Après son élévation au rang de « Chapelain de sa sainteté », le désormais monseigneur Donatien N’shole a exprimé sa gratitude vis-à-vis des évêques de la conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) pour lui avoir porté un bon témoignage afin que le Saint Père ait un regard favorable sur sa personne.

Très modeste dans sa réaction, Donatien N’shole estime que par ce geste, le p6ape François a voulu rendre hommage au travail abattu par les évêques catholiques, réunis au sein de la CENCO.

« Je me dis moi je ne suis que porte-parole de la conférence épiscopale nationale du Congo, Je ne fais rien de moi-même. Je ne dis rien de moi-même. Je comprends par ce geste le pape a voulu reconnaître le travail de la CENCO dont je ne suis que le porte-parole » a déclaré Mgr Donatien N’shole.

A lui de renchérir que « c’est d’abord le mérite de notre conférence épiscopale nationale du Congo et je suis reconnaissant à l’endroit des évêques , particulièrement le président de la Cenco, Mgr Marcel Utembi qui doivent avoir aussi un témoignage en ma modeste personne pour que le pape ait un regard sur moi ».

Conscient de ses nouvelles responsabilités, le nouveau prélat personnel du Pape a sollicité le soutien des fidèles et l’accompagnement des évêques et tous ses collaborateurs afin de réaliser pleinement ses nouvelles tâches.

« Pour moi c’est un appel à une plus grande responsabilité, une responsabilité morale. Le titre de monseigneur dans notre église est engageant. Dans ce contexte là j’ai aussi besoin de l’accompagnement. C’est l’occasion aussi pour moi de remercier tous mes collaborateurs parceque tout ce qui est fait n’est pas fait en solo mais en collaboration avec les autres », a-t-il souligné.

Par la même occasion, il a exprimé sa reconnaissance à tous les évêques avant de s’engager à demeurer fidèle, loyal et toujours engagé.

« Mon travail au-delà de toutes les difficultés que je peux connaître au quotidien, mon travail a toujours été facilité par le fait qu’il est porté par tous les évêques, donc c’est l’occasion pour moi d’exprimer ma reconnaissance envers eux mais aussi de leur promettre ma loyauté, ma fidélité, mon engagement. Je promets ne pas les décevoir », a-t-il martelé.

s’agissant de la poursuite de ses responsabilités comme secrétaire général de la CENCO, Monseigneur Donatien N’shole a fait savoir qu’ « on peut être attaché personnellement au saint Père tout en étant loin, donc pour l’instant, mon mandat en tant que secrétaire général de la CENCO court, j’y suis et j’y travaille ».

Pour la petite histoire, le titre de « chapelain de sa sainteté » est un titre honorifique accordé par le pape à un prêtre. Il est décerné à un prêtre à la demande de son évêque ou par décision unilatérale du pape. Ce titre qui confère à celui qui le reçoit un certain nombre de privilèges est une façon pour l’Église de récompenser les bons et loyaux services des prêtres diocésains.

Sans être évêque, cette distinction permet néanmoins au prêtre qui la reçoit de bénéficier du titre de « monseigneur » et de porter la soutane ornée de violet et une ceinture de la même couleur.

Carmel NDEO



Le secrétaire général de la CAF, Veron Mosengo-Omba a adressé samedi 11 décembre dernier une invitation du Président de la CAF au Président Félix Tshisekedi pour assister au match d'ouverture de la Coupe d'Afrique des Nations TotalEnergies, Cameroun 2021 prévu le 9 janvier prochain au stade Olembe de Yaoundé.

« J'ai eu le plaisir de transmettre les salutations chaleureuses et l'invitation du Président Motsepe au Président Tshisekedi, à assister à la Coupe d'Afrique des Nations TotalEnergies. La rencontre avec le Président a été très positive et il nous a assuré de son soutien en vue de la finale du projet pilote du Championnat Panafricain Interscolaire qui aura lieu l’an prochain », a indiqué le secrétaire général de la CAF, Veron Mosengo-Omba, à la CAF.

