Le Tout Puissant Mazembe a enchainé une nouvelle victoire en Championnat national, Illico Cash Ligue 1, en battant, ce samedi 30 novembre, Lubumbashi Sport, au stade Kibassa Maliba de la commune de la Kenya, dans la capitale cuprifère, sur la note de 3 but à zéro.
En match de la 10e journée du groupe A, le technicien sénégalais de Mazembe, Lamine Ndiaye, a opéré 2 changements dans son 11 de départ par rapport à celui aligné en Ligue des Champions en début de semaine. Siadi Baggio et Merceil Ngimbi prenaient respectivement les places d’Aliou Badara et Jean Diouf.
Et, dès le premier quart d'heure, les Corbeaux se montraient dangereux avec Oscar Kabwit qui concrétise la domination du TP Mazembe. Sur un service de Gloire Mujaya, la jeune pépite du football congolais va ouvrir le score d'une frappe imparable en pleine lucarne.
Après la reprise, Lubumbashi Sport va encore se faire punir par le même Oscar Kabwit qui envoie, en effet, le cuir au fond des filets sur un corner à la 64e minute de jeu. Et pour s'illustrer aussi de la plus belle des manières, Gloire Mujaya va entériner la victoire, 6 minutes plus tard, en plantant le but du 0-3, sur une belle offrande de Merceil Ngimbi.
Grâce à cette victoire, le Tout Puissant Mazembe enchaîne un 5e succès d’affilée en championnat cette saison, et consolide sa deuxième place au classement, avec 19 points, juste derrière le Saint Eloi Lupopo, leader avec 21 points au compteur.
Don Benjamin Makolo
L'AFEM -Association des Femmes des Médias- a organisé une conférence de presse, ce samedi 30 novembre 2024, à Goma, axée sur la situation des journalistes dans la province du Nord-Kivu, et plus particulièrement dans la ville de Goma. Des professionnels des médias, des responsables et des reporters ont été invités à cette activité, pour discuter des défis rencontrés par les journalistes en cette période d'insécurité, sous le régime exceptionnel de l'état de siège.
Au cours de cette conférence de presse, les journalistes présents ont profité de l'occasion pour poser des questions pertinentes, cherchant à obtenir des éclaircissements sur les menaces et le harcèlement dont ils sont régulièrement victimes. Les forces de sécurité, notamment la Police, étaient également de la partie, confrontées à des accusations fréquentes de violence et d'abus. Ces agents ont, cependant, tenté de se justifier, en affirmant que certains bandits se font passer pour des policiers ou des militaires, soulignant leur engagement à protéger les citoyens, tout en appelant au respect des lois.
Malgré cette tentative de défense de la Police, la méfiance demeure palpable entre la population, y compris les journalistes, et les forces de l'ordre. En effet, ces derniers témoignent d'une inquiétude croissante vis-à-vis de leur sécurité, surtout lors des patrouilles nocturnes, ce qui complique encore davantage leur travail, dans un environnement déjà instable.
Dans son discours, Rose Mathe, point focal de l'AFEM en ville de Goma, a exprimé une préoccupation profonde face à la détérioration des droits humains, en signalant que les journalistes, victimes de harcèlement, de violences physiques et d'arrestations arbitraires, exercent leur métier dans un climat de menace accrue, comme en témoignent les 18 cas d'atteinte à la liberté de la presse documentés entre janvier et novembre 2024, dont 13 hommes et 5 femmes.
Elle a souligné l'urgence d'agir face à la situation alarmante des journalistes, en déclarant que, malgré certains cas documentés de menaces persistantes, leur sécurité reste inquiétante. Rose Mathe a appelé les autorités et les responsables des médias à agir promptement, pour protéger les journalistes, en particulier dans le cadre des 16 jours d'activisme, en veillant à l'application des lois régissant leur profession et en établissant des politiques visant à renforcer leur sécurité durant des heures critiques.
