L'Assemblée nationale a adopté un avant-projet de calendrier de la session de mars rendu public mercredi 16 mars 2022. Ce document rendu public mercredi, soit un jour après l’ouverture de la session, contient six textes de loi. Il sera envoyé au Sénat pour la seconde lecture. Il s'agit des textes suivants :

• Projet de loi autorisant la ratification du Traité révisé instituant la communauté économique des pays d'Afrique Centrale ;

• Proposition de loi portant Régime Spécial de sécurité sociale des agents publics de l'État ;

• Proposition de la loi organique portant création, organisation et fonctionnement de l'agence nationale de lutte contre la corruption ;

• Proposition de loi portant principes fondamentaux relatif à la protection et à la promotion des droits des peuples autochtones pygmées ;

• Proposition de loi modifiant et complétant l'Ordonnance loi N•89-031 du 07 août 1989 portant création de la taxe de promotion de l'industrie;

• Projet de loi autorisant la ratification du protocole à la Charte africaine aux droits de l'homme et des peuples relatif aux droits des personnes handicapées en Afrique.

S'agissant des matières non législatives, l'avant projet de calendrier à proposé ce qui suit :

• Validation des pouvoirs;

• Entérinement des membres de la Commission Nationale des Droits de L'homme;

• Examen du rapport annuel d'activités de la Commission Nationale des Droits de l'homme (CNDH);

• Examen des rapports périodiques et annuels du Conseil Supérieur de l'audiovisuel et de la Communication (CSAC);

• Examen du rapport annuel de la Commission électorale nationale indépendante (CENI);

• Examen du rapport synthèse des rapports des vacances parlementaires ; 

• Contrôle parlementaire ;

• Contrôle Budgétaire ;

• Suivi et Évaluation de l'exécution des lois, des recommandations, des résolutions et les politiques publiques.

Il s'agit d'un avant-projet du calendrier, c'est-à-dire, la proposition du bureau à la conférence des présidents. Si la conférence l'adopte, il devient un projet de calendrier à soumettre à la plénière pour validation. Si  le projet est adopté par la plénière, il devient le calendrier de la session parlementaire de mars.

Clément Muamba



Félix Tshisekedi se rendra en avril à Bujumbura (Burundi). C’est pour échanger avec son homologue burundais sur la sécurité dans la région des grands lacs. C’est également dans la capitale burundaise que se tiendra le 11ème sommet du Mécanisme Régional de Suivi de l'Accord cadre d'Addis-Abeba. Félix Tshisekedi aura également dans quelques jours une rencontre avec Paul Kagame en Jordanie quasiment dans la même période. Dans un entretien accordé au journal belge Le Soir, le Chef de l’Etat congolais a dit sa détermination à éradiquer l’insécurité dans la partie Est de la RDC.

« Résoudre les problèmes sécuritaires, c’est mon obsession et je suis déterminé à ramener la paix. C’est pour cela que j’ai voulu mutualiser les opérations et impliquer les pays voisins, ce qui nous a amenés à lancer des opérations avec l’armée ougandaise contre les ADF (Allied Democratic Forces, qui sévissent dans l’Ituri) », a t-il déclaré.

Il a évoqué particulièrement le processus DDR et la problématique des groupes armées étrangers qui pullulent dans l’Est congolais.

« Pour les nationaux, le processus de désarmement a commencé et nous allons avoir une grande réunion avec tous nos partenaires pour booster ce désarmement. Quant aux groupes armés étrangers, je vais essayer de régler cette question à la fois de manière bilatérale et sur le plan régional. Il y a, par exemple, les groupes armés des Red Tabara qui combattent le régime burundais, les FDLR qui veulent déstabiliser le Rwanda, tout cela depuis le sol congolais. Nous ne pouvons accepter cela ».