D'après lui, le Président Tshisekedi a été informé des derniers développements de la feuille de route discutée et approuvée par la CAF, la FIFA et la FECOFA. La feuille de route couvre un certain nombre de sujets relatifs au football congolais, notamment les aspects juridique et réglementaire, la gouvernance, les finances, le marketing et les compétitions. 

La FECOFA est sous tutelle de la CAF et de la FIFA. Cette décision ressort de la récente réunion tripartite tenue le 2 décembre dernier au Caire, en Egypte entre les trois instances. 

Le secrétaire général de la CAF a également discuté avec le président Tshisekedi des préparatifs du projet pilote de la Coupe d'Afrique des champions scolaires qui parachèvera les phases nationales et régionales du championnat panafricain interscolaire organisé par la FIFA et la CAF. Les finales se joueront entre février et mars 2022 ; la date n'étant pas encore définitive.

radiookapi.net/CC



Il n’y aura pas de stage à Dubaï pour les Léopards locaux et ceux évoluant dans les championnats africains. D’après les informations en notre possession, le stage a été annulé par la FECOFA. Un des dirigeants de la fédération a confirmée la nouvelle tard dans la soirée du mardi 14 décembre. L’enchaînement des événements a de quoi surprendre. 

Ce coup de théâtre intervient quelques heures seulement après la publication officielle de la liste de 26 joueurs du sélectionneur national Hector Cúper, rendu public sur le site de la FECOFA. Il y était précisé que « du 27 décembre 2021 au 7 janvier 2022, les fauves congolais passeront un stage bloqué dans les Émirats Arabes Unis, suivi d’un match amical contre le Burkina Faso le 03 janvier, » dans l’optique de préparer l’équipe avant la dernière et très décisive phase des éliminatoires de la Coupe du Monde Qatar 2022.

En début de soirée, le même site de la FECOFA annonçait via un communiqué que « le programme de stage de Léopards à Dubaï sera communiqué ultérieurement, »Une date ultérieure qui n’existera pas.

Dans la foulée, un des membres du Comité exécutif confirmait que le stage n’avait pas seulement été reporté mais tout bonnement annulé. Aucune communication officielle de la fédération n’a précisé les raisons de ce retournement de situation pour le moins ubuesque. Des sources proches de la fédération évoquent des mésententes entre le ministère des Sports et la FECOFA, ce que cette dernière nie avec véhémence. Le stage annulé, on devrait bientôt savoir les raisons de ce tohu-bohu qui vient terrier l’image, déjà pas très bonne, de la fédération.

ACTURDC/CC

 



M. Freddy Mulumba a été suspendu ce mardi 14 décembre 2021 de ses fonctions de Directeur général ad intérim de la Radio Télévision National Congolais (RTNC).

Plusieurs griefs sont retenus contre lui. Il s'agit notamment de violation intentionnelle de l’article 13, paragraphe 1, de la loi N°08/009 du 7 juillet 2008 portant dispositions générales applicables aux Établissements publics ; de  violation de l’article 15, paragraphe 1, du Décret N°09.62 du 03/12/2009 fixant les statuts de la RTNC qui réserve cette matière à la compétence exclusive du Conseil d’Administration  ainsi que de Non respect de la procédure disciplinaire et non respect des dispositions statutaires régissant la RTNC telles que reprises dans le procès-verbal du Conseil d’Administration du 05 novembre 2021. 

Bien avant sa suspension à titre conservatoire, Freddy Mulumba avait introduit sa lettre d'explications qui n'a pas convaincu le ministre de Communication et Médias, ministre de tutelle.

