L'artiste chanteur et rappeur franco-congolais, Maître Gims, de son vrai nom Gandhi Djuna, est attendu samedi 14 décembre 2024, à Paris, pour livrer un concert inédit à La Défense Arena, en France.

Le site officiel de la billetterie de ladite salle consultée confirme le concert par un appel solennel aux amoureux de la bonne musique. «Venez vivre une expérience musicale inoubliable avec le concert tant attendu de Gims à Paris La Défense Arena, qui se déroulera finalement le 14 décembre 2024. Cet événement exceptionnel est incontournable pour tous les amateurs de musique et les fans de cet artiste talentueux», peut-on lire.

Selon la même source, «ce spectacle de Maître Gims, initialement prévu le 7 mars 2024, à l’occasion de sa tournée américaine, avait été reporté au 14 décembre 2024. Vous êtes fan de pop, de chanson française ou de rap, ce concert est fait pour vous; car, l’artiste a le don de mélanger les styles comme personne. Laissez-vous emporter par les mélodies entraînantes et les paroles percutantes de Gims et créer des souvenirs qui resteront gravés dans votre esprit», a-t-il révélé.

Natif de Kinshasa, le fils du chanteur franco-congolais Djuna Djanana, Maître Gims demeure, à ce jour, l’un des artistes les plus écoutés sur les plateformes de streaming, avec des millions d’écoutes et plusieurs tubes en vogue.
 
Don Benjamin Makolo


Dans son arrêté rendu public ce mercredi 11 décembre, la ministre de l'ESU -Enseignement supérieur et universitaire-, Marie-Thérèse Sombo, a suspendu jusqu'à nouvel ordre le traitement des dossiers de demande de prise en charge, d'autorisation de fonctionnement et d'agrément des établissements d'enseignement supérieur et universitaire.

Toutefois, précise la ministre de l'ESU, seules les initiatives du Gouvernement et celles entrant dans le cadre du Partenariat Public-Privé, en lien avec les secteurs porteurs de croissance du pays, pourront être examinées à la lumière du Décret n° 15/040.

Cette décision, rajoute-t-elle, fait notamment suite aux recommandations des Etats Généraux relatifs à l'organisation de l'audit de viabilité des établissements publics et privés de l'ESU.

Et aussi, le ministre justifie son arrêté par la recommandation du Président de la République, Chef de l'Etat, formulée lors de la réunion ordinaire du Conseil des Ministres du 20 septembre 2024, concernant l'urgence d'accélérer l'amélioration de la gouvernance du secteur de l'ESU.

La ministre Marie-Thérèse Sombo invite le Secrétaire Général à l'Enseignement Supérieur et Universitaire de l'exécution du présent Arrêté, qui entre en vigueur à la date de sa signature, le 09 décembre dernier.

Grevisse Tekilazaya 

 


Le Forum Régional des pays de la CEEAC -Communauté Economique des Etats de l'Afrique Centrale- sur l’EFTP -Enseignement et la Formation Techniques et Professionnels- a ouvert ses portes, ce mardi 10 décembre 2024, à Kinshasa, capitale de la RDC -République démocratique du Congo-. 

Lancé par la Première ministre Judith Suminwa Tuluka, ce forum se veut une rencontre de haut niveau organisée par le Bureau Pays de l’UNESCO -Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture-, en collaboration avec le ministère national de la Formation Professionnelle. 

Ces assises sont axées sur le thème : "L’EFTP face aux défis de l’employabilité des jeunes en Afrique centrale : Quelles perspectives pour la réalisation de l’Objectif Durable de Développement 8".

L’objectif principal de ce forum est de développer une stratégie régionale, pour le développement de l’EFTP en Afrique centrale, en vue d’améliorer la transmission des compétences, l’employabilité, les programmes pour répondre aux demandes de transitions numériques et vertes, ainsi que la mobilité des jeunes au sein des États membres de la CEEAC.