"Que les responsables des médias puissent revoir le programme, pour que les journalistes regagnent leurs domiciles aux heures de sécurité, d'accompagner les journalistes, de collaborer étroitement et se rendre disponible pour des activités qui nécessitent leur présence, afin de mieux s'engager pour assurer la sécurité de la presse, et le respect des droits des journalistes, de créer également un environnement sécurisé en faveur des journalistes", a-t-elle indiqué.
Rose Mathe a exhorté ses confrères à analyser minutieusement le contexte, avant de se rendre sur le terrain, à toujours porter leurs identifications et à agir de manière responsable, tout en respectant le code d'éthique qui régit leur profession, et de prendre des mesures proactives, pour garantir leur sécurité, en les exhortant à éviter les lieux susceptibles de compromettre leur intégrité, à se sécuriser eux-mêmes, en évitant de rentrer tardivement chez eux, et mettant de côté le vedettariat au profit d'une approche responsable de leur vocation.
Elle a également souligné l'importance d'adapter les horaires de travail des journalistes, afin de leur permettre de regagner leurs domiciles en toute sécurité, en les accompagnant lorsque nécessaire et en favorisant une collaboration étroite entre les médias et les services de sécurité. Cette approche est cruciale pour garantir un environnement de travail plus sûr, propice au respect des droits des journalistes.
"Aux journalistes, nous demandons d'éviter les endroits qui mettent en péril leur sécurité, de commencer par se sécuriser soi-même, et d'éviter de rentrer à des heures tardives à la maison, d'analyser le contexte du milieu avant de se rendre sur terrain, pour minimiser le risque de se mettre en danger, et de veiller à toujours avoir ces identifiants, comme la carte de presse, le gilet, les casques pour des reportages des manifestations, et des matériels de travail, de prendre conscience de leur métier et respecter le code d'éthique et déontologie lors de l'exercice de leur travail," a-t-elle ajouté.
Depuis le début du conflit armé avec le M23, dans la province du Nord-Kivu, le travail journalistique est devenu de plus en plus périlleux, les reporters se retrouvant souvent comme cibles des belligérants. Ils éprouvent des difficultés croissantes pour accéder aux informations nécessaires, se heurtant parfois à une censure imposée, ce qui rend leur mission de rendre compte de la vérité encore plus ardue.
Gloire Balolage
La Ministre des Affaires foncières, Acacia Bandubola Mbongo, en compagnie de son collègue de l'Urbanisme et Habitat, Crispin Mbadu , a fermé un chantier de construction d’une station service de l'Église catholique précisément "les frères des écoles chrétiennes et la société pétrolière Engin", ce mercredi 27 novembre 2024, au stade vélodrome dans la commune de Kintambo.
L’annonce a été faite dans une communication parvenue à la rédaction de 7SUR7.CD, qui rapporte que les habitants de cette municipalité ont exprimé leur satisfaction de voir la délégation gouvernementale sur le terrain, après plusieurs alertes.
Pour la Ministre des Affaires foncières, le gouvernement a pris des mesures fortes pour lutter contre les constructions anarchiques sur les emprises publiques ainsi que les zones non édifiantes et cela s’applique à toute personne et construction non conforme aux règles établies.
« Un pays est régi par des lois. Il faut comprendre que nul n'est au-dessus de la loi. Nous sommes tous soumis au respect strict des lois de la République. Le gouvernement a pris des mesures fortes pour lutter contre les constructions anarchiques sur les emprises publiques ainsi que les zones non édifiantes. Nous sommes là pour établir l'ordre. Nous lançons un message fort à toutes les personnes qui ont l'habitude d'agir de manière illégale sans autorisation préalable des autorités compétentes, sans pour autant réunir les conditions urbanistiques », a-t-elle déclaré.
Pour sa part, le ministre de l'Urbanisme et Habitat, Crispin Mbadu, souligne la fermeture de ce chantier ayant ouvert sans respecter la procédure en la matière et parce qu'il n'y a aucun avis urbanistique.
