En mars 2022, les 10 sélections africaines qui sont sorties premières de leur poule se rencontreront en match de barrages, aller et retour. Pour le tirage au sort, les 10 sélections barragistes seront réparties en 2 chapeaux : les 5 premiers sur le classement FIFA seront sur le chapeau 1 et les 5 qui suivent sur le chapeau 2.

Dans le chapeau 1 :
Sénégal (1er groupe H)
Maroc (1er groupe I)
Nigéria (1er groupe C)
Algérie (1er groupe A)
Tunisie (1er groupe B)

Dans le chapeau 2 :
Cameroun (1er groupe D)
Mali (1er groupe E)
Egypte (1er groupe F)
Ghana (1er groupe G)
RD Congo (1er groupe J)

Les tirages au sort des matchs de barrage auront lieu le 18 décembre prochain.

sene.news/CC



Les députés nationaux ont voté à l'unanimité ce jeudi 18 novembre 2021, la recevabilité du projet de loi de finances exercice 2022, présenté par le premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde.

Ce vote est intervenu après les éléments de réponses apportés par le premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde aux préoccupations des élus du peuple en ce qui concerne le budget 2022.

Ce projet est envoyé à la commission ECOFIN pour une étude approfondie. Un délai de 15 jours a été également accordé à ladite commission pour présenter à l'assemblée plénière la conclusion de ces travaux.

Pour rappel, le projet de Loi de Finances exercice 2022 est chiffré à un peu plus de 10,3 milliards de dollars américains, soit une augmentation de 41,8% par rapport au budget 2021.

Roberto Tshahe



Dans une correspondance adressée, mercredi 17 novembre à la Fédération congolaise de football association (FECOFA), la Fédération internationale de football association (FIFA) affirme avoir reçu la plainte de la Fédération béninoise de football (FEBEFOOT) au sujet du match de la dernière journée des éliminatoires du Mondial-Qatar 2022 disputé dimanche 14 novembre à Kinshasa entre la RDC et le Benin (2-0).

« Nous nous référons à l'affaire susmentionnée, et en particulier à la réclamation déposée par la Fédération béninoise de football le 15 novembre 2021, en relation avec le match RDC contre le Bénin joué le 14 novembre 2021 dans le cadre de la compétition préliminaire pour Coupe du Monde de la FIFA 2022, zone Afrique », note la FIFA.

A en croire cette correspondance, la FIFA informe la Fédération béninoise de football ainsi que la FECOFA, que la réclamation susmentionnée sera soumise à un membre de la Commission de discipline de la FIFA le 23 novembre 2021 pour examen et décision conformément à l’art. 14 (9) du Règlement de la Coupe du Monde la FIFA 2022 Compétition Préliminaire ainsi qu’aux arts. 46 et 54 du Code disciplinaire de la FIFA.

Au vu de ce qui précède, la FECOFA a ainsi la possibilité de fournir au Secrétariat de la Commission de Discipline de la FIFA tout commentaire qu'elle juge approprié sur la réclamation susmentionnée, le cas échéant au plus tard le 20 novembre 2021, ainsi que tout document jugé nécessaire.

« Enfin, dans un souci de clarté, nous souhaitons informer les associations susmentionnées que la Commission de discipline de la FIFA statuera sur la réclamation en utilisant le dossier en sa possession (cf. art. 20 par. 5 du CDF) », conclut la FIFA.

Les Béninois accusent le sélectionneur de la RDC, Hector Raúl Cúper, d'avoir opéré des changements des joueurs en plus de trois périodes, en enfreignant ainsi aux règlements FIFA sur le changement des joueurs lors d'un match de football.

radiookapi.net/CC



Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, était présent ce mercredi 17 novembre à l'ouverture du forum sur la diaspora. Organisé par le Vice-ministre des affaires étrangères en charge des Congolais de l’étranger, en collaboration avec la cellule présidentielle de lutte contre la pauvreté et l'organisation internationale de migration (OIM), il a pour thème : " Diaspora, acteur du développement et de la lutte contre la pauvreté ". 

