Après que des "fake news" aient envahi la toile le mercredi 9 mars annonçant l'opération à coeur ouvert dans une clinique bruxelloise du président de la RDC suivi de son décès, le fils de l'Homme a fait son apparition publique à l'ambassade congolaise lundi 14 mars, sise rue Marie de Bourgogne à Etterbeek où il a présidé une séance de travail durant quatre heures.

La réalité est que le chef de l'Etat congolais a quitté Kinshasa dimanche 6 mars dernier pour Bruxelles afin de se soumettre à un check-up médical. Résultat ? Félix Tshisekedi souffre d'une hernie discale qui a nécessité des soins appropriés. 

Il a regagné son pays jeudi 17 mars où des Kinois lui ont réservé un accueil affectif et chaleureux. Sur le chemin pour regagner sa résidence, le n° 1 Congolais s'est arrêté au quartier Debonhomme à Matete pour consoler des familles victimes de l'incendie d'une station service qui s'est déclarée mercredi 16 mars dernier occasionnant la destruction de plusieurs maisons.

"Fatshi", malgré sa minerve autour du cou, est apparu en forme et en pleine possession de ses moyens démentant ainsi toutes les fausses rumeurs à son sujet.

Ali Kalonga



À Kinshasa, les initiatives proposant le ramassage et le recyclage des résidus plastiques se multiplient. Parmi elles, Olwaste, mise en place par Olga Chera Chibambe

" C'est notre solution pour lutter contre le réchauffement climatique en RDC. Nous procédons au ramassage des déchets plastiques à travers la ville. Ces déchets sont triés et distribués ensuite auprès des entreprises qui utilisent les plastiques comme matières de base. Nous fabriquons egalement des granulés ", a-t-elle expliqué. 

Depuis le 08 mars, son entreprise a installé des dispositifs à l'entrée et au centre de la Foire artisanale ouverte par le ministère du genre au sein de l'Académie des Beaux-arts de Kinshasa. Olga Chera précise que d'autres dispositifs ont également été placés dans la ville, pour la même finalité. 

"Nous avons installé des bacs qui aident la population à glisser à l'intérieur des bouteilles en plastiques. Nous avons installé des dispositifs au niveau de GB (dans la commune de Kintambo) et à Gare Centrale. Kinshasa est une grande ville. Nous comptons y aller progressivement" . 

Diplômé en gestion de projets en Zambie avec une expérience de 5 ans dans  une société sud-africaine de gestion de déchets comme consultante, c'est en 2019 que Olga Chera à lancé Olwaste Recyclage. 

"Je suis mère et entrepreneure. J'ai acquis des compétences dans la gestion des déchets et je voudrais les partager avec la nation congolaise" a-t-elle conclu. 

Par ailleurs, Olga Chera Chibambe à travaillé avec plus de 100 entreprises situées à Kinshasa et Lubumbashi, pour recycler leurs déchets électroniques et médicaux de manière responsable. Kinshasa Bopeto et ReCo Plast sont parmi ses partenaires.

Prisca Lokale 



Farine de maïs, riz, sucre, huile, tomates, bière... tout augmente. Les ménages congolais, dont les trois quarts vivent sous le seuil de pauvreté, s'inquiètent des conséquences économiques de la guerre menée par la Russie en Ukraine.

A Bukavu, dans une des provinces de l'est de la République démocratique du Congo affectées depuis plus de 25 ans par les violences de groupes armés, la crainte d'une crise sociale dévastatrice s'ajoute aux problèmes d'insécurité.

Janvier Mizo Kabare, président de la Ligue des consommateurs des services au Congo-Kinshasa (Licoski), assure avoir alerté "les autorités de la flambée vertigineuse des prix des denrées sur les marchés de Bukavu", source de "grand malaise social".

Les prix augmentent "tous les jours". "Que les autorités voient ce qu'elles peuvent faire, sinon nous allons mourir de faim!", lance Pascaline Buhume, vendeuse de produits alimentaires.

