Le Gouvernement vient de rendre public la liste de mesures actualisées pour prévenir contre le nouveau variant « omicron » apparu en Afrique Australe et à la recrudescence de la pandémie dans plusieurs pays du monde.
Ces mesures actualisées et renforcées ont pour objectifs de limiter l’importation de cas infectés, des variants dangereux et d’augmenter la couverture vaccinale dans les populations cibles.
Parmi ces mesures, le gouvernement indique que pour tout accès sur le territoire congolais, le voyageur doit être soumis au test PCR COVID-19 et/ou antigénique rapide réalisé par les services du ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention.
Par ailleurs, pour les voyageurs en provenance des pays à haute circulation de Covid-19, un test RT PCR rapide réalisé aux frontières est strictement obligatoire.
Le gouvernement a également insisté sur le port obligatoire et correct des masques dans tous les espaces publics, notamment les lieux de travail, les écoles, les lieux de culte, les commerces, les banques, les lieux de déroulement des activités sportives, les universités, les hôpitaux, les transports publics, les restaurants, les établissements d’hébergement et tous les édifices publics.
« Il s’agit d’un masque sans ventilation, fabriqué en tissu ou en matière jetable, qui s’ajuste étroitement sur le visage, couvre le nez, la bouche et le menton, destiné à empêcher la contamination par une proximité ou contact entre personnes. Les accessoires en tissu de type: handanas, écharpes au foulards ne peuvent plus être assimilées à des alternatives au masque », précise Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement.
Outre ces mesures, il y a également :
- Le renforcement des dispositifs de contrôle et de prévention à chaque entrée d’un édifice public impliquant la prise de la température corporelle, le lavage des mains à l’eau et au savon et/ou l’application des gels hydro-alcooliques;
- Le strict respect de la distanciation physique en tout lieu ;
- La présentation à la frontière, d’une attestation médicale du test COVID-19 PCR négatif réalisé endéans 72 heures du départ dans le pays d’origine ou de provenance pour tout accès au territoire national,
- La présentation d’une attestation médicale confirmant le résultat PCR COVID-19 négatif réalisé moins de 72 heures avant le voyage par l’INRB ou dans toute autre formation médicale dûment agréée par le ministre de la Santé publique, Hygiene et Prévention pour toute sortie du territoire national
- Pour tout déplacement interprovincial, l’obligation au voyageur de détenir une attestation médicale confirmant le résultat PCR COVID-19 négatif établi par l’Institut National de Recherche Biomédicale (INRB) ou par toute autre formation médicale dûment agréée par le Ministre ayant la Santé publique, Hygiène et Prévention dans ses attributions, dans les 72 heures avant le départ. La validité du test en provinces est de 14 jours;
- La stricte application du couvre-feu de 23H00 à 04H00 du matin est à renforcer.
« Des patrouilles mixtes, de la Police et de la Police militaire, seront régulières et tout contrevenant sera sévèrement puni selon les prescrits de la loi », prévient le porte-parole du gouvernement.
Le variant B.1.1.529 (Omicron) a été signalé pour la première fois à l’OMS en Afrique du Sud le 24 novembre 2021. Au cours des dernières semaines, le nombre d’infections a fortement augmenté, à un moment coïncidant avec la détection du variant B.1.1.529. Les experts estiment que ce variant présente un grand nombre de mutations que le variant Delta.
Selon le drecteur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, Omicron est déjà confirmé dans 23 pays à travers le monde.
Carmel NDEO
Le Tout puissant Mazembe s'est qualifié pour la phase des groupes de la coupe de la confédération-CAF, après avoir réalisé un nul blanc (0-0) dimanche 5 décembre face à Marumo Gallants FC, au Peter Mokaba Stadium de Polokwane.
Les Lushois se qualifient grâce à leur victoire (1-0) du match aller à Lubumbashi.
Dans la même compétition, Maniema Union a également réalisé un nul (1-1) face à Pyramids FC au Caire (Egypte). Mais les Unionistes sont éliminés pour avoir perdu au match aller à Kinshasa.
Enfin, le Daring Club motema pembe (DCMP) quitte la compétition, malgré sa victoire (1-0) face à l’Union de la Gendarmerie Nationale du Niger au stade des Martyrs de Kinshasa.
Les imaniens n'ont pas su remonter le score après leur défaite à Niamey (0-2)
radiookapi.net/CC
Le Tout Puissant Mazembe de Lubumbashi a obtenu sa qualification ce dimanche 05 décembre 2021 en Afrique du Sud, au Peter Mokaba stadium de Polokwane. Les corbeaux ont réalisé un nul de zéro but partout face à Marumo Gallants qu'ils avaient battus à Kamalondo sur la note d'un but à zéro la semaine passée en match aller des barrages de la C2 CAF.