Dans sa prise de parole, la Première ministre a réitéré l'engagement de son Gouvernement à faire de la formation professionnelle un pilier majeur de la croissance économique, et de l’amélioration de la qualité de vie de la population. Ce qui explique, à en croire la Cheffe du Gouvernement, des réformes ambitieuses initiées par son Gouvernement. 

"Conscient des enjeux et du rôle crucial de ce secteur dans le développement socio-économique de notre pays, le Gouvernement, sous l’impulsion de la vision définie par le Président de la République, dans son Programme d’Actions 2024- 2028, s’est engagé, de manière forte, avec courage et détermination, à renforcer notre système éducatif, en faisant de la formation professionnelle un pilier majeur de la croissance économique et de l’amélioration de la qualité de vie de notre population. Cet engagement pour le développement de notre capital humain est porté par une série de réformes ambitieuses, pour la transformation de notre système d’éducation et de formation, en particulier dans le domaine technique et professionnel", a déclaré la Première ministre. 

Par ailleurs, la Cheffe de l'Exécutif national a exprimé son soutien aux pays de la région et aux partenaires au développement, pour avoir fait de cette vision une réalité, en mettant en place une stratégie régionale pour l'EFTP, adaptée aux besoins sociaux et à la demande croissante d’une main-d’œuvre qualifiée dans des secteurs en forte croissance. 

La RDC pour la dynamique régionale de l'UNESCO et de la CEEAC

Le ministre de la Formation professionnelle, Marc Ekila, tient aux résolutions de ces assises pour l'avenir de l'EFTP. 

"Je suis convaincu que ce forum nous permettra de dégager des priorités stratégiques concrètes, pour l’avenir de l’EFTP, et je m’engage à soutenir activement les résultats qui en découleront. C’est donc là le reflet clair de la volonté de la RDC à s’inscrire dans la dynamique régionale de la CEEAC", a-t-il déclaré. 

Isaias Barreto da Rosa, Représentant pays de l'UNESCO en RDC, a pour sa part indiqué que "ce forum revêt une importance capitale, pour la transformation du système éducatif dans les pays de la région, et constitue une opportunité pour

renforcer les mécanismes de dialogue entre les pays, afin de veiller à ce que la région soit un espace qui s’adapte au changement économique, environnemental, social et culturel". 

Cette rencontre réunit des experts des institutions d’enseignement et de formation (publiques et privées), des institutions du monde économique et des finances, des partenaires au développement, des universitaires, des chercheurs, des entrepreneurs et des politiques, pour réfléchir ensemble à la recherche d'approches alternatives et innovantes, pour une meilleure prise en compte de la formation professionnelle et qualifiante des jeunes, aussi bien dans le secteur formel que non formel en Afrique centrale.

Serge Mavungu

 


A travers un communiqué du Parlement congolais, rendu public mardi 10 décembre 2024, les sénateurs et députés de la République démocratique du Congo sont convoqués en Congrès, ce mercredi 11 décembre, pour «l’audition du Discours du Président de la République Félix Tshisekedi sur l’état de la Nation».

Selon ce document du Parlement congolais, un seul point est retenu à l’ordre du jour : «l’audition du discours du Président de la République sur l’état de la Nation, conformément à l’article 77 de la Constitution».

Lors de son précédant discours sur l’état de la Nation, prononcé en novembre 2023, le Président Félix Tshisekedi avait invité les Congolais à s’investir, pour consolider l’élan du progrès lancé durant son premier quinquennat, tout en rappelant que l’État de siège avait réussi à limiter le coulage des recettes et «les fraudes existant depuis des décennies», dans cette partie du territoire national.

