A trois semaines de la CAN 2025, prévue au Maroc, Tecno a lancé sa campagne 2025 à l’échelle du continent dénommée « Power Your Moment ».

Selon une dépêche de cette marque parvenue, ce vendredi 28 novembre à Radio Okapi, cette initiative célèbre la joie, la passion et les moments décisifs qui forgent ce tournoi emblématique de football africain.

Conçue pour mettre en lumière la manière dont l’écosystème IA de Tecno enrichit chaque instant marquant de la vie des jeunes africains, la marque déploiera une série d’expériences créatives, interactives et culturelles tout au long de la compétition.

La nouvelle campagne s’appuie sur une conviction forte : la jeunesse africaine se trouve, avec ce tournoi du football, à un moment charnière de son histoire.

Avec « Power Your Moment », Tecno propose désormais un écosystème de produits et technologies IA de pointe capables non seulement d’accompagner cette dynamique, mais surtout de la propulser.

De l’écran à la rue, Tecno transforme ce message en expériences tangibles à travers le continent.

Dans les villes hôtes de la CAN, la marque installera des Pop-Up Stores et Fan Zones permettant aux visiteurs de découvrir l’ensemble de l’écosystème : smartphones, accessoires, ordinateurs portables, solutions d’imagerie IA.

Avec “Power Your Moment”, Tecno signe ainsi une campagne qui unit technologie, culture et ambition personnelle, au moment où le football africain s’apprête à vivre une nouvelle page de son histoire.

A l’approche de cette fête du ballon rond, cette marque vise à inspirer tous les Africains à saisir leurs opportunités, partager leurs histoires et embrasser le potentiel de la créativité dopée par l’IA.

Partenaire de la CAN 2025, Tecno réaffirme ainsi son engagement envers une nouvelle génération qui construit son propre chemin et choisit de vivre pleinement son moment.

radiookapi.net/CC



Après les catholiques et les protestants, les autres confessions religieuses de la RDC s’engagent à sensibiliser sur les documents de reconnaissance de génocide de la RDC.

Ces princes des églises ont donné leur accord, vendredi 28 novembre, lors d’un entretien avec le ministre des Droits humains, à Kinshasa.

Au sortir de cet échange au ministère des Droits humains, ces pasteurs et Iman, membres de la plate-forme confessions religieuses, acceptent de vulgariser dans leurs lieux de culte les résolutions de la Commission Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (CADHP) ainsi que celles de la société civile africaine.

Pour le président de la plate-forme Eglise de réveil au Congo a reconnu que ces deux résolutions vont enrichir leurs prédications afin que le génocide soit reconnu de tous les Congolais.

A travers cette campagne, l’archevêque Evariste Ejiba souhaite que tous les Congolais parlent un même langage sur ce qui se passe dans l’Est de la RDC.

Pour sa part, le ministre des Droits humains , Samuel Mbemba se réjouit que ces interlocuteurs aient accepté de s’engager dans ce combat, initié par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi

Avec cette adhésion des confessions religieuses, la campagne gagne en ampleur, laissant entrevoir une sensibilisation plus profonde des citoyens et une avancée significative vers la reconnaissance des génocides commis par le Rwanda.

radiookapi.net/CC
 



A l’issue de leur tête-à-tête vendredi 28 novembre à Belgrade (Serbie), les Présidents congolais, Félix Tshisekedi, et serbe, Aleksandar Vučić, ont réaffirmé leur engagement d’élargir la coopération entre leurs pays par le développement des secteurs tels que l'agriculture, la défense, l'éducation, la santé, et la jeunesse.

L’échange a porté, selon Aleksandar Vučić, « sur l'élargissement de la coopération République démocratique du Congo (RDC)- Serbie, par l'intégration de l'agriculture, (...) la coopération militaire, et l'encadrement de la jeunesse ».

La coopération dans le secteur de l'éducation implique notamment l'octroi des bourses d'études aux étudiants congolais. A cela s’ajoutent le transfert de technologies, la formation et la modernisation des pratiques agricoles.

« Nous avons abordé plusieurs sujets qui vont de la sécurité et de la défense jusqu'au secteur agricole, passant évidemment par l'éducation, la santé et les infrastructures. Mon pays, la République démocratique du Congo, offre plusieurs opportunités aux pays qui voudraient partager un partenariat avec nous », a renchéri Félix Tshisekedi.

Ce dernier et son épouse sont arrivés jeudi à Belgrade, à l’invitation de son homologue serbe pour une visite d’Etat de trois jours.

