Le ministre de la santé publique, hygiène et prévention, Samuel Kamba a fait le rapport de la situation sanitaire du territorial national congolais, lors de la quatre-vingt-quinzième réunion du Conseil des ministres de la République, vendredi 21 avril dernier, présidée par le Président de la République Félix Tshisekedi.
Dans son entame, le ministre a indiqué la création de l’Agence Congolaise de Réglementation Pharmaceutique (ACOREP) pour une couverture sanitaire universelle. Cet établissement public a pour mission de garantir une bonne santé aux congolais, indique le ministre Samuel Kamba. Cependant, l’enquête menée sur la qualité des produits pharmaceutiques indique que 60 à 80% des médicaments posent problèmes, indique-t-il.
Il a, par ailleurs, informé le Conseil de la tenue de la revue à mi-parcours du Projet régional de renforcement des systèmes régionaux de surveillance des maladies en Afrique centrale. Les objectifs de cette revue étaient notamment de confirmer la pertinence des objectifs de développement du projet (ODP) dans le contexte actuel du pays et d’évaluer les progrès réalisés et s’assurer qu’ils demeurent atteignables.
Dans un deuxième temps, le Conseil a été informé de la situation de la vaccination zéro dose. Car, actuellement, le pays compte environ 4 millions d’enfants zéro dose. Cette situation peut être à la base des plusieurs épidémies notamment la rougeole, la poliomyélite, etc.
Le ministre rassure cependant que tout est mis en œuvre pour d’abord renforcer la vaccination de routine, ensuite impliquer les gouverneurs des provinces dans toutes les activités liées à la vaccination et préparer une vaste campagne de rattrapage des enfants non vaccinés jusqu’à l’âge de cinq ans comme retenu au dernier Sommet de l’Union Africaine. Cela constituera également à impliquer les ministères de Communication et Médias, et ceux du secteur de l’Education afin d’accompagner activement ces dites campagnes.
Le Ministre de la santé a terminé ce deuxième chapitre en informant le Conseil de l’inauguration du Laboratoire de l’Institut national de recherche biomédicale (INRB) de Goma qui a eu lieu le 6 avril dernier.
Il a présenté, en dernier lieu, la situation épidémiologique dans le pays. Pendant que le Covid-19, le Monkey-Pox et la Méningite restent globalement maîtrisés, les efforts sont multipliés pour faire face au choléra et à la rougeole.
Il convient de souligner que le Conseil a pris acte de cette Note d’information.
Odon Bakumba
Le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé en télé-travail, vendredi 21 avril, la quatre-vingt-quinzième réunion du Conseil des ministres du gouvernement de la République, au cours de laquelle la question de l’évolution du processus vers la salubrité médiatique, a été entre autres abordée.
Dans son intervention au cours de cette réunion interministérielle, le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya a présenté au Conseil les grandes lignes de l’évolution du processus vers la salubrité médiatique et a mis en exergue les défis à relever au regard des résolutions des états généraux de la communication et médias.
Il a indiqué que la promulgation de la nouvelle loi sur la presse est une avancée majeure pour laquelle tous les acteurs de ce secteur ont remercié le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi et aussi salué l’accompagnement du gouvernement.
« Ce cadre légal adapté à l’environnement et aux défis actuels de l’exercice de la liberté de la presse est une véritable fondation qui vient d’être posée dans le paysage médiatique Congolais », a indiqué le compte-rendu de cette réunion.
La première phase du contrôle de conformité administratif et documentaire des éditeurs des programmes et des sociétés de télédistribution amorcée en décembre 2021 pour la ville de Kinshasa a été bouclée. La Commission permanente instituée par arrêté ministériel a rendu les conclusions de ces travaux qui se présentent comme suit :
- Sur 98 éditeurs des programmes (chaînes de télévision) présents sur le bouquet public, seuls 64 ont satisfait aux exigences requises en la matière, soit 66%.
- Sur les 101 éditeurs des programmes présents sur les différents bouquets privés, seuls 20 ont satisfait aux exigences requises en la matière, soit 20%.