En première mi-temps tout comme en deuxième, Mazembe et Marumo Gallants ont tenté d'ouvrir le score sans y arriver. Quelques remplacements intervenus du côté Mazembe, avec l'entrée de Jean Baleke et Rabby Mayombo n'ont pas également permis au club de Kamalondo de prendre le dessus à l'extérieur.
Les corbeaux ont peiné face aux multiples incursions, en toute fin de rencontre des sud-africains avant d'arriver à la qualification. A la 50ème minute, Marumo Gallants va manquer de scorer alors que le portier de Mazembe était battu. Au bout de 90 minutes, le score va demeurer de zéro but partout et Mazembe se qualifie grâce à sa victoire au match aller à Kamalondo gagné par un but à zéro.
José MUKENDI
Elle aurait rêvé de Luambo Makiadi qui lui a demandé de chanter pour le pays et dénoncer la descente aux enfers de son Zaïre. Tshala Mwana a ainsi composé une chanson dans laquelle la reine de Mutuashi a dénoncé certaines pratiques du régime.
Quelques semaines après, c’est le Maréchal Mobutu qui s’est adressé à Mbilia Bel. Le Feu Mobutu, aurait plutôt livré à Mbilia un message d’amour et de soutien au Chef de l’État.
” il m’a dit si le pays ne va pas de l’avant, il ne faut pas s’en prendre au président de la République. C’est plutôt la faute à vous congolais qui ne soutenez pas votre président” a déclaré la star congolaise.
Mbilia Bel affirme que dans son rêve, elle n’a pas reçu que le message du Maréchal Mobutu, mais aussi celui de Tabu Ley et de Luambo Makiadi.
Son maître, Rochereau lui aurait donné un message pour la cohésion entre les artistes musiciens congolais.
Pour les observateurs, c’est donc l’affrontement entre les deux stars féminines de la musique congolaise, une épisode qui marque bien entendu la bipolarisation de la vie politique qui affecte la culture.
Bolangi Ikokota
M. Kaputo Kalubi Alphonse est nommé nouveau Président du Conseil d'administration de la Société générale des carrières et des mines (Gécamines). Il remplace ainsi Albert Yuma Mulimbi qui occupe ce poste depuis plus d'une décennie. De son côté Mme Kawanda Jeanne Blandine est désormais Directeur général de la Direction générale des douanes et accises (DGDA). Elle remplace Jean-Baptiste Kabila Kongolo qui assumait l'intérim depuis avril 2020. Ces ordonnances présidentielles ont été lues vendredi 3 décembre 2021 à la Télévision nationale.
Albert Yuma a été confirmé en juin 2020 dans ses fonctions de PCA de la Gécamines lors de l’Assemblée générale ordinaire qui a entériné sa nomination du 29 mai 2019 par l’ordonnance du président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Les personnalités suivantes font également partie du conseil d'administration de l'équipe de Kaputo Kalubi Alphonse :
• Lukama Guy Robert
• Kitenge Kalungu Rubby
• Mpozi Mulumba Tecla
Muhembo Kitangu Bob
• Madame Kiwewa Malunda Mabonzu Nelly
• Madame Muhema Pahiniye Grâce.
En ce qui concerne la nouvelle cheffe de douanes et assises, elle sera accompagnée de deux directeurs généraux adjoints.
Il s'agit de M. Kabese Bernard qui est en charge de questions techniques et M. Bahuna Jean-Louis en charge de questions financières et administratives.
Auguy Mudiayi et Auguy Mudiayi
Le gouvernement provincial a rejeté la décision de l’assemblée provinciale portant sa déchéance à l’issue d’une motion de censure.
Le porte-parole du gouvernement Nguabidje parle d’un acte nul et relève une série d’irrégularités ayant entaché le déroulement de la plénière de l’assemblée provinciale de jeudi 2 décembre à Bukavu, ayant conduit à cette déchéance.
Au nombre d’irrégularités évoquées figurent celles d’ordre constitutionnelles sur la libre administration des provinces. Celles en rapport avec le règlement intérieur et encore les instructions reçues du ministère de l’intérieur à Kinshasa.
Le gouvernement provincial évoque le règlement intérieur de l’assemblée provinciale au sujet du quorum de décision qui, dans ce cas est de 32 députés présents sur les 48 inscrits.
or, affirme le porte-parole du gouvernement provincial, seuls 22 députés provinciaux ont participé à la plénière. Il accuse ainsi le bureau de l’assemblée d’avoir utilisé le mode de vote par correspondance.