A en croire Félix Tshisekedi, ce forum se veut de déterminer les meilleures actions pour faciliter et inciter l’implication des Congolais vivant à l’étranger dans l’effort de développement de la RDC. 

" Conscient du rôle primordial que joue notre diaspora, en effet, nos compatriotes à l'étranger disposent d'expériences diverses, nous connaissons leur patriotisme et attendons les associer plus fortement à notre vision du Congo ", a notamment déclaré le président Félix Tshisekedi. 

Le conseiller spécial du chef de l'Etat en matière de lutte contre la pauvreté, Judée Badibanga estime, pour sa part, que les attentes des résolutions de ce forum sont " énormes " en vue d'une meilleure collaboration entre les Congolais vivant à l'étranger et ceux d'ici.

" Il s'agit ici d'une démarche de conjonction des intelligences et de mutualisation des efforts collectifs de tous les fils et filles du Congo, de l'intérieur tout comme de la diaspora avec l'accompagnement du gouvernement, des partenaires techniques et financiers, des amis de la RDC et des hommes de bonne volonté. Nos attentes sont énormes mais réalistes. Elles se basent sur le formidable potentiel dont la diaspora dispose. Lequel potentiel ne demande qu'à éclore, pourvu que le pays lui en facilite la tâche. Ce forum se veut un creuset de la discussion ouverte entre compatriotes. Du choc des idées, je dirais du choc de nos expériences et responsabilités respectives, devrait jaillir les lumières fondatrices d'un progrès inclusif qui ne laisse les talents de personne de côté ", a déclaré Judée Badibanga. 

Ce forum se clôture ce jeudi. Plusieurs personnalités ont pris part à son ouverture. C’est le cas notamment du président du Conseil supérieur de la magistrature, Dieudonné Kaluba, du Premier ministre Sama Lukonde, du président du Sénat, Modeste Bahati ou encore de quelques membres du gouvernement.

A titre de rappel, selon les statistiques, la diaspora congolaise a transféré, rien que pour l'année 2020, 1,2 milliards ayant pour l'essentiel servi aux besoins de scolarité et de santé dans leurs familles respectives.

Ivan Kasongo



Représentant personnellement le Chef de l’Etat empêché, le Premier Ministre, Sama Lukonde kyenge, a lancé, ce mercredi 17 novembre 2021 au Pullman Hotel de Kinshasa, les travaux de la vaccination contre la covid-19 en République Démocratique du Congo.

Selon la cellule de communication de la Primature qui rapporte les faits, tout a commencé par l’hymne national, suivi du mot du Conseiller spécial du Chef de l’État et coordonnateur de la Task force présidentielle de la riposte contre la Covid-19, Docteur Roger Kamba.
 
Présent à cette cérémonie, le Ministre de la Santé, Docteur Jean Jacques Mbugani, s’est appesanti, apprend-t-on, sur le pourquoi de ces travaux et l’importance de la vaccination contre la Covid-19 en République Démocratique du Congo, avant d’inviter le Chef du Gouvernement à procéder au lancement des travaux d’ouverture.

Ces travaux vont se tenir du 17 au 18 novembre 2021 et ce, en présence des toutes les parties prenantes à la lutte contre la Covid-19 dont le Comité Multisectoriel d’urgence contre cette pandémie. Ils sont placés sous le haut-patronage du Chef de l’État.



Dans l’affaire des sujets chinois tombés dans le filet de la justice congolaise pour traite des personnes, l’Agence pour la Prévention et la Lutte contre la Traite des personnes (APLTP), a appelé le Gouvernement, ce mercredi 17 novembre 2021 lors d’un point de presse tenu à son siège central à Kinshasa, à accélérer le traitement du projet de loi relatif à la traite des personnes, lequel va doter la justice congolaise, des lois spécifiques devant trancher le cas sous examen.

« Nous profitons de la présence de la presse, pour lancer un appel pressant au Gouvernement à travers le Premier Ministre, de transmettre au Parlement le projet de loi contre la traite des personnes pour examen en procédure d’urgence. Ce qui nous permettrait de mieux travailler avec la justice et les autres services techniques pour démanteler les réseaux criminels et protéger les victimes et les témoins », a déclaré la Coordinatrice de l’APLTP, Cécille Rebecca Meta Kasanda.

