Le Général-Major Peter Cirimwami a succombé à ses blessures après avoir été atteint par balle lors d’une opération sur le terrain, au milieu des combats qui font rage dans l’est de la RDC.

C’est une terrible nouvelle qui a secoué l’armée congolaise et la population du Nord-Kivu. Le gouverneur militaire de cette région, le Général-Major Peter Cirimwami, est mort au combat jeudi dernier.

Selon le porte-parole des FARDC (Forces Armées de la République Démocratique du Congo), Cirimwami a été « blessé, arme à la main, sur le champ d’honneur ». Transporté d’urgence à Kinshasa pour y recevoir des soins, il n’a malheureusement pas survécu à ses blessures.

Cette triste nouvelle intervient alors que la situation sécuritaire reste extrêmement tendue dans l’est de la RDC, théâtre d’affrontements persistants entre l’armée congolaise et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda selon Kinshasa.

Des combats étaient ainsi signalés jeudi dans la ville de Sake, non loin de Goma, la capitale du Nord-Kivu. C’est dans ce contexte que le Général Cirimwami a été gravement blessé, lors d’une opération sur le terrain.

Selon le Général Sylvain Ekenge, porte-parole du Conseil supérieur de la défense élargi, « tout a été fait pour que le Général Cirimwami arrive à Kinshasa pour les soins appropriés. Malheureusement, il a succombé à ses blessures ».

Une disparition qui endeuille l’armée congolaise et la population du Nord-Kivu, où le Général-Major Cirimwami était une figure respectée. Sa mort illustre la dangerosité des combats qui font rage dans cette région, où les forces gouvernementales peinent à maîtriser la menace posée par les rebelles du M23.

Dans un contexte sécuritaire toujours aussi préoccupant, la perte de ce haut gradé de l’armée représente un coup dur pour les FARDC. Une disparition qui intervient alors que les violences se poursuivent sans relâche dans l’est de la RDC.
 
mùbote/CC
 


C’est en principe le 15 février prochain que l’artiste musicien, Ngiama Makanda, alias Werrason, se produira dans la salle Arena Grand Paris, en France. Il souhaite profiter de cette occasion pour adresser un message de paix à la communauté internationale, qui reste silencieuse face aux milliers de morts enregistrés dans la partie Est de la RDC depuis plus de trois décennies.

Profitant du mémo qui lui a été remis le jeudi 23 janvier 2025, en tant qu’Ambassadeur de la paix, le roi de la forêt a déclaré :

« J’ai reçu des personnes qui sont venues me remettre leur mémo concernant la situation sécuritaire de notre pays, particulièrement touché dans sa partie Est. »

 Message à la communauté internationale

Il a également précisé qu’il transmettra un message de paix lors de son concert du 15 février prochain à Paris.

« Nous avons l’impression que la communauté internationale reste muette face à tous ces massacres qui se produisent chaque jour à l’Est du pays », a souligné Werrason.

Il a ajouté que, dans son rôle d’Ambassadeur de la paix, il se considère comme la personne la mieux placée pour exprimer ce message authentique de paix.

« Je suis convaincu que la paix va revenir un jour dans notre pays, et nous nous inscrivons dans la démarche menée par le peuple congolais à travers le président de la République pour rétablir définitivement la paix dans notre pays », a espéré Werrason.

Concernant le mémo, il a pris acte et s’est engagé à transmettre fidèlement ce message aux autorités.« En marge de ce concert, nous organiserons une conférence de presse réunissant des journalistes tant nationaux qu’internationaux, axée sur la paix en RDC. »

Rodrigue Kikamba



Cet homme d’affaires de 48 ans, qui se présentait comme un entrepreneur à succès sur les réseaux sociaux, a été arrêté à Madrid alors qu’il s’apprêtait à récupérer près de 200 kg de cocaïne.

C’est une spectaculaire chute qui soulève de nombreuses interrogations. Eric Mandala Kinzenga, un influent homme d’affaires originaire de République Démocratique du Congo, a été arrêté cette semaine à Madrid, alors qu’il s’apprêtait à récupérer près de 200 kg de cocaïne.