Clle-ci fait suite à la rencontre que Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo avait eue avec Aleksandar Vučić lors de la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations unies, à New-York, en septembre 2024. A cette occasion, ils avaient affirmé leur engagement à approfondir les relations d’amitié et de coopération qui lient leurs pays sur des questions d’intérêt commun.

radiookapi.net/CC



La légende de la rumba congolaise Koffi Olomide et tous les membres de son groupe musical, vont livrer un concert événementiel, ce samedi 29 novembre 2025, aux Arènes de Grand Paris Sud, à l'occasion de la célébration de 39 ans d'existence du Quartier latin international. Les portes seront ouvertes à partir de 17h00.

Après son sacre à l'ING Arena Bruxelles au mois de septembre dernier devant près de 15.000 spectateurs, Koffi Olomide va cette fois-ci réunir plus de 3.000 personnes en France pour l'anniversaire de son orchestre. Il a fait savoir sur ses comptes réseaux sociaux que plusieurs de ses anciens acolytes et d'autres invités surprises feront partie de la fête.

Il est à noter que les Arènes de Grand Paris Sud sont une salle de spectacle et de sport polyvalente située à Évry-Courcouronnes, connue pour sa programmation de concerts, de spectacles et d'événements esport. La salle, qui peut accueillir jusqu'à 3.000 spectateurs, dispose d'une scène modulable de 358 m² et d'une acoustique optimisée, la rendant idéale pour divers événements.

Pour rappel, le Quartier latin international a été créé en 1986 par Koffi Olomide et a vu passer dans ses rangs de futures stars de la musique congolaise telles que Fally Ipupa, Ferre Gola, Cindy le cœur, Soleil Wanga, Bouro Mpela, Gibson Butukondolo, Babia Ndonga, Lola Mwana, Modogo Abarambwa, Mirage Supersonic, ou encore Brigade Sarbaty. L'orchestre compte 7 albums au total, au nombre desquels"Pas de Faux pas" (1992); "Magie" (1994); "Ultimatum" (1997), "Droit de véto" (1998); "Force de frappe" (2000); "Affaire d'état" (2003); et "Danger de mort" (2006).

Gratis Makabi



Le sélectionneur de l'équipe nationale A prime de la RDC, Otis Ngoma Kondi, est monté au créneau pour fustiger l'absence des joueurs locaux au sein de la sélection A depuis plusieurs fenêtres FIFA.

Invité au journal des sports de la radio Top Congo ce vendredi 28 novembre 2025, Otis Ngoma a indiqué que Sébastien Desabre ne convoque pas ses poulains parce qu'il est à deux doigts de se qualifier pour le mondial et estime les Léopards locaux n'ont pas de niveau pour ce genre de compétition.

"Tout le monde se plaint de l'absence des joueurs locaux chez les seniors. Sébastien Desabre estime qu'ils n'ont pas encore le niveau. Il a peut-être raison, vu qu'il est à la porte de la coupe du monde", a-t-il déclaré.

Pour rappel, ça fait une année qu'aucun Léopard local ne figure sur la liste de Sébastien Desabre. Les derniers joueurs locaux convoqués par le technicien français sont le gardien Brudel Efonge de l'AS Maniema Union, et l'ancien attaquant du TP Mazembe Oscar Kabwit.

Les Léopards A de la RDC vont disputer la phase finale de la prochaine CAN au Maroc entre décembre 2025 et janvier 2026, et se sont qualifiés en finale des barrages intercontinentaux programmée le 31 mars 2026 au Mexique.

Gratis Makabi



Le sénateur Afani Idrissa Mangala a adressé une question orale avec débat au directeur général du Service d’assistance et d’encadrement de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (SAEMAPE), à propos du tragique accident survenu le 15 novembre dernier dans la mine de Kalando, près du village de Mulondo (territoire de Mutshatsha), dans la province du Lualaba, ayant causé la mort de plus de quarante personnes.

L’élu du Maniema exige des explications claires de la part du responsable du SAEMAPE sur les circonstances du décès de nombreux creuseurs artisanaux.

Pour le président du groupe politique UDPS/Tshisekedi au Sénat, il est inadmissible que des citoyens, en quête de survie, périssent sans qu’aucune explication ne soit donnée à la représentation nationale.

Le sénateur souhaite également connaître le niveau d’assistance apporté par le SAEMAPE dans l’encadrement des exploitants miniers artisanaux sur l’ensemble des sites reconnus à travers le pays.

Idrissa Mangala demande en outre des précisions sur les statistiques de l’exploitation artisanale — notamment de l’or, des 3T (étain, tungstène, tantale) et d’autres minerais — afin d’informer les Congolais sur l’évolution et le niveau de la production, province par province et site par site, dans un secteur qui représente environ 80 % de la production nationale de minerais, et ce, durant la période de gestion actuelle.

Il insiste également sur la nécessité de disposer de données quantitatives sur les activités d’exploitation artisanale ou semi-industrielle des produits de carrières intégrées dans le circuit officiel de production et de commercialisation.

Dans le cadre du contrôle parlementaire, le sénateur souhaite enfin obtenir des informations sur la situation financière du SAEMAPE ainsi que sur sa contribution au Trésor public.

