La session de mars se clôture le 15 juin prochain. Lors de son discours d'ouverture de la séance plénière de ce mercredi 29 mai, Vital Kamerhe a mentionné l'investiture du gouvernement Suminwa parmi les 4 points qui doivent être vidés avant cette clôture de cette session ordinaire.

« Nous avons tous suivi, à la télé, la publication du gouvernement Sumwina. Au nom de l’assemblée plénière et au mien propre, je présente mes sincères félicitations aux heureux nominés. Nous les attendons chaleureusement dans cette salle pour leur investiture », a-t-il déclaré. 

Les quatre matières restantes de cette  session sont : 

1. La mise en place des groupes parlementaires, des commissions permanentes et de la commission des sages ;
2. Examen et adoption du budget de l’Assemblée nationale, exercice 2025 ;
3. Examen et approbation du programme du gouvernement suivi de son investiture ;
4. Examen du réquisitoire du procureur général près la Cour de cassation aux fins d’instruction.

En outre, le bureau a accordé 3 jours aux députés pour constituer les commissions permanentes.

MD



Le CONATC -Conseil Supérieur de l'Autorité Traditionnelle et Coutumière- a exprimé les sentiments de satisfaction, de voir la nomination, ce mercredi 29 mai, de Ndeze Katurebe Jean-Baptiste comme vice ministre des Affaires coutumières.

Pour Sa majesté Difima Ntinu, président de cette association coutumière, «cette nomination est l'aboutissement de grands sacrifices d'une longue et permanente lutte.» Pour cela, l'autorité coutumière remercie le Président de la République, témoignant la profonde gratitude des gardiens des coutumes rd-congolaises.

Tenez, Ndeze Katurebe Jean-Baptiste, actuel vice-ministre des Affaires coutumières est le Grand Chef coutumier de la chefferie de Bwisha, en territoire de Rutshuru, dans la province du Nord-Kivu.

opinion-info/CC



La répartition des postes ministériels au sein du Gouvernement de la Première ministre Judith Suminwa renseigne que l’UDPS et ses mosaïques se taillent la part du lion en raflant près de 65% de postes.

Le parti politique majoritaire au parlement et ses mosaïques sont suivis de l’UNC de Vital Kamerhe et du regroupement AB de Sama Lukonde, trois figures connues de la société civile et l’AFDC-A de Modeste Bahati.

Parmi les partenaires de l’UDPS à l’Union sacrée, seul Jean-Pierre Bemba a été reconduit comme vice-premier ministre au Gouvernement avec une permutation de la Défense aux Transports.

Après recoupement, c’est un gouvernement de l’UDPS. Sur les 6 vice-premiers ministres par exemple, 5 sont de l’UDPS, ses mosaïque et alliés en l’occurrence Jacquemin Shabani à l’Intérieur, Guy Kabombo à la Défense, Daniel Mukoko de A4C à l’Economie, Jean-Pierre Lihau et Guylain Nyembo à la Fonction Publique et au Plan.

 Sur les 10 ministres d’Etat : 4 au moins sont de l’UDPS : Thérèse Kayikwamba, Raïssa Malu, Alexis Gisaro et Acacia Bandubola. Un seul poste revient à l’opposition républicaine de Constant Mutamba nommé à la justice.

Eve Baziaba du MLC se maintient à son poste. Le regroupement politique AB rafle 2 ministères d’Etat dont le Développement rural avec Muhindo Nzangi et l’Aménagement du territoire avec Guy Loando.

Sur les 24 ministres, au moins dix sont de l’UDPS et sa mosaïque : on peut citer ceux des Finances, Ressources hydrauliques, Mines, Droits humains, Santé publique, Recherches scientifiques, Enseignement supérieur et universitaire.

L’AFDC-A se retrouve avec deux portefeuilles dont l'Emploi et le Travail et la Formation professionnelle.

