« Pas de condamnation ferme du Rwanda mais appel timide au dialogue entre belligérants », voilà globalement la position des USA exprimée par Antony Blinken, secrétaire d'Etat américain, lors de son passage à Kinshasa. Ce langage de bois ne surprend pas des politologues avertis habitués aux expressions diplomatiques.

Tout comme le rapport Mapping relégué aux oubliettes, les conclusions des experts de l’ONU sur l’agression du Rwanda sous couvert de M23 contre le territoire de Rutshuru risquent de connaître le même sort.

Pourtant les données sont claires. Les experts de l’Onu affirment dans un rapport circonstancié avoir des « preuves solides » des opérations militaires des troupes rwandaises à l’est de la RDC entre novembre 2021 et juillet 2022. Cette participation active de l’armée rwandaise aux côtés du M23 s’est soldée par l’occupation de Bunagana et de quelques villages environnants.

« Le Rwanda a soutenu le groupe rebelle M23 en République Démocratique du Congo, précisément au Nord-Kivu », affirme ledit rapport.

Cette affirmation réconforte la position du gouvernement congolais qui ne cesse de dénoncer le soutien du Rwanda au M23 pour déstabiliser les provinces orientales de la RDC.

Au lieu d’une condamnation ferme de l’allié de la RDC et en tirer les conséquences adéquates contre le Rwanda, les USA se contentent des formules vagues et renvoient la RDC aux pourparlers de Kenya et aux conclusions de la tripartite d’Angola.

Cette manière dilettante de traiter Kinshasa de la part de Washington, devrait amener le gouvernement congolais de miser exclusivement sur l’option militaire pour en finir avec le Rwanda.

Ceci passe impérativement par la réforme de l’armée nationale y compris la révision de sa chaîne de commandement. Concomitamment, il faudrait reformer la police nationale et les services de sécurités tant militaires, policières que civiles.

Si seulement si la RDC pouvait accéder à ces préalables et se faire doter d’une puissance de feu ad hoc pour faire respecter ses frontières et son intégrité territoriale, le Rwanda n’oserait jamais, alors jamais, agresser le pays de Félix Tshisekedi.

Ali Kalonga



Le député national Éliézer Ntambwe a, dans une interview accordée à 7SUR7.CD ce mardi 09 août 2022, dénoncé la manière dont les arrestations se poursuivent en République démocratique du Congo.

À l'en croire, ces arrestations n'aident pas le chef de l'État Félix Tshisekedi. Il se pose la question de savoir s'il n'y aurait pas une main noire qui veut salir son image.

« C'est un comportement que je condamne personnellement. Je dois vous le dire que ce qui se passe actuellement n'aide pas le chef de l'État. Bien-sûr qu'à un moment donné nous avons compris que les gens débordaient, mais la manière dont les arrestations se poursuivent, ce n'est pas pour aider le chef de l'État. Je me pose la question s'il n'y a pas une main noire qui cherche à ternir l'image du chef de l'État. Le cas de Jimmy Kitenge du PPRD et d'autres personnes dont il n'y a même pas de procédure qui va jusqu'au bout ! Moi, je pense que ce n'est pas du tout bon cette façon-là de faire les choses », a regretté Eliezer Ntambwe.

Réagissant de manière particulière sur l'arrestation de l'ancien vice-président de l'Assemblée nationale Jean-Marc Kabund, l'élu du district de Lukunga dans la ville de Kinshasa, veut se rassurer que la procédure ira jusqu'au bout pour éviter le scénario du procès 100 jours.

« Aujourd'hui, Kabund est arrêté. Est-ce que vous pouvez me rassurer que la procédure ira jusqu'au bout ? ou bien ça va paraître comme ça s'est passé avec le procès 100 jours », a-t-il ajouté.

Quant à la procédure d'arrestation de Kabund, Eliezer Ntambwe souligne que le bureau de l'Assemblée nationale a le droit de lever les immunités en l'absence de l'assemblée plénière selon le règlement intérieur. Toutefois, E. Ntambwe s'est abstenu d’affirmer que les immunités de Kabund étaient levées.

