La Société générale de Service et de Construction (SOGESCO) Sarl a, il y a quelques jours, procédé à la remise des vivres et non vivres aux nécessiteux de Kolwezi, chef-lieu de la province du Lualaba. 

Il s'agit de personnes de troisième âge de l'hospice des viellards de Manika et des enfants des orphelinats de Maman Tabitha et ceux de la Fondation Wapanga qui ont bénéficié du don de cette société.  

C'est chaque année que SOGESCO distribue des vivres et non vivres aux nécessiteux, a affirmé dans une dépêche consultée par 7SUR7.CD, le service de presse de ladite entreprise. 

Pour rappel, cette firme, qui est basée dans la ville de Kolwezi, est spécialisée dans les travaux de génie civil, les travaux de route, de construction métallique, de maintenance et de réparation ainsi que dans la fabrication des briques, parvis, bordures et de séparateurs.  

La société SOGESCO avait signé un contrat avec le gouvernement provincial de Lualaba sous financement de l'entreprise SICOMINES (Sino-Congolaise des Mines), pour la réhabilitation des routes à la cité GECAMINES Kapata, souligne le service de presse de ladite entreprise. 

Marcelo Mfumu depuis Kolwezi



Si elle pouvait être contée, l'histoire dirait qu'il était une fois, au cœur du pays-continent appelé “République Démocratique du Congo”, une centrale hydroélectrique avait été aménagée à 110 Km de Kolwezi, chef-lieu du Lualaba, l'une des quatre provinces formant le Grand Katanga considéré comme le poumon minier du pays. “Ce projet est un appui au projet minier de SICOMINES issu de la Convention de collaboration entre la RDC et la Chine pour réaliser les infrastructures pour un développement socio-économique de la RDC. C'est également le premier grand projet d'infrastructure énergétique dans la région du Grand Katanga au Congo (RDC) depuis plus de 60 ans”, relève-t-on du document intitulé  "Un Projet Hydroélectrique Extrafin est réalisé : Une Coopération Gagnant-Gagnant Sino-congolaise".

Le lancement de ce projet permet aujourd'hui, renseigne-t-il, “de remédier efficacement à la pénurie d’électricité à SICOMINES dans sa phase II de son developpement et les environs”.

​Le document dont question souligne, au demeurant, : “Que ce soit pour la conception, la construction, la fabrication d’équipements, l’installation et la réception de toute la chaîne, le projet a pleinement exploité les avantages techniques et les expériences de la construction d’infrastructures en Chine, peut effectivement promouvoir la construction de l’infrastructure au Congo (RDC) et favoriser le développement coordonné de l’économie régionale”. 

Et ajoute : “L'achèvement de la Centrale hydroélectrique de Busanga deviendra sûrement un modèle pour le marché de l'hydroélectricité et les infrastructures en Afrique, et deviendra un projet modèle international pour la coopération et l’intérêt commun win-win entre la Chine et le Congo (RDC) ”.

​L'intérêt de la lecture est la présentation chronologique entre 2008 et 2021. Ainsii, en 2008, à la suite du refus poli des partenaires occidentaux d'accepter la formule proposée par les autorités congolaises “ Infrastructures/Exploitation minère”, la Chine approchée en second lieu accepte de relever le défi. D'où signature, entre le gouvernement de la RDC et le Groupe d'entreprises chinoises, de la « Convention de collaboration relative au développement d’un projet minier et d’un projet d’infrastructures en République Démocratique du Congo ».

Il se fait que le projet minier est confronté au déficit de fourniture en énergie électrique. Réaliser un barrage hydroélectrique capable de fournir et de garantir l'approvisionnement permanent de cette énergie devient un impératif. Aussi, en mars 2010, pendant que la RDC commence depuis 2008 à bénéficier du fruit des premières infrastructures avec les voies de communication, les écoles, les hôpitaux et que la SICOMINES n'a encore rien produit, les parties concernées signent conjointement le protocole d'accord relatif à la construction du barrage de Busanga.  

