Les Girondins de Bordeaux se sont imposés devant Bastia (2-0), ce samedi 08 avril 2023, au Stade Matmut-Atlantique, en match comptant pour la 30ème journée de Ligue 2 française.

Maja et Fransérgio ont inscrit les deux buts de la rencontre, respectivement à la 37ème minute sur penalty, et à la 48ème minute de jeu.

L'international latéral gauche congolais, Vital Nsimba a disputé l'intégralité du match pour la 10ème fois consécutive.

Grâce à cette victoire à domicile, Bordeaux conforte sa 2ème position avec 56 points, et met la pression sur le leader, le Havre qui en compte 60.

Vital Nsimba et ses coéquipiers se déplaceront à Metz, le samedi 15 avril prochain. Le match est prévu à 14h00, heure de Kinshasa.

Gratis Makabi



Burnley FC, club où évolue l'international congolais Samuel Bastien s'est imposé sur la pelouse de Middlesbrough (2-1), dans la soirée du vendredi 07 avril 2023, en match comptant pour la 39ème journée de Championship, deuxième division anglaise.

Ashley Barnes a ouvert le score pour les visiteurs à la 12ème minute de jeu, avant que Chuba Akpom égalise pour les Boro à la 48ème minute sur penalty. Connor Roberts scelle la victoire de Burnley à la 66ème minute de jeu, sur une passe de Nathan Tella.

Il est à noter que, le milieu de terrain congolais Samuel Bastien n'était pas sur la feuille de match.

Grâce à cette victoire, Burnley demeure leader de championnat avec 87 points, et se rassure de disputer la prochaine édition de Premier League anglaise.
 
Gratis Makabi


Elles rêvent d'un corps en forme de sablier: sur les réseaux sociaux, des femmes qui se trouvent "trop maigres" vantent les mérites d'un médicament antiallergique qu'elles détournent pour prendre rapidement du poids et surtout "des fesses", une mode dangereuse qui suscite la préoccupation en France.

Sur Instagram, TikTok ou Youtube, elles se surnomment "les skinny" ("les maigres", en anglais). Ces jeunes femmes ont une obsession: avoir "des formes", c'est-à-dire des fesses et des seins volumineux.

Un objectif qu'elles atteignent au moyen d'un médicament en vente libre à moins de 10 euros la boite, et dont elles se passent le nom: Periactine (du laboratoire Teofarma). "Moi qui ne mangeais plus, j'ai tout le temps faim, même dans mon lit je mange", témoigne l'une d'elle. "Ca marche trop bien, ça fait grossir tout de suite".

Les photos avant/après attestent de prises de poids spectaculaires en quelques semaines seulement. Problème: Periactine (qui a pour principe actif la cyproheptadine) n'est pas un complément alimentaire mais un médicament destiné aux personnes allergiques.

Dans un communiqué fin mars, la Société française de pharmacologie et de thérapeutique (SFPT) a alerté sur ce phénomène, estimant que "le rapport bénéfices/risques de la cyproheptadine devrait être réévalué en vue du retrait de son autorisation de mise sur le marché ou au minimum de son inscription sur une liste à prescription obligatoire".

La cyproheptadine est un "médicament très ancien, commercialisé en France depuis les années 60", qui a été dépassé par des molécules bien plus performantes et n'est plus prescrit", explique à l'AFP le Dr Laurent Chouchana, en charge de la pharmacovigilance de cette molécule et membre de la SFPT. 

Jusqu'en 1994, le médicament était indiqué "pour la stimulation de l'appétit chez les malades présentant une diminution de l'appétit accompagnée d'une perte de poids", indication retirée du fait notamment d'une balance bénéfice/risques mal évaluée, précise-t-il.

Les molécules qui agissent sur le poids sont particulièrement surveillées pour leur mésusage potentiel, ajoute le Dr Chouchana, à l'instar de l'antidiabétique Ozempic, utilisé, lui, dans un but amincissant.

- "Ressembler à Kim Kardashian" - Les représentants des pharmaciens, interrogés par l'AFP, assurent n'en vendre que "très rarement", mais il est aussi accessible en ligne où son achat est souvent couplé à d'autres aides à la prise de poids, comme les graines de fenugrec selon les sites consultés par l'AFP. 

