émetteur du document attribué à l’ANR (agence nationale des renseignements), qui imputait la mort du Député de l’opposition, Chérubin Okende, aux renseignements militaires. Ce Rapport contredit celui de l’Expert du Procureur sur lequel il fondait ses accusations.
Appelé également à s’exprimer à la barre, le journaliste Stanis Bujakera a, une fois de plus, demandé au Procureur d’apporter des preuves de ses accusations.
JED soutient cette demande et s’insurge contre ces graves accusations sans preuves. Alors que ce procès injuste tend vers son dénouement, JED attend des juges du Tribunal de Grande instance de la Gombe, qu’ils fassent montre d’un ultime sursaut d’honneur et d’indépendance, en ordonnant l’acquittement pur et simple de Stanis Bujakera.
actualite.cd/CC
Le député national Augustin Kabuya, secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), a annoncé, au cours d’une matinée politique tenue ce dimanche 10 mars à Kinshasa, sa candidature au poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale.
« Je vous informe que je suis candidat au poste de premier vice-président de l’Assemblée nationale », a-t-il brièvement déclaré.
Cette déclaration tranche avec les rumeurs qui l'annonçaient comme premier ministre ou président de l'Assemblée nationale.
À noter que cette rencontre avec les cadres et militants de l’UDPS avait pour objectif de présenter Daniel Bumba Lubaki comme candidat du parti à l’élection de gouverneur de la ville de Kinshasa.
Barbara Kanam hospitalisée : état de santé stable après un malaise lors d’une manifestation.
Dans une récente nouvelle qui a secoué le monde de la musique congolaise, la chanteuse Barbara Kanam a été hospitalisée après avoir connu un malaise lors d’une manifestation le 8 mars 2024 à la Paroisse Notre Dame de Fatima.
En tant que directrice générale du Fonds de la Promotion Culturelle (FPC), son état de santé est devenu une préoccupation majeure pour ses fans et ses collègues.
Selon plusieurs sources au sein du FPC, Barbara Kanam a été rapidement évacuée vers un hôpital local et admise aux urgences. Certaines informations non confirmées ont également suggéré qu’elle avait été placée en soins intensifs pendant quelques heures.
Ces nouvelles se sont rapidement répandues sur les réseaux sociaux, suscitant une vive inquiétude parmi ses nombreux admirateurs.
Après plus d’une journée de silence, la cellule de communication du FPC a finalement confirmé l’hospitalisation de la chanteuse, tout en soulignant que son état de santé était stable.
Plus tard dans la soirée, le journaliste Jordache Diala, proche de la chanteuse, a apporté des éclaircissements en affirmant que Barbara Kanam avait pu regagner son domicile, mais qu’elle restait sous observation médicale. Cette nouvelle a soulagé ses fans qui espèrent un prompt rétablissement pour leur idole.
Barbara Kanam, connue pour sa voix puissante et sa contribution à la promotion de la culture congolaise, est une figure emblématique de la scène musicale en République démocratique du Congo. Son hospitalisation a suscité une vague de soutien et de prières de la part de ses fans et du public en général.
En attendant, ses admirateurs lui envoient des messages d’encouragement et espèrent qu’elle se rétablira rapidement pour pouvoir reprendre ses activités artistiques et sa passion pour la musique congolaise.
mbote/CC
Le Président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi est arrivé samedi à Malabo, en Guinée équatoriale, pour participer à la 24ème session ordinaire de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), a appris l’ACP de la Présidence congolaise.
« Sous le thème : « la CEEAC à la croisée des chemins vers la consolidation et la réforme pour relever les défis de l’intégration régionale en Afrique centrale », cette rencontre se penchera sur la crise sécuritaire dans l’Est de la RDC et d’autres sujets importants », a rapporté la source.
Déjà sur place à Malabo, le ministre d’Etat à l’Intégration régionale Antipas Mbusa avait pris part, jeudi dans la capitale équato-guinéenne, au conseil des ministres de la CEEAC, précédant cette 24ème session ordinaire de la conférence des Chefs d’Etat.
Le vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, qui l’a suivi jeudi matin à Malabo, est également membre de la délégation congolaise.
Lors de la 23ème session ordinaire de cette organisation clôturée le 1er juillet 2023 à Libreville (Gabon) sous l’égide de l’ancien Président Ali Bongo, la conférence avait notamment félicité les efforts des Autorités de Transition de la République du Tchad, pour la bonne conduite de leur processus de transition.
Elle avait surtout salué le Président de la RDC pour les actions menées dans le cadre de sa mission d’accompagnement dudit processus de transition, conformément au mandat de la Session extraordinaire de la Conférence des Chef d’Etat et de Gouvernement de la CEEAC, tenue à Kinshasa le 25 octobre 2022.