Les troupes burundaises sont signalées dans l’est de la RDC depuis quatre mois, selon les sources onusiennes et militaires: « Je rencontrerai prochainement le président Kagame en Jordanie et, en avril, je me rendrai au Burundi pour rencontrer le président Ndayishimyie. Je veux faire de cette région de l’Est un havre de paix et de développement, elle a tous les atouts pour cela. Je ne veux pas que l’on donne la haine en héritage aux générations à venir ».

Sept chefs d'Etat étaient d’ailleurs réunis fin février à Kinshasa pour évaluer l'application d'un accord sur la paix, la sécurité et la coopération en République démocratique du Congo et dans la région des Grands Lacs africains signé il y a neuf ans à Addis Abeba.

actualite.cd/CC


Au petit matin du lundi 14 mars 2022, plusieurs usagers de cette ressource énergétique rencontrés notamment à la place huileries n’ont pas pu s’en procurer faute de stock disponible.

Depuis début février 2022, il s’observe une hausse de prix sur le marché de gaz à Kinshasa.

Une bouteille de 6 kg de gaz qui se vendait à 10 USD est passée actuellement à 13 USD chez l’un des deux principaux fournisseurs. Le deuxième opérateur fait grimper le prix de la bouteille de 6 kg de 11,1 USD à 11,82 USD, celle de 9 kg qui se vendait à 16,7 USD est passée à 17,73 USD. Et la bouteille de 12 kg vendue à 22,2 USD est actuellement marchandée à 23,64 USD.

Pour certains observateurs, plusieurs raisons expliqueraient cette situation.

Alors que l’usage du gaz domestique est de plus en plus conseillé dans ce contexte de diversification des ressources énergétiques, les fournisseurs de cette ressource se plaignent de la hausse du coût de la douane au niveau des frontières.

Il y a aussi les difficultés d’ordre technique. A ce niveau, les entreprises de production de gaz à usage domestique connaîtraient une pénurie de bouteilles de gaz par le fait que les usagers de cette ressource énergétique retiennent les bouteilles de gaz à la maison en lieu et place de les ramener pour le remplissage.

A cet effet, ces entreprises envisagent d’entamer une campagne de récupération de toutes ces bouteilles pour permettre la continuité de la production.

D’après certains observateurs, la guerre entre la Russie et l’Ukraine pourrait également être à la base de cette pénurie.

Les entreprises congolaises qui fournissent le gaz se ravitaillent auprès des entreprises angolaises gérées par des russes.
Ces derniers auraient annoncé une rupture de stocks lors des commandes passées par les entreprises congolaises qui fournissent cette ressource énergétique en République Démocratique du Congo (RDC).

Martine NGALULA/stagiaire



À Kinshasa, les initiatives proposant le ramassage et le recyclage des résidus plastiques se multiplient. Parmi elles, Olwaste, mise en place par Olga Chera Chibambe

" C'est notre solution pour lutter contre le réchauffement climatique en RDC. Nous procédons au ramassage des déchets plastiques à travers la ville. Ces déchets sont triés et distribués ensuite auprès des entreprises qui utilisent les plastiques comme matières de base. Nous fabriquons egalement des granulés ", a-t-elle expliqué. 

Depuis le 08 mars, son entreprise a installé des dispositifs à l'entrée et au centre de la Foire artisanale ouverte par le ministère du genre au sein de l'Académie des Beaux-arts de Kinshasa. Olga Chera précise que d'autres dispositifs ont également été placés dans la ville, pour la même finalité. 

"Nous avons installé des bacs qui aident la population à glisser à l'intérieur des bouteilles en plastiques. Nous avons installé des dispositifs au niveau de GB (dans la commune de Kintambo) et à Gare Centrale. Kinshasa est une grande ville. Nous comptons y aller progressivement" . 

Diplômé en gestion de projets en Zambie avec une expérience de 5 ans dans  une société sud-africaine de gestion de déchets comme consultante, c'est en 2019 que Olga Chera à lancé Olwaste Recyclage. 