« Je ne peux pas confirmer que ses immunités n'ont pas été levées, parce que le règlement intérieur de l'Assemblée nationale dit qu'à l'absence de la plénière, soit pendant les vacances, c'est le bureau qui est censé autoriser les poursuites contre un élu ou encore lever ses immunités. Je sais que notre collègue a été invité par notre bureau pour être entendu sur les faits avant de donner une réponse au parquet, mais il avait estimé de ne pas répondre à l'invitation. Est-ce que les immunités ont été levées par le bureau ? Là, je ne sais pas », a souligné Eliezer Ntambwe.

Signalons par ailleurs qu’après son audition de ce mardi, Jean-Marc Kabund a été directement transféré à la prison de Makala. Il a été placé sous mandat d’arrêt provisoire.

Roberto Tshahe



« En ce jour je prends la décision de démissionner de mes fonctions de 1er VP de l’AN. Ainsi s’ouvre une nouvelle page de l’histoire, qui sera écrite avec la sueur de notre front, qui coulera chaque jour qu’on affrontera les brimades, humiliations et tortures ». C’était le 14 janvier 2022, le début d’un voyage dont la case prison est une étape. Il reste à savoir combien de temps il y passera. 

Député et ancien vice-président de l'Assemblée nationale "Jean-Marc Kabund a été placé sous mandat d'arrêt provisoire" à la prison de Makala après un interrogatoire au parquet près la Cour de cassation. Il est poursuivi pour "outrage au chef de l’État, aux autorités, imputations dommageables et diffamation, injures publiques et propagation des faux bruits". 

L’infraction d’imputation dommageable consiste à attribuer à une personne un fait précis de nature à porter atteinte à son honneur, tandis que l'injure qui a un caractère imprécis se réalise par le fait d’offenser une personne par des propos, écrits, chansons, etc.

L’imputation dommageable est puni de 8 jours à un an et une peine d’amende  alors que l’injure est puni de 8 jours à deux mois et d’une peine d’amende.

Quant à l’infraction d’outrages envers les autorités, il s’agit d’une autre forme d’injure publique qui se réalise à l’endroit des autorités publiques citées dans l’article 136 du Code pénal, notamment les membres de l’Assemblée nationale et de la Cour constitutionnelle. Elle est punie des peines allant jusqu’à 12 mois de servitude pénale 

Les faits constitutifs des faux bruits consistent à reprendre des propos, discours, paroles de nature à alarmer la population, à l’exciter contre le pouvoir établi. Ils sont punis de deux mois à trois ans de servitude pénale.

Quant à l’offense au Chef de l’Etat, il est puni de trois mois à deux ans de servitude pénale.  Offenser une personne, c’est la blesser. Il s’agit ici le fait de tenir des propos, paroles blessants à l’endroit du Chef de l’Etat.

 actualite.cd/CC

RDC: Jean Marc Kabund arrêté



Le député national Jean-Marc Kabund a été arrêté ce mardi 9 août 2022 après sa deuxième audition par le Procureur général près la Cour de Cassation. Il est placé sous mandat d'arrêt provisoire et acheminé à la prison de Makala. 

Me Henriette Bongwalanga, avocate de Kabund confirme l’arrestation de son client. Un responsable de la police dit avoir reçu l’ordre de l'acheminer à Makala.

Alors qu’il était auditionné, le nombre des jeeps de la police et des agents de l’ordre augmentait progressivement, a constaté Ivan Kasongo, reporter d’ACTUALITE.CD. 