Son intérim sera désormais assumé par  le Directeur en charge de la Redevance* au sein de la RTNC. M. Bellidée Robert Bunga Mvindu.

actualite.cd/CC

 
 


La rumba congolaise fait partie, depuis ce mardi 14 décembre, de patrimoine culturel immatériel de l’humanité reconnu par l’UNESCO. Cette annonce est un soulagement pour ces nombreux artistes qui pratiquent ce genre musical et pour le comité mixte des deux Congo, Kinshasa et Brazzaville. Et pour célébrer cette victoire, la ministre de la culture en RDC, Catherine Kathungu prévoit d’organiser une série d’activités, dont des conférences, des émissions radio-télévisée, des expositions et même une possibilité de créer un musée pour la rumba.

« Maintenant, qu’allons-nous faire avec cette reconnaissance mondiale de la rumba congolaise ? Nous avons prévu des conférences, des émissions radio télévisées, des colloques, des expositions sur la rumba dont un musée est déjà en vue », a-t-elle dit lors d’une visioconférence avec le comité de de validation en direct de Paris.

Et d’ajouter :

« La rumba, c’est notre identité et notre richesse. La rumba, ce phénomène des villes dont Kinshasa et Brazzaville sont les foyers est la mémoire de nos peuples qui voient aujourd’hui l’invention des esclaves et leurs descendants, revenir comme une science dans son milieu naturel »

Elle a également rendu hommage au génie créateur des ancêtres et des esclaves qui, dans leur déportation, n’ont pas perdu cette identité, en attribuant une mention spéciale à tous les artistes musiciens des deux Congo, aux écrivains ayant participé à la valorisation de ce patrimoine et la pérennisation de son héritage.

« L’inscription de la rumba congolaise sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité est la consécration de notre identité commune, de l’identité africaine, d’un mode de vie, d’un état d’âme, d’un savoir et d’un savoir-faire anthropologique. Il va falloir la célébrer avec faste », a-t-elle ajouté.

Le dossier de demande d’inscription de la rumba dans la liste représentative des patrimoines immatériels de l’humanité a été déposé et réceptionné depuis le 27 mars 2020 au service technique des patrimoines immatériels de l’Organisation des Nations-Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), il vient d’aboutir. La décision a été annoncée lors de la réunion avec des différents chefs d’Etat, qui se réunissent au mois de décembre, selon le programme de l’UNESCO.

Emmanuel Kuzamba



Le Président de la République, Felix Tshisekedi, a salué mardi 14 décembre « avec joie et fierté l'inscription de la Rumba congolaise sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité par UNESCO ». 

« Ce joyau culturel propre aux deux Congos ( Kinshasa & Brazzaville) est  reconnu pour sa valeur universelle », a t-il dit.

Cette déclaration intervient quelques instants après l’annonce officielle faite par l’UNESCO qui a achevé l’examen d’une soixantaine de candidatures dont le dossier présenté par le Congo-Kinshasa et le Congo-Brazzaville. La rumba congolaise rejoint la rumba cubaine, inscrite en 2016.

Les deux Congo s’engagent notamment à la mise en œuvre de tout un dispositif pour soutenir « ce patrimoine » à travers par exemple les formations, l’organisation des festivals annuels et officiels, ainsi que des attributions de prix. Il est également prévu le financement d’un Musée de la rumba à Brazzaville et Kinshasa.

Pour le contexte, le patrimoine culturel immatériel est une catégorie de patrimoine issue de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel adoptée par l'UNESCO en 2003.

actualite.cd/CC

 
 


La France renouvelle son engagement à participer activement au développement socio-économique de la République démocratique du Congo.

C'est le nouvel ambassadeur de la République Française accrédité à Kinshasa, Bruno Aubert, qui l'a fait savoir après son entretien, ce mardi 14 décembre 2021, à la Primature dans la ville Kinshasa, avec le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde. Cette rencontre était aussi l'occasion pour ce diplomate de présenter ses civilités au chef du gouvernement après la présentation de sa lettre des créances au président de la République.  