L’UDPS/Kibasa conserve son unique poste. Le PALU également avec Patrick Muyaya. AVC/AB de Didier Budimbu se retrouve avec deux ministères.

L’UNC aux Hydrocarbures et AB50 de Julien Paluku pour le Commerce extérieur.

L’on note aussi une entrée remarquable de la société civile avec Mme Léonie Kandolo, défenseure des droits de l’homme de longue date qui s’occupe du Genre, Famille et Enfants.   

Un cas qui attire l'attention, c’est l’inamovibilité de Jean-Lucien Busa avec son regroupement CODE. Six fois ministres depuis le Gouvernement de Samy Badibanga, M. Busa gère, dans le nouveau Gouvernement, le Portefeuille.

Parmi les 4 ministres délégués, Mme Irene Esambo de la société civile garde son fauteuil. L’ACP occupe un poste à l’environnement. L’AAGPC de Pius Mwabilu reste à l’Urbanisme et habitat avec Didier Tenge.

Thérèse Kayikwamba Wagner de l’UDPS va s’occuper des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et de la Francophonie.                     

Au niveau des vice-ministres, on compte au moins un AFDC-A aux Affaires étrangères, un député UDPS à l’Intérieur, l’ATEC-ACRD de Christophe Mboso à la Justice et le Chef coutumier du Nord-Kivu, Jean-Baptiste Katurebe (société civile) aux Affaires coutumières.

radiookapi.net/CC



Christian Moleka, analyste politique et président de la Dynamique des politologues de la RDC, qualifie le Gouvernement de la Première ministre Judith Suminwa comme étant celui des compromis et des rapports de force. Il souligne également un déséquilibre dans cette équipe de 54 membres, particulièrement en raison de l'absence de représentants de la province du Maniema.

"La première lecture est que c’est une équipe de compromis. On voit qu’il y a beaucoup de compromis entre la feuille de route de départ qui voulait un gouvernement resserré entre 40 et 47 personnes. Un gouvernement sans chef de parti. Les négociations politiques ont ramené cette initiative de départ à un Gouvernement un peu plus large de 54 personnes et il présente toujours des chefs des partis", analyse Christian Moleka.

Il poursuit en soulignant le déséquilibre dans la composition du gouvernement.

"Les gens remarquent l’absence de la province du Maniema, pour un gouvernement de 54 membres, c’est quand même déséquilibré de voir une province qui n’est pas représentée. Ensuite on sent quand même la montée en puissance de l’espace oriental qui a 8 ministres, le Nord-Kivu qui reste parmi les provinces qui donnent plus de ministres au gouvernement. L’équilibre, il tient également en termes de poids politiques. Ce déséquilibre, il est également lié au fait que géopolitiquement le centre du pouvoir reste le Centre Sud et l’Est", constate-t-il.

Les élus du Maniema ont, de leur côté, exprimé leur mécontentement en dénonçant l'absence d'un ministre issu de leur province dans l’équipe gouvernementale publiée le mercredi 29 mai.

radiookapi.net/CC



Après un lancement réussi la semaine dernière dans la ville de Lubumbashi, Orange a dévoilé à Kinshasa sa nouvelle signature dénommée « Orange est là ». C’est un nouveau slogan qui augure des investissements massifs, des offres adaptées aux clients, un engagement sociétal fort et des salariés engagés au service des clients. Orange veut réaffirmer à tous ses abonnés et à tous les clients qui vont le rejoindre bientôt, son engagement à être un acteur de confiance, présent pour eux, à chaque étape de leur parcours et en toute circonstance.

Ce nouveau slogan accompagnera les prises de parole et campagnes publicitaires d’Orange dans les différentes langues de la RDC, explique Ben Cheick Haidara, Directeur Général d’Orange RDC.

