Le Chef de l’Etat congolais a été témoin de la prestation de serment  de son homologue namibienne, à Windhoek, aux côtés d’autres Chefs d’État, d’après la Présidence de la République démocratique du Congo. 

« Arrivé à Windhoek dans la matinée de ce vendredi 21 mars 2025, le Président de la république Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a pris part, aux côtés de plusieurs autres Chefs d’État africains, à l’investiture de Dr  Netumbo Nandi-Ndaitwah, Présidente élue de Namibie. »

Au cours d’une cérémonie protocolaire organisée au Palais présidentiel, Dr Netumbo a prêté serment, devenant ainsi la première femme Présidente de la République de Namibie et la deuxième femme africaine, après la libérienne Ellen Johnson Serlift, à accéder à cette plus haute fonction d’État après une compétition électorale.

Président sortant, M. Nangolo Mbumba a remercié le peuple namibien pour son soutien durant son exercice du pouvoir et a déclaré : «diriger la Namibie est le plus grand honneur que j’ai reçu et rien ne pourra m’enlever cela »

Il a procédé à la remise de tous les attributs du pouvoir au juge constitutionnel qui, à son tour, les a officiellement remis à Dr Netumbo Nandi, lui donnant par la même occasion l’imperium pour présider la Namibie pour les cinq prochaines années.

Investie, la nouvelle Présidente de Namibie a pris la parole pour présenter son programme et rendre un vibrant hommage aux personnes les plus importantes de sa vie ainsi qu’à l’assistance de marque à qui elle a exprimé toute sa reconnaissance. 

« Je me présente à vous aujourd’hui, avec une gratitude profonde et un sens élevé de responsabilité pour le peuple de Namibie qui a placé leur confiance et leur confiance en moi en m’élisant comme le 5e président de la République namibienne », a-t-elle déclaré.

« Aujourd’hui, nous nous sommes réunis ici, comme Namibiens, unis par la communauté internationale pour observer le changement de l’administration comme  cela est devenu un phénomène politique et historique dans la culture et la tradition namibienne depuis l’indépendance en 1990 », s’est-elle réjouie. 

Détentrice d’une carrière politique remarquable qu’elle a embrassée dès l’âge de 14 ans, Dr Netumbo a placé son combat dans la suite des efforts de tous les martyrs de l’indépendance de la Namibie : « mon ascension au plus haut poste du pays  est la somme des années de lutte par des générations de Namibiens, hommes et femmes pour la libération politique, sociale et économique de notre mère patrie ».

La nouvelle Présidente de la République de Namibie a pris l’engagement de créer des emplois, de poursuivre l’œuvre de la prospérité et de lutter contre la corruption.

Aussitôt les résultats de l’élection présidentielle proclamés, le Président congolais n’avait tardé à féliciter la nouvelle Présidente de la Namibie.

 » Le  Président Félix Tshisekedi félicite Mme Netumbo  Présidente élue de la République sœur de Namibie, à l’issue des résultats publiés par la commission électorale. Le Chef de l’État salue la maturité démocratique du peuple namibien qui, pour la première fois de son histoire, a élu une femme à la tête du pays« , avait écrit la Présidence sur son compte X. 

Au terme de son séjour  éclair en terre namibienne, le Chef de l’Etat a aussitôt  regagné Kinshasa.

ACP/C.L./CC



Une dizaine de personnes, de nationalité congolaise et zambienne, ont été interpellées dans la matinée de ce 21 mars sur l’avenue des Arpenteurs, à côté de l’Institut Technique Mutoshi, dans la ville de Kolwezi. Ces individus étaient hébergés clandestinement par un ressortissant chinois, selon l’autorité urbaine.

L’opération a été menée par le Maire de la ville, Maître Jacques Masengo Kindele, suite à des informations faisant état de la présence de personnes non identifiées dans la zone.

« Nous avons été informés de la présence des personnes non identifiées qui présentent des suspicions. Pour des raisons d’enquête, nous avons procédé à leur arrestation, puis ils seront auditionnés », a souligné Maître Jacques Masengo.

Cependant, ces individus ont été confiés au commandant de la ville, Emmanuel Katambo, pour identification et interrogatoire. Leur présence, non déclarée, est perçue comme une menace potentielle pour la sécurité des habitants et de leurs biens.

