Félix Tshisekedi a ouvert ce mardi la journée réservée à la RDC à l’expo Dubai 2020. Arrivé quelques heures plus tôt avec son épouse, le Chef de l’Etat a vanté dans son discours la destination RDC pour ses atouts miniers, forestiers et pour sa culture. Il a invité les différents investisseurs, opérateurs économiques et autres visiteurs à explorer les opportunités qu’offrent la RDC. 

La veille, les délégués congolais avaient participé au forum d’affaires sur les opportunités d’investissements dans plusieurs secteurs: mines, agriculture, pèche, tourisme, transports, etc. 9 membres du gouvernement sont présents à cet évènement. Parmi les éléments présentés, il y a notamment le Plan Directeur d'industrialisation.

Outre la présence des officiels congolais, la Fédération des Entreprises de la RDC (FEC) est également représentée par certains de ses membres. Le gouvernement dit avoir mobilsé 40 opérateurs économiques congolais.

Débuté le 1er octobre 2021, cet expo ira jusqu'au 31 mars 2022 à Dubai, l'un des sept émirats qui composent les EAU, devenu un haut lieu du tourisme mondial. Le thème de cette exposition universelle est « Connecter les esprits, Construire le futur ». L'Expo 2020 Dubaï est la première exposition universelle jamais organisée dans la région Moyen-Orient, Afrique et Asie du Sud (zone MEASA). L’évènement réunit plus de 200 participants, notamment des pays, des organisations multilatérales, des entreprises et des établissements d'enseignement.

actualite.cd/CC



Le spectacle d’humour dénommé « Pool Malebo Stand-up Comedy », dans sa version totalement féminine, est prévu ce samedi 26 mars au Pullman grand hôtel. 10 artistes sont attendues, venant du Cameroun, du Congo Brazzaville et de la RDC, une façon de mettre en avant les talents féminins de l’humour.

Les représentantes de la RDC à cette soirée sont Dayana Esebe, Horty La rossignol, Abelle Bowala et Les nyotas ; les Ryry nationale et Stéphanie Bluetooth représenteront le Congo Brazzaville, et Miss Ngatcho viendra du Cameroun. Tante Gina et Nada Mastor sont des invitées.

À partir de 18h et pendant 2h, environ 400 personnes sont attendues. Le droit d’entrée s’élève à 10$ en prévente, à 15$ le jour du spectacle et à 30$ pour le carré or.

Le Pool Malebo Stand-up Comedy est un concept pensé et créé par des Congolais. Il est mis en place dans le souci de développer les talents des artistes de deux Congo. Mais aussi pour une autonomie sur le plan scénique, pour permettre aux artistes congolais de ne pas seulement dépendre de la prestation d’autres pays africains.

Sa mission est de pérenniser la présence des artistes en standup Comedy périodiquement à cheval entre Kinshasa et Brazzaville. Les soirées sont récurrentes depuis le 29 mars 2019.

Depuis sa création en mars 2019, le Pool Malebo Stand-Up Comedy a déjà vu beaucoup d’artistes talentueux défiler sur sa scène. C’est notamment Felix Kisabaka (RDC), Michael Sengazi (Rwanda), Ronsia Kukiel (RDC), Juste Parfait (Congo) ou encore Les Nyota (RDC). Le dernier spectacle a eu lieu le 9 octobre 2021, toujours au Pullman Grand Hôtel.

Emmanuel Kuzamba



Le milieu de terrain congolais Samuel Moutoussamy est déclaré forfait pour le match que l’équipe nationale de la RD Congo disputera contre le Maroc lors de la double confrontation des barrages du Mondial de la FIFA-Qatar 2022 face au Maroc. 

Selon la FIFA qui cite le médecin de Léopards de la RDC, Jean Vervier, Moutoussamy est victime d’une entorse de la cheville droite. Son indisponibilité est fixée à quatre semaines suite à une lésion ligamentaire.  

Il ne pourrait pas participer aux deux prochains matches de qualification.

Il a été blessé samedi 19 mars 2022, lors de la rencontre ayant opposé son club Nantes à Lille, dans le cadre de la 29e journée du championnat français. 

radiookapi.net/CC



L’artiste chanteur congolais Antoine Christophe Agbepa Mumba alias Koffi Olomidé a présenté, le 12 mars dernier, son programme de première année en tant qu’ambassadeur de la culture congolaise. L’un des 7 points évoqués dans le programme prévoit l’organisation d’un symposium sur le livre scolaire et parascolaire de l’histoire de la rumba.