Sur les marchés Feu rouge et Nyawera du chef-lieu du Sud-Kivu, un sac de sucre de 50 kg qui coûtait 43 dollars se négocie à 60 dollars aujourd’hui, se désole-t-elle.

Un bidon d’huile de 20 litres est passé de 30 à 45 dollars, un sac de riz de 25 kg de 18 à 25 dollars. "Un pain qui coûtait 1.000 francs congolais revient à 1.200 FC (0,5 à 0,6 dollar), s'alarme aussi Madame Aimée, la trentaine, mère de cinq enfants.

Et une bouteille de bière Primus qui valait 2.500 francs (1,25 dollar) peut monter à 3.000 (1,5 dollar).

 - "Nous importons trop" - 

Janvier Mizo explique ces augmentations par la hausse du prix du carburant, qui a "des répercussions sur les transports et sur le prix des produits de première nécessité".

Le "prix moyen frontière commercial" (payé à l'entrée du pays) est passé de 762,5 à 900,7 dollars pour un camion-citerne, explique Urbain Kange, secrétaire du club des pétroliers de Bukavu. "Nous faisons des efforts, mais nos fournisseurs, en Tanzanie, au Rwanda, au Kenya, nous disent qu’il y a pénurie à leur niveau", ajoute-t-il. Plusieurs stations sont à sec à Bukavu.

"Trouver du carburant devient un casse-tête", confirme Jérémie Cito, conducteur de taxi-moto, qui fait payer pour un petit trajet 1.000 FC contre 500 auparavant (0,5 contre 0,25 dollar).

Le problème vient aussi du fait que la province "dépend totalement des importations", complète Paulin Bishakabalya, opérateur économique et membre de la Fédération des entreprises du Congo (FEC). Pourtant, juge-t-il, "le riz, le blé, le maïs, l’huile..." pourraient être produits localement.

 - "Agir de toute urgence" -

 A cause de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, deux grands pays exportateurs de céréales, "des commandes passées par les commerçants ne sont pas honorées", souligne Paulin Bishakabalya, tandis que "certains opérateurs font de la rétention de stocks, en attendant de voir comment le marché mondial va évoluer". "Cela aussi fait monter les prix", constate-t-il.

Selon lui, "le gouvernement devrait agir de toute urgence", en favorisant la production intérieure et en réhabilitant des routes pour permettre l'écoulement des produits vers les villes.

"Le gouverneur de province a réuni les opérateurs économiques pour qu’ils n'exagèrent pas la hausse des prix", indique Eninga Abwe, chef de bureau à la division du commerce extérieur à Bukavu, ajoutant que des visites de contrôle étaient prévues sur les marchés.

Des hausses de prix sont signalées sur d'autres marchés congolais, à l'intérieur du pays et dans la capitale Kinshasa.

Lors du dernier conseil des ministres, les membres du gouvernement ont été invités à prendre les mesures nécessaires pour atténuer l'impact de la guerre en Ukraine sur l'économie nationale.

La RDC a de gigantesques ressources minières et des millions d'hectares de terres arables mais, selon la Banque mondiale, plus de 70% de ses quelque 90 millions d'habitants vivent avec moins de 1,90 dollar par jour, niveau fixé comme seuil de pauvreté international.

Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a mis en garde lundi contre "un ouragan de famines". Au total, a-t-il affirmé, 18 pays africains et pays les moins avancés importent au moins 50% de leur blé d'Ukraine ou de Russie. La RDC est parmi eux.

AFP avec ACTUALITE.CD/CC



Mike Kalambayi a annoncé sa démission en tant qu’ambassadeur de la société Maajabu. Secoué ces derniers jours dans les réseaux sociaux par des actes à caractère sexuel, l’artiste chanteur de gospel et pasteur Mike Kalambayi dont l’état de santé n’est pas rassurant, a tout de même rompu son contrat.