Pour le gouvernement provincial déchu, cet acte posé par l’assemblée provinciale est de nul effet et que les responsables devront répondre devant la justice.
Par ailleurs, le gouverneur Théo Nguabidje Kasi a même présidé ce vendredi 3 décembre matin la réunion hebdomadaire du conseil des ministres provinciaux. Ce, avant de s’envoler pour Kinshasa où il est allé répondre à l’invitation de sa hiérarchie, a-t-il dit.
radiookapi.net/CC
Dans un communiqué publié jeudi 2 décembre à Kinshasa, la Fédération Congolaise de Football Association, (FECOFA) a annoncé le décès du président de la ligue nationale de football féminin (LINAFF), Grégoire Badi Ediba Elonga.
L'illustre disparu s'est éteint ce même jeudi à l’hôpital Général de Référence de Makala (Ex-Sanatorium).
Grégoire Badi Ediba Elonga est Président de la Ligue Nationale de Football Féminin depuis 2018, après avoir occupé les fonctions de Secrétaire Général de la Fédération congolaise de football association entre 2009 et 2017.
CC
Le film du réalisateur belge Thierry Michel intitulé « Empire du silence » retrace les 25 dernières années de la RDC pendant lesquelles l’impunité a largement régné. Le film a été projeté pendant 3 jours dans la salle de spectacle du Palais du peuple soit les soirées du vendredi 26, du samedi 27, et du lundi 29 novembre dernier.
Une foule hybride et métissée a mesuré l’atrocité des événements passés en revue, qui ont caractérisé plus de 20 ans d’atteinte aux droits de l’homme en RDC, dans ce film documentaire d’histoires vraies, qui rassemble images parfois horribles, interviews des victimes, des experts, des journalistes, des scientifiques, etc. C’est la résultante de plus de 10 films de Thierry Michel qui raconte chacun une partie de l’histoire de la RDC.
Le documentaire de 90 minutes est une vraie page d’histoire de la RDC partant de la fin des années 90 avec la chute de Mobutu, les conséquences du génocide rwandais sur l’Est de la RDC où des tueries sont perpétrées jusqu’à ce jour. Il remonte à la prise de pouvoir de Mzee Kabila puis Joseph Kabila, la période de 1+4 après l’accord de Sun city en 2002. Il évoque des sujets choquants comme la guerre de 6 jours à Kisangani, les violences au Kasaï avec les Kamwena Nsapu, ce qui a causé une mort tragique de Zaida Catalan et Michael Sharp, experts de l’ONU qui enquêtaient sur la situation en 2017.
Des illustrations du discours du docteur Denis Mukwege, qui a cité plusieurs atrocités, notamment des violences sexuelles, lors de la remise du prix Nobel de la paix en 2018. Les intervenants : militants, victimes, experts ou autres, sont unanimes sur l’application du rapport Mapping qui liste plus de 600 massacres commis en RDC et que les bourreaux répondent de leurs actes.
Le film pose une question sérieuse sur la présence de la mission des Nations-Unies pour le maintien de la paix, qui coûte plus chère que n’importe quelle autre de l’ONU mais qui, malgré le temps passé dans le pays, ne produit les résultats requis.
Un des objectifs majeurs de ce film est de ne pas tomber dans l’amnistie, ni au niveau national ni au niveau international. « C’est un film contre l’oubli, pour reconstituer le puzzle. Ce qui s’est passé n’a pas été beaucoup médiatisé, on en parle rarement », a dit à Thierry Michel le dernier jour de la projection.
Ce même film est prévu d’être encore projeté en février 2022 à Goma, Bukavu, Kisangani, et de nouveau à Kinshasa et ultérieurement à Mbandaka, Kananga, Lubumbashi. Avant d’être diffusé au Palais du peuple, le film a été diffusé à Bruxelles, en Belgique et à Tunis, en Tunisie. Il sera également projeté à Ouagadougou au Burkina Faso, le 6 décembre.
Thierry Michel est un cinéaste qui fait des films documentaires essentiellement politiques et sociaux. Il est l’auteur des films tels que Mobutu roi du Zaïre ; l’affaire Chebeya, un crime d’Etat ; Congo river ; Katanga, la guerre civile, qui parlent déjà de la RDC.
Emmanuel Kuzamba
Une ligne verte dédiée à l'enregistrement et le suivi des cas des violences sexuelles et celles basées sur le genre dans les rédactions congolaises va officiellement être lancée dans les prochains jours, . Elle résulte d'un plaidoyer de l'Union Congolaise des Femmes des Médias (UCOFEM) en collaboration avec les autorités judiciaires et policières auprès du gouvernement.