L'Agence du médicament (ANSM) n'est pas en mesure de mesurer une "augmentation des ventes", a-t-elle indiqué à l'AFP, mais réalise en ce moment une analyse de la situation, en fonction de laquelle elle envisagera des "actions graduées" pour endiguer le phénomène si besoin est.

Un an plus tôt déjà, l'ANSM avait alerté les professionnels de santé sur "une utilisation non conforme et potentiellement dangereuse de la cyproheptadine comme orexigène (susceptible d'augmenter l'appétit) pour induire une prise de poids à des fins esthétiques".

C'est l'équipe du Dr Chouchana qui avait fait remonter cette tendance, elle-même alertée par des internautes: "On a découvert des apprentis sorciers qui faisaient des prescriptions médicales incroyables, dans le but de ressembler à (la star de téléréalité) Kim Kardashian, à la limite de l'exercice illégal de la médecine".

Une tiktokeuse raconte: "J'ai fait confiance aux filles, je suis même pas allée voir mon médecin traitant, je l'ai essayé".

La prise de cyproheptadine n'est pas sans conséquence: elle entraîne "la plupart du temps des somnolences" mais aussi parfois des convulsions, des hallucinations et "des effets plus graves comme des problèmes hépatiques, sanguins, cardiaques, notamment s'il y a surdosage, ce qui est le cas si l'on se base sur les doses proposées dans les vidéos sur internet", selon le Dr Chouchana.

Dans les vidéos en ligne, des utilisatrices se plaignent de "dormir tout le temps" à cause de Periactine ou encore d'avoir "très mal au ventre".

Le mésusage de la cyproheptadine est apparu en Afrique avant l'avènement des réseaux sociaux, dans les années 2000. Dans une étude scientifique menée en République démocratique du Congo en 2011, des cas d'obésité ont été observés, notamment car les personnes devenaient dépendantes à la cyproheptadine.

AFP avec ACTUALITE.CD/CC

 


A la veille du match entre le Standard de Liège et le leader, le KRC Genk, samedi pour le compte de la 32e journée de Jupiler Pro League, William Balikwisha a été questionné sur son choix de jouer pour les Léopards de la RDC, au détriment des Diables Rouges de Belgique. 

Convoqué par le sélectionneur Sébastien Desabre, William Balikwisha a honoré sa première sélection avec les Léopards le 24 avril dernier. Le natif de Bruxelles est en effet entré en jeu pour la RDC à la 68e minute à l’occasion de la 3e journée des éliminatoires de la CAN 2023, remportée 3-1 face à la Mauritanie à Lubumbashi. Interrogé sur les raisons de son choix en conférence de presse, le joueurs de 23 ans a confié avoir suivi son cœur. 

Le cœur a ses raisons

« Le sélectionneur (Sébastien Desabre) m’a fait comprendre que je pouvais être l’avenir du pays. Il m’attendait les bras grand ouverts. J’ai simplement demandé quelques renseignements à Merveille Bokadi (milieu international congolais et coéquipier de Balikwisha au Standard de Liège, ndlr) pour voir comme ça se passait là-bas. Mais mon choix était déjà pratiquement fait. Il y a eu une petite période de doutes, quand les gens autour de vous vous mettent un peu de pression. Mais j’ai suivi mon cœur, tout simplement », a expliqué le milieu offensif des Rouches, auteur de 6 buts et de 4 passes décisives en 31 rencontres cette saison toutes compétitions confondues.

Mais si William a préféré faire carrière avec les Léopards, son frère Michel-Ange Balikwisha (Royal Antwerp), pressenti pour disputer l’Euro Espoirs avec les U21 de la Belgique, pourrait faire le choix inverse. Questionné quant à son influence sur le choix de son cadet, le jeune international congolais (1 sélection) a joué la carte de la neutralité. Même si un duo William-Michel-Ange chez les Léopards ne serait évidemment pas pour lui déplaire… « C’est un grand garçon, je préfère le laisser faire son choix plutôt que de l’influencer. (…) S’il a besoin de renseignements, je serai là, évidemment, mais ça s’arrête là. J’aimerais jouer avec lui (en sélection, ndlr), c’est clair, mais je serai très heureux pour lui s’il choisit la Belgique. Il ne faut pas oublier que l’on vient d’ici », a-t-il tempéré. Bientôt une nouvelle fratrie en sélection, comme les tout nouveaux Marcus et Kephren Thuram chez les Bleus et les Gédéon et Aldo Kalulu chez les Léopards ?

