Vital Kamerhe a quitté Kinshasa ce lundi 03/01/2021 à bord d’un avion médicalisé immatriculé 9H-GRS pour des soins appropriés à l’étranger, (Sources concordantes)

Selon nos informations, le jet privé de la compagnie Harmony Jets (Malta) immatriculé 9H-GRS vient d’atterrir à Bruxelles (Belgique) à 222h55 heure locale, en provenance de Kinshasa, sans pour autant avoir la certitude si le président de l’Union Nationale pour le Congo Vital Kamerhe et son épouse Hamida Kamerhe serait bien abord.

Agé de 62 ans, Vital Kamerhe, avait été condamné en avril 2020 à 20 ans de prison, pour détournement de près de 50 millions de dollars. Un fonds alloué à la construction de maisons préfabriquées pour des militaires et des policiers, dans le cadre d’un programme qui devait être lancé tout au début du mandat du président Félix Tshisekedi, dont Vital Kamerhe fut l’un des principaux soutien, lors de l’élection présidentielle de décembre 2018.

Jusqu’à ce moment aucune communication officielle de la part du gouvernement de la RDC ou du bureau politique de l’UNC ne  confirme l’information.

il sied de rappeler que le lundi (06.12.2021), la Cour de cassation avait accordé à Vital Kamerhe, ancien directeur de cabinet de Félix Tshisekedi une mise en liberté provisoire sous caution.

L’INTERVIEW.CD/CC



Arsène Zola a paraphé un contrat de 3 ans avec le Chabab Mohammedia (D1 Maroc) comme l’affirme des sources au sein de la presse marocaine ce lundi 3 janvier.

Le joueur a mis fin à sa collaboration avec le TP Mazembe. Le joueur, à travers ses avocats, a officialisé la nouvelle ce dimanche 2 janvier.

Le défenseur international congolais déplore le retard pris dans les discussions pour la prolongation et a pris les devants pour s’engager avec ce club marocain. Il a signé pour 3 saisons.

C’est une belle histoire qui prend fin malheureusement dans des conditions assez difficiles. Mais le joueur aura marqué son histoire en remportant quelques plusieurs titres avec les Corbeaux lushois.

Michel TOBO



Les prisonniers se sont évadés, ce lundi 3 janvier 2022 aux environs de 12 heures, à la prison de Tshikapa dans la province du Kasaï. Cette évasion s’est produite à l’arrivée du Président de la République, Félix Tshisekedi à Tshikapa.

D’après plusieurs sources concordantes, ces prisonniers ont forcé les grilles de l’entrée principale de la prison avant de prendre la poudre d’escampette. Ils étaient des dizaines de prisonniers.

« Nous avions près de 457 pensionnaires. Il nous faudra un décompte pour déterminer avec exactitude le nombre des évadés. Les éléments de la police commis à la garde de la prison ont ouvert le feu blessant par balles quatre prisonniers qui ont été admis dans un poste de santé local », a fait savoir une source pénitentiaire à la presse locale

Cette source renseigne que l’auditeur militaire de garnison de Tshikapa a accompagné des militaires qui ont réussi à prendre le contrôle de la prison.

Signalons, par ailleurs, que le Président de la République, Félix Tshisekedi est en meeting populaire à Tshikapa ce lundi 3 janvier 2022.

Christian Okende



La Cour militaire de Kinshasa/Matete a annoncé qu’elle rendra le 10 janvier 2021 prochain le verdict dans le procès sur le meurtre de l’activiste Rossy Mukendi. Ce verdict était initialement attendu ce lundi mais a été repoussé car la prévenue Carine Lokeso, commissaire princiapal adjoint de la police, est malade. 

" Prorogeons au Lundi 10 Jan 2022, à 09 heures, en chambre foraine dans l'enceinte de la prison Militaire de Ndolo, sise avenue du flambeau au numéro 09, quartier Beau marché dans la commune de BARUMBU & Kinshasa, la date du prononcé dans la cause inscrite sous RP N°090-091/021-RMP N° N°2512/ILN/021 RMP N°2604/PMA/2021- RMP N°6323/WBG/2018, LOKESO KOSO Carine et consorts; Tous poursuivis pour : Violation des consignes et Meurtre commis en participation criminelle", révèle l'ordonnance de prolongation du verdict.

Plusieurs témoins et renseignants ont comparu dans cette affaire. Il s’agit notamment d’un expert en balistique et un médecin légiste qui ont interprété le rapport médical effectué après la mort de Rossy Mukendi, du commandant de la Police du district de Mont-Amba, ainsi que du commandant sous-ciat du quartier Molo à Lemba-Terminus.