« Cette nouvelle approche souligne l’importance que nous accordons chez Orange à la qualité de la relation clients et à la satisfaction de leurs besoins. Elle souligne également l’engagement des femmes et des hommes du groupe Orange en général, et d’Orange RDC en particulier. C’est aussi l’opportunité pour nous de parler à nos abonnés dans les différentes langues nationales, leurs langues. C’est ainsi que cette signature a été traduite dans les 4 langues nationales », a-t-il précisé lors de la conférence de presse de lancement à Kinshasa.

« Orange est là » vient remplacer la signature précédente, « Vous rapprochez de l’essentiel ». Ce slogan a été également décliné dans les 4 langues nationales : « Orange aza » pour le lingala, « Orange iko apa » pour le swahili, « Orange kele awa » pour le kikongo et « Orange udi kôku » pour le tshiluba. Ce slogan exprime mieux les valeurs, les promesses et les ambitions revendiquées par la marque Orange RDC.

« Cette signature est simple, parlante et proche, et fait écho au quotidien de nos clients. Elle nous offre l’opportunité de communiquer avec un style d’expression plus concret et entrer dans la réalité, ce qui va significativement changer nos publicités et nos affiches. Il n’y a rien de plus rassurant que quelqu’un qui vous dit "je suis là" et qui est pleinement là », a souligné Gladys Moth, directrice Marketing d’Orange RDC.

Cet engagement a été présenté par des preuves, en exclusivité, aux participants à cette cérémonie de présentation qui n’a pas réuni que des journalistes. Une centaine de personnes a été conviée, dont le personnel d’Orange. Une série de questions a été posée au directeur général Ben Cheick Haidara, ainsi qu’aux intervenants qui sont passés tour à tour pour expliquer l’engagement d’Orange dans différents secteurs de la vie. Parmi les intervenants, on comptait notamment Djo Tshabadala, directeur technique d’Orange ; Abdramane Diallo, Directeur Général d’Orange Money ; Serge Kaozi, Directeur B2B ; Kathia, Directrice du Pôle Orange Énergies ; et Ariane Kala, Directrice de l’Expérience client.

Ben Cheick Haidara a rappelé que cette signature repose sur des investissements énormes. « Orange est là, c’est aussi et surtout des investissements importants dans le réseau en RDC, des investissements qui nous ont valu pour la deuxième année consécutive, le titre de meilleur réseau mobile. C’est aussi des offres généreuses et adaptées à nos clients. C’est une qualité de service supérieure à celle de la compétition, induite par les importants investissements que nous faisons et que nous continuerons de faire », a-t-il dit.

Et d’ajouter :

« Orange est là, c’est également l’inclusion numérique, des actions sociétales à travers la formation et l’insertion socioprofessionnelle, surtout des jeunes, à travers l’Orange Digital Center, dans les régions et les universités. Orange est là, ce sont des salariés engagés au quotidien pour la satisfaction des clients mais également pour impacter leurs communautés à travers des actions sociétales ».

La nouvelle signature de marque repose sur quatre principaux piliers qui font la force d’Orange RDC : un réseau haut débit fixe et mobile, une qualité inégalée de l’expérience client, des produits et services aussi généreux que performants, ainsi qu’un capital humain expert et engagé. « Orange est là » s’appuie sur des infrastructures résilientes et performantes pour offrir la meilleure qualité de l’expérience client.

Les investissements d’Orange visent notamment la disponibilité du réseau avec des investissements énormes dans tout ce qui est centre technique et data center pour travailler dans la fiabilisation et la capacité. Également sur la couverture réseau et sa capacité. Orange a mis en place plus de 700 sites qui représentent à peu près 45% de croissance par rapport au parc de sites qu’il y avait en fin 2022.

Orange a aussi investi dans la modernisation du système de transport, en déployant plus de 1 000 km de fibre en une année. Ce sont des fibres entre grandes villes, des fibres métropolitaines. « 1 000 km de fibre, ça n’avait jamais été fait dans ce pays », précisait Djo Tshabadala, directeur technique d’Orange. L’entreprise a également fibré les sites chez les abonnés Fttx. « Nous sommes le seul opérateur mobile qui a des ambitions fermes dans ce domaine », ajoute Djo Tshabadala.