Le lieu choisi est la faculté des lettres et sciences humaines de l’Université de Kinshasa, au département des sciences historiques. Koffi voudrait réunir les historiens, écrivains, pédagogues, musicologues, bédéistes, éditeurs et bien d’autres experts.

ACTUALITE.CD a interrogé à ce sujet un écrivain et enseignant d’école secondaire. Yann Kheme dispense, au collège Cartésien, le cours de français et de littérature. Il affirme que ces ouvrages permettront aux élèves congolais de se familiariser avec l'histoire de ce patrimoine national, devenu mondial. Mais aussi d'apprendre ses codes, ses contenus, et donc de se plonger dans leur propre histoire.

« Que ce soit en tant qu'écrivain ou en tant qu'enseignant, les projets d'édition de livres sont toujours bien accueillis. Et ils suscitent encore de l'admiration lorsqu'ils abordent notre vécu, les réalités que nous vivons au quotidien. Parmi les richesses immuables que nous possédons, il y a le fleuve, il y a aussi la rumba. Les valoriser ainsi est un motif de fierté », dit-il.

Enseigner la rumba en langue nationale

Il se pose tout de même la question de savoir si ces ouvrages seront écrits en langue nationale ou en français, langue officielle. Si cela est fait en langues nationales, ce sera le plus grand bien des élèves, reconnaît Yann Kheme.

« La petite expérience a montré cependant que les élèves sont plus intéressés et s'investissent beaucoup quand on leur enseigne l'histoire littéraire congolaise, la musique congolaise, surtout dans les langues d'ici, leur langue du cœur. Beaucoup rêvent encore en lingala, swahili, ciluba et kikongo », ajoute-t-il.

Quant à l’impact de ces écrits sur les enfants, Yann Kheme pense que cela dépendra largement du contenu et des auteurs qui les auront écrits. Il leur recommande de penser au public pour lequel ces livres seront écrits et les rendre intéressants. Aussi de penser aux genres littéraires qui intéressent le plus les enfants.

Emmanuel Kuzamba



Le Forum des affaires RDC-Emirats arabes unis s’ouvre ce lundi 21 mars à la chambre de commerce de Dubaï où la RDC est représentée par neuf membres du Gouvernement et 50 hommes et femmes d’affaires.  

La chambre de Commerce et de l'Industrie de Dubaï, hôte de l’événement, se dit déterminée à accompagner la RDC dans la mise en œuvre de son Plan directeur d’industrialisation autour duquel des sessions B2B seront organisées avec plus de 100 investisseurs Emiraties intéressés par la République Démocratique du Congo. 

Le ministre de l'Industrie, Julien Paluku Kahongya a visité le soir le pavillon de la République Démocratique du Congo pour faire le suivi des préparatifs de la nuit de la RDC à Dubaï prévue pour le mardi 22 mars.  

Il insiste sur la consolidation de la diplomatie économique qui va permettre à la RDC de saisir l’ensemble des opportunités que lui offrent les Emirats arabes unis.  

Le Président Félix Tshisekedi est attendu ce même lundi à Dubaï. Il assistera à la journée consacrée à la RDC l'Expo Dubaï 2020 prévue mardi 22 mars.  

L’Exposition universelle 2020 Dubaï qui devait se tenir initialement du 20 octobre 2020 au 10 avril 2021 a été reportée du 1er octobre 2021 au 20 avril 2022 en raison de la pandémie de COVID-19. 

Quant à la présence de la RDC à l'Expo 2020 à Dubaï, le Président de la République Félix Tshisekedi avait appelé le gouvernement à veiller à ce que la participation du pays à cette exposition dans un contexte de compétitivité bénéficie d'une meilleure préparation. Selon lui, cet événement devrait servir de vitrine pour le rayonnement de la culture congolaise notamment à travers la promotion de la Rumba congolaise qui a été inscrite par l'UNESCO sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité. 