« Ce chantier a ouvert sans respecter la procédure en la matière. Après vérification de l'inspection de l'urbanisme, le chantier a été fermé parce qu'il n'y a aucun avis urbanistique sur ce chantier. Il s'agit d'une emprise publique. Il y a toute une procédure d'obtention des documents. Après vérification, il s'agit d'un partenariat entre l'Église catholique, précisément les frères des écoles chrétiennes et la société pétrolière Engen, la construction est faite par Marc Forest. Il n'y a pas eu d'autorisation préalable. Les concernés seront invités pour vérifier tous les documents. Il ne peut y avoir des constructions dans cette zone où il y a des habitations », a-t-il expliqué.
En outre, le bourgmestre de Kintambo a indiqué qu'une invitation sera lancée aux responsables de l'Église catholique pour vérifier si elle est réellement propriétaire du stade vélodrome.
Il importe de noter que le gouvernement déclare qu’il ne peut y avoir de constructions de station-service dans cette zone parce qu'il y a des habitations. Pour ce cas, c’est un partenariat entre l'Église catholique, précisément les frères des écoles chrétiennes, et la société pétrolière Engen.
Grâce Kenye
La République arabe d'Égypte apporte son soutien « sans faille » pour la défense et la sécurité de la souveraineté et de l'intégralité du territoire congolais. L'annonce a été faite le mercredi 27 novembre 2024 par le président de la Chambre des représentants égyptienne, Dr. Hanafi Guebali, lors de sa rencontre avec la délégation du Parlement congolais conduite par le président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe.
Pendant l'entretien, les deux hommes ont résolu ce qui suit :
- Le soutien sans faille à la souveraineté et à l'intégrité du territoire congolais réaffirmé par l'Égypte;
- La consolidation de la collaboration et du soutien apporté par l'Égypte pour le renforcement de la sécurité et de la stabilité de la République Démocratique du Congo;
- Le renforcement effectif de la diplomatie parlementaire entre l'Égypte et la RDC, notamment à travers l'échange d'expériences et l'accord des points de vue dans les instances interparlementaires;
- Le soutien que va désormais accorder l'Égypte à la République démocratique du Congo en matière de lutte contre le terrorisme, notamment dans sa partie Est;
- L'engagement de la Chambre des Représentants Égyptienne à soutenir la convocation en 2025 de la commission conjointe entre la RDC et l'Égypte au Caire;
- L'accroissement de la relation bilatérale entre les deux pays tournée vers de nouveaux horizons pour l'intérêt des peuples congolais et égyptiens.
En outre, le Parlement égyptien a salué également le soutien lui accordé par la République démocratique du Congo pour la signature de l'accord-cadre sur la coopération dans le bassin du fleuve Nil et sur la candidature égyptienne au poste de Directeur de l'UNESCO.
De ce fait, l'Égypte a réaffirmé sa volonté de continuer à aider la RDC à réaliser le maximum de développement à travers l'Agence Égyptienne de Coopération dont il est au premier plan des pays bénéficiaires de l'appui égyptien dans différents domaines.
De son côté, Vital Kamerhe a réitéré au Parlement égyptien l'engagement de l'Assemblée nationale à appuyer la demande du soutien de la RDC à la candidature de l'Égypte au poste de Vice-Président de la Commission de l'Union africaine lors du sommet d'Addis-Abeba qui se tiendra en 2025 et l'adhésion de l'Égypte au Conseil des droits de l'homme pour la période 2026-2028, lors des travaux de l'Assemblée Générale à New-York attendus l'année prochaine.
Roberto Tshahe
La Haute Cour militaire, siégeant en audience foraine à la prison militaire de Ndolo, a pris en délibéré l'affaire opposant le ministère public à 25 personnes, dont Corneille Nangaa, ancien président de la CENI, poursuivi au second degré pour crimes de guerre, homicides involontaires, torture et destruction de biens commis par des subordonnés placés sous son autorité.
Après les plaidoiries de la défense des différents prévenus, la Haute Cour militaire a clos le débat et a pris l'affaire en délibéré pour rendre son verdict dans le délai légal.