Il appelle le bureau de la chambre haute du Parlement à faire triompher le débat démocratique, afin d’éclairer l’opinion publique sur ce drame qui a coûté la vie à de nombreux compatriotes.

actualite.cd/CC



L’hôtel de ville de Kinshasa, qui avait formellement interdit l’accès de taxis-motos dans le centre-ville, tient coûte que coûte à faire respecter cette mesure édictée par le président de la République. Cette fois-ci, il a défini leurs limites, et a, pour la première fois, annoncé des restrictions aux tricycles, communément appelés « moto ya trois pneus » à Kinshasa.

Le ministre provincial des transports, Jésus-Noël Sheke, a dans un communiqué lundi précisé les axes routiers conduisant vers le centre-ville, sur lesquels les taxis-motos doivent désormais faire uniquement la dépose-reprise, sans un stationnement prolongé. Seules les motos privées et celles faisant des livraisons ne sont pas concernées par cette mesure de l’hôtel de ville.

Axes routiers et délimitations : Avenue des Huileries -Avenue Tombalbaye (Référence INRB), Avenue de la Libération-Avenue Mont des Arts, Avenue Colonel Monjiba-Saut de mouton SOCIMAT (aile Rond-point SAFRICAS), Avenue Bokasa-Avenue du Commerce/Bokasa, Avenue Kasa-vubu-Avenue du Commerce/Kasa-vubu, Avenue Wangata-Terrain Maman Yemo, Avenue du Kasaï-Avenue du Commerce/Kasaï, Avenue de Poids Lourds-Pont BRALIMA, Avenue du Flambeau-INA, Avenue Haut Commandement-Entrée du Camp KOKOLO/Sergent MOKE, Avenue de l'OUA-Rond-point SAFRICAS.

Les tricycles, pas sur les boulevards Lumumba, Triomphal…

Les tricycles, désignés par « moto ya trois pneus » à Kinshasa, pullulent chaque jour sur les artères de la capitale. Ils sont même visibles sur les grands boulevards, surtout sur le boulevard Lumumba, l’artère routière la plus longue de Kinshasa (de Maluku jusqu’à Limete, 1ère rue).

« Afin de réduire les risques élevés d'accidents et de congestion, il est strictement interdit aux tricycles affectés au transport des personnes et des biens de circuler sur les grandes artères ci-après : Boulevard LUMUMBA, Boulevard SENDWE, Avenue de Libération, Boulevard du 30 juin, Boulevard Triomphal, Avenue des poids lourds, Avenue Kasa-vubu, Avenue Mondjiba, Avenue Nguma, Avenue du Tourisme (Axe NZELA YA MAYI), Place Kintambo Magasin », peut-on lire.

Par ailleurs, le ministre Jésus-Noel précise que « les tricycles ne peuvent circuler que dans les quartiers secondaires et sur les routes communales à faible trafic. A cela, s'ajoute, le chargement des marchandises excédant les poids réglementaires. Il est également interdit le stationnement anarchique aux abords des marchés, écoles, hôpitaux, carrefours et autres ».

Des sanctions et amendes contre les contrevenants

Ces mesures ne sont pas dépourvues de contrainte. Le ministère provincial des transports prévient que les taxis-motos qui seront surpris dans les zones interdites seront immédiatement saisis et mis en fourrière pendant 30 jours, et seront obligés de payer une amende de 500.000 francs congolais. Quant aux tricycles, eux, verront leur autorisation de transport suspendue pendant 15 jours, et vont devoir payer 500.000FC, assortis de frais de fourrière.

« La Division Urbaine des Transports avec les concours de la Police Nationale Congolaise, la Brigade Spéciale de Protection de l'Environnement ainsi que la Régie des Fourrières et de Contrôle Technique sont instruites de procéder à de contrôle permanent et aléatoire sur les axes concernés. Toute forme de tracasserie, tolérance ou complicité expose l'agent fautif à des sanctions administratives sévères », conclut ce membre du gouvernement Daniel Bumba.

Malgré plusieurs interdictions, depuis Kimbuta et Ngobila, la présence de motocyclistes est au contraire augmentée, leurs bavures régulièrement dénoncées dans le centre-ville. 

Samyr LUKOMBO



La consommation de sauterelles a été recommandée aux personnes souffrant de diabète par un nutritionniste de la ville de Bunia, chef-lieu de la province de l'Ituri, dans le Nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), lors d'un entretien accordé jeudi à l'ACP.

« Nous conseillons aux populations d'intégrer les sauterelles dans l'alimentation des diabétiques, car cet insecte est riche en protéines de haute valeur biologique, en vitamines et en minéraux essentiels dont les personnes diabétiques ont un besoin accumulé », a déclaré le nutritionniste Prince Kasereka.