« Pendant ce temps où la vigilance de tout le monde est appelée à être activée, le pays est agressé. Nous craignons des infiltrations dans tous les coins. En tant que responsable de la sécurité de la ville, je ne peux pas rester indifférente », a martelé l’autorité urbaine.

Dans un contexte de tensions sécuritaires persistantes dans l’est de la République Démocratique du Congo, les autorités locales redoublent de prudence. La mairie de Kolwezi appelle la population à rester vigilante et à signaler toute situation suspecte.

Timothée Prince ODIA



Les habitants de Walikale-centre regagnent progressivement la cité, passée sous contrôle des rebelles du M23 mercredi 19 mars après des combats intenses, rapportent des témoins.

Ils avaient fui les affrontements opposant l'armée congolaise aux rebelles du M23, soutenus par l'armée rwandaise.

La situation reste tendue sur l'axe Walikale-centre - Lubutu, où des affrontements persistent entre les parties au conflit.

Parallèlement, la population dénonce des pillages systématiques perpétrés par des hommes armés en tenue militaire dans plusieurs villages et agglomérations de la région, notamment à Mubi, Ndjingala, Logu, Biruwe, Makana et Kangama, jusqu'à la limite entre le Nord-Kivu et la province du Maniema.

Selon des témoins, ces pillages sont d'une ampleur considérable : bétail, marchandises, boutiques et biens personnels sont systématiquement emportés.

Cette situation engendre une psychose généralisée dans la zone. Face à cette situation, les habitants de plusieurs villages préfèrent se réfugier à l'écart des axes principaux et mettre leurs biens à l'abri pour éviter les pillages.

Des sources locales rapportent que les équipes humanitaires poursuivent leurs opérations dans la cité pour identifier d'éventuels blessés et récupérer les corps, dans le but de prévenir l'apparition d'épidémies.

radiookapi.net/CC



Les habitants de Walikale-centre regagnent progressivement la cité, passée sous contrôle des rebelles du M23 mercredi 19 mars après des combats intenses, rapportent des témoins.

Ils avaient fui les affrontements opposant l'armée congolaise aux rebelles du M23, soutenus par l'armée rwandaise.

La situation reste tendue sur l'axe Walikale-centre - Lubutu, où des affrontements persistent entre les parties au conflit.

Parallèlement, la population dénonce des pillages systématiques perpétrés par des hommes armés en tenue militaire dans plusieurs villages et agglomérations de la région, notamment à Mubi, Ndjingala, Logu, Biruwe, Makana et Kangama, jusqu'à la limite entre le Nord-Kivu et la province du Maniema.

Selon des témoins, ces pillages sont d'une ampleur considérable : bétail, marchandises, boutiques et biens personnels sont systématiquement emportés.

Cette situation engendre une psychose généralisée dans la zone. Face à cette situation, les habitants de plusieurs villages préfèrent se réfugier à l'écart des axes principaux et mettre leurs biens à l'abri pour éviter les pillages.

Des sources locales rapportent que les équipes humanitaires poursuivent leurs opérations dans la cité pour identifier d'éventuels blessés et récupérer les corps, dans le but de prévenir l'apparition d'épidémies.

radiookapi.net/CC



Un petit avion bi-moteur de couleur blanche a atterri dans la matinée de ce vendredi 21 mars 2025, à l’aérodrome de Kigoma, dans la cité de Walikale, au Nord-Kivu, désormais sous contrôle de l’Armée rwandaise et ses supplétifs de la coalition M23-AFC.

Selon plusieurs sources contactées par actualité.cd, "l’appareil est resté au sol pendant environ 30 minutes, avant de redécoller."

"Son immatriculation n’a pas été identifiée, et l’identité des passagers reste inconnue", précise le média en ligne.

D’après les mêmes sources recoupées par nos confrères, un avion similaire avait survolé Walikale-centre la veille, sans toutefois atterrir. Ce mouvement aérien suscite des interrogations quant à la nature des opérations en cours dans cette localité récemment occupée par la coalition M23-AFC-RDF.