Concernant la RDC, la Conférence s’était vivement inquiétée de la persistance de la crise sécuritaire dans l’Est du pays et de l’accroissement des déplacés internes, « du fait des activités criminelles des groupes armés nationaux et étrangers ».
ACP/CC
Daniel Bumba Lubaki, cadre de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), candidat à l’élection de gouverneur dans la ville de Kinshasa, et Eddy Iyeli, du Mouvement pour la libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba, candidat au poste de vice-gouverneur, ont officiellement déposé leurs candidatures ce samedi 9 mars 2024.
À en croire les délégués de deux partis politiques qui accompagnaient ces candidats, sans faire une déclaration officielle, ces derniers ont été désignés ticket de la plateforme politique du Chef de l’Etat Félix Tshisekedi, l’Union sacrée de la nation aux élections gouvernorales dans la ville province de Kinshasa.
Notons que suivant le calendrier de la CENI, les élections des gouverneurs et vice-gouverneurs auront lieu le 7 avril prochain, sur toute l’étendue de la RDC.
Christian Dimanyayi
Si certains animateurs des institutions sous Félix Tshisekedi se sont distinguée dans la gestion efficace et efficiente, d’autres ont par contre excellé dans la mégestion et poussé leurs entités dans un coma le plus historique. Et si les records sont battus, le gouverneur de la ville province de Kinshasa Gentiny Ngobila Mbaka mériterait un trophée. Pas n’importe quel trophée, mais celui de la honte pour sa gestion comme s’il avait un problème particulier avec les Kinois.
L’unanimité s’observerait dans l’affirmation selon laquelle « l’ancien gouverneur de Mai-Ndombe aurait parachevé l’œuvre que son prédécesseur, André Kimbuta Yango, avait commencé : " mettre Kinshasa K.O. " Les poubelles sont presque devenues le label de Kinshasa La belle. Elles entourent tous les coins de la capitale et même en plein centre ville. Convaincu de son bilan supposé positif par ses adeptes et lui, Gentiny Ngobila est candidat à la députation nationale dans la circonscription pour demander aux con citoyens de voter lui. N’est-ce pas là le mythe d’un coq à qui on montre l’amour pour l’égorger ?
L’entassement d’immondices, les odeurs nauséabondes et les urinoirs improvisés devant l’hôtel de ville n’ interpellent personne, mais chacun est en campagne électorale.
l’État d’insalubrité chronique dans lequel se trouve Kinshasa devait être une arme de dissuasion pour l’équipe dirigeante de Kinshasa de s’abstenir du mot confiance du peuple.
Appeler une population témoin d’une programmation destructive à voter, c’est se moquer de celle-ci en la regardant tout droit dans les yeux sachant que rien n’a été presque pas fait.
Gouverneur historique
Gentiny Ngobila serait le gouverneur historique qui s’est immortalisé dans les pensées des Kinois. Son Kin Bopeto a été un échec patent et une affaire des millions de USD dilapidés. Comme par magie, l’homme finit tranquillement son mandat sous l’œil impuissant d’une assemblée provinciale apparemment charmée par le locataire de l’hôtel de Ville de Kinshasa.
André Kimbuta pourrait se dire l’homme le plus heureux pour avoir assuré la relève. Les Kinois ne sont pas dupes. Sans tenir compte des deals politiques, FUNA se rappellera du déchargement des immondices par les engins de l’hôtel de ville sur la place des artistes, des décharges volontairement logés le long de la route universitaire et partout dans toutes les communes de la circonscription où l’homme pense avoir son électorat. Sa gestion serait marquée par une insensibilité notoire à l’insalubrité urbaine et la volonté d’imposer et soumettre tout le monde.
Le gouverneur problématique et conflictuel
Convaincu d’être celui dont les Kinois ont besoin, Gentiny Ngobila se serait montré agressif face à tous ceux qui ont dénoncé sa mauvaise gestion. Pétitions et motions sont les moyens auxquels il recourait pour la chute de ceux qui ont osé le recadrer.
Certains sont tombés et d’autres ont résisté grâce à leur poids politique. Ils se regardent aujourd’hui en chiens de faïence. Néron Mbungu Mbungu a rencontré la fureur d’une Assemblée provinciale qui serait acquise à la cause du gouverneur.
Le jeu de ping-pong auquel s’étaient livrés Gentiny Ngobila et Godé Mpoy, président de l’Assemblée provinciale aurait mis en exergue l’attitude d’un gouverneur qui ne cautionne pas des critiques pour améliorer sa gouvernance.