À travers « Orange est là », Orange RDC se mobilise pour rester aussi proche qu’accessible pour ses clients particuliers comme pour les entreprises, tout en continuant à se dépasser pour le développement de la République Démocratique du Congo. Ainsi, dans toutes les zones et régions du pays, les solutions d’Orange RDC sont là pour faciliter le quotidien des Congolais, les aider à partager leurs moments de vie, mais aussi pour accompagner la réalisation des projets de la RDC de demain.

Kuzamba Mbuangu



Pour la toute première plénière conduite par Vital Kamerhe, l’Assemblée nationale a décidé, ce mercredi 29 mai, la mise en place d’une commission devant statuer sur le réquisitoire du procureur général près la Cour de Cassation sollicitant l’ouverture d’une instruction contre Nicolas Kazadi, ancien ministre des Finances et député national et François Rubota, ancien ministre du développement rural cités dans le dossier de « surfacturation des lampadaires et Forages ».

Le nouveau président de l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, a assuré que ce dossier sera traité dans la sérénité conformément à l’article 106 du règlement intérieur de cette institution, laquelle disposition a été lue par le rapporteur Jacques Djoli lors de la plénière.

« Nous allons effectivement mettre en place cette procédure pour répondre à cette demande d’instruction et nous attendrons le travail de cette commission qui sera mise en place comme on l’a décidé », a dit Kamerhe.

L’article 106 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale stipule ce qui suit : « En cours de session, si le procureur général près la Cour de cassation, estime que la nature des faits et la gravité des indices relevés justifient l’exercice de l’action publique, il adresse au bureau de l’Assemblée nationale un réquisitoire aux fins d’instruction. L’Assemblée plénière constitue une commission spéciale et temporaire chargée d’examiner le réquisitoire. A cet effet, la commission spéciale et temporaire entend à huis clos le ministère public dans son réquisitoire ainsi que le député qui peut se faire assister par deux de ses collègues ou par un avocat de son choix. Elle transmet son rapport au bureau de l’Assemblée nationale, qui l’inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée plénière. La commission spéciale et temporaire fait rapport à l’Assemblée plénière qui, à l’issue du débat, adopte, le cas échéant, à la majorité absolue, une résolution autorisant l’instruction sollicitée ».

Rappelons qu’en date du 27 avril, Firmin Mvonde Mambu, procureur général près la Cour de Cassation, a sollicité à l’Assemblée nationale l’autorisation pour ouvrir une instruction judiciaire à charge des précités.

Channel Mweya



Dans la bataille contre l'agression rwandaise et la rébellion du M23, Félix Tshisekedi mentionne souvent plusieurs fronts. Plusieurs responsables de ces divers fronts ont récemment été remplacés. Avec son nouveau gouvernement, le chef de l’Etat congolais, a apporté des changements qui visent à renforcer la réponse du gouvernement face aux défis sécuritaires, diplomatiques, juridiques et médiatiques posés par le M23 soutenu par Kigali.

Sur le front militaire, Jean-Pierre Bemba, dont l'arrivée à la tête du ministère de la Défense avait suscité de grandes attentes, est désormais chargé du ministère des Transports, tout en conservant son rang de vice-premier ministre.

Ancien rebelle et ex-vice-président de la République, Bemba était perçu comme celui qui allait renforcer les systèmes de sécurité.

Le ministère de la Défense est maintenant confié à Guy Kabongo Mwadianvita, ancien directeur général du Journal officiel et proche du président.

Concernant la sécurité intérieure, Jacquemain Shabani, un autre proche de Félix Tshisekedi, prend la tête du ministère de l'Intérieur avec le rang de vice-premier ministre, remplaçant Peter Kazadi.