​En 2015, après en avoir examiné le rapport de l'étude de faisabilité, les experts du ministère de l'Energie et Ressources Hydrauliques de la RDC émettent le document dit d'approbation. Enn février 2016, l'Agence congolaise de l'Environnement délivre le Certificat Environnement. D'ailleurss, 2016 est une année charnière en ce que la RDC, China Railway Resources Group Co. Ltd (CRR) et PowerChina Resources Limited (PCR) signent “l’Accord de Joint-venture relatif à la construction et à l’exploitation de la Centrale hydroélectrique de Busanga”, en même temps que naît la Sino-Congolaise Hydroélectrique de Busanga Société Anonyme (SICOHYDRO).

​En août de la même année est signée entre le ministère congolais de l'Energie et Ressources Hydrauliques et la SICOHYDRO “le Contrat de Concession relatif à la production de l’énergie électrique au site de Busanga sur la rivière Lualaba dans la Province du LUALABA”.

 

​En novembre 2017, alors que depuis 2008 la RDC continue de voir des infrastructures accroître en diversité, en quantité et en qualité, démarrent finalement les travaux de construction de Busanga avec sa puissance d'installation de 240 MW.
 
Fiche technique et Réalisations connexes
 
​Et en 2021, les travaux s'achèvent sur un coût élevé à USD 656 millions, projet totalement financé par la partie chinoise, la fiche technique étant présentée dans le document cité ci-haut. Retenons au moins que la concession d'exploitation du projet est de 30 ans et que plusieurs ouvrages auxiliaires sont apprêtés : route d'accès, ligne électrique de construction combinée, route coté rive gauche et droite, usine de production de sables

​“Depuis 2018, avec la mise en œuvre complète des quatre principaux projets de barrages, l'usine, tunnels de dérivation et installations d’équipements mécaniques et électriques, la construction du projet a progressé à pas de géant. Dans le but de construire une centrale électrique de classe mondiale offrant ' une sécurité, une qualité et une efficacité élevées', le projet vise à obtenir le Prix Luban, la plus haute distinction du secteur de la construction en Chine, ainsi que des prix de renommée internationale”, souligne le document.

Busanga, œuvre d'envergure
 
​Le Grand Katanga comptait jusque-là 4 barrages importants alimentant premièrement l'industrie minière et, secondement les cités environnementes, en l'occurrence les centres urbains, périurbains et ruraux. Il s'agit de Nseke, Nzilo, Mwadingusha et Koni.

​Nseke avait été construit en 1957 avec une capacité de production de 260 MW réduite cependant à 195 MW. Nzilo en 1952 avec une capacité de production de 100 MW réduite toutefois à 75 MW. Mwadingusha en 1930 avec une capacité de production de 71 MW pour n'en délivrer que 24. Koni en 1955 avec une capacité de production de 42 MW mais n'en délivre que 14. Aussii, bien que dernier arrivé, le barrage de Busanga a la capacité de 240 MW  en production et en fourniture.
 
Quoi de plus normal que dans son document, SICOMINES S.A. affiche sa fierté et son optimisme en mettant en évidence le fait que “La Centrale hydroélectrique de Busanga étant d’envergure, la grande coentreprise sino-congolaise SICOHYDRO S.A. assume activement ses responsabilités sociales et applique le concept de concertation, co-construction, partage et développement coordonné ensemble », et cela avec pour conséquence de “promouvoir la modernisation du développement économique industriel régional”. Ceci en amont.
​En aval, le barrage Busanga vise à “ promouvoir l’augmentation des emplois locaux”, ce d'autant plus que “Le projet a activement encouragé la gestion de l’emploi localisé, résolu plus de 3.000 emplois, formé des compétences opérationnelles, augmenté les niveaux de revenu et amélioré les conditions de vie ”. 

​Mais, l'essentiel pour la population locale est de voir son environnement amélioré : construction d’un nouveau village doté d’installations publiques comme une école, un hôpital, des routes, des puits d’eau potable etc. auxquels s'ajoutent des fonds d’indemnisation spéciaux ayant complètement modifié le cadre et les conditions de vie des habitants à délocaliser.
 
