En effet, souffrant d'un problème du cœur, "Yandi Mosi" est appelé à être acheminé en Afrique du Sud pour des soins appropriés. Il est couvert, comme tous les artistes comédiens et leurs familles respectives, par une police d'assurance maladie signée entre la FDNT et Activa Assurances. C'est ce qui explique qu'il soit actuellement suivi médicalement dans le cadre de cette police d’assurance maladie et que des options plus sérieuses d’intervention chirurgicale prise en charge par la FDNT sont actuellement en étude. Assurant ainsi une prise en charge dans un nombre donné de centres de santé plus important à travers la ville/province de Kinshasa.
Il sied d'indiquer que c'est lors de sa rencontre avec une délégation des artistes comédiens et acteurs congolais en 2020, la Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi, avait épinglé un problème majeur posé par eux-mêmes à savoir : bon nombre d’illustres comédiens ont trouvé la mort dramatiquement suite à des problèmes de santé qui parfois nécessitaient une simple prise en charge, qui faisait défaut faute de moyens financiers.
En effet, les cas de campagnes de prises en charge des frais d’obsèques de nos artistes comédiens ne manquent pas. Mais la solution n’était-elle pas plutôt de travailler en amont ? D’essayer plutôt d’intervenir quand la maladie se déclare et la combattre afin d’éviter le drame ?
C’est dans cet ordre d’idée que la Présidente de la FDNT avait pris un engagement ferme envers eux : la Fondation dans son axe santé travaillerait à trouver un moyen d’assurer une prise en charge de la santé de nos artistes comédiens, afin d’agir de leur vivant : "aimons-nous vivants", lançait Denise Nyakeru Tshisekedi. Un premier pas avait été posé dans ce sens avec un partenariat mis en place avec HJ Hospitals, Limete 1er rue. Cet accord permettait d’assurer une prise en charge des artistes répertoriés par l’association des artistes, représentée par M. Elombe.
Dans l’optique d’élargir le nombre de centre médicaux de prise en charge et ainsi répondre à la problématique géographique, en effet nos bénéficiaires étant disséminés à travers Kinshasa, un seul centre de prise en charge poserait problème en cas de nécessité de prise en charge d’urgence.
actualite.cd/CC