"Je suis mère et entrepreneure. J'ai acquis des compétences dans la gestion des déchets et je voudrais les partager avec la nation congolaise" a-t-elle conclu. 

Par ailleurs, Olga Chera Chibambe à travaillé avec plus de 100 entreprises situées à Kinshasa et Lubumbashi, pour recycler leurs déchets électroniques et médicaux de manière responsable. Kinshasa Bopeto et ReCo Plast sont parmi ses partenaires.

Prisca Lokale 



Farine de maïs, riz, sucre, huile, tomates, bière... tout augmente. Les ménages congolais, dont les trois quarts vivent sous le seuil de pauvreté, s'inquiètent des conséquences économiques de la guerre menée par la Russie en Ukraine.

A Bukavu, dans une des provinces de l'est de la République démocratique du Congo affectées depuis plus de 25 ans par les violences de groupes armés, la crainte d'une crise sociale dévastatrice s'ajoute aux problèmes d'insécurité.

Janvier Mizo Kabare, président de la Ligue des consommateurs des services au Congo-Kinshasa (Licoski), assure avoir alerté "les autorités de la flambée vertigineuse des prix des denrées sur les marchés de Bukavu", source de "grand malaise social".

Les prix augmentent "tous les jours". "Que les autorités voient ce qu'elles peuvent faire, sinon nous allons mourir de faim!", lance Pascaline Buhume, vendeuse de produits alimentaires.

Sur les marchés Feu rouge et Nyawera du chef-lieu du Sud-Kivu, un sac de sucre de 50 kg qui coûtait 43 dollars se négocie à 60 dollars aujourd’hui, se désole-t-elle.

Un bidon d’huile de 20 litres est passé de 30 à 45 dollars, un sac de riz de 25 kg de 18 à 25 dollars. "Un pain qui coûtait 1.000 francs congolais revient à 1.200 FC (0,5 à 0,6 dollar), s'alarme aussi Madame Aimée, la trentaine, mère de cinq enfants.

Et une bouteille de bière Primus qui valait 2.500 francs (1,25 dollar) peut monter à 3.000 (1,5 dollar).

 - "Nous importons trop" - 

Janvier Mizo explique ces augmentations par la hausse du prix du carburant, qui a "des répercussions sur les transports et sur le prix des produits de première nécessité".

Le "prix moyen frontière commercial" (payé à l'entrée du pays) est passé de 762,5 à 900,7 dollars pour un camion-citerne, explique Urbain Kange, secrétaire du club des pétroliers de Bukavu. "Nous faisons des efforts, mais nos fournisseurs, en Tanzanie, au Rwanda, au Kenya, nous disent qu’il y a pénurie à leur niveau", ajoute-t-il. Plusieurs stations sont à sec à Bukavu.

"Trouver du carburant devient un casse-tête", confirme Jérémie Cito, conducteur de taxi-moto, qui fait payer pour un petit trajet 1.000 FC contre 500 auparavant (0,5 contre 0,25 dollar).

Le problème vient aussi du fait que la province "dépend totalement des importations", complète Paulin Bishakabalya, opérateur économique et membre de la Fédération des entreprises du Congo (FEC). Pourtant, juge-t-il, "le riz, le blé, le maïs, l’huile..." pourraient être produits localement.

 - "Agir de toute urgence" -

 A cause de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, deux grands pays exportateurs de céréales, "des commandes passées par les commerçants ne sont pas honorées", souligne Paulin Bishakabalya, tandis que "certains opérateurs font de la rétention de stocks, en attendant de voir comment le marché mondial va évoluer". "Cela aussi fait monter les prix", constate-t-il.

Selon lui, "le gouvernement devrait agir de toute urgence", en favorisant la production intérieure et en réhabilitant des routes pour permettre l'écoulement des produits vers les villes.

"Le gouverneur de province a réuni les opérateurs économiques pour qu’ils n'exagèrent pas la hausse des prix", indique Eninga Abwe, chef de bureau à la division du commerce extérieur à Bukavu, ajoutant que des visites de contrôle étaient prévues sur les marchés.

