Le Marocain Redouane Jiyed a été désigné par la CAF arbitre du match de classement pour la troisième place de la CAN 2023 qui opposera, samedi, l’Afrique du Sud à la RD Congo.

Redouane Jiyed, qui avait dirigé avec maitrise le choc Nigéria-Cameroun pour le compte des huitièmes de finale de la CAN ivoirienne, sera assisté lors de la petite finale, samedi 10 février à 21 heures, de ses compatriotes Mustapha Akarkad et Lahcen Azkaou.

Après cette mission en Côte d'Ivoire, Redouane Jiyed ne chômera pas puisqu’il a été désigné par la Commission d’arbitrage de la CAF pour officier le derby tunisien en Ligue des Champions Africaine entre l’Espérance de Tunis et l’Étole du Sahel dans le cadre de la phase des poules, le 24 février.

Pas moins de 8 arbitres ont officié en Coupe d’Afrique des Nations en Côte d’Ivoire. Il s’agit de Samir Guezzaz, Jalal Jayed, Bouchra Karboubi, Mustafa Akarkad, Lahcen Azgaou, Zakaria Brinzi, jean jacques Ndala Ngambo et Redouane Jiyed.

360°sport/CC

 


Tia veut dire mets en lingala. Cette chanson résonne auprès du peuple congolais qui fait face à la pauvreté au quotidien et aspire aux moments de fête.

Malgré leurs difficultés, la joie prend le dessus et ils se retrouvent incapables de contenir leur désir de musique qui puisse leur remonter le moral.

Les paroles de TIA reflètent le désir des Congolais qui souhaitent se réjouir mais sont freinés par leurs limites financières. Ils expriment une demande collective de faire jouer de la musique, quitte à accumuler des dettes.

C’est un appel à l’État congolais pour qu’il intervienne et aide à régler ces dettes afin qu’ils puissent vivre des moments de joie au milieu de leurs circonstances difficiles. Cette chanson constitue un commentaire puissant sur les défis socio-économiques auxquels sont confrontés de nombreuses personnes au Congo et met en lumière la résilience et l’esprit de son peuple. Il met en lumière leur désir de moments de bonheur tout en reconnaissant les complexités liées à leurs luttes quotidiennes.

Cette chanson à succès revêt une signification particulière pour le peuple congolais qui vit dans la pauvreté dans son pays. Non seulement cela apporte de la joie et fait danser les gens, mais cela constitue également un outil puissant pour sensibiliser les politiciens qui ne comprennent peut-être pas pleinement les luttes économiques auxquelles sont confrontés leurs citoyens.

En plus d’être un morceau de danse populaire, cette chanson est souvent jouée lors d’événements importants dans le pays.

Son objectif va au-delà du divertissement ; c’est un moyen d’attirer l’attention sur les problèmes urgents de la pauvreté et des difficultés économiques.

La chanson est disponible en audiovisuel sur ce lien : https://www.youtube.com/watch?

Le temps/CC

 



Le ministre congolais de la Défense est arrivé, ce vendredi 9 février, à Goma (Nord-Kivu) dans un contexte particulier marqué par des affrontements entre les troupes gouvernementales et le M23, à une trentaine de kilomètres de la ville. 

Le porte-parole civil du gouverneur mentionne que Jean-Pierre Bemba vient pour palper du doigt la situation sur le terrain.

"Le vice-premier ministre vient s'imprégner de la situation", explique monsieur Jimmy Nziali.

Au pied de l'avion à l'aéroport de Goma, le ministre congolais a été accueilli par le général Peter Cirimwami, gouverneur du Nord-Kivu, et par le général Sikwabwe Fall, commandant force terrestre des FARDC ainsi que commandant des opérations militaires au Nord et Sud-Kivu.

Le lundi 5 février dernier, alors que la menace du M23 se pressentait sur certaines autres entités dont même la ville de Goma, le Conseil supérieur de la défense s'est réuni autour de Félix Tshisekedi pour tabler sur des mesures particulières afin de protéger le chef-lieu du Nord-Kivu, la cité de Sake ou encore d'autres agglomérations.