Ce fut une guerre d’usure entre les deux hommes où l’homme de Mai-Ndombe a vu s’épuiser sa force et s’est trouvé dans l’impossibilité de faire tomber le pasteur sapeur.
Même certains journalistes et cons frères se sont rangés derrière se sont mis dans la poche de l’exécutif provincial pour le faire passer comme un modèle de gestion. Honte eux !
actuRDC/CC
Les services des renseignements des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont présenté ce vendredi 8 mars à Kinshasa, cinq civils, présumés collaborateurs de la rébellion du M23 dans la ville de Goma. Parmi ces personnes, deux anciens députés provinciaux du Nord-Kivu arrêtés le 15 février dernier à Goma. Il s’agit de Hope Sabini et Alio Ngera.
Les services de sécurité présentent M. Sabini comme « homme orchestre » ayant recruté tous les quatre autres « agents » dont son cousin, Cyril Muhongya, expert en tourisme et environnement au gouvernement provincial du Nord-Kivu.
Selon l’armée, Hope Sabini, « reconnaît avoir été recruté par un certain Bahati, membre actif et responsable des finances du mouvement terroriste M23. Il reconnaît aussi être agent sensibilisateur, recruteur et chargé du vetting au profit du Rwanda. Il déclare avoir mené plusieurs actions d’espionnage au profit du Rwanda et avoir fourni des renseignements stratégiques sécuritaires, militaires et politiques de la RDC au Rwanda à travers le mouvement terroriste M23 ».
Une sixième personne arrêtée et amenée aussi à Kinshasa a été libérée faute de preuves.
« Ces compatriotes du Nord-Kivu sont des vrais traîtres au service de l’ennemi. Les services spécialisés de l’armée qui œuvrent jour et nuit au service de la nation les a mis hors d’état de nuire. A la suite des investigations, d’autres traîtres ont également été arrêtés et seront présentés au moment opportun », a dit le porte-parole de l’armée, le général Sylvain Ekenge.
Par ailleurs, le porte-parole de l’armée indique que des hauts gradés qui coopéraient avec Hope Sabini sont également aux arrêts. « La trahison, l’infiltration, l’espionnage rwandais dans notre pays ne sont pas une chimère, c’est une réalité, les faits sont là. Et pour la plupart des cas, ce sont des compatriotes qui sont au service des rwandais », a soutenu Ekenge.
Ces personnes arrêtées sont mises à la disposition de la justice militaire dès ce vendredi. Elles sont poursuivies pour infractions de « haute trahison, de collision avec l’ennemi, de participation à un mouvement insurrectionnel et de l’association des malfaiteurs ».
actuRDC/CC
La deuxième journée de la phase de play off de la LINAFOOT a démarré samedi 9 mars avec deux matchs. Le premier à Lubumbashi et la seconde, à Kinshasa.
Pour la première rencontre, Maniema union de Kindu a battu Don bosco de Lubumbashi (2-0) au stade TP Mazembe. Lupini à la 23' a ouvert le score et Ordy Simete à la 81e minute a corsé l’addition pour les visiteurs.
Le deuxième match a mis aux prises Le FC Saint St Éloi Lupopo et le FC les Aigles du Congo à huis clos au stade des martyrs de Kinshasa. Les deux équipes se sont séparées sur un nul de deux buts partout pour leur première confrontation de l’histoire.
Le Camerounais Maxwell Djoumekou, nouvelle recrue des samouraïs, a marqué pour l'ouverture du Score à la 30e minute ; a la mi-temps, le score était de 1-0, en faveur du club kinois.
De retour des vestiaires les Lumpas mettent la pression et sont récompensés à la 50e minute par le but de Ikoyo Iyembe.
Hervy Osete à la 56e marqué le deuxième but pour Lupopo 1-2 pour les Lumpas. Dans les derniers instants de la rencontre, les Aigles se rachètent. Sur un centre de Mukoko Amale, Mbeya se détache des axiaux et permet à son équipe d’égaliser.
Le classement provisoire se présente de la manière suivante, en attendant les matchs de ce dimanche :
- Maniema Union 6 points +4
- TP Mazembe 3 points +5
- Lupopo 2 points
- Les aigles 2 points
- V. Club 1 point
- Don Bosco 1 point -1
- Dauphin noir 0 pont -2
- Lubumbashi sport 0 point -5
Cette deuxième journée se clôture ce dimanche avec le match Dauphin- TP Mazembe au stade de l’Unité de Goma et Lubumbashi sport- V. Club au stade Kibasa Maliba, à Lubumbashi.
radiookapi.net/CC