Après cela, la Coordinatrice de l’Agence pour la Prévention et la Lutte contre la Traite des personnes, a révélé en relatant le scénario ayant conduit à cette prise, qu’il y a plus de trois mois, l’APLTP avait reçu une dénonciation et une notification de l’existence de certaines résidences dans la commune de la Gombe et de boites de nuits, où les services sexuels étaient proposés et le paiement se faisait chez les propriétaires des lieux. « C’est grâce à la collaboration de l’APLTP à travers sa Commission technique restreinte que tous les services concernés ont été alerté et des enquêtes ont été menées en toute discrétion, afin de remonter la filière et n’agir qu’au moment opportun », a-t-elle confié à la presse.

« Le procès des victimes chinoises est une illustration type de l’exploitation de la prostitution d’autrui en vue de bénéficier des gains financiers. Les filles chinoises sont recrutées par un réseau des trafiquants chinois, installés dans notre pays pour une activité économique ou professionnelle bien déterminée et en vertu de laquelle, un visa et un permis de travail leur est accordé par les services compétents. Ces trafiquants se sont familiarisés avec les agents des certains ministères dont les affaires étrangères, le travail, l’intérieur, etc. Ces fonctionnaires congolais leur facilitent l’obtention de certains documents », a fait savoir la Coordinatrice Meta Kasanda.

Par ailleurs, elle a noté que le procès de ces sujets chinois intervient au moment où le Gouvernement congolais vient d’adopter au cours de sa réunion du 12 novembre dernier, le projet de loi contre la traite des personnes dont elle appelle la célérité dans le traitement. Ce projet de loi, annonce Madame Meta Kasanda, devrait être transmis au parlement pour vote, avant sa promulgation par le Président de la République.

Il sied de rappeler que 27 sujets étrangers et un congolais, sont poursuivis certains pour trafic et exploitation des personnes à des fins sexuelles, tandis que d’autres pour séjour irrégulier. Ces informations découlent de l’audience du 15 novembre dernier après que la justice congolaise ait démantelé ce réseau. Ces sujets étrangers constitués essentiellement des femmes chinoises ont été sexuellement dans les maisons de tolérance depuis plusieurs années par un proxénète arrêté au cours de cette enquête.

Hervé Pedro

 


Quand il pleut des cordes comme ce samedi 13 novembre, des tronçons de quelques artères principales se transforment en lacs. C’est le cas du Boulevard du 30 Juin, du Boulevard Triomphal ainsi que des avenues Libération, Huileries, Kasavubu. Enfer et damnation !

D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, les Chinois qui avaient réfectionné ces artères ont bouché certains égouts. Pour ceux qui ne le sauraient pas, depuis l’arnaque des 5 Chantiers sous Kabila Junior, ce sont les ouvriers chinois qui s’occupent de la construction et de la réfection des routes. Ils travaillent jour et nuit,  même dimanche, jour consacré au Seigneur. Ils ne prient jamais. Enfer et damnation !

Ils sont très occupés par les chantiers. Mais ils ont le temps d’avoir des rejetons. Saperlipopette ! A quelle heure font-ils donc la chose ? Mystère, mystère ! Bref, passons.

Ceci expliquant cela, la carte des égouts de la Ville Province de Kinshasa a disparu par la volonté de ceux-là même qui sont censés veiller à son aménagement. Ils peuvent ainsi vendre des terres dans de espaces autrefois  interdits sans être inquiétés. Des quidams ont ainsi pu avoir des lopins de terre sur des collecteurs d’eaux d’égout, sur des bassins d’orage. Des buildings ont été érigés sur les principales voies d’évacuation des eaux. Empêchées de couler vers le fleuve Congo, rien d’étonnant dès lors que les eaux montent, qu’il y ait inondation ! Comme si cela ne suffisait pas, plusieurs rivières qui traversent la ville sortent régulièrement de leurs lits après de fortes pluies. Alors, certains quartiers se retrouvent sous eaux. Ces inondations sont parfois accompagnées d’importantes pertes en vies humaines. Sapristi !