Pour ce premier speech de son deuxième mandat depuis les élections du 20 décembre 2023 dernier, le Chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi est attendu, selon l'opinion publique, pour donner des réponses aux questions qui divisent la classe politique, entre autres, celle sur la révision ou le changement de la Constitution qui, selon ses détracteurs, serait un alibi pour duper le peuple et s'offrir un boulevard vers un troisième mandat, et, aussi, la situation sécuritaire qui prévaut dans la partie Est de la République, avec tous ces groupes armés, dont le M23 -Mouvement du 23 mars- et l'AFC -Alliance Fleuve Congo- de Corneille Nangaa, qui endeuillent les populations congolaises. Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo ne devra pas manquer, dans son Grand Oral, de répondre aux questions des inquiétudes de la population sur le plan social, avec la problématique du panier de la ménagère; la question des infrastructures, avec une attention particulière sur la construction ou la réhabilitation des routes; la question sur l'énergie avec l'eau et l'électricité, qui deviennent de plus en plus difficiles à trouver.

Don Benjamin Makolo



Un concert de musique classique réunissant trois ensembles musicaux, est prévu samedi 7 décembre 2024 à l’Institut Français de Kinshasa dans la commune de la Gombe, nord de Kinshasa en République démocratique du Congo (RDC), a appris l’ACP jeudi des organisateurs.

« Ce samedi 7 décembre à 18 h 30, l’ensemble vocal ‘‘Bel Canto’’, le ‘‘Chœur des Anges’’ ainsi que l’orchestre de chambre ‘‘La Clémence’’, placés sous la direction de Thierry Thiebaut, chef d’orchestre et président du Chœur ‘‘Joie Internationale’’, vont se mettre à l’œuvre pour vous offrir ce fameux Requiem de Mozart compté parmi les plus belles compositions musicales », a déclaré Mamie Wivine Kabengele, initiatrice du projet.

Décrivant cette composition du célèbre Mozart, elle a indiqué : « Dernière œuvre de W.A Mozart, le Requiem en Ré mineur KV626 demeurera inachevé, sa composition s’interrompant sur le poignant Lacrymosa, alors que Mozart rendait son dernier souffle. Son élève F.X Süssmayer complètera l’écriture reprenant d’ailleurs le thème original du Kyrie dans l’Agnus Dei ».

L’accès à cette production musicale est gratuit en guise de cadeau de fin d’année, signale-t-on.

Au-delà de sa configuration d’ensemble vocal, ‘‘Bel Canto’’ est aussi une association philanthropique qui a pour but de contribuer au rayonnement des arts et de la culture.

ACP/C.L./CC



Siégeant au degré d'appel, la Haute Cour militaire de la RDC a rendu son verdict, ce jeudi 5 décembre, dans l'affaire opposant le ministère public aux 26 prévenus membres du mouvement politico-militaire Alliance du Fleuve Congo.

Dans sa décision, la plus haute juridiction militaire du pays a confirmé l'œuvre du premier juge, en condamnant à la peine de mort les cinq prévenus qui ont comparu physiquement et formé appel, pour les infractions de trahison et de  participation à un mouvement insurrectionnel. 
Il s'agit d'Eric Nkuba Shebandu alias Malembe, de Samafu Makinu Nicaise, de Nangaa Baseyane Ruttens, de M'Kangya Nyamatshaba alias Microbe et de Safari Bishori Luc.

Quant à Corneille Nangaa et les 20 autres prévenus condamnés par défaut au premier degré, la Haute Cour a décidé de surseoir la procédure en appel à leur égard, conformément à l'article 94 du Code de procédure pénale militaire. Cet article dispose qu'une personne condamnée par défaut au premier degré ne peut pas être jugée par défaut au degré d'appel.

Cela revient à dire que la procédure en appel ou en opposition contre Corneille Nangaa et ses complices condamnés à la peine de mort par le premier juge ne pourra être enclenchée que si l'arrêt rendu au premier degré leur est notifié.

À la question de savoir si la confirmation de la peine capitale contre les 5 prévenus qui ont comparu physiquement suffit pour exécuter la peine de mort contre eux, les juristes soulignent qu'il existe encore à leur disposition une voie de recours extraordinaire qui est le pourvoi en Cassation devant la Cour de cassation.