« Pour ce faire, le Président de la République a vivement recommandé qu'une exposition retrace l'histoire de la Rumba suivie de la production scénique des artistes congolais qui font l'unanimité dans la promotion de la Rumba ainsi que d'autres artistes congolais de renommée internationale. Il a chargé le ministre du Commerce extérieur de prendre toutes les dispositions nécessaires pour faire jouer à chaque partie prenante son rôle dans le meilleur délai et condition afin que cet événement soit une réussite pour la République Démocratique du Congo », disait le compte-rendu du conseil des ministres du 4 mars.

radiookapi.net/CC



Près de 750 députés provinciaux ont participé le samedi 19 et dimanche 20 mars 2022 au séminaire d'information, de sensibilisation et d'appropriation du Programme de développement local des 145 territoires de la RDC (PDL-145 T).

Ce séminaire a eu lieu au Palais du Peuple situé dans la commune de Lingwala à Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo. 

C'est le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui a procédé au lancement des travaux dudit séminaire. 

Dans son mot de bienvenue, le chef du gouvernement, Jean-Michel Sama Lukonde, a rappelé que le PDL-145 T résulte de la volonté politique du chef de  l'Etat de vaincre la pauvreté et de réduire les inégalités entre les milieux ruraux et urbains de la RDC.

"Avec un budget de 1,6 milliard USD mobilisés par le gouvernement central et les partenaires traditionnels du pays, le PDL-145 T s'articule autour des 4 grands domaines d'intervention dont les infrastructures, la redynamisation des économies locales, le renforcement de la gouvernance locale et le développement d'un système de partage d'informations", a précisé le premier ministre.

Pour rappel, le premier ministre Sama Lukonde a lancé le projet de développement à la base de 145 territoires à Kenge (Kwango) et à Songololo (Kongo Central) au mois d'octobre 2021. 

Ce projet devrait être lancé dans les prochains jours dans d'autres provinces de la République démocratique du Congo. Il vise à améliorer les conditions de vie des populations rurales congolaises. 

Jephté Kitsita



L'Union sacrée de la nation, plateforme politique soutenant le président de la République Félix Tshisekedi, a organisé un vote le dimanche 20 mars 2022 au Palais du peuple à Kinshasa pour départager les candidats gouverneurs de la province du Maï-Ndombe.

C'est la candidature de Rita Bola qui a été retenue. Elle concourt pour le compte de l'Alliance des Congolais Progressistes (ACP), parti politique créé par l'actuel gouverneur de Kinshasa Gentiny Ngobila.

Le colistier de Rita Bola est Jacques Bombaka, membre de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS). Il est actuellement gouverneur intérimaire de la même province.

Ce vote a été dirigé par le président du sénat Bahati Lukwebo. A ses côtés, il y avait Christophe Mboso, Augustin Kabuya et Jean-Pierre Bemba. Ils sont respectivement président de l'Assemblée nationale, secrétaire général de l'UDPS et président du MLC.

Le calendrier réaménagé de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) prévoit l'élection des gouverneurs et vice-gouverneur le 6 avril prochain.

Bienfait Luganywa



Une présidentielle terrifiante s’annonce en décembre 2023 en République démocratique du Congo ?.

Selon une prédiction de l'apôtre Roland Dalo lors du culte du samedi 19 mars 2022, il y aura un grand deuil en RDC avant les prochaines échéances électorales. 
 
Il dit avoir vu deux candidats être écartés de la course à la veille du scrutin présidentiel prévu en 2023. L'un pour des raisons de santé et l'autre décédera.

"J'entends sélection, je vois 4 coureurs. Et je vois un qui tombe à quelques secondes du début de la course et placé dans un cerceuil. Et un autre qui tombe et qui est placé sur une chaise roulante. Ainsi dit l'Eternel, avant les échéances électorales l'année prochaine retenez ce jour et ceci, il y aura un grand deuil dans cette nation. Un des candidats, Dieu va le retirer. Et un autre, sera sur une chaise roulante, parceque Dieu l'a décidé. C'est Dieu qui sélectionne qui il veut...", a-t-il dit.

Rappelons que ce prédicateur est le fondateur du Centre missionaire philadelphie où l'opposant Martin Fayulu et le président Tshisekedi allaient communier même après les élections de 2018.

En juillet 2021, lors dun culte organisé par le chef de l'Etat à l'occasion de la fête de l'indépendance, ce même pasteur avait conseillé au président Tshisekedi de "faire deux mandats, mais pas plus".