Il a ensuite souligné que les sauterelles se distinguent par leur forte teneur en antioxydants, cruciaux pour les diabétiques, résultant que ces antioxydants apportent à neutraliser les radicaux libres, à réduire le stress oxydatif et à prévenir plusieurs complications liées au diabète.

En outre Prince Kasereka a noté que la concentration d'antioxydants dans les sauterelles est même supérieure à celle des agrumes, tels que l'orange, le citron et le pamplemousse, soulignant que cette richesse en antioxydants confère à la sauterelle un pouvoir protecteur particulièrement intéressant pour les nombreuses personnes diabétiques.

Il a également mentionné qu'au-delà de ses qualités nutritionnelles, la sauterelle représente une ressource locale abondante et économiquement accessible pour de nombreuses familles de l'Ituri. Car, selon lui, encourager sa consommation permet d'améliorer l'alimentation des diabétiques, tout en valorisant un produit traditionnel pouvant contribuer à la sécurité alimentaire dans la région.

Prince Kasereka a également conseillé aux populations, notamment aux personnes diabétiques, de consommer les sauterelles avec modération, malgré leurs nombreux avantages, rappelant un principe fondamental en nutrition : « Tout aliment peut devenir un poison ; tout dépend de la dose » !

Il a enfin invité la population de l'Ituri, et particulièrement ceux qui hésitent encore à intégrer les sauterelles dans leur alimentation en raison de leur apparence ou de leur texture, à surmonter ces réticences, remarquables que cet aliment, bien que parfois perçu avec réserve, offre une valeur nutritionnelle remarquable et constitue une source bénéfique et accessible pour la santé.

ACP/JF



Le rappeur Himra poursuit son ascension fulgurante. Au cours de la semaine du 14 au 20 novembre, l'artiste a cumulé 9 506 735 streams en une semaine, un record personnel qui le propulse aux côtés de figures majeures de la musique africaine francophone telles que Fally Ipupa, Magic System et Salif Keita. Ces artistes font partie du cercle restreint de ceux ayant déjà franchi la barre symbolique des 9 millions de streams en une seule semaine.

Ce nouveau cap confirme l'impact grandissant d'Himra sur la scène musicale. Son public, toujours plus nombreux, suit de près les sorties de l'artiste, dont la popularité ne cesse de croître ces derniers mois.

Parmi les titres ayant contribué à cette performance remarquable, « RASTA », en collaboration avec La RvFleuze, se distingue particulièrement. Le morceau a enregistré 798 943 streams, devenant le titre le plus écouté de la semaine pour Himra.

Cette percée dans les classements marque une étape importante dans sa carrière. En atteignant de tels chiffres, Himra s'inscrit désormais dans la même dynamique que Fally Ipupa, Magic System et Salif Keita, confirmant son statut de nouvelle force du rap francophone.

Avec un rythme de progression également soutenu, beaucoup s'accordent à dire que ce n'est qu'un début pour l'artiste, qui semble bien déterminé à s'imposer durablement parmi les plus grands.

Ordi Mande

 
 
 


La fermeture des centres et cliniques d’esthétique de type « BBL » à Kinshasa en République démocratique du Congo, a été annoncée, mercredi, par le ministre de la Santé publique, lors de sa réponse à une question d’actualité devant la représentation nationale réunie en plénière au Palais du peuple.

« Honorable président, la médecine esthétique, notamment dans son volet chirurgical, n’est pas encore régulée dans notre pays et nous n’avons pas pour l’instant, des moyens de donner aucune autorisation à cette médecine. (…) Et donc, nous avons lancé la fermeture pour raisons médicales, de ces centres-là (…)  parce qu’ils ont enfreint la loi », a déclaré le Dr. Roger Kamba, répondant à la question d’actualité du député Guy Mafuta.

Après une enquête réalisée par les inspecteurs à la santé, le ministre Kamba a précisé que toutes ces structures dont, entre autres, « ML beauty bar, Taille S clinique et le centre hospitalier UV RDC » fonctionnent dans l’illégalité et que son ministère n’a donné aucune autorisation.

« Ce sont des officines clandestines. (…) Ce ne sont pas des structures de médecine légalisées par le ministère de la Santé », a-t-il dit en substance, tout en expliquant que les produits qui y sont utilisés ne sont pas autorisés et entraînent des risques de santé majeurs.

« Et donc, nous ne pouvons pas, dans ces conditions, autoriser aucune de ces cliniques parce qu’elles ne sont pas médicales. Nous ne pouvons pas leur donner des protocoles parce qu’elles ne sont pas des cliniques médicales. Nous ne pouvons pas leur demander d’avoir des plateaux techniques parce que nous ne l’autorisons pas. Nous ne pouvons pas tout simplement leur demander d’exercer », a-t-il conclu.

ACP/CC

Page 2 of 745

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

Derniers Articles