Dans un communiqué de la société Maajabu Gospel, il est déclaré que la décision portant rupture de son contrat d’ambassadeur avait déjà été préparée. Elle attendait son rétablissement pour la lui faire parvenir.

Mike Kalambayi a fait office d’ambassadeur de la société Maajabu pour la première saison de la compétition qu’elle a organisée, dénommée Maajabu Talents. 59 candidats retenus ont signé chacun un contrat de production et de promotion le vendredi 11 mars dernier.

La société Maajabu Gospel a pour mission de promouvoir la qualité de la musique Gospel en RDC en particulier et dans le dans le monde ; donner la possibilité aux sans voix de s'exprimer ; imprimer l'esprit des nouveaux talents sur l'importance de caractère spirituel que doit promouvoir les œuvres produites ; œuvrer dans la promotion de l'unité et la concorde entre les acteurs de la musique Gospel en brisant les barrières et en encourageant l'émulation plutôt que la concurrence négative et destructive.

Emmanuel Kuzamba



L'artiste musicien, Fabrice Mbuyulu dit "Fabregas" et son groupe musical, Villanova vont se produire pour la toute première fois aux États-Unis, le 02 avril 2022 à Dallas, au Texas.

D'après le service de communication de l'ancien société de Wenge Musica Maison Mère, le concert aura précisément lieu à l'interconnexion Banquet Hall, 3326 Contry club.

Dans un Live fait sur sa page Facebook, le chanteur congolais et ses acolytes ont promis de bouger le pays de l'oncle Sam comme ils le font chaque mois à Kinshasa.

Celui qu'on appelle affectueusement "Maestro Fabro" va emmener pour la deuxième fois Villanova en dehors du continent africain, après la courte tournée en France au mois de décembre 2021, auquel ils ont livré un concert à Lyon, et un showcase à Paris.

Rappelons que, Fabregas  lance le deuxième album "Merci" de son orchestre, le 02 juillet prochain, 5 ans après la sortie la sortie du tout premier "Cursus".

Gratis Makabi



Profitant de son séjour en Belgique, le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo s'est rendu le lundi 14 mars 2022, à l'Ambassade de la République démocratique du Congo. 

D'après la Présidence de la République qui annonce l'information via son compte Twitter, il était question pour le chef de l'État Congolais d'effectuer une visite de travail. Celle-ci a duré plus de 4 heures. 

"Le chef de l'État a tenu une réunion avec les diplomates et des architectes qui lui ont présenté un projet d'aménagement de certains locaux de l'Ambassade. Ensuite le Président Tshisekedi a rencontré l'ensemble du personnel de l'Ambassade", indique la même source.

Le même jour, Félix Tshisekedi a reçu en audience André Flahaut, ancien ministre belge de la défense.

En ce qui concerne le retour à Kinshasa du président Tshisekedi, la Présidence continue d'affirmer qu'il aura lieu très prochainement. 

Rappelons par ailleurs que contrairement aux informations faisant état d'une opération du cœur qu'aurait subi Félix Tshisekedi, la Présidence avait affirmé le 11 mars dernier qu'il s'agissait plutôt d'une hernie discale. La même source avait rassuré que tout s'était bien déroulé et que le chef de l'État se portait bien. 

Jephté Kitsita



Violences, corruption, pillage des richesses: Thierry Michel a consacré treize films à l'ex-Zaïre et aux droits bafoués de sa population. Désormais le cinéaste belge milite avec le Nobel de la paix congolais Denis Mukwege contre l'impunité des criminels de guerre dans l'actuelle RDC.

Son dernier long-métrage, "L'Empire du silence", qui sort mercredi en France, évoque le sort des populations de l'Est congolais confrontées à une spirale de massacres et de violences après le génocide de 1994 au Rwanda.

Dans un entretien avec l'AFP, chez lui à Liège, le cinéaste de 69 ans dit y voir "un puzzle reconstitué", "un film bilan" du patient travail de témoignage entrepris dans l'ancien Congo belge depuis "Mobutu, roi du Zaïre" (1999), le documentaire qui l'a révélé à l'étranger.