Prudence Ahanogbe

 

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L'Agence Congolaise de Presse (ACP) et l'agence belge Belga ont signé un accord de coopération le  5 avril 2023 en Belgique, à Bruxelles.

Le contenu de cet accord est tel que les deux agences vont désormais échanger gratuitement les contenus informatifs qu'elles produisent. Il s'agira des textes, des images tout comme des vidéos. 

Cet accord précise que ce contenu sera « strictement limité à celui sur lequel l'agence qui envoie a le droit d'auteur et les droits lui permettant d'exercer cet échange, en vue de permettre à chaque partie d'enrichir sa production éditoriale ».

Les deux agences ont également convenu d'assurer la formation du personnel et d'échanger du matériel. Cette formation prendra également en compte la conception et la gestion de l'agenda ainsi que la mise en place d'un fil d'actualité.

Elle aura pour finalité de permettre à l’agence congolaise de produire une information répondant aux attentes d’une clientèle plus large, en observant les conditions de fiabilité, de rapidité, d’objectivité et de qualité exigées dans le traitement de l’information par les agences de presse, et de relever le défi de refaire sa renommée, en tenant compte de l'évolution technologique, par la valorisation de sa production afin d’en faire un véritable produit de marché.

Ce partenariat prévoit également la cession, par la partie belge, de matériel technique.

Immédiatement après la signature, l'agence belge a remis un lot de matériel audiovisuel composé d'appareil photo-vidéo high-tech.

Notons que l'ACP était représentée par Bienvenu Marie Bakumanya alors que la partie belge, par le président du Conseil d'administration de Belga, Patrick Lacroix.

C'était en présence du conseiller en communication de la Présidence de la République démocratique Congo, Guillaume Modimola.

MD



Le ministre de la Santé, Samuel-Roger Kamba, a appelé, vendredi 7 avril, à l’action de tous les Congolais pour gagner le pari de la couverture de santé universelle en RDC.

Il a lancé cet lors d'une adresse à la nation à l'occasion de la célébration de la journée mondiale de la santé.

Le gouvernement congolais se base sur la feuille de route nationale et provinciale pour relever ce défi, a indiqué Samuel-Roger Kamba :

« Pour accélérer la marche de la RDC vers la couverture santé universelle, les efforts que le gouvernement entreprend actuellement sont focalisés sur la mise en œuvre de la feuille de route nationale et provinciale ».

Cependant, a-t-il reconnu, que plusieurs défis restent à relever pour gagner le pari de la couverture de santé universelle en RDC.

Parmi les principaux problèmes qui affaiblissent le système de santé congolais, Samuel-Roger Kamba a cité le manque d’infrastructures et équipements sanitaires, répondant aux normes fixées par l’OMS.

Deuxièmement, il a déploré les déséquilibres dans l’organisation des filières et le manque de répartition équitable dans la formation entre les milieux ruraux et urbains ainsi qu’entre les structures sanitaires.

« Des médicaments, produit fondamental pour des soins de santé de qualité connait toujours des problèmes d’approvisionnement, d’accessibilité financière, de disponibilité de service de qualité et d’utilisation rationnelle, affaiblissant ainsi le fonctionnement du système de santé. Il y a aussi le problème de financement de la santé », a-t-il poursuivi.

Pour le ministre Samba, tous ces problèmes font que l'indice de couverture des services essentiels en RDC soit est encore en dessous de la moyenne africaine.

Placée sous le thème : « Santé pour tous », la journée mondiale de la santé devrait, selon le ministre, servir de tremplin à la RDC pour un saut vers l’avant en matière de couverture santé universelle.

radiookapi.net/CC



La MONUSCO a officiellement fermé jeudi 6 avril, sa base militaire située à Kamango, dans la chefferie de Watalinga à environ 80 kilomètres au nord-est de la ville de Beni au Nord-Kivu. Cette base a été établie il y a plus de dix ans pour contrer la menace que représentaient les terroristes des ADF.