"Le conseil supérieur de la défense s'est réuni autour du commandant suprême. Cela a porté essentiellement sur des questions sécuritaires générales du pays et particulièrement la situation qui prévaut au Nord-Kivu. Là dessus, un tour d'horizon a eu lieu sur des questions spécifiques militaires et opérationnelles qui se déroulent sur le théâtre des opérations", expliquait JP. Bemba au sortir des échanges avec le chef de l'Etat, avant de rassurer :

"Sur ce, le conseil supérieur de la défense, après avoir entendu toutes les parties et tous les commandants, a lancé un message à la population que tout est mis en œuvre pour que Goma ne puisse pas tomber. Tout est mis en œuvre sur la défense de la ville de Goma. En ce qui concerne les différentes localités qui sont occupées par les forces rwandaises, l'ensemble des forces armées sont en train de mettre tout en œuvre pour récupérer toutes ces localités", disait-il alors.

Le mercredi 7 février a été secoué par d'intenses combats près de Sake, à près de 30 kms de Goma mais l'armée congolaise a réussi à repousser l'ennemi vers Bukarura et Kingi, à une dizaine de kilomètres de la cité. Puis, d'autres affrontements ont éclaté le jeudi 8 février vers Kibumba, au nord de Goma, en croire la société civile de Nyirangongo. Là aussi, les soldats congolais ont opposé une autre résistance à la rébellion.

Isaac Kisatiro



Le gouvernement congolais condamne la signature d'un accord de soutien militaire entre la Pologne et le Rwanda. Par le biais du ministère des affaires étrangères, qui a réagi dans une note verbale, le gouvernement congolais considère la signature dudit accord comme l'appui de la Pologne au Rwanda contre la sécurité dans l'est de la RDC.

"Cette attitude pousse à croire que la Pologne s'est alliée au Rwanda, dans son agression contre la RDC, dont les troupes commettent impunément les atrocités dans le sol [congolais]", peut-on lire dans ce document.

Pour le gouvernement congolais, l'attitude bicéphale de la Pologne est condamnable, d'autant qu'à l'ONU, le pays du président Andrzej Duda se joint au Congo- Kinshasa, pour condamner fermement le Rwanda du fait de son agression et de son soutien irréfutable aux terroristes du M23. 

Cet accord, faut-il signaler, prévoit d'armer et de renforcer les capacités logistiques de Kigali. Le président polonais Andrzej Duda l'a affirmé mercredi dernier, après la signature.

Grevisse Tekilazaya 

 
 


L’homme d’affaires nigérian, Aliko Dangote a réitéré sa détermination d'investir dans les secteurs minier et agricole. Il l'a dit lors de l'audience leur accordée, jeudi 08 février, avec l'ex président nigérian  Olusegun Obasanjo par le président de la République Félix Tshisekedi au Palais de la Nation.

« Il était important que j’aborde la question avec le Président Tshisekedi pour avoir sa bénédiction. », a-t-il dit.

Au sortir de la rencontre, l'ancien président Obasanjo s'est exprimé en ces termes : « C'était un entretien amical. Il s'agissait de féliciter le Président Tshisekedi pour sa réélection et la qualité de la cérémonie d'investiture. Je venais aussi le mettre au courant des progrès réalisés dans le cadre du DRC-Nigeria Business Council », a indiqué M. Obasanjo.

« Enfin, il s’agissait de voir dans le cadre du DRC-Nigeria Business Council, qui permet le rapprochement, la facilitation et l’intégration économique entre nos pays, comment on pourrait tirer profit d’un de nos plus grands investisseurs Aliko Dangote", a rajouté l’ancien Président nigérian.

opinion-info/CC



Irène Esambo excelle par une performance jamais réalisée dans la défense et la promotion des Personnes vivant avec handicap (PVH). Le ministère des PVH représente aujourd'hui un portefeuille riche en contenu. Doté d'un secrétariat général (administration), ce ministère qui s'occupe des invalides doit également compter sur de nombreuses et innombrables innovations. Au départ, un rêve nourri par le chef de l'État, aujourd'hui concrétisé par Irène Esambo à la manœuvre pour doter le pays d'une Loi organique portant protection et promotion des droits des PVH, d'une Politique nationale sur les questions liées aux PVH, d'une stratégie nationale d'accessibilité, d'autonomisation et d'inclusion des PVH, ainsi que d'un secrétariat général.

Grâce à cet arsenal, couplé au Fonds de promotion et d'autonomisation, une personne atteinte de handicap peut désormais quitter la marge de la société, pour devenir actrice de son développement.