Actuellement, le numéro provisoire, est +243892432132. Il est accessible à tout professionnel des médias et ouvert 24h sur 24 même sans crédit téléphonique.
"En effet, les violences sexuelles basées sur le genre sont une réalité dans les médias malgré le fait que les victimes ne les dénoncent jamais officiellement", renseigne Rose Masala, présidente nationale de l'UCOFEM.
Elle cite parmi les formes de violence, le travail sans salaire ou sans contrat, ni promotion, ainsi que des écarts salariaux.
"Cette précarité entraîne les VSBG, notamment le harcèlement sexuel en milieu professionnel. Nous dénonçons cet état de choses. Et ce numéro va désormais permettre aux victimes de dénoncer en toute discrétion et sécurité les violences qu’elles subissent" ajoute la coordonnatrice.
Des procès publics contre tous les cas signalés seront ouverts et dans la mesure du possible un accompagnement nécessaire sera proposé aux victimes durant tout le processus.
"Nous recommandons aux responsables des médias de veiller au bon climat de travail dans leurs organes respectifs, en appliquant sans complaisance la législation en vigueur."
Prisca Lokale
Toute personne handicapée a droit à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale, qui lui garantit, en vertu de cette obligation, l’accès aux droits fondamentaux reconnus à tous les citoyens ainsi que le plein exercice de sa citoyenneté.
Ami lecteur, arrêtons-nous sur cette définition et confrontons-la à la réalité du quotidien. Chaque jour, des enfants en situation de handicap ne peuvent accéder à une école, des travailleurs doivent quitter leur entreprise car les logiciels utilisés ne sont pas adaptés, des personnes ne peuvent aller où elles veulent en raison de multiples obstacles.
De nos jours, la plupart des personnes ont une vision restreinte, voire clichée, du handicap, en imaginant automatiquement une personne en fauteuil roulant, avec des malformations physiques ou une canne blanche à la main. Cependant, il ne faut pas oublier qu’un handicap n’est pas toujours visible.
En Occident, si on ne peut nier que des progrès ont été réalisés ces 50 dernières années, il reste des pans entiers à améliorer. Quant à la RDC, le chantier y est encore plus grand…
Car il est impossible de discuter de tout, ami lecteur, structurons dans cet article, notre réflexion autour de 4 grands défis, auxquels sont confrontés les personnes en situation de handicap. Ici, là-bas …
Défi #1 : se sentir chez soi partout, être libre dans son lieu de vie
Comme tout un chacun, les personnes en situation de handicap aspirent, quel que soit leur âge, à se sentir bien chez elles. Le défi consiste par conséquent à développer, selon les situations particulières, des services d’aide à domicile, médico-sociaux et sanitaires pour répondre à la diversité des types de situations.
L’accessibilité universelle évoque également le fait de permettre à tout un chacun, quel que soit son handicap, d’accéder sans entraves à son environnement de vie quotidienne (voiries, espaces publics, établissements recevant du public mais également l’accès aisé à des solutions de mobilité adaptées pour chacun).
Défi #2 : réussir les moments de transition de la vie
Ce défi regroupe les actions concernant la scolarité des enfants en situation de handicap mais aussi celles qui visent à accompagner les personnes de l’entrée dans l’âge adulte à la fin de vie. Prenons les questions d’accès à l’école. En 2006, l’ONU posait le « droit à l’éducation sans discrimination », comme clé de voûte morale de l’idéal inclusif. Quels que soient les données dans nos pays respectifs, convenons que derrière ces chiffres se pose la question de la réelle intégration des enfants en situation de handicap. Une école ouverte à tous, inclusive et solidaire est une chance pour les jeunes souffrant de handicap !
Défi #3 : La participation pleine et effective des personnes handicapées à la vie culturelle, récréative et sociale
Activités sportives, récréatives, culturelles, excursions, … beaucoup de personnes handicapées, ne peuvent aujourd’hui participer sur un pied d’égalité à ces activités importantes de la vie en société, simplement parce que la politique, la société et l’environnement ne sont pas conçus pour répondre à leurs besoins.
Dans ce sens, les personnes handicapées réclament une ouverture de la société et des adaptations (lieux, information…) pour leur permettre une participation active à la vie politique, culturelle et publique. Un élément important à ce niveau serait une communication et une information accessible, utilisable par tous pour exercer une citoyenneté inclusive.