Ainsi, les autorités de Watalinga ont par conséquent réceptionné les installations et équipements laissés par la MONUSCO qui se retire de la zone à la faveur de la paix et de la sécurité revenues, conformément au plan de transition qui prévoit une sortie graduelle et responsable de la Mission onusienne de la RDC.

Profitant de cette occasion, le chef de la chefferie de Watalinga, Mwami Saambili Bamukoka a salué la présence de la MONUSCO qui, à l’en croire, a largement contribué à l’amélioration de la situation sécuritaire dans la zone.

« Nous avons un sentiment de reconnaissance pour le travail abattu par les différents contingents qui se sont succédé ici. Nous pouvons dire que la situation sécuritaire est relativement calme. Nous faisons partie du territoire de Beni. Alors que les autres entités continuent à être menacées, chez nous, c’est un peu calme. Nous pouvons dire que la situation est un peu sous contrôle », a-t-il dit.

Par ailleurs, la société civile/Forces vives noyau de Watalinga a salué la contribution de la MONUSCO au retour à la paix dans la zone.

« Notre population est agricultrice. Elle peut désormais aller jusqu’au fin fond de notre territoire pour pratiquer l’agriculture. Pour le moment, les menaces sécuritaires sont minimes. Nous félicitons aussi les FARDC, conjointement avec l’UPDF [armée ougandaise], qui ont travaillé avec la MONUSCO au niveau de notre chefferie et qui ont permis ce temps de paix et de sécurité que la population est en train de savourer aujourd’hui », a déclaré Odette Zawadi Nganda, présidente de cette structure citoyenne.

Le colonel David Ipanga, commandant du 2103e régiment des FARDC basé à Kamango, a dit sa reconnaissance à la MONUSCO pour son « appui technique et logistique certain », outre l’aspect sécuritaire.

David Mukendi



Des artistes, accompagnés de la mascotte des IXe Jeux de la Francophonie, ont réalisé, vendredi 7 avril, des spectacles à l’Université pédagogique national (UPN), à Kinshasa.

Ils ont voulu ainsi susciter l’engouement et l’adhésion de la population à ces prochains jeux.

Ces activités ont consisté à la danse de la mascotte, aux chorégraphies des artistes qui se sont étendues au croisement de l’avenue Libération, ex 24 novembre et route Matadi.

Pour Lisa Ndungu, étudiante à l’UPN, a promis de ne pas rater les Jeux de la Francophonie.

« Les IXe Jeux de la Francophonie représente beaucoup pour les jeunes. Je compte participer », a-t-elle assuré.

Alors que la conseillère du directeur des Jeux de la Francophie, Véronique Kayembe, a encouragé les étudiants de l’UPN à s’engager pour prendre part à ces jeux :

« Nous voulons que nos étudiants participent à ces Jeux. Plusieurs ont postulé pour être bénévoles à ces Jeux et on va en sélectionner plusieurs parmi les 6 mille qui ont envoyé leurs CV ».

De son côté, le superviseur de la Commission animation périphérique, Eric Mpoyi a invité les étudiants à faire la promotion des Jeux de la Francophonie.

« Nous saluons la mobilisation des étudiants de l’UPN de pouvoir nous rejoindre dans cette mission de promouvoir les Jeux de la Francophonie. Les jeunes, c’est la jeunesse. Nous sommes là pour sensibiliser plus de jeunes à pouvoir participer à ce projet qui va faire rayonner la RDC », a-t-il déclaré.

La prochaine étape de ces activités de sensibilisation est la commune de Limeté ainsi que les communes de la Tshangu.

Les IXe Jeux de la Francophonie se tiendrons du 26 juillet au 6 aout 2023 à Kinshasa.

radiookapi.net/CC



Une guerre de palais, qui ne dit pas son nom, a élu domicile au sommet de l'Institut National de Préparation Professionnelle (INPP), occasionnant un climat délétère entre le Directeur général, Godefroy Tshimanga, et le Président du Conseil d'administration, Jean-Marie Lukulasi. 

Cadre de l'AFDC-A de Modeste Bahati, président du Sénat, Jean-Marie Lukulasi est accusé d'exécuter un plan consistant à dépouiller Godefroy Tshimanga de ses prérogatives de Directeur général et de l'isoler de la gestion de l'INPP au profit du Directeur général adjoint, Kayembe Nsumpi, lui aussi cadre de l'AFDC-A.