- Libération de la parole - En allant rencontrer des victimes, en montrant les croix sur les fosses communes, "L'Empire" fait écho au combat du Dr Mukwege --déjà au centre du film "L'homme qui répare les femmes" en 2015-- pour qu'une juridiction internationale se saisisse enfin des crimes de guerre en République démocratique du Congo (RDC), documentés notamment dans un rapport de l'ONU de 2010 resté lettre morte.

A partir de 1994, la volonté du nouveau pouvoir tutsi à Kigali d'"éradiquer" les génocidaires hutu, réfugiés de l'autre côté du lac Kivu, a conduit à des massacres impliquant des rebelles congolais associés à des soldats rwandais et ougandais. Et des civils étaient en première ligne. En RDC, "les morts se comptent par centaines de milliers, et les victimes (de viols notamment) en millions", dit Thierry Michel.

Aujourd'hui "des criminels sont encore aux commandes" dans plusieurs pays de la région, et des groupes rivaux perpétuent les tueries pour le contrôle des richesses minières. "Le Kivu c'est 70% des réserves mondiales de coltan" (très utilisé dans les composants électroniques), affirme le réalisateur.

En RDC, il y a un début de libération de la parole depuis le départ du président Joseph Kabila (2001-2019); des femmes victimes se font entendre, des avocats descendent dans la rue, des suspects sont nommés.

Mais le nouveau président Félix Tshisekedi "n'a pas assaini l'armée, or c'est un objectif prioritaire pour beaucoup de gens", déclare-t-il.

- Du cinéma "social existentiel" - Né en 1952 à Charleroi en plein bassin industriel wallon, petit-fils d'un ingénieur des mines ("sa lampe que j'ai conservée est mon objet fétiche"), Thierry Michel parle aussi de ses origines dans son cinéma. Il a réalisé une bonne trentaine de films au total.

Un de ses premiers documentaires, "Pays noir, pays rouge" (1975), était consacré à la culture ouvrière de sa région, et le prochain s'intéressera aux anciens travailleurs de la sidérurgie, confie-t-il à l'AFP.

Photographe dès l'adolescence, quand il ramène le matin aux rédactions wallonnes des clichés de ses nuits à occuper des usines en 1968, il reconnaît avoir produit une oeuvre "engagée".

"C'est du social existentiel", enchaîne ce diplômé de l'école d'arts IAD, qui ne compte plus les prix récoltés dans les festivals. "J'aime m'immerger dans le réel, aller au coeur de la société, avec des ados, des enfants, pour comprendre comment ils voient le monde et peuvent se tracer un destin". 

Le monde de l'enfance est un autre fil rouge de son travail: dans "Gosses de Rio" (1990), il explore la violence des favelas au Brésil, tandis qu'en Belgique c'est l'école comme lieu de socialisation et d'intégration qui aiguise sa curiosité ("Enfants du hasard" (2017) et "L'école de l'impossible" (2021), un des films dont son épouse Christine Pireaux est co-auteure).

- Ennuis avec la justice - Dans les années 1990 son film "Le cycle du serpent" avait "fortement déplu" au pouvoir mobutiste. Thierry Michel a été arrêté puis détenu deux jours par la sûreté congolaise, avant d'être expulsé du pays.

Il est actuellement sous le coup d'une procédure judiciaire pour "L'Empire du silence", accusé d'avoir "plagié" un film congolais de 2015 sur "les crimes oubliés".

Pour le Belge, qui a porté plainte pour diffamation, ce n'est qu'un prétexte pour faire interdire son film en RDC. "Il y a des forces politiques et à mon avis d'argent qui sont derrière cela, c'est très vicieux", lâche-t-il.

Le cinéaste assure par ailleurs qu'il reste interdit de séjour en Iran, depuis un documentaire sorti en 2002 sur les espoirs déçus de libéralisation sous la présidence Khatami.

