Coronavirus : le Rwanda prolonge de deux semaines le confinement total
Le gouvernement du Rwanda a prolongé les restrictions imposées le mois dernier, par un confinement total, jusqu’au 19 avril 2020.
Le confinement total qui a commencé le 21 mars, a interdit aux gens de quitter leurs domiciles, à moins de sortir pour acheter de la nourriture ou acheter des médicaments.
Le gouvernement a déployé des policiers et d’autres forces de l’ordre pour appliquer ces restrictions.
En principe, ce verrouillage devait prendre fin ce week-end, mais a été prolongé ce mercredi soir par la Présidence, après que le nombre de cas confirmés soit passé de 17 à 82 en deux semaines.
Pendant le verrouillage prolongé, les frontières restent fermées et seule l’entrée des citoyens rwandais qui regagnent le pays est autorisée.
Les marchandises continuent d’être autorisées dans le pays. Les magasins, les écoles et les lieux de culte étant fermés, et les employés continuant de travailler à domicile.
Signalons que le Coronavirus qui est apparu en Chine en décembre dernier, a déjà fait plus de 48.000 morts dans le monde, alors que plus de 202.000 personnes sont guéries. Au total, le monde compte selon le dernier bilan, 951.901 cas confirmés, dans tous les 5 continents.
MEDIA CONGO PRESS / Prunelle RDC
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"Les diabétiques doivent éviter de consommer les aliments susceptibles d’augmenter le taux de sucre dans le sang ".
Dr Steve Zoungrana,nutritionniste regrette un manque d'éducation thérapeutique en Afrique.
Plus de 420 millions de personnes meurent chaque année des suites du diabète.
Une maladie qui est liée à une régulation du taux du sucre dans notre organisme.
Dans certains cas, le diabète peut provoquer des complications graves chez les patients tels que la cécité, les AVC accidents vasculaires cérébraux et une insuffisance rénale.
Le Dr Steve Zoungrana, nutritionniste regrette un manque d'éducation thérapeutique notamment en Afrique.
Il estime qu'une alimentation équilibrée peut aider à réguler le sucre et le sel contenu dans l'organisme humain.
Dr Steve Zoungrana est l'invité de ce journal, il répond aux questions de Nadège Sinarinzi.
BBC Afrique
Marrakech abrite la 3ème Conférence de la Femme Africaine
La ville ocre s’apprête à accueillir, du 21 au 23 novembre 2019, la 3e édition de la Conférence de la Femme Africaine (AWC). Initiée par la Fondation Helpline for the Needy Abuja (Nigeria) en partenariat avec le Centre International de Diplomatie (Maroc) et en collaboration avec Echoes Africa Initiatives (New York), cette édition sera placée sous le thème "Construire une coalition pour mettre fin à l'inégalité des sexes en Afrique".
Selon un communiqué des organisateurs, « cette conférence, qui se veut l'un des plus éminents rassemblements annuels d'experts, d'institutions, d'organisations non gouvernementales et d'entreprises, a pour but de définir des agendas et des options viables, à travers lesquels les acteurs de la politique africaine peuvent canaliser les diverses ressources dont disposent les femmes africaines vers le développement durable du Continent ».
« Le Maroc a été choisi pour accueillir cet événement en raison de son capital social, son positionnement géographique stratégique, sa croissance économique florissante ainsi que de ses diverses initiatives et investissements dans le continent africain visant à renforcer la coopération sud-sud » ajoute le communiqué.
Cette rencontre rassemblera des femmes africaines pour échanger et favoriser de nouvelles idées susceptibles d'accroître leur influence et leur productivité dans leurs différents domaines d'activité, et pour offrir aux entreprises, philanthropes et investisseurs étrangers axés sur l'Afrique une plateforme leur permettant de rencontrer et de forger des alliances avec des femmes africaines entrepreneures, décideuses, influenceuses et professionnelles pour développer leur projets.
« La Conférence des Femmes Africaines est née d’une prise de conscience que la vision 2030 fixée pour atteindre les Objectifs de Développement Durable tels qu'adoptés par les Nations Unies en 2015, ne peut être réalisée sans l'engagement, l'inclusion et l'action collective des femmes aux niveaux national, régional et mondial », fait observer la présidente de la Fondation Helpline, Dr Jumai Ahmadu, citée dans le communiqué.