La population de Kinshasa la déglinguée ne cesse de croître suite à l’afflux des populations venues des provinces. Elles fuient la guerre ou la précarité. Elles s’installent cahin-caha dans des constructions anarchiques. Ici, il n’y a pas de plans d’urbanisation. Il n’y a pas d’infrastructures de drainage des eaux. Ici, la ville ressemble à un grand village. Il n’y a pas d’eau courante. Il n’y a pas d’électricité. C’est la ruralisation de la ville de Kinshasa !

Ceux qui y ont élu domicile voyagent dans le temps et dans l’espace quand ils se rendent au centre ville. Là, ils découvrent toutes les commodités d'une vie moderne. Stupeur et tremblements !

Kinshasa la déglinguée s’étend sur  une superficie de 9.965 km2. Mais la population évaluée entre 10 et 15 millions d’individus s’agglutine sur moins de 2.000 km2. Dans la quête d’un « chez soi », des cimetières sont parfois envahis par des vivants qui y construisent leurs maisons. Il n’est pas rare de les voir transformer les caveaux funéraires en simples fosses septiques. Stupeur et tremblements !

A l’époque, on craignait bien les morts, les fantômes et les cimetières. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Nenni ! O tempora ! O mores !

Les pasteurs qui ont su maîtriser l’art de sauver les âmes des morts et de soulager les poches des vivants, ont maintenant remplacé les féticheurs. Les prières ont remplacé les fétiches.

Avant l’apparition des inénarrables pasteurs des églises, les féticheurs régnaient en maitre comme à l’époque les dinosaures sur la Terre. Mais il y a soixante-cinq millions d’années, un astéroïde percuta la surface terrestre et causa leur extinction.

D’après mon ami qui sait tout, le cratère de Chicxulub, près de la péninsule du Yucatán, au Mexique, est témoin de l'extinction des dinosaures. Bref, passons !

A ceux qui voulaient s’enrichir facilement, les féticheurs conseillaient de faire des incantations au cimetière. Cela ne marche plus aujourd’hui. Même ceux qui y ont élu domicile sont toujours aussi pauvres qu’avant. Et les morts sont bel et bien morts. Ils reposent en paix quelque part. On dit chez nous que pour pouvoir aider quelqu’un, il faut être en état de le faire.

GML



L’Afrique du Sud ne baisse pas les bras. Sortis des qualifications à la Coupe du monde 2022 dimanche par le Ghana sur un penalty très litigieux (1-0), les Bafana Bafana ont saisi la FIFA. Ce mercredi, les dirigeants sud-africains ont appuyé leur démarche en tenant une conférence de presse visant à préciser leurs accusations. Avec un chiffre choc : 90,9%. D’après l’étude réalisée par la Fédération sud-africaine (SAFA), 90,9% des décisions erronées prises par l’arbitre sénégalais Maguette N’Diaye sur ce match (30 sur 33) l’ont été à l’encontre de Percy Tau et sa bande et pas contre le Ghana. De quoi étayer les accusations de match truqué formulées par l’instance.

«Nous sommes préoccupés par certaines décisions prises lors du match, nous demandons donc une enquête pour manipulation de match», a débuté le président Danny Jordaan. «Nous avons donc demandé à Ace Ngcobo (ancien arbitre professionnel) d’analyser le match et de voir s’il y a un biais qui aurait pu avoir une influence sur le résultat final du match. (…) Nous sommes ici pour informer la nation des événements qui se sont produits à Cape Coast et qui nous ont choqués. La FIFA a la responsabilité de faire respecter l’intégrité du football mondial. En février 2020, la FIFA a désigné une société appelée Sports Radar pour surveiller chaque match afin de contrôler l’intégrité de la compétition. La responsabilité de la SAFA est de prouver s’il y a un quelconque parti pris contre notre équipe, et si c’est le cas, de le signaler à la FIFA.»