Eric Nkuba Shebandu alias Malembe, de Samafu Makinu Nicaise, de Nangaa Baseyane Ruttens, de M'Kangya Nyamatshaba alias Microbe et de Safari Bishori Luc ont donc encore devant eux la possibilité d'introduire un énième recours dans le délai légal imparti dans l'espoir de se tirer de l'affaire.

Rappelons que les 26 prévenus membres de l'Alliance du fleuve Congo ont été condamnés à la peine de mort par la Cour militaire de Kinshasa/Gombe en date du 8 août 2024. La justice militaire avait par ailleurs prononcé la confiscation des biens de Corneille Nangaa, de son épouse Yvette Lubanda et de Jean-Jacques Mamba.

La Cour avait aussi déchu de son grade de major, Willy Ngoma, porte-parole militaire du M23 et exigé à tous les 26 prévenus condamnés à la peine de mort de payer 1 milliard de dollars américains à titre de répartition civile pour les dommages qu'ils ont fait subir à la République démocratique.

Ces prévenus ont été poursuivis au total pour trois infractions, à savoir : crime de guerre, participation à un mouvement insurrectionnel et  trahison.

ODN



L’As Maniema Union disputera son deuxième match de la Ligue des Champions de la CAF du groupe B ce vendredi 6 décembre. Les Congolais vont se mesurer aux Marocains du Raja Club de Casablanca au stade des Martyrs à 15 heures locales.

Les unionistes ont l'intention de réaliser un bon résultat en remportant une victoire, pour mieux se positionner dans leur groupe très compétitif. Lors de la conférence de presse avant le match, l'entraîneur de Maniema Union a affirmé que son équipe est en pleine forme et prête pour le match crucial contre Radja club, une grande équipe ayant remporté plusieurs fois cette compétition africaine. Il a fait remarquer que la tâche sera ardue pour son équipe, mais que ses joueurs joueront sans pression, déterminés à obtenir un bon résultat.

« L'équipe se porte très bien. On a eu suffisamment de temps pour bien récupérer et bien travailler aussi, mettre toutes les stratégies en place pour essayer de faire un bon résultat demain. Donc, on est bien. Ce n'est pas seulement les fans de Manny Magno, c'est tous les Congolais en général. En particulier ceux de Manny Magno, mais on connaît aussi que Raja c'est une grande équipe. Ils ont déjà gagné par le passé 4 ou 5 fois, je ne sais pas, la Ligue des Champions. Donc, nous on est conscients que la tâche sera très très difficile demain. Mais néanmoins, je compte sur mes joueurs qui sont libérés. On va jouer sans pression. En même temps, on va tout donner pour essayer d'arracher les 3 points chez nous. C'est quelque chose qui va être difficile pour nous et pour eux aussi, mais nous on compte sur notre public là, justement, pour nous pousser à aller chercher ces 3 points demain. On a vraiment envie de faire un bon match demain », a déclaré Papy Kimoto, entraîneur de Maniema Union en conférence de presse d’avant match.

Ce match s'annonce passionnant, car les Congolais ont actuellement un point et cherchent à se positionner de la meilleure manière après leur nul inaugural. Les Marocains se trouvent à la dernière place du groupe avec 0 point en deux sorties.

Fiston MOKILI



Les Léopards dames de handball de la République démocratique du Congo (RDC) ont bouclé leur aventure à la 26ᵉ édition du Championnat d’Afrique des Nations (CAN) 2024 sur une note positive. Vendredi 6 décembre, elles ont dominé les Diables Rouges du Congo-Brazzaville (30-28) lors du match de classement pour la 5ᵉ et 6ᵉ place. Cette rencontre, disputée au stade des Martyrs à Kinshasa, a permis aux joueuses de la RDC de clôturer leur parcours en force sur un haie d’honneur du moins bien que très loin de l’objectif principal qu’est « une qualification au mondiale ».