Âgé de 48 ans, Mandala Kinzenga se définissait lui-même comme un « entrepreneur fait par lui-même », sur les multiples plateformes où il était très actif. À en croire ses réseaux sociaux et son site internet, il avait en effet construit une carrière impressionnante, débutant à seulement 14 ans dans le transport de voyageurs au Kenya, avant de se diversifier dans les médias, les diamants ou encore les savons.

Installé à Dubaï depuis 2020, où il avait notamment acheté un luxueux appartement dans la tour Burj Khalifa, il était considéré comme une figure respectée dans son pays et au-delà. Mais cette image d’entrepreneur prospère cache en réalité de sombres activités.

Car selon les enquêteurs, les fréquents voyages de Mandala Kinzenga à Dubaï, réputée pour abriter de nombreux narcotrafiquants, auraient également servi à organiser des trafics de drogue entre l’Amérique du Sud et l’Europe. Une hypothèse renforcée par sa récente arrestation à Madrid, alors qu’il s’apprêtait à récupérer près de 200 kg de cocaïne.

Interpellé aux côtés d’un complice colombien, l’influent homme d’affaires a été placé en détention provisoire par la justice espagnole. Une chute brutale pour celui qui se présentait comme un entrepreneur accompli, mais qui était en réalité activement impliqué dans le lucratif trafic de drogue international.

Cette affaire soulève de nombreuses interrogations sur les activités réelles de Mandala Kinzenga, dont la double vie d’homme d’affaires respectable et de trafiquant présumé a été brutalement révélée. Une spectaculaire descente aux enfers qui constitue un véritable camouflet pour celui qui se voulait une figure d’inspiration pour la jeunesse congolaise.

mbote/CC

 


Le rappeur congolais remet en cause le « lynchage » médiatique dont fait l’objet l’homme d’affaires arrêté, appelant à la même fermeté envers les élites politiques corrompues.

La spectaculaire arrestation d’Eric Mandala Kinzenga, cet influent homme d’affaires congolais soupçonné de trafic de drogue, n’a pas manqué de susciter de nombreuses réactions au sein de la société civile congolaise. Parmi elles, celle du rappeur et producteur Alex Ndende, plus connu sous le nom de Lexxus Légal, a particulièrement retenu l’attention.

Le rappeur congolais remet en cause le « lynchage » médiatique dont fait l’objet l’homme d’affaires arrêté, appelant à la même fermeté envers les élites politiques corrompues.

La spectaculaire arrestation d’Eric Mandala Kinzenga, cet influent homme d’affaires congolais soupçonné de trafic de drogue, n’a pas manqué de susciter de nombreuses réactions au sein de la société civile congolaise. Parmi elles, celle du rappeur et producteur Alex Ndende, plus connu sous le nom de Lexxus Légal, a particulièrement retenu l’attention.

Lexxus Légal souligne ainsi le contraste frappant entre le traitement réservé à cet homme d’affaires et celui réservé aux véritables « voleurs » qui « pillent l’État » congolais, souvent « en connivence avec l’ennemi pour leurs affaires ». Une référence évidente aux élites politiques corrompues, qu’il ne mâche pas ses mots pour qualifier de « prétendus leaders » faisant preuve d' »inhumanité déconcertante ».

« Vous les adulez, les encensez, leur attribuez une autorité morale, les qualifiant de guides, Mwalimu, présidents, ou autres sobriquets aussi saugrenus les uns que les autres », écrit-il ainsi, interrogeant ses concitoyens sur leur « énergie » face à ces responsables politiques aux impacts bien « plus directs » sur leurs vies.

Car pour le rappeur, la pauvreté du peuple congolais dans un pays « extraordinairement riche » est avant tout le fait de ces « voleurs de la pire espèce » qui « trônent » sur eux. Un contraste frappant avec le cas d’Eric Mandala Kinzenga, qu’il présente comme « un entrepreneur, une sorte de self-made man qui tente de naviguer dans les méandres d’un monde impitoyable ».

