De parents congolais, Noa Mupemba reste un ardent follower des Léopards. À l’aube de sa carrière professionnelle, le jeune attaquant reste ouvert à un avenir sous les couleurs bleu, rouge et jaune. Le jeune père place sa vie familiale au centre et ne se prive pas de savourer quelques tubes de soukous ou de rumba moderne.

Quels sont vos liens avec la RDC ?

Pour l’instant, je n’ai pas encore eu la chance d’y mettre les pieds, mais c’est un de mes projets. Il y a un voyage qui est prévu l’été prochain (en 2024, NDLR). J’ai de très forts liens quand même, puisque c’est le pays de mes parents. J’ai encore de la famille là-bas. J’ai de très forts liens avec le Congo, souvent il m’arrive d’appeler pour prendre des nouvelles de ceux qui sont là-bas.

La CAN 2024 arrive et il y a le projet de Sébastien Desabre pour la Coupe du monde 2026. Est-ce que si vous recevez un appel vous répondrez oui ?

Oui, je pense qu’au bout d’un moment, tu y réfléchis forcément. Donc, si Dieu fait grâce, si les choses bougent d’ici là, personnellement, je répondais oui.

Est-ce que vous suivez les rencontres des Léopards, que ce soit en direct ou sur les réseaux sociaux ?

Oui, bien sûr et je suis leur actualité. Comme un peu tous les Congolais en ce moment, je pense que c’est important de les suivre et de soutenir les Léopards. Donc oui, forcément, je suis l’équipe, je suis les résultats. Je suis un grand fan.

Pour l’instant, vous avez la nationalité française, mais est-ce qu’en tant que jeune joueur, vous avez déjà pensé à des situations où il y aurait l’éventualité de choisir entre la RDC ou la France ?

Je pense que c’est un choix qui est différent (de celui de Kimpembe, NDLR). Chaque personne fait le sien et j’en suis conscient. Comme vous avez mentionné, par exemple, Kimpembe, qui a déjà porté le maillot de la sélection, et puis qui a fini international français. Moi, je pense que vraiment, chacun est libre de faire son choix. Après, ça doit être un choix du cœur, la RDC c’est mon choix du cœur.

Quels sont vos modèles et vos inspirations dans le jeu, en particulier en tant qu’attaquant ?

En tant qu’attaquant, mon inspiration, mon modèle, ça a toujours été Cristiano Ronaldo. Toujours Team CR7.

Et la vie hors foot, quels sont vos hobbies ?

Quand je ne joue pas au foot, j’aime bien écouter de la musique et être en famille. Je pense que la famille, c’est très, très important. Aujourd’hui, je suis jeune père donc hors terrain, j’essaie de passer un maximum de temps avec ma famille. Qu’on soit réunis, c’est tout ce qui compte pour moi.

De cette jeune carrière, quel moment particulier qui vous a marqué ?

Ça reste quand même mon premier match en professionnel. C’était un match à l’école et c’était à domicile, ici à Laval. C’est un souvenir que je ne vais pas oublier parce que ce jour-là, mon papa qui est venu me voir. Mon papa, une personne qui m’a beaucoup soutenu depuis le début, était dans les tribunes et c’était très agréable. Il a tout fait pour que j’aille aux entrainements, même quand c’était compliqué. Je me souviens que c’est lui qui me déposait et après la séance, il venait me récupérer pour me ramener à la maison. Pouvoir rentrer dans le monde pro ce jour-là devant lui, c’était un souvenir vraiment magnifique.

Les fans de Laval vont forcément avoir des attentes, par rapport à votre profil et la confiance que le club vous a accordée. Quelles promesses voudriez-vous leur faire cette saison ?

La promesse que je pourrais faire, c’est que peu importe le temps de jeu qu’on me donnera, les minutes qu’on me donnera, je vais offrir tout sur le terrain. Ça, c’est une promesse que je pourrais faire. Je leur remercie du soutien et je remercie la direction pour sa confiance en moi.

Parce que vous avez parlé de la musique toute à l’heure, est-ce que vous écoutez de la rumba ?

J’écoute et je suis un grand fan ! (Rires) Je suis quand même Congolais. Mon artiste préféré, je pense que c’est ce que vous attendez, ça reste Fally Ipupa. Beaucoup de gens l’écoutent ici et c’est devenu un artiste international qui fait de la bonne musique.