Des hausses de prix sont signalées sur d'autres marchés congolais, à l'intérieur du pays et dans la capitale Kinshasa.

Lors du dernier conseil des ministres, les membres du gouvernement ont été invités à prendre les mesures nécessaires pour atténuer l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie nationale.

La RDC a de gigantesques ressources minières et des millions d'hectares de terres arables mais, selon la Banque mondiale, plus de 70% de ses quelque 90 millions d'habitants vivent avec moins de 1,90 dollar par jour, niveau fixé comme seuil de pauvreté international.

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a mis en garde lundi contre "un ouragan de famines". Au total, a-t-il affirmé, 18 pays africains et pays les moins avancés importent au moins 50% de leur blé d'Ukraine ou de Russie. La RDC est parmi eux.

AFP avec ACTUALITE.CD/CC



Mike Kalambayi a annoncé sa démission en tant qu’ambassadeur de la société Maajabu. Secoué ces derniers jours dans les réseaux sociaux par des actes à caractère sexuel, l’artiste chanteur de gospel et pasteur Mike Kalambayi dont l’état de santé n’est pas rassurant, a tout de même rompu son contrat.

Dans un communiqué de la société Maajabu Gospel, il est déclaré que la décision portant rupture de son contrat d’ambassadeur avait déjà été préparée. Elle attendait son rétablissement pour la lui faire parvenir.

Mike Kalambayi a fait office d’ambassadeur de la société Maajabu pour la première saison de la compétition qu’elle a organisée, dénommée Maajabu Talents. 59 candidats retenus ont signé chacun un contrat de production et de promotion le vendredi 11 mars dernier.

La société Maajabu Gospel a pour mission de promouvoir la qualité de la musique Gospel en RDC en particulier et dans le dans le monde ; donner la possibilité aux sans voix de s'exprimer ; imprimer l'esprit des nouveaux talents sur l'importance de caractère spirituel que doit promouvoir les œuvres produites ; œuvrer dans la promotion de l'unité et la concorde entre les acteurs de la musique Gospel en brisant les barrières et en encourageant l'émulation plutôt que la concurrence négative et destructive.

Emmanuel Kuzamba



L'artiste musicien, Fabrice Mbuyulu dit "Fabregas" et son groupe musical, Villanova vont se produire pour la toute première fois aux États-Unis, le 02 avril 2022 à Dallas, au Texas.

D'après le service de communication de l'ancien société de Wenge Musica Maison Mère, le concert aura précisément lieu à l'interconnexion Banquet Hall, 3326 Contry club.

Dans un Live fait sur sa page Facebook, le chanteur congolais et ses acolytes ont promis de bouger le pays de l'oncle Sam comme ils le font chaque mois à Kinshasa.

Celui qu'on appelle affectueusement "Maestro Fabro" va emmener pour la deuxième fois Villanova en dehors du continent africain, après la courte tournée en France au mois de décembre 2021, auquel ils ont livré un concert à Lyon, et un showcase à Paris.

Rappelons que, Fabregas  lance le deuxième album "Merci" de son orchestre, le 02 juillet prochain, 5 ans après la sortie la sortie du tout premier "Cursus".

Gratis Makabi



Le Comité Exécutif de la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) a mis en place, ce mardi 15 mars 2022, un comité d’organisation du match aller des barrages des éliminatoires du prochain mondial qui va opposer les Léopards de la RDC aux Lions de l'Atlas du Maroc, le vendredi 25 mars à 16h00 au stade des Martyrs de Kinshasa.

Ce comité d’organisation est présidé par le président intérimaire de la Fecofa, Donatien Tshimanga Mwamba.

La première réunion de ce comité d’organisation aura lieu, sauf imprévu, ce mercredi 16 mars 2022 au siège de la FECOFA.