Kabund est arrêté alors que ses immunités parlementaires n’ont pas été levées, pense-t-on. Mais un réquisitoire du PG sollicitant des poursuites et la levée de ses immunités a été adressé au bureau de l’Assemblée nationale. Cependant Kabund, invité à deux reprises pour une réunion avec le bureau Mboso afin de présenter ses moyens de défense au sujet du réquisitoire du procureur général, a décliné l’offre soulignant la nécessité de conclure son audition au parquet. Quoique le règlement intérieur demeure muette sur le refus d'un député de se présenter, l'article 90 dernier alinéa dispose qu'en dehors de la session, "le Bureau de l’Assemblée nationale statue d’office sur toute demande de levée de l’immunité parlementaire"

L’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale est poursuivi pour avoir tenu, au cours d’un point de presse, des propos qualifiés d'injurieux, de nature à alarmer la population et à porter atteinte à l’honneur dû aux institutions publiques et à la dignité du Chef de l’Etat. 

Ancien bras droit de Félix Tshisekedi, M. Kabund s’est érigé en opposant principal de ce dernier et a appelé a chassé l’actuel Chef de l’Etat du pouvoir en 2023. Il considère que Félix Tshisekedi qu’il a qualifié d’incompétant “est un danger au sommet de l’Etat”.

actualite.cd/CC



La ville de Gemena, chef-lieu de la province du Sud-Ubangi, située au Nord-Ouest de la République démocratique du Congo, souffre d'un manque d'infrastructures routières adéquates depuis sa création qui date d'il y a plus d'un siècle.

La quasi-totalité des grandes artères de cette entité congolaise est fortement délabrée. Une situation qui rend difficile la circulation aussi bien des engins roulants que des piétons dans cette partie de la République démocratique du Congo.

Reportage

Les années passent et se ressemblent pour la ville de Gemena. Voici maintenant plus d'un siècle que la ville existe en tant qu'entité, mais aucun kilomètre de route n'est asphaltée. Sur l'avenue Haut-Congo, Philippe Nzanoa, chauffeur de taxi, fait sa manœuvre sur une route poussiéreuse, en terre battue.

Ce père de famille d'une trentaine révolue fait le travail qu'il affectionne le plus malgré l'état des routes, délabrées de la manière la plus criante. Cet automobiliste, comme d'autres, lance un cri d'alarme.

« Nous avons beaucoup de difficultés en ce qui concerne les routes. Elles sont très délabrées. Ici nous sommes sur l'avenue Haut-Congo. Cette route est très dégradée. Nous demandons aux autorités de nous trouver une solution car nous avons du mal à bien circuler dans la ville. Les eaux de pluie qui ne sont pas canalisées ont détruit la route. La route est vraiment coupée. Même deux motos ne peuvent pas passer au même moment », a-t-il déploré au micro de 7SUR7.CD.

Plusieurs cas d'accident de circulation sont souvent signalés sur l'avenue Haut-Congo où les véhicules ne savent plus circuler suite à l'état de délabrement très avancé de cette route.

Pourtant, le tronçon joue un rôle important pour l'approvisionnement de la ville de Gemena en produits agricoles en provenance du secteur de Nguya dans le territoire de Gemena. C'est aussi l'une des voies d'entrée dans la ville de Gemena.

Des érosions récurrentes

Beaucoup d'artères de la ville de Gemena manquent aussi de caniveaux. Conséquence, les eaux de pluie ont du mal à être bien canalisées et débordent pour détruire des maisons d'habitation.

C'est notamment le cas des avenues Gbakombo et Tshisekedi, situées respectivement dans les communes de Gbazubu et Lac Ntumba où plusieurs maisons d'habitation sont détruites suite aux érosions liées au manque de canalisation des eaux de pluie.

Contacté par 7SUR7.CD ce lundi 08 août 2022 sur l'avenue Tshisekedi, Charles Mondulu, un habitant de la commune de Lac Ntumba, dit en être victime. Pour lui, les travaux réalisés par l'Office des voiries et drainage (OVD) pour jeter un pont afin de faciliter le passage sur ladite avenue ont quasiment occasionné des érosions qui détruisent les parcelles environnantes.