Premier méga-projet à entrer en production sous son mandat
 
​Fait essentiel à retenir : le projet étant achevé et dès sa mise en production, la garantie de voir le barrage fournir de l’électricité SICOMINES à toutes les provinces et villes environnantes. 

“Il deviendra le moteur du développement durable de l’économie régionale”, signale le document.

​Il est indiqué pour l'heure de rappeler que le 18 décembre 2021, lors de la cérémonie de clôture de la 5ème conférence nationale sur l'énergie organisée par la Fédération des entreprises du Congo (FEC) à Lubumbashi, la SICOHYDRO a été primée “Société de développement exceptionnelle 2021” pour la construction de la Centrale moderne hydroélectrique Busanga.

​Le premier grand projet depuis 65 ans dans le Katanga. Le Président Félix Tshisekedi y attache une importance méritée parce qu'en prévision de son inauguration, il y a détaché un de ses conseillers pour suivre de près l'évolution des préparatifs. Busanga, c'est tout à fait normal, est le premier méga-projet hydroélectrique à entrer en production sous son mandat.

7sur7.cd/CC



Le Gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila va signer, dans les prochains jours, un contrat avec le groupe turc Albarayk spécialisé dans le traitement de déchets. L’annonce a été faite après avoir échangé avec ledit groupe  Conakry (Guinée) le week-end dernier.

Le traitement de déchets fait partie de secteurs prioritaires de la politique environnementale du gouvernement congolais. D’ailleurs, le pays l’a inscrit dans sa Contribution Déterminée au niveau national (CDN) dans le cadre de la COP26.

La ville de Kinshasa génère plus 8000 tonnes de déchets essentiellement plastiques chaque jour pour un total d’environ 3 millions de tonnes par an.

Auguy Mudiayi



Charline Kitoko Safi, journaliste chez Vision Shala FM, une chaîne de radio et Télévision basée à Kamituga dans le territoire de Mwenga est décédée suite aux coups assénés par son époux. L'incident  s'est déroulé le 05 janvier 2022 dans cette ville aurifère située à environ 135 kilomètres de Bukavu.

" Dimanche 05 janvier, alors qu'elle revenait du travail, son mari qui est revendeur des cartes sim, l'a enfermé dans la maison. Les voisins ne se sont pas toute suite rendu compte de ce qui se passait" explique Mukamba  Mulebebwa un journaliste basé à Kamituga.  " L'homme a fermé la porte, il a augmenté le volume de la radio et tabassé sa femme jusqu'à ce qu'elle est décède. Il a ensuite alerté les voisins en faisant croire qu'elle était tombé en syncope. Charline Kitoko Safi a été acheminée à l'hôpital où l'on a déclaré son décès.  Sur place, des traces de ceinture ont été constaté sur le corps de la défunte" confie le journaliste.

La famille de la défunte confirme et  ajoute qu'elle était enceinte de plusieurs mois.

" Ma petite sœur a été tabassée par son mari, ils vivaient ensemble depuis 3 ans.  Aux environs de 16h, quand elle est revenue du travail, elle a été tabassée par son mari qui n'en était pas à son coup d'essais. Il avait l'habitude de la tabasser. La veille, il l'avait encore frappée. Le jour où il l'a tuée, quand il a constaté qu'elle était morte, il l'a allongée sur le canapé pour ensuite alerté le voisinage. C'était trop tard, ma soeur était déjà morte. Son mari, Destin Wabile a commis cette atrocité alors que ma sœur était  enceinte de plusieurs mois " a expliqué Lodi Kitoko, le grand frère de Charline Kitoko Safi.

Actuellement, le corps de la victime est à la morgue de l'hôpital de Kamituga en attendant son enterrement.