- Sur les 11 sociétés de télédistribution, aucune ne satisfait totalement aux exigences administratives et techniques requises ; et 10 chaînes émettent encore en analogique.
Une série de moratoires a été accordée, à partir du 21 juillet 2022, et plusieurs fois renouvelées afin de permettre aux concernés de régulariser leurs situations respectives.
Plus de 9 mois après, le ministère de la Communication et Médias s’est trouvé dans l’obligation de solliciter la prise d’acte par le Conseil afin de prendre des mesures telles que, la déconnexion d’Editeurs des programmes non en règle, après une dernière période probatoire de 15 jours, dès ce lundi 24 avril 2023, et la connexion de ceux qui le sont ; la déconnexion de ceux qui émettent encore en analogique, après une dernière période probatoire de 15 jours, dès ce lundi 24 avril 2023 ; la récupération desdites fréquences par le Ministère des PT-NTIC vise leur utilisation dans le cadre d’autres applications ; ainsi que l’extension de ce contrôle administratif et technique, dans une seconde phase, aux différentes radios et autres catégories des médias.
En outre, le ministre de la Communication et Médias a annoncé la transmission au gouvernement de l’avant-projet du décret portant statuts des journalistes œuvrant en République démocratique du Congo pour examen et approbation.
Patrick Muyaya a également rappelé au gouvernement la nécessité et l’urgence du financement du congrès extraordinaire statutaire de l’Union Nationale de la Presse du Congo (UNPC) conformément aux résolutions des états généraux de la communication et médias. L’objectif poursuivi est de faciliter le travail de salubrité médiatique et de la construction d’une presse plus professionnelle, libre et économiquement viable afin de mieux contribuer au développement notre pays.
Monge Junior Diama
Ce 24 avril, le monde de la musique se souvient de Jules Shungu Wembadio dit Papa Wemba qui totalise 7 ans dans l’au-delà. Tombé sur la scène du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo, en Côte d’Ivoire en 2016, cette icône de la musique congolaise et mondiale a laissé un héritage de haute facture dont son groupe musical, Viva La Musica. Contre vents et marées, il survit encore à ces jours.
En outre, certains anciens de Viva La Musica ont créé un autre groupe dénommé Bana Viva pour pérenniser l’œuvre de Papa Wemba. Même si cette nouvelle formation composée de talentueux chanteurs ayant évolué aux côtés du Maître d'école dans Nouvelle Ecriture, tout n’est pas en odeur de sainteté. Ce nouveau groupe a déjà une année et est composé d’artistes tels que Bendo Son, Pathy Patcheco, Pompon Miyake, Antonio Sampaio et Apocalypse.
Au lancement de Bana Viva, les ténors de ce groupe rassuraient qu’il ne s’agissait pas de combattre Viva La Musica mais de faire route ensemble pour immortaliser davantage Papa Wemba. Mais à ACTUALITÉ.CD, le biographe de Papa Wemba, Jean-Paul Ilopi Bokanga a indiqué qu’il existe bien une bisbille entre Bana Viva et Viva La Musica. Mais lui n’est contre aucun des deux groupes.
« Je ne suis pas contre eux. Papa Wemba disait que Viva La Musica, c’est pour tout le monde. Il était vraiment ouvert. Il m’a dit que si vous partez a Nyoki et que vous trouvez qu’il y a des gens de talent qui veulent faire de la musique de Viva La Musica, vous pouvez créer votre Viva La Musica. Il y a même des japonais qui ont créé leur Viva La Musica», a-t-il dit.
Jean-Paul Ilopi a laissé entendre également que de son vivant, Papa Wemba aurait fait beaucoup pour la musique congolaise. D’ailleurs, jusqu’à ces jours, des passages de ses chansons sont repris par les artistes congolais. Le biographe de Papa Wemba a notamment évoqué le cas Fally Ipupa, qui serait encore plus au top actuellement au niveau international si son aîné était vivant.