Lexxus Légal ne nie pas pour autant que cet homme d’affaires se soit « fait avoir », mais appelle à la même fermeté judiciaire envers les élites politiques que celle réservée à ce businessman. Un appel à la cohérence et à la juste répression de tous les pillages, qu’ils soient le fait d’hommes d’affaires ou de responsables politiques.

Une prise de position sans concession d’un artiste engagé, qui met en lumière les véritables enjeux de la lutte contre la corruption dans un pays où les pratiques prédatrices des élites semblent souvent rester impunies.
 
mbote/CC


La manche-aller du championnat national de football de la RDC, illico Cash Ligue 1, reprend ce mercredi 22 janvier, dans différents stades du pays, après plusieurs jours de trêve.

Les Corbeaux de Mazembe reçoivent, ce mercredi, les kamikazes de Simba de Kolwezi, en match de la 9e journée du championnat national Ligue 1, groupe A, au stade de Kamalondo, à Lubumbashi.

Au classement provisoire de ce groupe, Mazembe est 3e avec 19 points en 8 matchs disputés, et son adversaire du jour Simba est 10e avec 15 points.

Dans le cadre du groupe B de ce championnat, l’AS Maniema Union sera reçu, vendredi 24 janvier, à Kinshasa par l’équipe locale de Anges Verts, au stade des Martyrs.

Un jour plus tard, soit le samedi 25 janvier, le TP Mazembe sera accueilli à Kolwezi au stade Dominique Diur par les Bénis de Blessing.

Mazembe terminera ses matchs de la manche aller, mercredi 29 janvier, à Kananga (Kasaï-Central), en cherchant à defier l’US Tshinkunku au stade des Jeunes de la commune de Katoka.

Enfin dans le groupe B, l’as Maniema Union recevra tour à tour le FC Etoile du Kivu et l’OC Bukavu-Dawa au stade Joseph Kabila de Kindu pour ses deux derniers matchs de la manche aller, respectivement le 2 et le 5 février prochain.

Seuls le TP. Mazembe e Lubumbashi et l’As Maniema Union de Kindu, avaient enregistré plusieurs matches de retard à la suite de leur engagement en Ligue des Champions de la Confédération Africaine de Football, CAF.

Ainsi après leurs éliminations le week-end dernier à l’étape de la phase de pools, la LINAFOOT a fixé ces deux clubs Mazembe et Maniema en reprogrammant les restes de rencontres pour une période allant du 22 janvier au 5 février 2025 dans des stades et villes différents.

C’est donc après ces matchs en retard que la Ligue pourra alors sortir le calendrier de la phase retour.

 

CC



« Les forces loyalistes appuyées par la force de la SADEC (SAMI-RDC) ont repoussé l'ennemi au-delà de la cité de Sake, située à 27 km au sud-ouest de la ville de Goma, siège des institutions provinciales du Nord-Kivu, dans l'est de la République démocratique du Congo », rapporte ce jeudi 23 janvier, une dépêche de l’Agence congolaise de presse qui cité la Cellule de communication du gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général major Peter Cirimwami Nkuba.

Alors que certaines rumeurs annonçaient l’occupation de la cité de Sake par la rébellion, les services de communication du gouverneur notent que le chef de l’exécutif provincial était au front.

« Le gouverneur militaire de la province du Nord-Kivu, le général major Peter Cirimwami Nkuba, s'est rendu jeudi sur la ligne de front proche de Mubambiro pour rassurer la population et remonter le moral des troupes engagées sur le terrain. Le gouverneur a tenu à démentir aussi les rumeurs concernant sa possible fuite de la ville de Goma vers d'autres coins sécurisé », ajoute son service de communication.

Une panique généralisée a été constatée depuis le matin de ce jeudi 23 janvier dans la ville de Goma au Nord-Kivu.

Cette situation faisait suite à certaines informations distillées sur les réseaux sociaux, faisant état de l’occupation de la cité de Sake à 27 km de Goma par les rebelles du M23.