Justin Mwamba



En tête à la pause grâce au doublé sur penalty d'Aboubakar, les Lions indomptables s'imposent face au Burkina Faso qui a ouvert le score par Gustavo Sangaré, au terme d'une seconde période bien gérée par le pays hôte, même si les Étalons ont eu à quelques reprises l'occasion d'égaliser. Le Cameroun prend provisoirement la tête du groupe A.

Dans l'autre match du groupe A, la sélection cap-verdienne a eu raison de celle de l'Ethiopie. Facilité par l’expulsion de Yared Bayeh (12e), le succès cap-verdien a été obtenu sur un but de l’ancien attaquant de Dijon Julio Tavares (45e). Les joueurs de Pedro Leitao Bubista rejoignent le Cameroun à la première place du groupe A. 

Lors de la prochaine journée, le Cap-Vert affrontera le Burkina Faso et le Cameroun rencontrera l’Ethiopie.

l'équipe/Topmercato.com/CC



Une année s’est déjà écoulée depuis la disparition de l’artiste danseur et entrepreneur culturel congolais, Dorine Mokha. Il s’est éteint le 8 janvier 2021 à Lubumbashi, à l’âge de 31 ans,  suite au paludisme. Une épitaphe devait être posée à la place des artistes en son honneur. Selon nos sources, cela pourrait être fait finalement cette année dès les prochains jours.

Dorine Mokha est né en novembre 1989 à Lubumbashi (Haut-Katanga). C’était un artiste pluridisciplinaire avec la danse en tête. Comme danseur et chorégraphe, il a livré plusieurs spectacles tant au niveau national qu’international. Il a aguiché le public à Berlin lors de la Biennale le 24 janvier 2020 avec sa performance « Entre deux …». Cette même performance a été projetée lors de l’exposition d’art contemporain « Labo Kontempo » d’octobre à novembre 2021, au musée national de la RDC.

Deux cérémonies de performance artistique et de requiem ont été organisées pour rendre hommage à Dorine Mokha, quelques jours après son décès. A Yolé/Africa, à Goma et à l’académie des beaux-arts, à Kinshasa. La levée du corps, l’exposition et l’inhumation au cimetière Kasangiri ont eu lieu le 12 janvier 2021. Dorine avait remporté en 2018, le Prix Lokumu du meilleur danseur de l'année. Outre la danse, Mokha écrivait, chantait, réalisait des films.

Il est co-fondateur de ART'gument Project, un collectif promouvant la prise de parole grâce à des actions sociales, culturelles et artistiques. Militant des droits des personnes LGBT, il initie le projet d'un film en 4 parties dénonçant l'homophobie en RDC. Son œuvre s'inspire des violences et discriminations qu'il a subies.

Emmanuel Kuzamba



Le Parc National des Virunga (PNVi) a annoncé la naissance du premier gorille des plaines  de l'année. La découverte du nouveau-né a été faite jeudi par les éco-gardes lors d’une patrouille dans la secteur de Tshiabirimu.

« Les éco-gardes du parc des Virunga travaillent d’arrache pied pour protéger cette population vulnérable qui compte désormais 7 individus », a précisé le PNVi.

Trois des espèces de primates présents dans les Virunga sont des grands singes : le gorille de montagne, le gorille des plaines orientales et le chimpanzé de l’est.

Pour le contexte, la totalité de la population mondiale de gorilles de montagne en danger critique d’extinction vit entre le massif des Virunga et le parc national Bwindi.  Cette zone s’étend de la RDC au Rwanda ainsi qu’en Ouganda. Le Parc National des Virunga abrite plus d’un tiers de ces gorilles, qui résident dans des forêts tropicales denses sur les pentes des volcans des Virunga.

actualite.cd/CC



Le coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des nations (CAN)/Cameroun 2021 sera donné dimanche 9 janvier et prendra fin le dimanche 6 février 2022. Cette 33e édition connaitra la participation des vingt-quatre nations, qui sont reparties en six groupes de quatre équipes. Eliminée de la course, la République démocratique du Congo (RDC) ne prendra pas part à cette fête africaine.  