« Fally est en train de suivre les pas de Papa Wemba à l’international. Mais le problème est qu’il n’a pas de mentor. Il n’a pas un aîné qui l’introduit. Il est dans la périphérie de la musique internationale. Il n’est pas encore pris en charge par les vrais majors du showbiz international comme Papa Wemba. S’il était encore vivant, Fally allait être plus que ce qu’il est actuellement. Même Werrason, JB et autres ont pleuré parce que Papa Wemba avait encore une énergie créatrice », a-t-il ajouté.
Papa Wemba, une des icônes de la musique congolaise, est né dans la région du fleuve Kasaï en 1949, le 14 juin avant de la quitter très jeune pour rejoindre Kinshasa. Il fut co-fondateur de Zaïko Langa Langa qu'il quitte en 1974 pour fonder Isifi Lokolé, puis Yoka Lokolé. En 1977, Le Grand Mayas a fondé Viva La Musica avec une touche personnelle dont l'utilisation du lokolé et la décision d'avoir, avec ses musiciens, un look impeccable, ce qui a conduit à la création de la Société des Ambianceurs et des Personnes d'Elégance (SAPE), à laquelle se rallieront les jeunes Congolais du monde entier.
Emmanuel Kuzamba
Un incendie s’est déclaré au lycée Mwanga, une de grandes écoles de Kolwezi (Lualaba), ce lundi 24 avril matin. Il a plongé toute la ville dans l’émoi, étant donné que plusieurs élèves étaient déjà dans les salles de classes. Les autorités provinciales et éducationnelles de Kolwezi assurent cependant qu’il n’y a aucun cas de décès mais des nombreux blessés.
Plusieurs sources renseignent que le feu a été observé le dimanche dans la nuit du côté de l’internat de cet établissement scolaire, qui encadre les filles.
Les responsables de l’école ont tenté de l’éteindre. Et contre toute attente, ce lundi matin, le feu avançait petitement jusqu’à atteindre les salles de classes où étaient déjà les élèves.
Prises de panique, elles ont commencé à sauter du premier étage. Des vidéos qui circulent sur Internet montrent le bâtiment scolaire en feu, alors que des écolières sautent de l’immeuble, dans tous les sens.
Ces images ont alerté plusieurs parents, qui sont vite descendus dans cette école pour s’en enquérir. Ceux qui ont retrouvé leurs enfants les ont vite ramenés à la maison en remerciant le Très Haut.
Les autres, lassés de chercher les leurs, ont fait le tour des hôpitaux et même de certaines morgues. Une panique générale a règne sur la ville.
Parmi ces enfants, il y en qui ont inhalé la fumée et qui s’étaient évanouies d’autres sont blessées et d’autres encore traumatisées.
Il y a également trois enseignants qui sont aussi blessés, apporte le directeur de la Province éducationnelle (PROVED) du Lualaba.
Dans une mise au point faite ce lundi, le ministre provincial de l’intérieur du Lualaba indique qu’il n’y a pas eu de mort mais beaucoup de blessés. Tous sont pris en charge dans les différentes structures médicales de la place.
« Les flammes ont été maîtrisées grâce à l'intervention des camions anti-incendie avec plus de 40 sapeurs-pompiers mobilisés par notre gouvernement provincial. Le bilan provisoire fait état de 132 cas enregistrés dont quelques blessés, quelques élèves traumatisées et aucun mort déploré jusque-là », écrit la gouverneure intérimaire, Fifi Masuka, sur sa page Facebook.
Jusqu’à présent l’origine de l’incendie n’est pas encore déterminée.
radiookapi.net/CC
Clap de fin pour Donatien Tshimanga qui n’est plus le président de la Fédération Congolaise de Football.
Impliqué dans de nombreuses affaires judiciaires, Donatien a été finalement écarté des activités courantes de la FECOFA.
Ce lundi, la FIFA a nommé un comité de normalisation à la tête de la FECOFA afin de se charger de ses « affaires courantes« .
« Le bureau du Conseil de la FIFA a décidé de nommer un comité de normalisation pour la Fédération Congolaise de Football, conformément à l’article 8 alinéa 2 des statuts de la FIFA. Le mandat du comité de normalisation prendra fin au plus tard le 30 novembre 2023 et consistera à gérer les affaires courantes de la FECOFA, veiller à ce que l’élection des membres et des affiliés de la FECOFA ait lieu en temps utile…« , pouvait-on lire dans le communiqué de presse de la FIFA.