Lors de la précédente audience, le ministère public avait requis la reconduction de la peine capitale par la Haute Cour militaire contre les 25 personnes.
Au cours du procès, deux prévenus, Nkangya Nyamacho, alias Microbe, et Nkuba Shebandu Eric, alias Malembe, avaient reconnu devant la Haute Cour leur participation à la fondation de l'AFC (Alliance Fleuve Congo) dirigée par C. Nangaa.
Comme lors du procès de première instance à la Cour militaire de Kinshasa-Gombe, parmi les 25 accusés, seuls cinq étaient présents. Il s'agit notamment de Safari Bishori Luc, Samafu Makinu Nicaisse, Nangaa Baseyane Putters et Nkuba Shebandu Eric, alias Malembe.
Corneille Nangaa ainsi que 24 autres prévenus ont été condamnés au premier degré à la peine de mort pour participation à un mouvement insurrectionnel, trahison et crimes de guerre.
David Mukendi K.
À l'occasion de l'ouverture de la 11ᵉ session de la conférence des gouverneurs à Kalemie, chef-lieu de la province du Tanganyika, Félix-Antoine Tshisekedi a laissé entendre que ces derniers seront désormais soumis à des évaluations périodiques.
Pour lui, chaque gouverneur sera évalué sur des indicateurs concrets, notamment le nombre de projets effectivement réalisés dans sa province.
"Enfin, dans le cadre des évaluations périodiques qui serviront désormais de référence à votre gestion, je vous invite à explorer la possibilité d'impliquer davantage l'expertise de l'inspection générale de la territoriale pour réaliser des audits. Cela permettra d'améliorer la gouvernance territoriale et favoriser le développement à la base. Ainsi, chaque gouverneur pourra être évalué sur des indicateurs concrets, notamment le nombre des projets concrets effectivement réalisés dans sa province. Il sera également essentiel d'évaluer la réduction des conflits du pouvoir coutumier et communautaire. Ces évaluations seront non seulement un outil de suivi, mais un levier pour inciter à la mobilisation des ressources et à la mise en œuvre des solutions adaptées aux besoins des communautés locales", a-t-il dit.
Ces assises sont organisées sous le thème : "Renforcer la Gouvernance des Provinces afin d'assurer la cohésion communautaire, facteur clé de la réussite du Programme Développement 145 Territoires”.
Marcelo Mfumu
L’Inspection Générale de Finances (IGF) a informé dans un communiqué parvenu à 7SUR7.CD, ce jeudi 28 novembre 2024, le programme des obsèques de l’inspecteur général des Finances chef de service adjoint Victor Batubenga Pandamadi, décédé le samedi 23 novembre 2024 à Bruxelles.
La veillée mortuaire est prévue le mardi 03 décembre dans la salle Via Nova, sur l’avenue de la Science n° 4630, au croisement des avenues de la Science et Prince de Liège à Kinshasa/Gombe.
La levée du corps s’effectuera à l’hôpital du Cinquantenaire de Kinshasa le 04 décembre à 9h00, il s’ensuivra un recueillement sur l’esplanade du Palais du Peuple.
Les agents et cadres de l’IGF vont lui rendre des hommages professionnels à 12h dans l’enceinte du siège de cette institution de contrôle financier et l’inhumation aura lieu au cimetière Mbenseke Futi Nouvelle Cité II à 14h.
Pour le moment, le deuil se tient dans la résidence familiale sur l’avenue Bandoma n°8, quartier GB dans la commune de Ngaliema.
David Mukendi K.
Le Tribunal de Paix de Kinshasa-Gombe a condamné Seth Kikuni Masudi, président du parti Piste pour l’Émergence et ancien candidat à l’élection présidentielle, à un an de prison pour incitation à la désobéissance civile et propagation de faux bruits, a appris l’AFP vendredi.
Dans une déclaration officielle, son parti politique a dénoncé une “farce judiciaire” et un “procès politique” orchestré pour museler l’opposition au président Félix Tshisekedi. “Monsieur Seth Kikuni demeure innocent, en fait comme en droit. Il est victime d’un procès arbitraire visant à faire taire toute voix dissidente”, affirme le texte.