Les populations de Sake et de Mugunga se sont réveillées sous des détonations d’armes lourdes.

Pris de panique et dans leur fuite, certains ont été blessés par balle et par des bombes larguées à Mubambiro, entre Mugunga et Sake, exacerbant la peur au sein de la population.  

Malgré la panique observée ce jeudi dans la ville de Goma, les activités au poste frontalier de la grande barrière, reliant Goma en RDC à Gisenyi au Rwanda se sont déroulées normalement. 

La traversée entre les deux pays s'est poursuivie sans interruption, tout comme les échanges transfrontaliers, permettant le maintien des flux commerciaux et des déplacements habituels. Cependant, dans la ville de Goma, des activités ont été en grande partie paralysées.

radiookapi.net/CC



Les PVH-APV -Personnes vivant avec handicap et autres personnes vulnérables- ont battu le pavé, pour déposer une plainte à la Cour de Cassation contre le député national Eliezer Ntambwe, soupçonné d'être à la base de l'agression d'un membre de cabinet de la ministre déléguée Irène Esambo. 

L'un des representants des personnes vivant avec handicap a, bien avant la remise de cette plainte entre les mains du Procureur général près la Cour de cassation, déclaré qu'ils accusent "le député national Eliezer Ntambwe pour incitation au trouble à l'ordre public, et manipulation et dénigrement de la personne avec handicap de la RDC."

Et d'ajouter: "Nous avons fini par comprendre que la création du mouvement des personnes handicapées au sein de son parti politique, ACR, n'avait pour objectif que de saper les efforts du Gouvernement de la République en faveur de la personne vivant avec handicap, et notre promotion."

Du PG près la Cour de Cassation, ils appellent la condamnation du député national Eliezer Ntambwe et la réparation de l'image de la personne vivant avec handicap, entant que personne humaine.

Après avoir réceptionné cette plainte, le Procureur général près la Cour de Cassation, Firmin Mvonde Mambu, a promis de se pencher sur ce dossier sans complaisance, et selon la procédure.

À l'en croire, nul est au dessus de loi.

opinion-info/CC



Une plainte contre la ministre déléguée des personnes vivant avec handicap, Irène Esambo, sera déposée, ce vendredi 24 janvier, à la Cour de Cassation, dans la commune de la Gombe. L'initiative est du mouvement de réveil des personnes vivant avec handicap, sous la direction de Dexy Masena.

Ce groupe, visiblement majoritaire, accuse notamment la ministre Irène Esambo de manipuler une frange d'handicapés, afin de vilipender le député national Eliezer Ntambwe Mposhi. Par le biais de leur président, Dexy Masena, les personnes vivant avec handicap veulent démontrer à la face du monde la manipulation derrière l'action menée, il y a vingt-quatre heures, par la ministre Irène Esambo, auprès du Procureur général près la Cour de Cassation, contre le député national Eliezer Ntambwe.

A l'origine de plusieurs mouvements dans la capitale et dans l'arrière pays, l'aile que dirige Dexy Masena accuse également la ministre Irène Esambo d'incompétence et de megestion à la tête de ce ministère. "Au sein de notre ministère, il n'y a même pas, jusqu'à ce jour, une voiture pour le dépôt des courriers."

Lors d'une manifestation organisée récemment à Kinshasa, en faveur du Chef de l'État, le groupe de Masena a fustigé l'infiltration de quelques personnes. "C'est bien elle qui est à la base de plusieurs arrestations enregistrées lors de la marche organisée autrefois. Nous irons jusqu'au bout avec elle", a laissé entendre l'aile Masena.

Ce climat renforce dès lors un malaise au sein des personnes vivant avec handicap. Plusieurs personnes sollicitent l'implication directe du Chef de l'État Félix Tshisekedi.

Grevisse Tekilazaya 

 



Les régies financières de la République démocratique du Congo ont mobilisé au 15 janvier, un montant de 650,7 milliards de CDF, équivalant à environ 229 millions USD, selon une note de conjoncture économique de la Banque centrale du Congo (BCC) consultée jeudi par l’ACP.