Le comité exécutif de la FECOFA était dans le viseur de la CAF depuis plusieurs semaines pour suspicion de détournement de fonds sur les droits TV liés aux éliminatoires de la CDM 2022.
leopardsfoot/CC
La province du Haut-Katanga est frappée depuis plus de deux mois par une hausse vertigineuse du prix de la farine de maïs sur le marché faisant ainsi passer de 10 à 50 dollars américains le prix d'un sac de 25 kilogrammes.
Après trois ans de maîtrise de la situation, cette année 2023 n'a pas permis au gouvernement provincial du Haut-Katanga d'endiguer le problème de manque de cet aliment de base, dans différents lieux de négoce suite à la loi de l'offre et de la demande, explique le professeur Lucien Nyembo Kimuni, enseignant à la faculté des sciences agronomiques de l'Université de Lubumbashi.
Dans une interview accordée à 7SUR7.CD le samedi 22 avril 2023, cet expert estime qu'après 2020, 2021 et 2022, grâce au programme mis en place lors de la table ronde organisée à Lubumbashi sur l'autosuffisance alimentaire, la province du Haut-Katanga avait réussi à mettre en place des stratégies pour maîtriser la situation.
Il indique que cette entité a besoin de 800.000 tonnes de farine de maïs, par an, pour couvrir tous les besoins chaque année.
« Pourquoi maintenant il y a augmentation, parce que dans le programme de 2019, pour arriver à couvrir tous les besoins en maïs avec la production locale, la province devrait produire 800 mille tonnes. Selon les études, pour y arriver, il fallait embraser 167 mille hectares et c'est un programme qui s'élevait à plus de 177 millions de dollars. La province n'a pas tout ce moyen », a-t-il regretté.
Compte tenu des rumeurs sur le prétendu refus de la Zambie de vendre ses maïs dans le Haut-Katanga, cet expert en sciences agronomiques pense que c'est une période où le gouvernement provincial devrait utiliser ses réserves stratégiques pour approvisionner les marchés en farine de maïs.
« C'est pendant ce moment ici que le gouvernement provincial doit ouvrier ses réserves stratégiques parce que dans le programme, nous avons établi qu'il était important d'accorder un crédit intrant aux producteurs agricoles, d'assurer le remboursement de ces crédits par les maïs et de constituer des stocks stratégiques. Et cela est à activer lorsqu'il y a crise comme aujourd'hui », a-t-il suggéré.
Que faire pour une solution durable ?
Malgré l'installation de divers points de vente de la farine de maïs « made in Haut-Katanga » dans toutes les 7 communes de Lubumbashi par le gouvernement provincial, il s'observe dans le chef de la population l'insuffisance de cet aliment de base.
Certains commerçants achètent les sacs de la farine de maïs du gouvernement à 20.000 FC pour aller les revendre ailleurs à 80 voire 90 mille francs congolais.
Face à cette situation de la rareté de la farine vendue par le gouvernement provincial, le professeur Lucien Nyembo propose l'accompagnement non seulement du gouvernement provincial du Haut-Katanga mais aussi et surtout du gouvernement central dirigé par le premier ministre Jean-Michel Sama et tous les autres agriculteurs pour trouver une solution durable.
« On ne peut pas seulement viser le gouvernement provincial de produire ces 800 mille tonnes. Il faut impliquer tous les agriculteurs dans la production. Nous avons proposé des mesures incitatives. Il revient au gouvernement central de la RDC de revoir sa politique agricole pour soutenir la production locale. Pour rendre incitative l'agriculture au niveau du gouvernement national, il faut subventionner », a-t-il martelé.
Et à cet expert de conclure : « La province a besoin du soutien de la République pour arriver à juguler la crise ça veut dire à produire les 100% de besoins à 800 mille tonnes de maïs en 2019 et aujourd'hui, on doit aller au-delà de 1 million de tonnes pour couvrir la province du Haut-Katanga ».