Iragi Elisha



Mbandaka, chef-lieu de la province de l'Équateur en RDC, est fortement ébranlée par une épidémie de rougeole qui sévit avec virulence. Une préoccupation sanitaire majeure, la rougeole reste un enjeu de santé publique d'envergure dans cette région. En l'espace de huit mois seulement, cette maladie infectieuse a causé le décès de 87 personnes, portant la létalité à 1,7%.

Selon la division provinciale de la santé de l'Équateur, qui compte 18 zones de santé, 3 282 cas de rougeole ont été recensés. La zone de Bolomba détient le triste record de la plus affectée, avec plus de 1 200 cas à elle seule. Cette situation alarmante a incité les autorités sanitaires à lancer, le mardi 5 septembre à Mbandaka, une campagne de vaccination contre la maladie.

Le docteur Taylor Nganzi Nkeka, vice-gouverneur de la province, qui a inauguré cette campagne, exhorte les parents à emmener leurs enfants, âgés de 6 mois à 5 ans, dans les centres de santé les plus proches. L'objectif est de vacciner cette tranche d'âge, particulièrement vulnérable face à cette pathologie.

Le Ministère de la Santé, à travers le programme élargi de vaccination (PEV), dirige cette campagne de cinq jours, bénéficiant du soutien technique et financier de partenaires internationaux tels que l'OMS, l'UNICEF, GAVI et l'USAID.

Il est essentiel de souligner que cette épidémie n'est pas confinée à la seule province de l'Équateur. D'autres régions de la RDC sont également touchées. Dans la province de Maniema, la rougeole a mis à mal les enfants de moins de 5 ans à Kindu. Dans le Kwilu, la maladie a été fatale pour une centaine d'entre eux. 

L'Ituri a enregistré plus de 380 cas durant la première semaine de juillet. Par ailleurs, selon MSF à Salamabila dans la province du Maniema, plus de 54 195 consultations médicales ont été réalisées pour répondre à cette crise. Depuis le début de l'année, la RDC a comptabilisé plus de 148 000 cas de rougeole, illustrant l'ampleur de cette épidémie.

Les autorités, en collaboration avec les organisations internationales, sont à pied d'œuvre pour endiguer cette crise sanitaire et protéger les populations les plus vulnérables. La vigilance reste toutefois de mise, et le succès de ces campagnes de vaccination est primordial pour espérer inverser la tendance.

Peter Gbiako, à Mbandaka



Au cœur de Kinshasa, la culture s'exprime. Elle palpite sur les murs, se lit dans les attitudes, se chante à travers les paroles des rappeurs, se danse au rythme du hip-hop. Ce n'est pas un secret : Kinshasa est en effervescence et ses jeunes sont ses plus fervents ambassadeurs.

Dès que l'on pose le pied dans un quartier urbain de la capitale, on peut sentir l'énergie débordante des jeunes Kinois. Les murs des rues sont des toiles vivantes, constamment renouvelées par les graffitis. Les tenues vestimentaires, les choix musicaux, la façon dont on s'exprime : tout est un hymne à l'art urbain.

Le 2 septembre dernier, ce n'était pas qu'une simple date sur le calendrier. Elle marquait la clôture de la première édition du "Kinshasa Urban Arts Fest" au Centre Culturel de Lemba. Cette journée a transformé le centre en une véritable scène à ciel ouvert. Les murs, préalablement animés par les artistes du collectif Moyindo Tag, racontaient des histoires. Des histoires d'évolution, de changements de perceptions, d'acceptation.

Tata Nizoo, artiste graffeur et tête pensante derrière ce festival, rappelle qu'à ses débuts, l'art urbain était mal vu, perçu comme le fait de marginaux. "Aujourd'hui, les grandes marques collaborent avec des artistes de rue", déclare-t-il, non sans une pointe de fierté.

Les portraits de figures emblématiques, tels que Martha Cooper, Maître Botembe, DJ Kool Herc, Tupac, ou encore Lexxus Legal, ornent les murs. Des figures qui ont façonné, influencé, et défendu les arts de la rue.

Mais la célébration ne s'arrête pas aux murs. Elle vibre aussi à travers les prestations des jeunes danseurs et rappeurs venus célébrer le demi-siècle du mouvement hip-hop. Ces artistes, malgré leur jeune âge, ont rappelé l'essence même de cet art : dénoncer, critiquer, s'élever.