«Si le Ghana perdait, il y aurait eu de gros problèmes»

Le dirigeant a ensuite énuméré une liste d’indices concordants selon lui assez troublants. «Un match peut être manipulé pour un gain financier ou pour un gain sportif. (…) Y avait-il des paris sur le match ? Oui. Selon les bookmakers, il y a eu une erreur dans le favori. (…) Ce que nous voulons, c’est que la FIFA analyse l’influence sur le match. Y avait-il des informations sur le penalty, puis y’a-t-il eu un pic de paris sur la décision qui allait se produire ? Nous n’avons pas la capacité de le faire et nous avons demandé à la FIFA d’examiner cette question. La dernière question est la suivante : le profil du match était-il tel qu’il suscitait un intérêt en dehors du football et oui, c’était le cas. Si le Ghana perdait, il y aurait eu de gros problèmes, même pour le président du pays», a assuré le Sud-Africain en faisant aussi état de rumeurs qui seraient apparues avant le match et qui auraient indiqué que le Ghana allait bénéficier d’un penalty.

Pour comprendre l’importance de la démarche des Bafana Bafana, il faut rappeler que la FIFA avait sanctionné dans les éliminatoires du Mondial 2018 l’arbitre ghanéen Joseph Lamptey qui avait sifflé un penalty imaginaire pour les Sud-Africains à l’occasion de leur victoire 2-1 contre le Sénégal. Après des faits avérés de manipulation de match de la part de l’officiel, la rencontre avait été rejouée et remportée 2-0 par le Sénégal qui s’était qualifié pour le Mondial au détriment de l’Afrique du Sud. Charge à la FIFA de faire la lumière sur cette nouvelle affaire.

Romain Lantheaume

 



Kasereka Mahinda, directeur scientifique de l’Observatoire Volcanique de Goma (OVG) a annoncé une imminente éruption interne du volcan Nyamulagira situé dans la ville de Goma (Nord-Kivu). Au micro de Radio Okapi ce mercredi 17 novembre, le responsable de OVG a déclaré avoir constaté mardi que « le magma n’est pas très loin et qu’il peut sortir à l’intérieur tout comme à l’extérieur du cratère ». 

Ce scientifique appelle ainsi toute la population de la région au calme et rassure que cette activité volcanique ne représente pas encore de risque, du fait qu’elle est encore concentrée dans le cratère.

D’après lui, la dernière éruption externe du volcan Nyamulagira date de 2011. Depuis 2014, ce volcan enregistre des éruptions internes, précise Kasereka Mahinda. « Si cette éruption s’avérait externe, elle pourrait entraîner des conséquences humaines et environnementales notamment la destruction de l’écosystème et bien d’autres », affirme l’OVG.

Ce volcan est entouré par la cité de Burungu au nord-ouest, le Nyiragongo au sud-est, le lac Kivu à 25 kilomètres au sud et la cité de Sake au sud-ouest.

Il s’y est de noter que le 22 mai dernier, le volcan de Nyirangongo, frère de Nyamulagira était entré en éruption externe, causant beaucoup de dégâts matériels et humains. Motivé par le vœu de fuir la menace, plusieurs familles s’étaient retrouvées loin de chez eux avec toutes les conséquences que cela avait engendré.

Gaël Hombo/acturdc.com/CC



Le journaliste congolais officiant sur Canal+ Charles Mbuya a repris de volée ses confrères Nabil Djellit et Patrick Juillard qui ont pesté contre l’arbitrage du match RDC-Bénin qui a vu les Léopards passer au second tour des éliminatoires de la Coupe du monde 2022 grâce à un pénalty polémique transformé par Dieumerci Mbokani.

Toutefois, la qualification de la RDC aux playoffs est accompagnée d’une série de critiques. Notamment sur la décision de l’arbitre gabonais Éric Otogo-Castane d’accorder un pénalty aux Congolais suite à un accrochage entre Khaled Adenon et Ben Malango dans la surface. Un épisode que Patrick Juillard et Nabil Djellit ont du mal à digérer. Des critiques que Charles Mbuya ne comprend pas.

« Ceux qui trouvent que le Penalty est inexistant : comment avez-vous fait pour arriver à cette conclusion sur base d’un seul plan ? Je comprends qu’on puisse le juger sévère mais même avec la VAR je doute que cela aurait été facile de mieux juger l’action (donc je ne peux que faire confiance à l’arbitre qui est proche de l’action)», a t-il déclaré dans des propos relayés par Footrdc.

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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