Dans un document administratif, signé dans la confusion totale par le PCA Lukulasi, celui-ci soutient, en vertu de l'article 16 des statuts de l'INPP, qu'en l'absence du Directeur général, son adjoint devrait s'occuper de la supervision du secteur technique des activités de l'établissement ; de la supervision du secteur administratif de l'établissement ; de la supervision des relations avec les partenaires multilatéraux et bilatéraux ; et de la liquidation des dépenses à caractère social ou de fonctionnement ne dépensant pas 10.000$ et qui requiert célérité.

Ce à quoi s'oppose farouchement Godefroy Tshimanga dans sa correspondance du 3 avril dernier, par laquelle il a répliqué avec autorité à la décision du transfert de ses prérogatives envers son adjoint.

Dans cette correspondance, Tshimanga a administré une leçon administrative à Lukulasi en lui faisant comprendre que les attributions confiées à son adjoint, en se fondant non pas sur les dispositions statutaires mais plutôt sur une résolution prise au cours de la réunion extraordinaire du 30 décembre 2022, sont aussi biaisées qu'elles ne reflètent pas la loi. 

« Les attributions du Directeur général et son adjoint sont définies par les dispositions légales pertinentes... j'attire l'attention de votre autorité que cette volonté exprimée par le législateur devrait être de stricte application, et toute tentative de modification des statuts de l'INPP par le Conseil d'administration, consacre l'illégalité et l'irrégularité », a martelé le DG Godefroy Tshimanga, nommé par ordonnance présidentielle mi-novembre dernier.

Un soubassement légal qui ne semble pas suffisant pour le clan AFDC-A, déterminé à faire de Tshimanga une marionnette, quitte à se rebeller contre la décision du président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Claudine Ndusi, ministre de l'Emploi, Travail et Prévoyance sociale, tutelle de l'INPP, a aussi joué sa partition dans cette rébellion. Haut-cadre de l'AFDC-A, Ndusi s'est offerte le luxe de ne pas convier le Directeur général à des réunions importantes ayant trait à la gestion et à l'avenir de l'INPP

Le dernier cas en date est la réunion technique 28 mars dernier avec l'Agence française de développement. À cette réunion, tout le monde (PCA, DGA, les membres du Conseil d'administration) a été associé autour de la ministre Claudine Ndusi à l'exception de Godefroy Tshimanga. 

« Le Directeur général a appris l'organisation de cette réunion par la presse », assure un de ses proches.

Cet autre fait paraît tout aussi invraisemblable. Depuis sa nomination, Tshimanga n'a jamais pris possession du bureau du DG de l'INPP jusqu'à ce jour. Le même Patrick Kayembe Nsumpi, qui assurait l'intérim à la tête de cet établissement public jusqu'à la nomination de Tshimanga, refuse de libérer les locaux réservés au Directeur général, situés au siège de l'INPP à la 6 ème Rue Limete.

Provisoirement, le DG Godefroy Tshimanga a érigé son bureau à la 11ème Rue Limete dans les locaux réservés au Directeur provincial.

« Cette situation handicape le fonctionnement et fait retarder la signature de plusieurs milliers des brevets des stagiaires ayant déjà fini leur formation », ont confié des agents de cet établissement public.

opinion-info/CC



L'attaquant congolais, Jean Baleke a été stratosphérique lors de la victoire de Simba SC devant Ihefu FC (5-1), ce vendredi 07 avril 2023, à Azam Complex Chamazi, en match comptant pour le quart de finale de la Coupe de Fédération Sportive d’Azam (ASFC).

L'ancien sociétaire du Tout-puissant Mazembe a claqué un triplé, respectivement à la 2ème, 15ème et 28ème minute de jeu. Les deux autres buts ont été inscrits par Saido et Pape Sakho.

Il est à noter que, le défenseur central congolais, Henock Inonga Baka a été titulaire, et a disputé l'intégralité de la rencontre.

Grâce à cette victoire, Simba SC arrache le ticket qualificatif pour les demi-finales de la compétition.

Gratis Makabi

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