Depuis jeudi dernier, les envahisseurs de la RDC se sont déployés dans plusieurs points stratégiques de Walikale, notamment à l’aérodrome de Kigoma. Cette prise de contrôle marque la troisième infrastructure aéroportuaire sous influence de la rébellion, après l’aéroport de Goma et celui de Kavumu à Bukavu, bien que ces derniers ne soient pas opérationnels.
 
opinion-info/CC


Le Président de la RDC -République démocratique du Congo-, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, est arrivé ce vendredi 21 mars 2025, à Windhoek, en Namibie, pour assister à la cérémonie d’investiture de Mme Netumbo Nandi-Ndaitwah, nouvelle Présidente de ce pays d’Afrique australe.

Selon les sources proches de la Présidence, à son arrivée à l’aéroport international Hosea Kutako de Windhoek, à 8 heures locales, le Chef de l’État congolais a été accueilli par le ministre namibien des Transports, accompagné d’une délégation officielle. Étaient également présents, l’ambassadeur de la RDC en Namibie, ainsi qu’un groupe de Congolais résidant dans la capitale namibienne, venus saluer leur président.

La présence du Président Tshisekedi à cette cérémonie témoigne des relations d’amitié et de coopération entre la RDC et la Namibie. Mme Netumbo Nandi-Ndaitwah devient, en effet, la première femme Présidente de la Namibie et la cinquième Cheffe d’État du pays, depuis son indépendance en 1990. Son élection marque une avancée majeure dans l’histoire politique namibienne et africaine.

Le Président Félix Tshisekedi rejoint plusieurs autres Chefs d’État et dignitaires venus de différents pays, pour assister à cette cérémonie officielle qui se tient au Palais présidentiel de Windhoek. Cette investiture est non seulement un moment clé pour la Namibie, mais aussi une occasion de renforcer les liens diplomatiques et les partenariats entre les nations présentes.

La RDC et la Namibie entretiennent des relations de coopération dans plusieurs domaines, notamment, dans les secteurs économique, sécuritaire et politique. La participation du Président Tshisekedi à cet événement reflète l’engagement de Kinshasa à consolider ces relations bilatérales et à soutenir les dynamiques démocratiques sur le continent africain.

Prehoub Urprus 



Présent à la Fashion Week de Paris, Fally Ipupa a surpris en refusant de répondre aux questions d’une chroniqueuse de Brut. Alors qu’elle tentait de l’interroger sur la mode.

« Je ne parle pas, en ce moment je ne parle plus » a-t-il déclaré.

Cette réaction a intrigué de nombreux fans et observateurs. Connu pour son aisance médiatique, Fally Ipupa a cette fois choisi de garder le silence, sans donner plus d’explications.

Malgré cela, sa présence remarquée et son style vestimentaire impeccable ont confirmé son influence dans l’univers de la mode et du showbiz.
 


L’interpellation de Harish Jagtani, homme d'affaires indien et propriétaire de plusieurs sociétés en République démocratique du Congo est intervenue lundi à 18H45’.

« Il est détenu par le Conseil National de CyberDéfense (CNC), une agence de la présidence de la République dirigée par Jean Claude Bukasa. Les motifs de son arrestation restent inconnus pour l'instant », dénonce un des proches du richissime homme d’affaires.

Harish Jagtani est un homme d'affaires influent qui détient plusieurs entreprises, notamment la société Modern Construction, l'hôtel Hilton Kinshasa, l'immeuble CTC, la compagnie aérienne Serv Air, Suprême Automobile, l'hôpital HJ, la fondation HJ, le dépot pharmaceutique HJ PHARMA et Kinshasa cité jardin.

Ses proches affirment qu'il est engagé aux côtés du peuple congolais et des autorités pour contribuer au développement du pays. Ils expriment leur confiance dans le fait qu'il sortira de cette situation sans charge. Cependant, les circonstances de son interpellation, qui ont eu lieu dans son penthouse au 19e étage de l'immeuble CTC avec des blindés, sont dénoncées comme étant scandaleuses.

Harish Jagtani a fait l’objet de plusieurs enquêtes journalistiques dont Congo Hold-Up. Il y était accusé d’avoir blanchi l’argent de Joseph Kabila et de certains de ses proches, notamment dans l’immobilier. L’homme d’affaires indien a toujours démenti ses accusations, démentant ses liens privilégiés avec l’ancien chef d’Etat.

actualite.cd/CC

 
 
 
 

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Ali Kalonga

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