Et, le succès était palpable. Tata Nizoo ne cache pas son enthousiasme, ni ses ambitions pour le futur : "Face à l'affluence, nous avons dû refuser certains artistes. Si les moyens suivaient, cet événement s'étalerait sur plusieurs jours". Toutefois, il reconnaît les difficultés rencontrées, promettant une seconde édition encore mieux préparée.

L'art urbain, né dans les rues américaines des années 60, a fait du chemin. Il s'est propagé, a évolué, et a trouvé un écho tout particulier à Kinshasa. Souvent perçu comme du vandalisme, il est pourtant l'expression d'une jeunesse qui refuse le silence.

À Kinshasa, l'art urbain n'est pas qu'une simple mode. C'est un cri du cœur, un reflet de la rue, une forme d'expression qui réunit et passionne. Et, s'il y a une chose à retenir de tout cela, c'est que la jeunesse kinoise a quelque chose à dire, et elle le dira haut et fort.

Emmanuel Kuzamba



Le groupe des Léoaprds de la RDC est désormais au complet et peut préparer le match contre le Soudan de ce samedi 09 Septembre en toute quiétude.

Dans les premières heures de ce mercredi 06, soit à 3 jours de ce match décisif qui se tiendra au stade des martyrs de la pentecote, la bande à Sébastien Desabre se fait rejoindre par Cédric Bakambu et Jackson Muleka.

Ces deux joueurs venus fraîchement de la Turquie ont pris la direction de Hilton Hôtel, nouveau quartier général des Léopards à Kinshasa et vont s’entrainer pour la toute première fois cet après-midi.

Étant au complet, le groupe des fauves congolais devra accélérer sa préparation sur cette explication, comptant pour la 6ème journée qui sera abordée comme une finale entre les deux sélections à l’un des plus grands stade de l’Afrique Centrale (Stade de martyrs).
 


En prélude du match opposant la République Démocratique du Congo (RDC) au Soudan, prévu pour ce samedi 9 Septembre au stade des martyrs de la pentecôte, de nombreux fans de football ont exprimé leur mécontentement face aux prix élevés des billets fixés pour l’événement.

Le Comité de Normalisation de la Fédération Congolaise de Football Association (Fecofa), a annoncé les prix des billets, fixés à 10.000 FC (4 $) pour le pourtour et 20.000 FC (8 $) pour la tribune centrale. Peu de temps après cette annonce, plusieurs voix se sont élevées pour contester ces tarifs jugés exorbitants, qui ne tiennent pas compte de la réalité économique et sociale des Congolais.

Certains supporters estiment que de tels prix vont dissuader les fans de venir soutenir l’équipe nationale, ce qui pourrait avoir des répercussions négatives sur la motivation des joueurs et sur leur performance lors de cette explication.

« Nous sommes responsables de nos échecs, à ce prix, les joueurs ne seront pas encouragés par les supporters, et leur motivation pour faire de grandes choses en pâtira. », a lâché un fan.

Cependant, d’autres partisans estiment que le Comité de Normalisation devrait maintenir ces prix afin d’assurer l’entretien des installations sportives et d’éviter les troubles.

« Au contraire, je soutiens cette idée. Le prix d’entrée doit être à la hauteur des coûts d’entretien et permettre de prévenir les problèmes dans les installations sportives. », a-t-il fait savoir.

Malgré les critiques, le Comité de Normalisation n’a pas fait marche arrière concernant les prix des billets, qui ont été annoncés dès le mardi 5 septembre. Dieudonné Sambi, à la tête de ce comité, invite les Congolais à se rendre dans les différents points de vente pour se procurer leurs billets avant le jour-j, car aucune vente ne sera effectuée le samedi 9 septembre au stade des martyrs.

Il reste à voir si ces prix élevés auront un impact sur l’affluence des supporters lors du match RDC vs Soudan et sur l’ambiance qui règnera au stade des martyrs de la pentecôte. Pour rappel, les fauves joueront leur qualification pour la prochaine CAN en Côte d’Ivoire lors de cette rencontre décisive pour la qualification face au Soudan.

 


Les Léopards binationaux U21 de la République Démocratique du Congo ont débuté leur stage de préparation, le mardi 05 septembre 2023 à Rotterdam, au Pays-Bas. Ce stage prendra fin, le lundi 11 septembre prochain.

Sous la supervision du coach Trésor Milenga Likita, les Fauves congolais vont livrer  deux matchs amicaux, respectivement face au Sparta Rotterdam le jeudi 07 septembre, et face au SK Lommel, trois jours plus tard.