Pour sa part, Karima Rhanem, présidente du Centre International de Diplomatie à Rabat et partenaire de la Conférence explique qu’ « en choisissant le Maroc pour organiser sa troisième conférence annuelle, la Fondation Helpline a démontré sa volonté d'impliquer des femmes dirigeantes de différentes régions d'Afrique, mais plus particulièrement d'Afrique de l'Ouest, afin de partager leurs expériences, leurs compétences et les meilleures pratiques avec leurs homologues de l’Afrique du Nord ».
Et d’ajouter que « le partenariat avec Helpline Foundation for the Needy- Abuja permettra une meilleure collaboration pour la création d’une coalition afin d’éliminer l’inégalité des sexes en Afrique », soulignant « qu'aujourd'hui, plus que jamais, nous devons conjuguer nos efforts et travailler en réseau pour développer des campagnes de plaidoyer plus efficaces afin de promouvoir l’égalité des sexes, les droits des femmes et la lutte contre tout type de discrimination et de violence à l’égard des femmes ».
Plusieurs hauts dignitaires et d'autres personnalités du Nigeria, du Liberia, du Ghana, du Sénégal, de la Gambie, de la Namibie, du Kenya, du Cameroun, du Tchad, du Niger, du Maroc et d'autres pays africains, dont des ministres fédéraux, épouses de gouverneurs d'Etat, propriétaires d'entreprises et des représentants d’organisations de la société civile, sont attendus à cette édition.
Ce conclave verra ainsi la participation d’une délégation de haut niveau du Nigeria, ainsi que des chefs d'entreprises intéressés par l'économie africaine de toute l'Afrique et de la diaspora, des hauts fonctionnaires, des femmes innovantes, des femmes parlementaires et des épouses de chefs de gouvernement.
La Conférence des Femmes Africaines a été fondée par la Fondation Helpline for the Needy Abuja, une ONG dotée du statut consultatif auprès des Nations Unies, en collaboration avec Echoes Africa Initiatives New York. Elle se veut un rassemblement annuel des femmes africaines opérant dans les secteurs formels et non formels de l'économie africaine.
2M.ma
Cotation des premières obligations de la diaspora à la BRVM : Diaspora Bonds BHS 6,25% en 2019
(BRVM) - Les obligations émises par la Banque de l’Habitat du Sénégal (BHS) en Juillet 2019 et destinées à la diaspora ont été admises à la cote de la BRVM ce mardi 3 décembre 2019 lors d’une cérémonie à Dakar.
Pour un montant recherché de 20 milliards, l’opération a été clôturée avec un taux de souscription de 114%.
Cette opération a vu la participation de la diaspora africaine provenant de 26 pays à hauteur de 43,37% soit un montant souscrit de 8 674 500 000 F CFA.
L’admission de ces obligations à la cote de la BRVM permet d’assurer leur liquidité et porte à 58 le nombre de lignes obligataires pour une capitalisation à l’issue de la cérémonie de 4135,58 milliards.
Dans son intervention, l’Administrateur Directeur Général de la BHS, Monsieur Mamadou Bocar SY, a souligné l’importance de cette opération pour son institution qui a su relever le défi d’en être le pionnier. Il a également indiqué que les ressources levées serviront à financer le programme de l’habitat social au Sénégal qui est l’une des priorités du Plan Sénégal Emergent.
Le DG de la BRVM, Dr. Edoh Kossi AMENOUNVE, a relevé le rôle clé que son institution a joué dans la structuration et la réalisation de cette opération comme étant l’une des actions identifiées dans le rapport sur l’amélioration du financement des économies de l’UEMOA adopté en 2012. Il s’est réjoui du caractère très innovant et historique de l’opération qui va sans doute inspirer d’autres émetteurs ainsi que d’autres places financières en Afrique.
Il a saisi l’occasion pour remercier les Sociétés de Gestion et d’Intermédiation (ABCO Bourse, CGF Bourse, Everest Finance et Impaxis Securities) pour leur engagement et les efforts de promotion qu’elles ont déployés afin d’attirer les ressources de la diaspora africaine en général et celle du Sénégal en particulier.
La cérémonie s’est clôturée par la remise des plaques commémoratives à l’émetteur et aux SGI chefs de file de l’opération.