« Depuis qu'ils ont réalisé ces travaux de construction du pont, il n'y a rien de bon. Il y a beaucoup d'érosions. Les maisons d'habitation sont pénalisées. Les gens souffrent. Les eaux de pluie débordent et pénètrent dans des maisons et cassent des murs, détruisent des maisons », a-t-il décrié.

Les autorités face à leurs responsabilités

Face à cette situation, des habitants de la ville de Gemena haussent le ton pour interpeller le gouvernement provincial du Sud-Ubangi afin de trouver une solution à ce problème qui impacte négativement sur leur vécu quotidien.

« Je demande au gouverneur et toute son équipe de tout faire pour réaménager les routes. Ce pont [Ndlr : jeté sur l'avenue Tshisekedi] est important. Ça permet de relier le quartier Salongo, COMINGEM (Combinant industriel de Gemena) et le centre-ville », plaide Charles Mondulu, un des habitants de la ville.

Un financement requis

Conscient de la situation, l'Office des voiries et drainage (OVD), direction provinciale du Sud-Ubangi n'a pas manqué de réagir face au cri de détresse des habitants de la ville de Gemena concernant la dégradation de leur voirie urbaine.

« Nous reconnaissons la situation. Cependant, il se pose un problème des moyens. L'OVD ne peut rien faire sans financement. Et nous ne pouvons que travailler sur base des moyens mis à notre disposition », a déclaré en substance à 7SUR7.CD, le directeur provincial de l'OVD au Sud-Ubangi, l'ingénieur Gabriel Kiwonge

D'après le professeur Jeannot Mokili, enseignant dans plusieurs universités de la République démocratique du Congo, la ville de Gemena a été créée en 1921. C'est en cette année, expliquait-il en 2021 dans une conférence-débat animée à l'occasion du centenaire de cette entité, qu'ont eu lieu les tractations qui ont abouti à la délocalisation de l’ancien poste administratif colonial de Kalo (un village jadis dirigé par un certain Ndawo) vers le nouveau site dénommé Gemena.

César Augustin Mokano Zawa, à Gemena



Le comité directeur national de la ligue des jeunes de l'UDPS/Tshisekedi a, dans un communiqué de presse daté du 8 août 2022, dit suivre avec attention toutes les tentatives de déstabilisation de Guylain Nyembo, directeur de cabinet du chef de l’Etat, et cadre du parti présidentiel.

D'après le comité directeur de la Ligue des jeunes de l'UPDS, cette campagne est menée par des personnes non autrement identifiées dont la capacité de nuire ne franchit pas leur propre maison. 

« En effet, depuis l’élection brillante d’une UDPS à la tête de la province de Tanganyika et le décès d’un de 13 parlementaires, fondateur de notre cher parti le regretté Kyungu Wa Kumwanza, certains cadres politiques du HautKatanga vivant à Kinshasa dont le candidat aux primaires et lors des élections, démocratiques et transparentes a été battu au Tanganyika ne cessent de monter des coups bas de tout genre, tous ridicules les uns après les autres contre Monsieur Guylain Nyembo pour le détourner de son devoir qu’il est appelé à accomplir au côté du chef de l’Etat comme directeur de cabinet », lit-on dans ledit communiqué. 

Par ailleurs, la jeunesse du parti au pouvoir lance une mise en garde "sévère à ces détracteurs cachés" qui tentent de déstabiliser l’UDPS au Grand Katanga.

« Nous nous engageons dans les prochaines communications, s’ils continuent dans l’exécution de leur complot contre l’UDPS, de les citer nommément et les mettre définitivement hors d’état de nuire », renchérit le communiqué. 

Le comité directeur de la Ligue des jeunes du l'UDPS appelle le peuple Congolais à soutenir leur parti et la vision du chef de l’Etat, pour l’émergence d’un Congo pacifique, prospère et puissant au cœur de l’Afrique en général, et du Grand Katanga en particulier. 

Jephté Kitsita



Arrêtée il y a deux jours pour injures et propos diffamatoires répétés, Marie Masemi vient d'être libérée ce lundi 08 Août.