Le ministère public a rendu son réquisitoire depuis le 6 décembre dernier. Il a requis la condamnation à 10 ans de prison ferme contre Carine Lokeso pour violation des consignes et une peine capitale pour participation au meurtre. Ce réquisitoire a été salué par les parties civiles mais récusé par la partie prévenue Lokeso. Les parties civiles ont, par ailleurs, exigé en termes de réparation des préjudices subis, une somme de 11 millions USD dont 9 millions pour la famille et 2 millions pour le mouvement citoyen Debout congolais.

Depuis le début de l'instruction 23 août dernier à la Cour militaire de Kinshasa/Matete, la partie civile a toujours exigé la présence Franco Bivuala Makiadi, toujours en fuite, qui selon la partie civile, serait un des gardes rapprochés de commissaire principal adjoint Carine Lokeso, lors de l'opération du 25 février 2018 qui a conduit à la mort de Rossy Mukendi.

Rossy Mukendi (36 ans) avait été tué le 25 février 2018 par balle à Kinshasa alors qu’il participait à une marche pacifique organisée par le Comité Laïc de Coordination (CLC) pour réclamer le départ de Joseph Kabila et l’organisation d'élections.

Ivan Kasongo



Le sénateur et cacique du Front Commun pour le Congo (FCC), Évariste Boshab vient d’être reçu ce lundi 3 janvier en audience par Félix Tshisekedi, en tournée à Tshikapa (Kasaï). Longtemps très proche de l’ancien Président Joseph Kabila, Évariste Boshab a fait le deplacement du Kasaï pour réserver un accueil chaleureux à Félix Tshisekedi. Il a été reçu avec la sénatrice Victorine Lwesse, également membre du FCC. 

Le contenu de cette audience n’est pas encore connu.

politico.cd/CC



Moïse Katumbi décide de rester dans l’Union sacrée pour la nation, la plateforme dirigée par Félix Tshisekedi, révèle ce lundi 3 janvier 2022, le député national Eliezer Thambwe, cadre d’Ensemble pour la République sur la radio Top Congo FM.

Samedi 30 octobre dernier, Moïse Katumbi avait initié les consultations avec les instances dirigeantes de son parti et aussi avec ses partenaires et alliés politiques ainsi que des représentants des forces de la nation.

Au terme de cette série d’échanges, l’ex-gouverneur a décidé de rester dans l’Union sacrée, car, rappelle le député Eliezer Thambwe : « quand Moïse Katumbi initie les consultations, c’est pour avoir la position des autres. Il ne l’avait pas en poche, comme les gens le prétendaient. »

Une attitude que salue l’élu de Lukunga, parce que, explique-t-il, « ce qu’il a fait, c’est vraiment une preuve de démocratie et de maturité politique. Même nous qui étions consultés pensions qu’il avait déjà une décision dans sa poche ».

Cependant, la décision définitive sur ces consultations n’a pas encore été révélée. « Ça dépend de quel moment Moïse Katumbi voudra peut-être rendre publics les résultats de ces consultations. Est-ce que c’est important ? C’est lui-même qui en détient le secret. Mais, je pense que c’est au sein de sa famille politique qu’il doit s’exprimer ».

« Dans l’Union sacrée mais pas pour tout gober »

En attendant, Eliezer Thambwe relève qu’ « à Kisangani (dans la province de la Tshopo où il a dernièrement lancé son parti politique, Moïse Katumbi) a dit que nous sommes dans l’Union sacrée pas pour tout gober ».

Pour rappel, ces consultations ont été annoncées quelques jours seulement après que le président Félix Tshisekedi ait nommé les nouveaux dirigeants de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), entérinés par l’Assemblée nationale.

Pourtant, Moïse Katumbi – partenaire de Félix Tshisekedi dans le cadre de l’Union sacrée – avait adressé à ce dernier une correspondance le 19 octobre lui demandant de « rejeter purement et simplement » la liste des membres de la Commission électorale nationale indépendante. Selon lui, cautionner les irrégularités qui ont émaillé le processus d’entérinement des membres de la CENI « conduira inévitablement le pays vers un nouveau cycle de désordre ».

Mais Eliezer Thambwe reste convaincu que le « combat (de Moïse Katumbi) n’est pas contre les individus, pas contre Dénis Kadima, mais pour des élections libres, démocratiques et apaisées ».

Dominique Malala



Le président de la République est arrivé ce lundi 3 janvier à Tshikapa dans la province du Kasaï en compagnie de la première dame. Félix-Antoine Tshisekedi s’est adressé à la population dans un meeting populaire, réaffirmant sa détermination à endiguer les violences sexuelles dont sont victimes les femmes et les jeunes filles.

« Il ne faut pas marier la jeune fille de manière précoce. Ça, je refuse à tout jamais ! (…) Il ne faut pas la marier de force », a martelé le président.    

La gratuité de l’enseignement de base, la fourniture en eau et électricité ont notamment fait partie des sujets abordés. Il a aussi accordé la parole à quelques habitants de la ville qui lui ont directement posé d’autres problèmes dont souffre la population de Tshikapa.