"Nous avons parlé de l'ensemble de sujets que nous partageons. Nous souhaitons, la France et la République démocratique du Congo, avoir la même vision sur les grands enjeux, autour du climat, de la biodiversité. Nous avons également une diplomatie active dans la région. Nous partageons également des impératifs de sécurité régionale communs. Nous souhaitons également participer activement au développement économique et social du pays, au développement dans différentes régions", a déclaré l'ambassadeur Aubert. 

Pour ce faire, il a laissé entendre que l'Agence Française au développement est en train d'augmenter ses engagements en RD. Congo.

" Je suis venu avec la directrice de l'Agence française de développement à Kinshasa. Notre Agence de développement est en train d'augmenter ses engagements en République démocratique du Congo. C'est un signe de notre intérêt pour nos amis congolais. C'est de tout cela que nous avons parlé avec son Excellence monsieur le premier ministre", a-t-il ajouté. 

Quant à lui, a-t-il souligné, le premier ministre, Sama Lukonde Kyenge, a été très réceptif au message lui apporté par le représentant de l'hexagone en RDC.

Prince Mayiro



La Police Nationale Rwandaise (RNP) et la Police Nationale Congolaise (PNC) ont signé le lundi 13 décembre 2021, un protocole d'accord pour officialiser la coopération bilatérale transfrontalière dans diverses questions urgentes de maintien de l'ordre.

C'est la Police Nationale Rwandaise qui a livré l'information à travers son site internet. 

Ce pacte de coopération a été signé à Kigali entre l'Inspecteur Général de Police (IGP) Dan Munyuza et son homologue Congolais en visite au Rwanda, le commissaire général Dieudonné Amuli Bahigwa.

D'après la même source, cet accord faisait partie de la réunion bilatérale entre les deux institutions tenue au siège général de la RNP à Kacyiru et co-présidée par les deux chefs de police.

Le protocole d'accord oblige les deux institutions de police à unir leurs efforts contre :

La criminalité transnationale organisée et le terrorisme ;

- La contrebande et le trafic de stupéfiants et de substances psychotropes ainsi que de leurs précurseurs ; 

- La contrefaçon de monnaie et la prolifération des armes légères et de petit calibre.

Toujours selon la même source, d'autres domaines de partenariat incluent l'expertise et le partage de renseignements, la conduite d'opérations conjointes ou simultanées, la lutte contre la cybercriminalité, la traite des êtres humains, le trafic d'organes et la fraude documentaire.

 

Prenant la parole lors de la réunion bilatérale, l'IGP Munyuza a fait savoir que  la visite du chef de la Police de la RDC au Rwanda est une étape importante dans le renforcement de la coopération en matière de sécurité entre les deux pays. 

« Nos deux pays ne sont pas seulement voisins, mais aussi frères. Notre région continue de faire face à un certain nombre de problèmes de sécurité, notamment les djihadistes islamiques, le terrorisme, le trafic de drogue et la contrebande, ce qui nous oblige à établir une coopération solide et à unir nos efforts pour lutter contre les crimes organisés, transfrontaliers et transnationaux qui menacent notre région », a indiqué l'IGP Munyuza.

Dans la foulée, il a souligné qu'il est de la responsabilité première des institutions policières de travailler en étroite collaboration pour assurer la sûreté et la sécurité des personnes et ouvrir la voie au développement durable de leurs sociétés respectives.

« Nous devons créer des canaux pratiques de partage d'informations et de renseignements sur les crimes, mener des opérations conjointes contre les criminels et former conjointement pour faire face aux menaces de sécurité et aux crimes transnationaux toujours croissants. Cette visite fournit donc une autre plate-forme pour discuter en détail des problèmes affectant la sécurité dans nos deux pays et de la meilleure façon de travailler ensemble pour y faire face », a-t-il renchéri. 

De son côté, le chef de la Police de la RDC a noté que de telles initiatives de partenariat transfrontalier fournissent une plate-forme pour assurer collectivement la stabilité dans la région des Grands Lacs.