Dans une vidéo devenue virale, elle reconnait ses écarts et demande pardon à toutes les personnes qu'elle a insultées, plus particulièrement à la première dame Denise Nyakeru  qui était l'une de ses cibles préférées.

Son arrestation avait suscité beaucoup de réactions dont celle de l'Ecide, parti politique de Martin Fayulu qui l'avait d'ailleurs réclamée comme l'une de ses militantes.

Marie Masemi a aussi, dans cette vidéo, demandé aux journalistes de cesser de l'inciter à la dérive. 

Il faut noter que, dans plusieurs vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux, cette femme a tenu des propos injurieux et diffamatoires à l'endroit du Président de la République, Félix Tshisekedi, Christophe Mboso N'kodia Pwanga, président de l'Assemblée nationale ou encore vis-à-vis de la première dame Denise Nyakeru qu'elle avait, dans l'une de ses vidéos, insulté d'une manière répugnante.

Saint Yannick



Des anciens « Kuluna » envoyés à Kaniama Kasese, dans le cadre du Service national ( SN), participent activement dans le vaste projet de construction des écoles et des hôpitaux dans le grand Kasaï.

C'est ce qu'a annoncé le numéro un du Service national, le général Jeanne Kasongo Kabwik, au cours d'une interview accordée à la presse le week-end dernier. Il s'est réjoui d'avoir rendu ces jeunes utiles à la nation congolaise.

« Des anciens Kuluna construisent actuellement des écoles et des infrastructures dans le grand Kasaï. Le premier bataillon est constitué des jeunes qui ont été acheminés à Kaniama Kasese au mois de novembre 2020. Ils ont parachèvé leur formation en février et mars 2022. Ils sont actuellement déployés dans le grand Kasaï où ils travaillent notamment comme agents du service national. Une partie est déployée dans le territoires de Kabeya Kamwanga et dans le territoire de Niabi où nous faisons des champs, construisons des écoles et des hôpitaux. Une deuxième partie est déployée au Kasaï Central où il y a une grande ferme et où nous construisons également des écoles. Une troisième partie est restée à Kaniama. Ceux qui ont excellé sont retenus comme instructeurs et encadreurs dans les ateliers de menuiserie et chantiers de construction », a-t-il Indiqué.

Parlant de la nouvelle saison de récolte au Service national (SN), le général JP Kasongo a indiqué qu'elle s'avère toute aussi impressionnante. Des milliers de tonnes de maïs ont été produits à Kaniama Kasese et au centre de Lovo, dans la province du Kongo Central.

« Nous avons lancé la récolte de maïs depuis fin mai. Jusqu'aujourd'hui, nous sommes en pleine récolte. Il y a des dizaines de milliers de tonnes de maïs qui sont à Kaniama Kasese. Il y a des milliers de tonnes qui ont été également produites au centre de Lovo au Kongo Central. C'est la production du Kongo Central qui a permis de ravitailler les cantines militaires », a-t-il affirmé.

Pour le patron du Service national, il n'y a jamais eu rupture des stocks dans les cantines militaires, comme certaines mauvaises langues l’allèguent. Il rassure que ses services travaillent pour qu'il n'y ait jamais rupture des stocks.

« Il n'y a jamais eu de rupture des stocks de maïs depuis le jour où le commandant suprême, chef de l'État avait lancé les cantines militaires. Les cantines fonctionnent normalement. Chaque mois, les familles des militaires sont ravitaillées. Il n'y aura pas de rupture », a souligné le général JP Kasongo.

S’agissant de la répartition de cette importante production de maïs, le général Kasongo Kabwik a affirmé qu'une partie sera destinée au fonctionnement des cantines militaires dans les garnisons qui sont concernées (Kinshasa et Lubumbashi) et une autre partie sera envoyée dans les provinces qui connaissent une pénurie de maïs, notamment le Kasaï Oriental, Kasaï, le Kasaï Central, Haut-Lomami, Lualaba et Haut-Katanga.

Orly-Darel Ngiambukulu

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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