Irène Esambo persiste et signe : un travail décent permet à chaque personne vivant avec handicap de contribuer au développement de son pays. Il est temps de quitter la mendicité.

Depuis son avènement au sommet de l’appareil étatique en 2019, Félix Tshisekedi a fait de la promotion et de l’autonomisation des Personnes vivant avec handicap (PVH) son cheval de bataille. Le chef de l’Etat congolais a tout de suite signé une réforme, en créant un département gouvernemental dédié entièrement au traitement des questions liées aux PVH, désormais quasiment affranchies du ministère des Affaires sociales. 

Qui pour porter une telle réforme inédite au monde, si ce n’est une dame de fer, réputée pour son combat en faveur des droits des personnes invalides ? L’oiseau rare déniché par Tshisekedi se nomme : Irène Esambo Diata. Cette avocate à la Cour pénale internationale (CPI) a reçu la mission de donner du contenu à un ministère qui, auparavant, n’a jamais existé aussi bien en RDC qu’à travers la planète. 

Pour une dame, elle-même invalide, attaquée par la polio depuis son enfance, qui, pour le bien-être présent et à venir de ses semblables, se doit de surpasser son handicap, la tâche s’annonce bien ardue.

Convaincue que « vivre avec un handicap n’est pas un handicap pour vivre et réussir », Esambo, avec courage et dextérité, s’est jetée à l’eau au point de parsemer de réalisations indélébiles son parcours de cinq ans à la tête du ministère des PVH. 

La première d’entre ces réalisations : la Loi organique n°022/003 du 3 mai 2022 portant protection et promotion des droits de la personne avec handicap. Celle-ci a le mérite, selon la ministre Esambo, de guider la RDC vers une République inclusive, forte de ses innovations aussi bien en termes des droits que des devoirs des personnes invalides vis-à-vis de la nation.

Sur pied de l’article 49 de la Constitution, qui reconnait aux PVH et autres personnes vulnérables le droit à une protection spéciale et à une représentation dans les institutions, la Loi organique du 3 mai 2022, au-delà des innovations, a arrêté des mesures spécifiques pour la jouissance effective desdits droits, permettant, par conséquent, à cette catégorie de la population de « quitter le stade de la mendicité et garantir l’autonomie des PVH ».

L’autonomie étant le fruit du travail, cette Loi consacre une « discrimination positive » par l’introduction, à travers son article 28, du seuil de représentation de la personne avec handicap dans les institutions, l’administration publique et dans les entreprises publiques comme privées. Ce seuil, selon le Décret pris par le Premier ministre à ce sujet, est fixé à 5% pour toute organisation publique et à 3% pour les privés.

Dans l’optique de rendre ces PVH aptes à travailler au sein de ces organisations du secteur public et privé, la ministre Esambo, dans la droite ligne de la vision du Président Tshisekedi, mène un lobby auprès des établissements d’enseignement humanitaire et académique pour la réduction des frais de scolarité en faveur des invalides, tout envisageant que son ministère puisse mettre à la disposition des étudiants avec handicap des kits appropriés à leur état. A cela s’ajoute, conformément aux dispositions de la Loi organique du 3 mai 2022, l’adaptation des infrastructures publiques à la mobilité des PVH.

Création du Fonds national d’appui à l’accessibilité et à l’autonomisation des PVH. Telle est une autre innovation de la Loi organique du 3 mai 2022, concoctée sous la houlette de Me Irène Esambo, et dont l’objectif est de promouvoir l’entrepreneuriat de la personne avec handicap et d’apporter un certain soulagement douanier et fiscal aux opérateurs économiques qui prennent à cœur l’intérêt de cette catégorie de la population vulnérable. Ce Fonds, repris dans le budget 2024, devrait être opérationnel cette année.

Aux côtés de ce fonds dédié à l’indépendance des PVH, la Loi organique du 3 mai 2022 crée un cadre de concertation, dénommé Conseil consultatif des PVH, qui sert d’interface entre le pouvoir public et les organisations des PVH. 

En plus, une médaille de vaillance pour la nation a été instituée en guise de reconnaissance de la patrie aux prouesses des soldats blessés au front. La médaille est accompagnée de divers avantages socio-professionnels. Notamment la réorientation professionnelle et un suivi psychologique en faveur de ces blessés de guerre.