Le sélectionneur Guy Bukasa a rendu la semaine dernière, la liste des 20 Léopards binationaux U21 sélectionnés pour prendre part à ce stage. Sur cette liste fugure les noms de plusieurs étoiles montantes, entre autres Aristide Mateta, Metinho Silu, Aaron Keto, Karim Ilunga et Joshua Tsholola.

Ce stage à pour objectif de préparer les jeunes binationaux congolais pour une bonne intégration en équipe nationale d'âge lors des prochains éliminatoires et différentes compétitions de football.

Gratis Makabi



Les Léopards poursuivent la préparation du match contre le Soudan comptant pour la 6e et dernière journée des éliminatoires de la CAN Cote d’Ivoire 2023. Ce mardi 5 septembre, Ils se sont entrainés deux fois le matin à 10h et le soir à 17h sous la direction du sélectionneur Manager Sébastien Désabre.

Au total, vingt-cinq Léopards sont déjà présents à Kinshasa, à l’exception de Cédric Bakambu et Jackson Muleka, qui sont annoncé pour ce mardi soir.

Voici la liste des joueurs congolais qui sont déjà sur place :

Gardiens:

  • Esdras Kabamba
  • Siadi Baggio
  • Lionel Mpasi

Défenseurs:

  • Gédéon Kalulu
  • Jordan Ikoko
  • Vital Nsimba
  • Arthur Masuaku
  • Rocky Bushiri
  • Chancel Mbemba
  • Dilan Bantubinsika
  • Inonga  Baka

Milieux:

  • Peli Mpanzu
  • Edo Kayembe
  • Nuke Mpulu
  • Samuel Moutoussamy
  • Charles Pocker
  • Silas katompa
  • Theo Bongonda
  • Chadrack Akolo
  • Gael Kakuta
  • William Balikwisha
  • Meschack Elia

Attaquants:

  • Fiston Mayele
  • Aldo Kalulu
  • Yoane  Wissa

radiookapi.net/CC



Les Léopards de la République Démocratique du Congo (RDC) ont entamé leur préparation pour la 6ème et dernière journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), Côte d’Ivoire 2023.

L’ensemble du groupe est presque au complet avec les arrivées des derniers joueurs. Il ne restera plus que notamment Cédric Bakambu qui va arriver dans la soirée. C’est une rencontre que tout le monde prépare dans la sérénité au regard du positionnement mais là où il faudra rester concentrer jusqu’au bout pour éviter les surprises désagréables.

«C’est toujours un plaisir de revenir en sélection et c’est le même sentiment que j’avais lors du dernier rassemblement. Il y a toujours beaucoup d'excitation et d’impatience à l’idée de retrouver nos supporteurs et le maillot national surtout que ce sera dans un milieu mythique qui est le stade des Martyrs», a confié Dylan Batubinsika, le défenseur central de St Etienne (D2 France).

Les Fauves Congolais croisent ce samedi 9 septembre les Crocodiles du Nil du Soudan au stade des Martyrs de la Pentecôte de Kinshasa. Ils n’auront besoin que d’un petit point pour valider leur billet pour la Côte d’Ivoire et vont réussir leur exploit après avoir entamé ce tournoi avec deux revers de suite.

actualité.cd/CC



Jules Alingete Key, inspecteur Général des Finances, chef de service était en réunion d’évaluation ce mardi 05 septembre dernier au siège de l’IGF, avec Isidore Kwanja Ngembo, Directeur du Comité National des IXes Jeux de la Francophonie ; réunion au cours de laquelle les deux personnalités ont échangé autour des questions relatives à la mission de l’IGF au sein de cette structure. À en croire Jules Alingete, tout s’est passé normalement et il n’y a pas eu des soupçons quelconques des détournements des deniers publics.

« En ce qui concerne la mission de l’Inspection Générale des Finances, nous voudrions signaler que l’inspection générale des finances a accompagné la direction du comité national des jeux de la francophonie, toutes les opérations financières ont été faites sous le regard de l’IGF et nous pouvons vous affirmer qu’il n’y a pas eu des faits de détournements des deniers publics au niveau de la direction du comité national des Jeux de la Francophonie. Aujourd’hui, nous sommes en phase de terminer cette mission, nous sommes entrain de faire une évaluation en ce qui concerne les biens de la francophonie et les litiges qui existent pour permettre au comité de pilotage d’apurer toutes les opérations de la francophonie», a déclaré Jules Alingete Key devant la presse à l’issue de la réunion.