Ci-dessous les membres dudit Comité d’Organisation :

Président : Tshimanga Mwamba Donatien

Vice-présidents : Masamba Malunga Jean-Didier etBondembe Bokonianga Roger

Membres

Deux membres du comité exécutif de la FECOFA : Munda Kapambwe Maurice et Nongha Ossango

Le Secrétaire Général de la FECOFA : Belge Situatala

Le Secrétaire Général adjoint de la FECOFA : Rainier Patrice Mangenda

Le Directeur Technique National : Médard Lusadusu

Le Coordonnateur CAF : Me Emmanuel Kande Kalombo

Le Responsable de la Communication FECOFA

Le Responsable du Protocole de la FECOFA : Muya Josée

Deux Officiers nationaux de sécurité : Général Raus Chalwe et Colonel Thozi Ndala

Un délégué de la Primature

Deux délégués du cabinet du ministre des Sports

Un délégué du Ministère de l’Intérieur

Un délégué du Ministère des Affaires Etrangères

Un délégué de l’Agence Nationale de Renseignement

Un délégué de la Direction Générale de Migration

Deux représentants de la Commission de Sécurité

Deux délégués du Stade des Martyrs

Un délégué du Centre National de Médecine de Sport

Un Médecin Covid-19.

Gratis Makabi



Le Département d’État américain a, dans son rapport sur le terrorisme adressé au Congrès et publié en décembre 2021, reconnu les efforts fournis par la République Démocratique du Congo (RDC) dans la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. 

Les États-Unis ont donc salué la nomination par le président de la République du procureur Adler Kisula au poste du secrétaire exécutif de la Cellule Nationale des Renseignements Financiers (CENAREF). 

Dans ce rapport, le Département d'État américain a noté que A. Kisula « a revitalisé l’engagement pris avec les partenaires internationaux tels que les Nations Unies et le Département du Trésor américain ».

Le choix du procureur Kisula aux commandes de la CENAREF s'inscrit dans l'engagement du chef de l'État d'assainir le circuit financier congolais par une lutte efficace contre la criminalité financière sous toutes ses formes. 

Pour obtenir gain de cause, le Département d'État américain a souligné que des efforts restent encore à fournir par le Gouvernement congolais. Il s'agit entre autres de rendre disponible les ressources nécessaires en faveur de la CENAREF pour booster son action et de renforcer ses capacités opérationnelles. 

Plusieurs réalisations sont à mettre à l’actif du nouveau leadership de la CENAREF notamment l'application effective par les banques commerciales des dispositions légales et réglementaires applicables aux transactions en espèces, l’élaboration de l’avant-projet de loi modifiant celle en vigueur relative à la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme. Ce document a été transmis au Parlement par le Gouvernement.

Merveil Molo



Profitant de son séjour en Belgique, le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo s'est rendu le lundi 14 mars 2022, à l'Ambassade de la République démocratique du Congo. 

D'après la Présidence de la République qui annonce l'information via son compte Twitter, il était question pour le chef de l'État Congolais d'effectuer une visite de travail. Celle-ci a duré plus de 4 heures. 

"Le chef de l'État a tenu une réunion avec les diplomates et des architectes qui lui ont présenté un projet d'aménagement de certains locaux de l'Ambassade. Ensuite le Président Tshisekedi a rencontré l'ensemble du personnel de l'Ambassade", indique la même source.

Le même jour, Félix Tshisekedi a reçu en audience André Flahaut, ancien ministre belge de la défense.

En ce qui concerne le retour à Kinshasa du président Tshisekedi, la Présidence continue d'affirmer qu'il aura lieu très prochainement. 

Rappelons par ailleurs que contrairement aux informations faisant état d'une opération du cœur qu'aurait subi Félix Tshisekedi, la Présidence avait affirmé le 11 mars dernier qu'il s'agissait plutôt d'une hernie discale. La même source avait rassuré que tout s'était bien déroulé et que le chef de l'État se portait bien. 

Jephté Kitsita

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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