La Loi organique du 3 mai 2022 prévoit tant d’autres innovations comme la création d’un centre de recherche et d’un laboratoire dédié à la fabrication des produits destinés aux albinos, la création d’une académie de la langue des signes qui devrait être admise comme la 5e langue nationale, en vue de faciliter la communication entre les invalides et les valides. 

Au-delà de cette Loi organique, Me Irène Esambo, dans l’optique de baliser et consolider l’indépendance de son département au gouvernement, a doté le ministère des PVH et APV d’un secrétariat général, en cours de mise en place. Un secrétaire général, François Kasanda, une personne atteinte d’albinisme, est en poste depuis septembre dernier, nommé sur ordonnance présidentielle, pour organiser cette administration qui a vu le jour une année plus tôt. 

Ce secrétariat, dont l’une des missions essentielles est de pérenniser les acquis obtenus grâce au travail des titans abattus par Irène Esambo, devra être tenu, selon l’esprit de la Loi organique du 3 mai 2022, par 60% des invalides et 40% des valides.

Les opérations de recrutement, qui se déroulent à travers toute l’étendue du territoire national, sont pilotées par l’Ecole nationale d’administration (ENA), question de composer une administration de qualité avec un personnel suffisamment affuté pour relever les défis.

Aux commandes du ministère des PVH et APV, Irène Esambo, fidèle à la vision du Président Félix Tshisekedi, a offert à la RDC sa Politique nationale sur les questions liées aux PVH, ainsi que la Stratégie nationale d’accessibilité, d’autonomisation et d’inclusion des PVH. Autrement, grâce à Me Esambo, la RDC a un arsenal de taille pour lutter contre toute pesanteur ou blocage à la promotion des personnes invalides. Un mérite reconnu par l’ONU qui a fait de la RDC, pays modèle en matière de protection, de promotion et d’inclusion sociale des PVH, et lui a décerné la mention « Championne africaine de handicap ».

A New-York, à la Convention des PVH, Me Irène Esambo a brillamment défendu ces deux documents sans lesquels il est impossible de faire décoller les PVH vers leur pleine autonomisation et inclusion. 

Faut-il en exiger plus à une dame qui, en cinq ans seulement, et malgré sa condition physique et les turbulences politiques ayant émaillé le premier mandat de Félix Tshisekedi, a donné corps et sens à un secteur jadis inexistant ? Certains défenseurs de la cause des PVH s’accordent à reconnaitre que Me Irène Esambo, désormais, est une bibliothèque, une source où tout le monde pourra puiser dans ce combat en faveur des invalides. Cette avocate de la CPI, sans doute, a encore du jus à donner, ont-ils estimé. Sa page, ont-ils plaidé, ne devrait pas être refermée. « Ce serait allé vite en besogne. Elle est l’architecte du secteur public de promotion des PVH. Elle doit finir son travail, pour y aller avec le sentiment du devoir bien accompli », a confié l’un d’entre ces défenseurs de la cause des PVH, non sans supplier que les jeux des politiques ne puissent pas l’emporter sur les soucis de l’amélioration de leurs conditions, de plus en plus garantie sous les auspices d’Esambo.

Edmond Izuba

 


L’international footballeur belge d’origine congolaise, Romelu Lukaku, s’est exprimé après la défaite des Léopards de la RDC face aux Éléphants de la Côte d’Ivoire (1-0), le mercredi 07 février 2024, au stade Alassane Ouattara d’Ebimpé, en demi-finales  de la CAN -Coupe d’Afrique des Nations-.

L’attaquant de l’AS Rome a salué le parcours des Fauves congolais dans cette fête du football africain, et le geste de soutien aux victimes des provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.

« Fier de vous les gars, vous avez rendu un peuple entier très fier de vous », a-t-il indiqué.

Il est à noter que les Léopards vont affronter les Bafana Bafana d’Afrique du Sud, ce samedi 10 février, au stade Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, dans le cadre de la 3ème place de cette CAN. La rencontre est prévue à 21h00, heure de Kinshasa.

opinion-info.cd/CC



L’aventure de la RDC à la CAN s’est arrêtée au stade de demi-finales, après sa défaite devant la Côte d’Ivoire par le score étriqué (1-0). Cette remarquable épopée des Léopards à la CAN va rapporter gros à la Fédération Congolaise de Football.

Ayant atteint le dernier carré de la compétition, les Congolais ont empoché la somme de 2,28 millions d’euros soit 2,5 millions de dollars.