S’agissant des allégations selon lesquelles Isidore Kwanja aurait détourné des véhicules destinés aux Jeux de la Francophonie, Jules Alingete rassure qu’il s’agissait d’une mauvaise interprétation dans l’opinion.

« Nous voudrions également en profité pour signaler qu’il n’y a pas eu des détournements des véhicules au niveau de la francophonie, c’est juste une mauvaise interprétation des choses au niveau de la presse, tout se passe normalement bien et nous estimons que l’IGF a très bien rempli sa mission d’accompagner les Jeux de la Francophonie qui constitue une grande réussite pour notre pays», a rassuré l’IGF, chef de service.

Pour sa part, Isidore Kwanja est revenu sur les différentes étapes prévues après les jeux de la Francophonie. Les inventaires se poursuivent afin de tout remettre au gouvernement de la République

« Les Jeux sont finis, nous sommes entrain de faire le rapport pour éventuellement remettre tout ce qu’il y a été acheté dans le cadre des jeux de la francophonie au trésor public parceque c’est avec l’argent du Trésor public que tout cela a été acheté, que ça soit les véhicules, tous les matériels, tout ce qui a été acheté dans le cadre des jeux de la francophonie, nous allons faire le rapport et nous allons transmettre cela au comité de pilotage qui a le pouvoir de distribuer ça dans les différents services du gouvernement», a fait remarquer Isidore Kwandja.

Bien avant cette rencontre, Isidore Kwandja avait réagi face aux informations circulant dans plusieurs médias et sur les réseaux sociaux concernant l’interception de 14 véhicules Toyota à la frontière de Lufu, destinés aux Jeux de la Francophonie.

Selon les rapports, disait-il, ces véhicules ont été escortés à Kinshasa pour être remis au gouvernement. Dans sa déclaration, M. Ngembo a tenu à clarifier que le Comité national des IXes Jeux de la Francophonie (CNJF) avait commandé 12 véhicules pick-up Toyota Land Cruiser 4×4 pour renforcer la sécurité lors de l’événement sportif et culturel. L’IGF, qui a travaillé en étroite collaboration avec le CNJF depuis janvier 2022, ainsi que le gouvernement et les autorités de la Police Nationale étaient tous informés de cette commande.

D’après lui, le retard de l’arrivée de ces véhicules à Lufu est dû à un retard dans la commande, obligeant le CNJF à louer d’autres véhicules pour assurer la sécurité durant les jeux. Actuellement, ces véhicules sont retenus à la douane en raison du manque de fonds du CNJF pour effectuer les formalités de dédouanement, entraînant des pénalités journalières.

Kinshasa, capitale de la RDC, a accueilli pendant 10 jours les meilleurs jeunes talents artistes et sportifs francophones lors des IXes Jeux de la Francophonie. Les Jeux de la Francophonie ont été attribués à la RDC le 2 juillet 2019 lors de la 108ème session du conseil permanent de la Francophonie. Prévus en 2021, ils ont été reportés d’abord du 21 au 28 août 2022 suite à la pandémie de Covid-19 avant cette seconde chance.

actuRDC/CC



Ferre Gola séjourne actuellement en Côte d’Ivoire où il a été sur scène ce mardi 05 septembre dans la soirée, devant le public ivoirien en concert live V.I.P à Sofitel Hôtel Ivoire à Abidjan. De passage dans l’émission Génération 2.0 de Trace Côte d’Ivoire FM publiée le 04 novembre dernier sur Elengi ya Congo TV, le Padre a fixé les conditions à remplir pour être citer dans l’une des ses chansons.

A l’en croire, l’on doit payer à partir de 5 milles dollars américains pour que son nom soit cité dans l’une de ses chansons. « Il faut débourser plus de 5 milles dollars pour être citer dans l’une de mes chansons. Mais ça dépend de chaque artiste», avait dit Ferre Gola.

Pour Ferre Gola, la rumba marche ensemble avec le phénomène «Libanga». Il estime qu’une chanson sans dédicace perd sa saveur.

« On ne peut pas chanter une chanson rumba sans citer les noms de gens. Sinon la chanson perdrait son sens », conclut-il.

Actu RDC/CC

 

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Ali Kalonga

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