Sur le front diplomatique, Christophe Lutundula, qui s'était efforcé de faire reconnaître l'agression rwandaise par la communauté internationale et d'obtenir des sanctions contre les dirigeants du M23 et certains responsables rwandais, quitte le gouvernement.

Il est remplacé par Thérèse Kayikwamba, ancienne de Harvard et ex-fonctionnaire des Nations Unies

Sur le front juridique, Rose Mutombo, ministre de la Justice, qui avait déposé une plainte à la Cour Pénale Internationale (CPI) contre les dirigeants du M23 soutenus par Kigali en mai 2023, est remplacée par Constant Mutamba, une surprise que très peu d’analystes avaient anticipée.

Sur le front économico-financière, Nicolas Kazadi a été écarté.

Sur le front médiatique, le ministre de la Communication Patrick Muyaya est maintenu à son poste, continuant de piloter la stratégie médiatique du gouvernement.

Il faut aussi noter l’arrivée de Daniel Mukoko Samba, une figure bien connue de la politique congolaise et ancien vice-premier ministre du Budget sous Joseph Kabila, rejoint également ce cercle en tant que vice-premier ministre et ministre de l’Économie.

actualite.cd/CC



Guylain Nyembo fait son entrée au gouvernement Suminwa comme Vice-premier ministre, ministre du Plan et de la Coordination de l’aide au développement. Cela survient près de trois ans après avoir occupé la fonction de Directeur de Cabinet du Président de la République Félix Tshisekedi, mettant fin à l'intérim d'Eberande Kolongele à la suite de l'arrestation de Vital Kamerhe. Son entrée au gouvernement et le départ de certains collaborateurs du Président à d'autres responsabilités vont ouvrir la voie à une restructuration et à la mise en place de nouveaux animateurs au sein du cabinet du Président de la République. Il s'agira du tout premier remaniement du cabinet présidentiel depuis le début du second quinquennat de Félix Tshisekedi à la tête de la République Démocratique du Congo.

Outre Guylain Nyembo, avec la mise en place des nouvelles institutions, Félix Tshisekedi devra également perdre un de ses directeurs de cabinet adjoint chargé des questions économiques et financières, André Wameso Nkwaloki, qui a été élu député national à Songololo dans la province du Kongo Central. Il en est de même pour l'ambassadeur itinérant du Chef de l'État, M. Danny Banza Maloba, qui a été élu député provincial, national et sénateur dans la province du Haut-Lomami.

À l'heure actuelle, Danny Banza Maloba attend également la validation de son mandat comme sénateur. Il en est de même pour Sylvain Taupin Kabongo Mukengeshayi. Le coordonnateur du secrétariat administratif du Président de la République a été élu sénateur dans la province du Kasaï Central. Il siège désormais au Sénat et attend la validation de son mandat à la chambre haute du parlement.

Il y a également le départ de Maître Jacquemain Shabani, conseiller principal du Chef de l'État Félix Tshisekedi en matière politique et processus électoral. Originaire du Nord-Kivu, il va désormais piloter au sein du gouvernement Suminwa le méga ministère de l'Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières. À ce départ s'ajoute celui de Stéphanie Mbombo, membre du service personnel du Chef de l’État et envoyée spéciale du Président de la République pour la Nouvelle Économie du Climat. Elle a été nommée vice-ministre au sein du gouvernement Judith Suminwa en charge de la Nouvelle Économie du Climat.

La dernière restructuration du cabinet de Félix Tshisekedi remonte à l'année 2023. D'après les ordonnances lues sur la chaîne nationale aux mois de janvier et mai, certaines personnes ont été permutées, d'autres écartées et de nouveaux entrants ont été nommés. Certaines fonctions ont aussi été supprimées. Il sied de noter que ces nouvelles mises en place au sein de son cabinet intervenaient après l'annonce du remaniement du gouvernement Sama Lukonde, mais aussi à la veille des nouvelles élections générales prévues au mois de décembre 2023.

Clément Muamba

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