"Tout ne va pas s'arranger du coup, faites ce que vous devez faire, allez où vous pouvez aller, faites un mandat ou deux, mais pas plus", avait-il déclaré devant le successeur de Joseph Kabila. 

Moise Dianyishayi



Médecins Sans Frontières (MSF) annonce qu’il ferme ses projets à Nizi et Bambu (Ituri). La décision a été prise suite au regain d’insécurité dans la région et à l’impunité dont bénéficient les responsables de la cette situation. L’organisation effectuera des donations de médicaments et de matériel médical pour aider les acteurs de santé restés sur place à couvrir les mois à venir.

La décision arrive quatre mois après l’attaque perpétrée à l’encontre d’un convoi humanitaire de l’organisation par des hommes armés non identifiés. Pour rappel, deux membres de MSF avaient été grièvement blessés par balles le 28 Octobre 2021, sur la route entre les localités de Nizi et Bambu dans le territoire de Djugu.  MSF constate l’absence prolongée de garanties de sécurité de la part des différents acteurs qui s’affrontent dans la région.

L’organisation attendait de la part des parties au conflit au moins deux réactions : « la condamnation ferme de cette attaque et un engagement fort en faveur du respect du droit international humanitaire et de la mission médicale, à savoir les structures sanitaires, le personnel soignant, les ambulances, les patients et les blessés ». Même l’enquête demandée à cette époque est restée sans résultat à ce jour.  

“Cette situation est intenable et nous contraint à fermer ce projet”, explique Olivier Maizoué, responsable des programmes de MSF pour la République démocratique du Congo (RDC). “ Les risques sont tout simplement trop élevés pour MSF de retourner dans ces zones en confiance. Cette décision nous bouleverse, car elle va avoir des conséquences désastreuses pour une population dont les besoins sont aigus. Notre mission est de sauver des vies, mais pas au prix des nôtres.”  

Déjà en juin 2021, l'hôpital général de référence de la ville de Boga, soutenu par MSF, avait été sévèrement endommagé après des combats urbains. Douze personnes y avaient perdu la vie. Plusieurs bâtiments, dont l'unité de soins intensifs, avaient été incendiés, et la pharmacie et le stock médical pillés.  

“Nous sommes inquiets face aux nombreuses attaques et aux pillages des structures sanitaires. Nous sommes profondément troublés par le climat d’impunité qui règne aujourd’hui dans cette partie de la RDC”, souligne Jérome Alin, chef de mission MSF en RDC.

MSF ne quitte pour autant pas l’Ituri. Il continuera à apporter une assistance humanitaire en Ituri, à Drodro et Angumu où l’organisation est présente depuis plusieurs années. 

actualite.cd/CC



La société Sino-congolaise des mines (SICOMINES S.A) établit davantage ses mesures de sécurité pour la protection de l’environnement au bénéfice des communautés locales, dont celles des villages Yenge et Kapanga dans province du Lualaba.

Contrairement aux accusations des certaines ONGDH en manque d’informations, ces communautés locales sont bien encadrées et bénéficient d’avantage aux normes environnementales qui s’appliquent en RDC, strictement respectées par la joint-venture.

La Sicomines, rétablit la vérité sur la prétendue contamination des eaux des villages Yenge et Kapanga et dévoile son programme Covid-19, expliquant qu’elle met un accent particulier sur les actions entreprises par la joint-venture pour la gestion de l’Environnement tout au long du cycle minier, étant entendu que “ l’exploitation minière, comme toute activité industrielle, a des impacts sur l’environnement.

Cette entreprise minière l’a rappelé, à travers son document intitulé “ LA SICOMINES S.A. : plus de 69 millions USD inscrits dans la protection de l’environnement et des populations du Lualaba ”, dont une copie a été consulté le week-end par l’ACP, soulignant que le fleuron de la coopération sino-congolaise dans l’exploitation minière a déclaré avoir inscrit, depuis sa création, ce montant pour la conception du projet de protection de l’environnement.

Elle explique que sur ce montant, il faut encore ajouter 9.013.950 USD investis en faveur des mesures de protection environnementale et assurer la protection des populations situées autour de ses installations contre notamment les maladies, la pollution des rivières et de la terre.

La même source poursuit qu’elle nécessite des précautions pour l’Homme et son environnement.