L’ASBL de droit belge, « Je suis comme vous » fait un travail remarquable en la matière. « Une idée nous trottait depuis plusieurs années concernant les personnes vivants avec handicap », Aline Mamputu Ngiedikisa Présidente de l’ASBL.
Voir ces personnes, des fois, pas assez prises en charge nous a fait réfléchir. Afin d’apporter notre pierre à l’édifice, nous nous sommes réunis mon mari et moi et avons décidé de fonder une association dénommée « JE SUIS COMME VOUS », JSCV ASBL en sigle, car « le handicap est l’affaire de tous».
L’association a pour but :
- de répondre aux besoins et attentes des personnes vivants avec un handicap en matière d’informations, de communication, d’accessibilité, d’autonomie et d’intégration
- d’assister les personnes vivant avec un handicap ainsi que leurs familles, les orienter vers les services adéquats et de leur faire valoir leurs droits.
Nos objectifs sont de:
- sensibiliser et démystifier le handicap auprès des personnes valides
- les informer et orienter vers les services compétents
- les accompagner dans différentes étapes de leur vie
- défendre leurs droits et répondre à leurs besoins.
Pour atteindre ces buts et objectifs, l’association organise :
- des campagnes de sensibilisation auprès des personnes valides pour leur faire comprendre les difficultés rencontrées par les personnes vivant avec handicap ;
- des conférences.
Développer et faciliter une offre d’activités pour les personnes en situation de handicap, en milieu ordinaire est dès lors également une absolue nécessité pour les sortir de leur isolement et de leur cloisement dans des ghettos hors de l’ensemble de la collectivité nationale.
N’est-ce pas une évidence de permettre à tout citoyen cette participation pleine et active ?
Défi #4 : Attention particulière sur les question d’accès à l’emploi
L’emploi des personnes en situation de handicap progresse extrêmement lentement. Trop de freins bloquent encore les avancées ! Pourtant, la capacité des personnes en situation de handicap à voir le monde différemment peut constituer un atout pour les entreprises qui savent les valoriser.
Les personnes en situation de handicap ont des qualités à part.
Certaines entreprises l’ont compris, et se sont adaptées pour valoriser leur potentiel via des business models innovants, dont tout le monde sort gagnant.
Comment encourager les entreprises à adopter une démarche plus inclusive ?
En leur présentant des cas de personnes handicapées qui travaillent et leur montrant des exemples concrets de ce qu’est l’inclusion et ses succès.
En proposant également des formations sur la thématique du handicap et de l’accessibilité et en évangélisant les employeurs sur comment rendre leur entreprise inclusive.
En récompensant régulièrement ceux qui s’engagent dans cette démarche. En établissant des partenariats avec des chambres d’industries et des associations de dirigeants d’entreprises, pour essayer d’élargir le réseau professionnel vers lequel diriger ensuite les personnes handicapées à la recherche d’un travail.
En guise de conclusion provisoire : changeons le regard sur le handicap !
Ami Lecteur, vous l’aurez compris, l’esprit de ce texte est de faire évoluer le regard du grand public sur le handicap et de lutter contre la stigmatisation des personnes en situation de handicap.
L’inclusion des personnes handicapées est un sujet qui prend de plus en plus d’ampleur dans notre société depuis plusieurs années. Il y a une réelle pression de la société civile en faveur de l’inclusion des personnes handicapées. Une société inclusive, c’est aussi une société où l’on reconnait les personnes en situation de handicap pour ce qu’elles apportent à la collectivité. Les personnes handicapées ont leur place dans notre société qui doit s’adapter, s’ouvrir à la différence pour être plus inclusive.
Colloques, conférences, articles de revues…, quelle sensibilisation au handicap pour permettre l’inclusion effective des personnes handicapées ?
Dans notre société actuelle, qu’est ce qui est fait pour l’intégration des personnes handicapées en matière d’emploi, de lieux de vie, d’accessibilité des lieux publics, d’activités de loisirs… ? Quels avantages peut retirer le citoyen lambda d’une société inclusive ? L’inclusion des personnes handicapées est à penser à tous les niveaux : éducation, travail, sport, culture…
Les personnes handicapées sont motivées, créatives et méritent de développer leur potentiel, comme chacun d’entre nous. Nous ne pourrons aller de l’avant que quand l’ensemble de la société sera pris en compte et aura accès aux mêmes opportunités et chances. Désireux d’en savoir plus ? Contactez « JE SUIS COMME VOUS ASBL», JSCV ASBL en sigle au +32 491 89 09 76 ou par email à l’adresse This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.
Nous sommes à votre service pour organiser des activités sur cette hématique !