Le jeudi 20 avril dernier, une dizaine d'agents commis à la vente de la farine de maïs du gouvernement provincial du Haut-Katanga à 20.000 FC ont été interpellés par le vice-gouverneur, Jean-Claude Kanfwa. Ils étaient accusés de vendre ces sacs de farine aux commerçants pour qu'ils partent les revendre à un prix excessif sur les marchés de la ville de Lubumbashi.
Le gouverneur Jacques Kyabula Katwe a même rencontré le vendredi à Kinshasa, le vice-premier ministre en charge de l'Économie, Vital Kamerhe, pour trouver une solution à la hausse du prix de la farine de maïs dans sa province.
Patient Lukusa, à Lubumbashi
Le Congolais Fiston Kalala Mayele de Young Africans a fait un doublé face à Rivers United, ce dimanche 23 avril au Godswill Akpabio International Stadium à Uyo (Nigeria), en match comptant pour le quart de final aller de la coupe de la confédération.
Pendant que le match était très fermé, Fiston Mayele a trouvé le chemin de filet à la 73e pour le premier but ; avant d’inscrire le second à la 81e minute pour sceller une victoire prestigieuse de Young Africans.
Cette victoire à l’extérieur (2-0) a permis aux Tanzaniens de Young de prendre une avance sérieuse pour la qualification en demi-finale de la coupe de la confédération.
Le match retour est prévu dans une semaine à domicile à Dar-es-Salem.
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L'international défenseur central, Chancel Mbemba Mangulu a été laissé sur le banc de touche, lors de la victoire de l'Olympique de Marseille face à l'Olympique Lyonnais (2-1), dans la soirée de dimanche 23 avril 2023, au Groupama Stadium, en match comptant pour la 32ème journée de Ligue 1 française.
En conférence de presse d'après-match, Igor Tudor a fait savoir qu'il s'est passé du congolais au profit de l'argentin, pour des raisons techniques.
"J'ai choisi Balerdi plutôt que Mbemba pour des raisons techniques en étudiant Lyon et en voyant comment ils jouent, j'ai pensé que c'était la meilleure option. C'est mon travail parfois on a raison parfois on se trompe", a indiqué l'entraîneur marseillais..
Grâce à cette victoire à l'extérieur, Marseille garde sa 2ème place au classement avec 67 points, derrière le leader Paris Saint-Germain qui en compte 75.
L'OM recevra l'AJ Auxerre, le dimanche 30 avril prochain, au stade vélodrome. La rencontre est prévue à 19h45, heure de Kinshasa.
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Il faut le faire ! A deux doigts de la montée vers l’élite belge, Beveren SK compte à tout prix sur l’expérience de son attaquant phare Dieumerci Mbokani. Face à Beerschot, le congolais a porté son club en s’imposant (3-0).
Le joueur âgé de 37 ans s’est offert une performance « XXL » avec à la clé un doublé signé à la 46e et 86e minute de jeu et une passe décisive. Un grand joueur, pour un gros match et un objectif de la montée. A un point du leader au classement, Beveren joue sa carte pour retrouver la Pro League à deux journées de la fin du championnat.Mbokani cette saison c’est 14 buts et 7 passes décisives.
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Le siège des problèmes ! La Commission de gestion de la Ligue nationale de football a rendu public il y a peu le calendrier de la reprise du championnat d’élite, fixée au 5 Mai 2023. Le FC Renaissance du Congo sera le deuxième à entrer dans la danse 24h plus tard face à l’AS Maniema Union au stade Joseph Kabila de Kindu.
Sauf que durant ces 4 mois de manque championnat, chez les Renais la guerre du leadership entre le comité Maluwa et le Conseil national de Supporter n’a pas cessé de faire des victimes. Les cas de 15 joueurs récemment écartés par le staff technique du Club Orange qui n’a plus trouvé de stabilité depuis le départ de Pascal Mukuna de la Présidence de Coordination du club.
Une mise à la porte qui réduit les chances des champions du Congo 2016 car ayant devant eux 4 matches remis à disputer dont celui contre Maniema Union et l’AS Dauphin Noir de Goma; eux qui sont derniers au classement. Une équation dans l’équation avec plusieurs inconnus.
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