AFP avec ACTUALITE.CD/CC

L’improbable retour de Kabila



Des voix s’élèvent pour réclamer que Kabila se présente à l’élection présidentielle de 2023. Enfer et damnation ! 

La dernière personne en date n’est autre que son épouse Marie-Olive Lembe Kabila. Pince-sans-rire, elle tint à peu près ce langage. L’ex Raïs Joseph Kabila aime beaucoup son pays. Il est encore jeune et peut contribuer au développement du pays, tutti quanti. Elle vociféra qu’il sait tenir ses engagements, c’est un homme de parole. Stupeur et tremblements !

C’est l’hôpital qui se moque de la charité ! Régulièrement, des membres du FCC (Front commun pour le Congo) évoquent un retour possible de Kabila aux affaires avec des trémolos dans la voix. Pas étonnant.

D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, les ventriotes perçoivent d’abord leurs propres intérêts. Ils savent que l’ex Raïs est assis sur une montagne de sous. Ils espèrent ramasser quelques miettes pour financer leurs campagnes électorales. Ils veulent donc juste lui piquer des sous. Saperlipopette !

Il y a aussi ceux qui estiment que la vie sous Kabila était meilleure que sous Fatshi. Sapristi !

On a oublié les assassinats, les enlèvements, les exactions policières, les coupures d’internet. Il y a aussi ces rapports : Paradise Papers, Panama Papers, Distributeur automatique des billets du régime, Congo Hold-Up… Enfer et damnation !

C’était donc mieux avant ? Dans ses mémoires, Louise Tardieu d’Esclavelles, marquise d’Epinay et femme de lettres (1726-1783) écrivait ceci : « On voit le passé meilleur qu’il n’a été ; on trouve le présent pire qu’il n’est ; on espère l’avenir plus heureux qu’il ne sera. » Rien d’étonnant dès lors que certains compatriotes pleurent le Maréchal Mobutu. Il y a même ceux qui regrettent l’époque coloniale à un point tel qu’il se raconte qu’un villageois demanda  « l’indépendance dont vous parlez, quel jour prendra-t-elle fin ? ».

D’après mon ami qui sait tout, ce n’est qu’une suite de phénomènes psychiques. Il s’agit d’une pensée commune chez l’être humain, éternel insatisfait qui ne se complait jamais dans le présent. Beaucoup pensent que le passé est meilleur au présent ! Le bon vieux temps ! La nostalgie a une place importante dans la vie d’un homme. Bref, passons !

Est-ce que Joseph Kabila veut bien rentrer au pouvoir ? Ceux qui le connaissent bien affirment qu’il adore la vie de « gentleman farmer » qu’il mène aujourd’hui. Il dirigeait à l’époque le pays en dilettante, préoccupé qu’il était par les consoles de jeux vidéo, par les motos, par les voitures et par ses affaires privées. Il y avait un gouvernement parallèle qui expédiait les affaires courantes.

L’article 70 de la constitution est clair. Il dispose que le Président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de cinq ans renouvelable une seule fois. Il y a donc blocage de ce côté-là. C’est quand même apaisant et rassurant de croiser dans les embouteillages tortueux de Kinshasa la déglinguée, un ancien Chef de l’Etat prenant son mal en patience comme tout le monde.

C’est le moment de se remémorer qu’à l’époque de la Rome antique, Lucius Quinctius Cincinnatus (519-430 av. J.-C.), un paysan devenu Consul sauva la République par deux fois. Il est considéré comme un modèle de vertu et d’humilité. Il cultivait ses champs quand une délégation de sénateurs vint le supplier d’accepter la dictature pour sauver Rome. Il fut nommé Dictateur deux fois. A chaque fois il regagna ses champs après avoir accompli sa mission.

On dit chez nous que plus le singe grimpe en hauteur sur l’arbre, plus on voit son derrière.

GML

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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