Selon Félix Tshisekedi, ces problèmes vont trouver solution dans le cadre de la mise en œuvre du programme de développement de 145 territoires de la RDC, qu’il a initié. Il prévoit notamment d’asseoir une administration efficace à la base, la couverture de santé universelle, la lutte contre la faim.

radiookapi.cd/CC



Le maire de Goma, le commissaire supérieur François Kabeya Makossa, rappelle qu’à partir du 4 ou 5 janvier l’opération d’enregistrement des motos va commencer dans ville du Nord-Kivu. Il invite également les responsables des taxis et taxis-bus à peindre leurs véhicules en jaune drapeau.

François Kabeya Makossa annonce que cette mesure est prise pour éviter la confusion et l’infiltration des suspects dans la ville.

« Ceci fait partie des mesures sécuritaires prises pour un bon contrôle et une bonne circulation dans la ville de Goma », a-t-il précisé, ajoutant qu’un délai a été accordé à tous les motards pour qu’ils soient identifiés « et ils seront là avec gilets. Et nous aurons un fichier quant à ce. »

radiookapi.cd/CC



La Cour des comptes a été instituée par l'ordonnance loi du 6 février 1987 fixant sa composition, son organisation et son fonctionnement. Elle dispose d’un pouvoir général et permanent de contrôle de la gestion des finances et des biens publics ainsi que de ceux de tous les établissements publics définis à l’article 3 de ladite ordonnance-loi. Cependant, la mise en œuvre pose toujours problème.

« L’application de la loi organique sur la Cour des comptes permettra de faire de grands pas, mais à condition que le nombre de magistrats augmente. On peut se donner comme objectif qu’à la fin du mandat de Félix Tshisekedi qu’il y ait au moins 500 magistrats au lieu d’une dizaine », a dit ACTUALITE.CD Florimond Muteba, PCA de l’Observatoire de la dépense publique (ODEP) au cours de l’émission Transparence. 

Il y a aussi les provinces. Dans son rapport sur la reddition des comptes de l’exercice de 2020, la Cour constate qu’en ce qui concerne les investissements en provinces et dans les 145 territoires, sur 848 projets retenus pour lesquels le budget était de 69,9 millions de dollars, 13 seulement ont connu un début d'exécution, financés à 42 millions, soit 60,04%.

« Qu’on installe toutes les chambres au niveau des provinces parce que là-bas le contrôle pose également un sérieux problème. Augmenter le nombre de magistrats et les former, les payer correctement et donner plus de moyens de fonctionnement à cette cour », ajoute le PCA de l’ODEP.

La part de l’Etat est toujours minimal.

« Le bâtiment actuel de la Cour est un don de l’Union européenne. Son équipement est financé par un projet multi-bailleurs. Les rapports d’audits que nous voyons, c’est un appui du PNUD où est la part de l’Etat Congolais. La communauté internationale comprend que pour aider ce pays, il doit être géré correctement. Il faut des instruments de contrôle ». 

actualite.cd/CC



En République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi poursuit sa visite au Grand Kasaï. Ce lundi 3 janvier, il est à Tshikapa, quatrième et avant-dernière étape de sa tournée présidentielle dans cette région stratégique. L'occasion pour le président congolais de prendre la mesure des enjeux cruciaux pour les habitants alors que l'opposition y voit déjà une visite de pré-campagne électorale.

Jamais depuis la rupture avec son allié du FCC de Joseph Kabila et la fin de la grande coalition, le président Tshisekedi n'avait consacré autant de temps à une visite sur le terrain. Ce dimanche 2 janvier, l'attention du président congolais s'est concentrée sur un vieux serpent de mer : Katende et son barrage hydro-électrique.

Déja évoqué sous Mobutu, relancé il y a 5 ans sous Kabila, le barrage hydro-électrique n'a toujours pas vu le jour. Sur place, Félix Tshisekedi a fait lui aussi le constat de la difficulté de mener à terme un tel projet pourtant vital pour cette région et ses habitants enclavés. « Mais où sont donc passés les 6 millions de dollars débloqués récemment par le gouvernement ? », s'est étonné Félix Tshisekedi alors que le site est envahi par les hautes herbes.

C’est un projet sur lequel s'engage le président congolais. Car « l'eau et l'électricité constituent des problèmes cruciaux dans le Grand Kasaï ». Les enjeux sont de taille, et le président sait qu'il sera jugé sur son bilan et donc sur ses promesses à relancer le barrage de Katende.

La veille, encore cette fois à Kananga et devant des milliers de supporters réunis à son arrivée place de l’Indépendance dans le chef-lieu du Kasaï central, il s'est dit déterminé à mener à bien le barrage de Katende. Ses adversaires de Lamuka et des proches de Kabila y voient déjà les signes d’une pré-campagne électorale.

Kamanda Wa Kamanda Muzembe

A Propos

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Ali Kalonga

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