« Il est particulièrement démontré combien le lien entre l’exploitation minière et l’eau est déterminant», apprend-t-on, tout en soutenant que sans eau et sans énergie, exploiter une mine n’est pas possible.

La joint-venture relève en outre, que c’est ce qui explique toute l’attention qu’elle accorde au traitement de l’eau comme intrant dans l’industrie minière, mais aussi comme boisson pour les espèces vivantes entre autres l’homme, l’animal et le végétal.

La Sicomines fait également savoir qu’un autre accent est mis sur le cas des deux bassins des rejets de grande envergure situés à plus ou moins 2 kms des villages Kapanga et Yenge dont une ONGDH a voulu, dans une tentative manquée, présenter en preuve de non respect, par la SICOMINES S.A., des règles en application en RDC en matière d’Environnement.

La Sicomines éclaire quant à ce, que ces deux bassins sont construits dans les normes internationales, appliquant une nouvelle technologie pour gérer ses bassins des rejets miniers enfin d’éviter tout contact extérieur et d’impacter négativement l’environnement et la population environnante.

De ce fait, poursuit-elle, l’entreprise minière effectue le contrôle environnemental (monitoring) selon le prescrit de la loi en la matière, expliquant qu’elle prélève les échantillons des eaux, le gaz, l’air et la poussière qui sont soumis aux analyses dans le laboratoire dont les résultats sont approuvés par les instances compétentes.

Par ailleurs, cette firme se réjouit de constater que plusieurs services gouvernementaux effectuent régulièrement des contrôles des modalités et chronogrammes établis par l’article 501, 502, 503, 504, 505 et 506 du Règlement Minier ”, tant il est vrai, précise-t-elle, qu’elle “ ne renvoie pas les eaux polluées en dehors de sa concession.

Elle soutient au contraire, que celles-ci sont “ recyclées, traitées et réutilisées dans l’usine dans un circuit hermétiquement fermé.

Pour la Sicomines, les villages Yenge et Kapanga, quoi que voisins des bassins des rejets, ne sont nullement impacté négativement, tout en soutenant qu’une contre-enquête menée au nom de la Division provinciale par le Bureau provincial de protection de l’environnement minier (BPEM) a conclu, dans son “ proces-verbal de constat N°001/BPEM/2022, des investigations environnementales et ses impacts sur les populations riveraines face aux accusations d’Afrewatch à la société SICOMINES, daté du 18 février 2022 que la Sicomines n’a pas évacué d’eaux usées acidifiées dans la rivière voisine au cours de son processus de production quotidien, et n’a causé aucun dommage ou impact négatif sur l’environnement des communautés environnantes et la vie des communautaires.

Cahier des charges 2021-2025 ET COVID-19

Par ailleurs, la SICOMINES S.A, reste attaché à son PLAN DE DEVELOPPEMENT DURABLE ”, engageant à améliorer les conditions sociales des communautés locales.

Elle rappelle même la signature, en août 2021, d’un cahier des charges entre la joint-venture et les communautés locales pour un budget évalué à 11,5 millions USD pour l’exercice 2021 à 2025 ”, lequel cahier portant notamment sur la voirie, l’électricité, l’eau, santé, l’éducation, l’environnement proprement dit et l’agriculture.

Dans sa réalisation, la Sicomines fait savoir qu’elle enregistre des avancées significatives. Et ceci au plan social ou au plan socioculturel.

«La SICOMINES S.A. s’engage à respecter la culture et les coutumes locales et à s’intégrer dans la communauté environnante par le biais de ses programmes de développement social».

Compte tenue l’actualité sanitaire, la joint-venture est obligée à disposer un programme rigoureux dans la gestion des risques sociaux et environnementaux consécutifs à la Covid-19.

Des mesures appropriées sont appliquées de manière transversale à l’ensemble des activités en cours du projet ( pratiques d’hygiène, formations et activités de sensibilisation, port de masques et de gants, etc ).

La Sino-Congolaise des Mines reste soucieuse de son environnement, d’autant plus qu’elle respecte à la lettre les prescris du Code et le Règlement Minier en ce qui concernent la protection environnementale en assurant un environnement paisible et écologique au bénéfice de la population riveraine.

Stéphie MUKINZI M & ACP/CC

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