« Les recettes de l’État ont atteint 650,7 milliards de CDF à la période sous revue. La participation des régies financières se présente comme suit : les recettes provenant de la Direction générale des impôts (DGI) se sont chiffrées à 262,9 milliards de CDF, celles de la Direction générale des douanes et accise (DGDA) à 154,8 milliards et les recettes de la Direction générale des recettes administratives, judiciaires et de participation (DGRAD) ont atteint 110,8 milliards », a-t-on lu.

Pendant la période sous examen, les dépenses publiques exécutées se sont chiffrées à 502,3 milliards de CDF, dont 326,8 milliards de CDF ont concerné les charges courantes et 110,0 milliards les dépenses en capitale.

Situation des Bons et Obligations du Trésor

Au premier trimestre 2025, le gouvernement entend lever 150,0 milliards de CDF au titre des Bons l et Obligations du Trésor et 400,0 millions USD par les mêmes instruments.

Les résultats de l’adjudication du 07 janvier 2025 renseignent que, sur un montant attendu de 70,0 millions de USD au titre d’Obligations du Trésor d’une maturité de 18 mois, au taux d’intérêt de 9 % l’an, le gouvernement a levé 40,0 millions de USD, soit la totalité des souscriptions reçues. Le taux de couverture a été de 57,14 %. Au 14 janvier 2025, l’encours global des titres est porté à 3 550,1 milliards de CDF.

Les efforts de mobilisation accrue des ressources domestiques devraient se poursuivre en 2025, en phase avec le Programme d’actions du gouvernement (PAG) sur la période 2024–2028. La loi de finances pour l’exercice 2025 renseigne un niveau des recettes internes attendu de 31 719,2 milliards de CDF, soit une progression annuelle de 24,6 % par rapport à 2023. En outre, le Trésor table sur l’encaissement des ressources tirées de la renégociation du contrat sino-congolais.

ACP/C.L./CC



La République démocratique du Congo  a présenté jeudi ses richesses touristiques et culturelles afin d’attirer les partenaires potentiels lors de la  45ème édition de la Foire internationale du tourisme « FITUR-2025 » qui se tient  à Madrid capitale de l’Espagne, a appris vendredi l’ACP de source officielle.

« Nous sommes ici à la foire internationale du tourisme en Espagne  où nous sommes venu représenter la République démocratique du Congo car c’est une occasion de présenter ce que nous avons comme richesses touristiques, culturelles afin d’attirer les partenaires potentiels >> a déclaré Didier M’pambia Musanga, ministre du Tourisme 

Didier M’piamba  a fait savoir que c’est aussi une occasion de faire découvrir aux gens ce pays magnifique ,  qui est la République démocratique du Congo et toutes les opportunités dans les secteurs de tourisme ainsi que les destinations comme le parc de lupemba  , Moanda , Kinshasa comme capitale et d’autres particularités que nous avons au terme des sites mais aussi au terme des destinations qui permettent aux gens de se divertir. 

Il a expliqué  que la RDC est un pays a potentiel exceptionnel touristique, culturel etc…

La RDC vante sa gastronomie

Le stand de la  RDC qui est très  fréquenté vante les  atouts aussi dans la gastronomie car en RDC chaque région possède sa propre ‘’signature culinaire ‘ et cette diversité constitue à la fois une richesse inestimable 

En effet il est de notre devoir de le faire déguster et  vanter auprès des participants qui viennent visiter notre stand car un même plat peut être préparé de plusieurs manières différentes selon la région.

La dégustation de cette gastronomie  par les participants internationaux est une occasion exceptionnelle de faire connaître et de contribuer à la promotion de la cuisine congolaise à l’échelle mondiale.

Cette nouvelle édition du Salon international du tourisme a par  ailleurs donné une opportunité pour que  la gastronomie exceptionnelle que dispose la République démocratique du Congo puisse se démarquer des autres.

ACP/C.L./CC

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A Propos

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