Alors que très peu de gens les attendaient à ce niveau de la compétition, les Léopards ont réussi à atteindre le dernier carré de la Coupe d’Afrique. Une seule carte reste à jouer pour les troupes de Sébastien Desabre ; celle d’aller chercher à finir sur le podium. Dimanche, contre l’Afrique du Sud de Percy Tau qui.

actuRDC/CC



La Cour constitutionnelle a demandé, jeudi 8 février, aux ministres, aux gouverneurs de provinces et membres de cabinets politiques élus le 20 décembre 2023 de démissionner de leurs fonctions politiques, sauf s'ils renonçaient à leur mandat électif.

Cette Haute cours a formulé cette requête dans son arrêt rendu en interprétation des dispositions constitutionnelles sur l'incompatibilité des fonctions politiques avec le mandat électif.

Cette juridiction a ainsi jugé non fondée la requête introduite par le chef du gouvernement sur l'interprétation de la Constitution et de la loi électorale concernant l'incompatibilité des fonctions.

Notons que cette décision de la Cour constitutionnelle a malencontreusement été attribuée par les médias dernièrement au Conseil d'État. 

Au pays, certains analystes juridiques ont rappelé le caractère strict de cette interdiction de la Cour constitutionnelle, visant à éviter la confusion des rôles, les dédoublements de paiements aux dépens du trésor public et à prévenir les conflits d’intérêts et à maintenir l’équilibre des pouvoirs, énoncés dans la constitution et d’autres lois de la République. 

radiookapi.net/CC



C’est depuis ce 2 février 2024 que la Société d’Exploitation du Guichet Unique Intégral en RDC (SEGUCE) a accueilli sa nouvelle Directrice générale adjointe dénommée Yolene Kayakez-A-Mutomb. Pour ce faire, une cérémonie de remise et reprise avec son prédécesseur Adelard Matata s’est tenue le même jour dans la salle de conférence de SEGUCE RDC devant tous les membres du conseil d’administration et hauts cadres de cette entreprise.

Prenant la parole, le président du Conseil d’administration, Jean-Baptiste Kongolo Kabila, a présenté les grandes lignes des actions de SEGUCE RDC SA. Ce, avant de mettre l’accent sur les réformes portées par l’entreprise, notamment la dématérialisation des documents règlementaires ou autorisations préalables délivrés par les services compétents pour les opérations d’import-export et de transit des marchandises ; la finalisation des travaux de développement informatique et l’implémentation des modules d’échanges des données entre la DGDA et la SEGUCE RDC SA, particulièrement en ce qui concerne la transmission de la liasse documentaire.

A cet effet, il a réitéré son vœu auprès des cadres notamment : mettre à contribution leur expertise, en vue de permettre ainsi au GUICE de finaliser son objectif principal relatif à être le seul point d’entrée unique et utile aux parties impliquées dans le commerce et ainsi échanger des informations ou documents normalisés afin de remplir toutes les formalités officielles liées à l’importation, à l’exportation et au transit des marchandises.

L’application de ces réformes connaitra désormais le soutien de la DGA Yolene Kayakez-A-Mutomb, qui a été nommé quelques jours seulement après l’investiture du président Félix-Antoine Tshisekedi pour son deuxième mandat. C’est ainsi qu’elle a tenu à remercier le président de la République, chef de l’Etat, pour la confiance placée en sa modeste personne. Elle a profité de cette occasion pour réitérer son engagement à travailler sans relâche pour contribuer activement à la réalisation de la vision du Président de la République en vue du renforcement l’amélioration des performances de SEGUCE.

Avec plus de 12 années d’expérience dans les secteurs de la finance et de l’optimisation opérationnelle acquise lors de son parcours dans plusieurs sociétés multinationales basées en Afrique, en Australie et en Europe, elle s’engage désormais à mettre son expertise au profit de la République démocratique du Congo à travers la SEGUCE.

Rappelons que la Société d’exploitation du Guichet Unique Intégral en RDC (SEGUCE RDC) est chargée de mettre en œuvre la réforme visant à faciliter le commerce extérieur de la République Démocratique du Congo par la mise en place d’une plateforme électronique neutre fluidifiant les échanges entre différents acteurs désireux d’importer ou exporter des marchandises en RDC.

Service de communication/CC

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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