« Merci pour l'invitation fraternelle dans ce pays ami dont nous partageons les frontières. Nos chefs d'État nous ont ouvert une voie pour explorer et mettre en commun nos efforts pour rendre nos pays plus sûrs pour la population et le développement », a déclaré le général Dieudonné Amuli Bahigwa.

 

En outre, le patron de la Police Nationale Congolaise a insisté sur le fait que l'accord de coopération signé aura un impact sur la lutte contre les crimes transfrontaliers auxquels les deux pays sont confrontés.

Jephté Kitsita

 


Dans un communiqué de presse daté du 14 décembre 2021, le Secrétariat Général de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) annonce que le Pape François a élevé l'Abbé Donatien Nshole, au rang de CHAPELAIN DE SA SAINTETE LE PAPE. 

En cette qualité, le secrétaire général de la Conférence Épiscopale Nationale du Congo porte désormais le titre de Monseigneur.

"Le Secrétariat Général de la CENCO rend grâce à Dieu et remercie le Saint-Père pour sa sollicitude à l'égard de la RD Congo. Aussi, il présente ses vives et sincères félicitations à Monseigneur Donatien NSHOLE et lui souhaite un fructueux ministère dans l'Eglise-Famille de Dieu qui est en RD Congo", lit-on dans ce communiqué.

Né en 1963, Donatien Nshole est ordonné prêtre le 3 janvier 1993 pour le diocèse d'Inongo. Il obtient un doctorat en théologie dogmatique de l'Université Pontificale Urbanienne à Rome en 2002. En 2003, il devient professeur au grand séminaire Saint-Cyprien de Kikwit.

Jephté Kitsita



Yves Kitumba et Héritier Mpiana Pierre, respectivement directeur de cabinet, Directeur de Cabinet adjoint, à la vice-primature chargée de l’environnement et développement durable, ont été libérés ce mardi. Accusés notamment de faux en écriture, ils étaient détenus depuis vendredi dernier au cachot du parquet général de la Gombe. Également arrêtée dans le cadre du même dossier, l’assistante du directeur général de la société Mbanza Wood a aussi été libérée. Sylvie DZBO, conseillère en charge des forêts et tourbières, est la seule encore détenue. 

« Le dossier était à l’inspection de la brigade criminelle. Dans ce dossier, il y a eu des faits criminels sûrement mais l’enquête n’a pas su dégager les éléments matériels impliquant mon client », a dit à ACTUALITE.CD Chris Shematsi, avocat de Yves Kitumba. 

Contexte 

Dans une mise au point transmise à ACTUALITE.CD l’avocat du Dircab expliquait qu’après avoir eu connaissance de certains soupçons, il avait écrit à la société Mbanza Wood le 3 décembre 2021 afin de l’inviter à une séance de travail de clarification le 6 décembre 2021. Il précise que ce courrier est antérieur à la dénonciation de la société Mbanza Wood qui a circulé dans les réseaux sociaux.

Il ajoute que c’est à l’issue de la séance de travail du 6 décembre 2021 qui avait réuni les membres du cabinet de la VPM et la direction de la société Mbanza Wood qu’il a été constaté l’existence d’un faux. De ce fait, Yves Kitumba, toujours selon son avocat, a indiqué à la société Mbanza Wood que le contrat qu’elle détenait n’était pas passé par le circuit officiel et par conséquent de ne pas en faire usage car visiblement faux. 

« Pendant cette séance de travail, la société avait informé au Dircab qu’elle se réservait le droit de faire une dénonciation formelle. Ce qui fut fait à la même date (6 décembre 2021) à 15h 23’. Les conclusions de cette réunion ont été transmises à la VPM pour dispositions. La personne présumée coupable du faux a été clairement identifiée », explique l’avocat Chris Shematsi.

Et d’ajouter:

« La somme de 235 000 USD n’a jamais été versée dans le compte de la présumée coupable. Comment un faux document a été scellé du cachet sec ? S’agit-il d’une dénégation de signature ou pas », s’interrogerait-il.

actualite.cd/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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