Prévue pour l’année 2021, l’organisation cette édition de la Coupe d’Afrique des nations a été décalée pour des raisons sanitaires, liée à la pandémie de la COVID-19.  Bien que maintenue pour être organisée en 2022, cette compétition a connu plusieurs menaces d’annulation de la part de la Fédération internationale de football (FIFA) et certains clubs européens, qui ne voulaient pas libérer les internationaux africains à cause de la propagation du variant Omigron de la COVID-19.

Cette phase finale se déroulera dans six stades du pays : deux à Yaoundé, un Douala, un Limbé, un à Bafoussam et un autres à Garoua. L’accès au stade est conditionné par la vaccination contre la COVID-19. Les stades seront par ailleurs remplis à 60% de leurs capacités.

Le pays organisateur, le Cameroun, est logé dans le groupe A, et joue son premier match le dimanche 9 janvier face au Burkina-Faso. Le même jour, l’Ethiopie va en découdre avec le Cap-Vert, deux équipes du même groupe.

L’Algérie, tenant du titre, est dans le groupe E, avec la Cote d’Ivoire, le Sierra Leone, Guinée équatoriale.

Le Sénégal, première nation africaine au classement mondiale de la FIFA et finaliste de la dernière édition de la CAN, est dans le groupe B, aux côtés de la Guinée, du Malawi et du Zimbabwe.

L’Egypte, le pays le plus titré d’Afrique avec sept trophées, est dans le groupe D, avec le Nigeria, le Soudan, et la Guinée Bissau.

Le Gabon, qui avait éliminé la RDC pour cette CAN, est dans le groupe C, avec le Maroc, de Ghana et le Comores. Le dernier est constitué de deux des grandes nations de football africain ; à savoir : la Tunisie et le Mali, qui seront aux côtés de la Mauritanie et la Gambie.

C’est pour la 2e fois que le Cameroun organise la CAN. La première fois, c’était en 1972.

radiookapi.net/CC



Deux professeurs d’université, membres de la communauté Bira, sont incarcérés depuis mercredi 5 janvier dernier à l’auditorat supérieur près la cour militaire de l’Ituri. Ils sont, d’après cette juridiction, inculpés d’être de mèche avec le groupe armé Force patriotique et intégrationniste du Congo (FPIC).

L’auditorat supérieur près la cour militaire de l’Ituri a interpellé les professeurs Bungishabako Katho et Dudanga Kavarios, respectivement professeur de l’Université Shalom de Bunia et recteur de l’Université du CEPROMAD. Le président de la communauté Bira, Dieudonné Nobirabo, renseigne que ces deux professeurs d’université ont été dénoncés par un suspect arrêté par cette juridiction.

Pour le président de la communauté Bira, cette arrestation est un « montage » qui vise à ternir l’image de ces grandes personnalités de la province notamment une « pire machination » pour saper les efforts du gouvernement pour la restauration de la paix en Ituri.

Il indique que ces deux professeurs sont souvent sollicités par le gouvernement pour la recherche de la paix dans le territoire d’Irumu mais également pour la sensibilisation des miliciens de la FPIC à déposer les armes. Il demande, en outre, leur libération qui, selon lui, rentrera dans le cadre de la promotion de la paix en Ituri. 

Christian Malele



Un avion fou de marque russe (et avec un équipage russe), avion bourré d'armes (probablement destinées aux rebelles  de l'Unita de Savimbi en Angola) rate son décollage et s'écrase en plein Marché Type K. On parle de 300 morts, principalement des acheteuses et des vendeuses bipupula, malewa, mapa, matembele, sangisa-sangisa.

Des larmes de crocodile du gouvernement zaïrois. Fermeture de l'aéroport.  Puis plus rien. Le silence. Le silence qui massacre deux fois les innocents. Plus rien: aucune stèle. Aucune commémoration. Aucun monument. Aucune compensation ni réparation. Sauf un deuil inconsolable des familles. 25 ans! 

actualite.cd/CC

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

Derniers Articles