Clap de fin. Cette rencontre de positionnement avait une saveur bien particulière. Plus qu’un simple match pour la 5ᵉ place, il s’agissait d’un duel symbolique entre deux nations voisines : « le derby du fleuve Congo » mieux le derby du pool malebo. Portées par une solide performance de Vera Ngonga Kiala, les Léopards dames ont su imposer leur rythme revanchard tout au long de la partie. En première mi-temps, elles ont pris l’ascendant avec un score serré de 16-15, avant de clore le débat en seconde période sur un écart d’un point (14-13).

« Ce match a été très difficile au début. De l’extérieur, il y avait de la fatigue sur ce dernier match. On a fait une très longue compétition, avec quatre matchs en quatre jours, donc c’est beaucoup. Derriere tout ce qui s’est passé, on ne pouvait pas perdre ce match quand même. Pour le reste, on n’a pas atteint nos objectifs, mais était là du début jusqu’à la fin. Maintenant, il faut penser à la suite : la CAN, c’est dans deux ans, et espérer un mondial dans trois ans », confie Melissa Agathe.

Christianne Mwasesa, capitaine emblématique de l’équipe, a également joué un rôle crucial dans cette victoire arrachée au terme d’une compétition qu’elle s’est livrée à cœur joie au crépuscule de la carrière glorieuse.

Organisé pour la première fois en RDC, ce Championnat d’Afrique a été une occasion unique pour les Léopards dames de se mesurer à l’élite continentale sur leur propre sol face à un public Kinois très exigeant. « on a fait une très bonne compétition, la première à la maison. Le public a été présent du début jusqu’à la fin », reconnaît-elle.


Bien qu’elles n’aient pas atteint leurs objectifs initiaux, leur performance courageuse a marqué les esprits et a réuni un public fidèle à fond derrière elles : une première pour la discipline dans la dernière décennie.

Fatigue accumulée. Défis Égyptiens, Camerounais, Angolais rencontrés. Les Léopards dames sortent bien garnies de 26è CAN. Une 5è place, leur offre une base solide et un sacrè tremplin pour bien se projeter avec une génération en plein essor. Clément Machy a bien goûté à son grand Baptême. Il y sort avec les axes d’amélioration telles que les phases d’animations offensive que défensive : un jeu collectivement en bloc dans les deux pôles.

Jenovic Lumbuenadio



Le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge a échangé, jeudi 5 décembre à Kinshasa avec une délégation du Sous-comité pour la prévention de la torture et autres peines ou traitements cruels inhumains ou dégradants (SPT) venue faire un plaidoyer sur la prévention de la torture.

Le chef de cette délégation, Hamet Saloum Diakhate, a fait remarquer que le SPT est un des mécanismes des Nations-unies chargé de la prévention de la torture et autres formes de mauvais traitements. Il a commencé ses travaux en février 2007.

Pour Hamet Saloum Diakhate, la démarche de la délégation consiste à accompagner le pays à mettre en place le mécanisme de suivi contre la torture sur le plan légal. 

radiookapi.net/CC



Les gros importateurs des vivres et autres produits de première nécessité ont affirmé, jeudi 5 décembre, disposer dans leurs entrepôts de stocks suffisants pour couvrir la période des fêtes de fin d’année, où la demande augmente sur le marché.

Ils ont donné cette assurance au vice-Premier ministre, ministre de l’Economie nationale, Daniel Mukoko Samba, au cours d'un échange à Kinshasa.

La délégation de ces importateurs, conduite par Laurent Yogo, chef du Département en charge des questions juridiques et sociales à la Fédération des entreprises du Congo (FEC), était constituée de représentants de SOCIMEX, Mondiale Food, AfriFood, SODECO, BELTEXCO, Premium Food… 

Ces derniers ont tous affirmé que leurs sociétés disposent d’importants stocks pouvant permettre à la population congolaise de passer les festivités de fin d’année sans inquiétude et continuer à s’approvisionner sous le même rythme pendant tout le premier trimestre de l’année 2025.

radiookapi.net/CC

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A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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