Le jugement, rendu dans l’enceinte de la prison centrale de Makala où le procès s’est déroulé, est qualifié de “partial” par le parti. Selon Piste pour l’Émergence, le ministère public n’aurait apporté aucune preuve pour étayer les accusations. Le parti accuse également l’Agence Nationale des Renseignements (ANR) d’avoir instrumentalisé la justice. “L’administrateur général de l’ANR a donné injonction au procureur général pour infliger une peine exemplaire”, souligne la déclaration.
Arrêté le 2 septembre dernier dans ses bureaux, Seth Kikuni a été détenu pendant 13 jours sans contact avec ses proches ni ses avocats avant d’être transféré au parquet général de Kinshasa. Son procès intervient dans un contexte de tensions politiques accrues en République démocratique du Congo, alors que le pays fait face à des défis sécuritaires liés à la rébellion du M23 soutenue par le Rwanda, selon Kinshasa.
Dans une lettre adressée au parquet et consultée par ACTUALITE.CD, l’ANR avait souligné que “ce discours doit être découragé par un châtiment exemplaire” en cette période critique pour la cohésion nationale.
Piste pour l’Émergence exige la “libération immédiate et sans condition” de son leader ainsi que “l’annulation pure et simple” de sa condamnation qu’elle juge “honteuse”.
actualite.cd/CC
Jacky Ndala, membre du parti Ensemble de la République, a été placé sous mandat d’arrêt provisoire au cours d’une audience tenue ce jeudi 28 novembre devant le tribunal de paix de Kinshasa/Kinkole.
À en croire ses avocats, l’audience du jour a connu la poursuite de l’instruction de l’affaire ainsi que la plaidoirie des parties. Le ministère public a requis trois ans de servitude pénale à l’encontre du prévenu.
« Dans la journée de ce 28, il devait y avoir bien sûr l’instruction du dossier sur les prétentions des faux bruits contre Monsieur Jacky Ndala par la partie dite République et par le ministère public. Au sortir de cette instruction, il y a eu des bien sûr des plaidoiries des parties et le ministère public a demandé à ce que Jacky Ndala, conformément à l’article 68 du code de procédure pénale, soit maintenu en attendant la décision du tribunal. Donc dans les réquisitions du ministère public, il demande trois ans de détention et 1000 dollars pour la partie République pour dommages-intérêts mais également 1 million pour frais de dommage à la justice », a déclaré à ACTUALITE.CD, maître Biselo, avocat de Jacky Ndala.
L’affaire est actuellement prise en délibérée en attendant le jugement dans le délai prévu par la loi.
Ce dernier est poursuivi pour des faits constitutifs de propagation des faux bruits. Selon le ministère public, Jacky Ndala aurait tenu sur les réseaux sociaux des propos faisant état de viols et mauvais traitements qu’il aurait subi dans sa cellule lors de son incarcération, des propos qui seraient faux.
actualite.cd/CC
La pluie qui s’est abattue sur la ville-province de Kinshasa, mardi 26 novembre, a fait au moins un mort et plusieurs dégâts matériels dans certaines communes.
Dans quelques quartiers, des murs de maisons se sont écroulés. C’est le cas à Maluku et à Ndjili Brasseries. Au quartier Mikondo à Nsele, un mur est tombé sur une fillette de cinq ans vers 23 heures et a causé son décès.
Des Inondations ont été enregistrées dans plusieurs quartiers, même au centre-ville.
A Selembao, des érosions ont évolué d’après son bourgmestre. C’est le cas notamment au quartier Ngafani.
Les dégâts de pluie sont récurrents dans la capitale congolaise, aggravés par les constructions anarchiques et le manque de curage des caniveaux et cours d’eau.
Plus de 300 maisons ont été complètement inondées sur le site Sikotra Lokali dans la commune de la Nsele, à la suite de la pluie diluvienne qui s’était abattue mardi 5 novembre à Kinshasa.
radiookapi.net/CC