Les biens confisqués de Corneille Nangaa, chef-rebelle de l'AFC -Alliance pour le Fleuve Congo-, ainsi que de ses collaborateurs condamnés à mort, sont affectés à certains services du ministère de la Justice, de la Justice Civile et de la Justice Militaire. C'est ce qu'a annoncé le ministre d'État en charge de la Justice, Constant Mutamba.
Dans son communiqué rendu public jeudi 30 janvier, Constant Mutamba rajoute que les titres de ces biens seront convertis par les services compétents du ministère des Affaires Foncières.
Condamnés le 8 août dernier par la Cour militaire de Kinshasa/Gombe, Corneille Nangaa et certains de ses alliés du M23, 26 au total, sont poursuivis pour crimes de guerre, participation à un mouvement insurrectionnel et trahison. Ce verdict a été rendu, en présence de Constant Mutamba, ministre de la Justice, qui estime que ce jugement est un motif de joie et de fierté pour la Justice militaire, qui a su juger ces prévenus en un temps record.
Grevisse Tekilazaya
Le président Félix Tshisekedi ne participera pas au prochain sommet de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), a confirmé luni sa porte-parole, Tina Salama, cité par "Jeune Afrique". Face à une situation sécuritaire tendue dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), le chef de l’État a décidé de privilégier les affaires intérieures, tout en saluant l’initiative des autres dirigeants de la région.
“Il est clair que, par rapport à la situation qui prévaut en ce moment, le président ne pourra pas aller à ce sommet”, a déclaré Tina Salama. Cette décision intervient alors que les tensions avec le mouvement rebelle M23 persistent, aggravant la crise humanitaire et sécuritaire dans l’Est du pays.
Le président Tshisekedi a réaffirmé sa priorité : restaurer la souveraineté et la sécurité sur le territoire national. Cette absence n’est cependant pas un désintérêt pour les efforts régionaux. Selon sa porte-parole, le président reste attentif aux travaux du sommet et soutient pleinement les initiatives prises par les chefs d’État de l’EAC pour ramener la paix dans la région.
Malgré son absence, Félix Tshisekedi “salue l’initiative des chefs d’État de l’EAC”. Ce geste montre l’attachement du président congolais aux mécanismes régionaux pour la résolution des conflits et la coopération multilatérale. La RDC, qui a rejoint l’EAC en 2022, reste un acteur clé dans les discussions sur la paix et la stabilité dans la région des Grands Lacs.
Le sommet de l’EAC, convoqué par le président kényan William Ruto, qui assure actuellement la présidence tournante, se penchera notamment sur les questions de sécurité dans l’Est de la RDC, où les rebelles du M23 continuent de défier les Forces armées congolaises. Les dirigeants régionaux examineront les voies et moyens pour renforcer les efforts diplomatiques et militaires visant à rétablir la paix.
L’absence de Félix Tshisekedi pourrait néanmoins soulever des questions sur l’impact de son non-engagement direct dans ces discussions. Toutefois, des représentants congolais devraient participer pour défendre les intérêts du pays.
En refusant de se rendre au sommet, Félix Tshisekedi envoie un signal clair : les défis internes exigent toute son attention. Il reste à voir comment cette décision influencera les dynamiques régionales et les efforts pour résoudre la crise persistante dans l’Est de la RDC.
Times.cd/CC
Alors que les combats font rage dans plusieurs quartiers de la capitale du Nord-Kivu, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont réussi à reprendre le contrôle de la station de radio-télévision nationale (RTNC), précédemment occupée par les rebelles du M23.
Quelques heures plus tôt, les éléments du M23 avaient réussi à s’emparer de cette infrastructure stratégique, dans le cadre de leur offensive pour s’emparer de la capitale de la province du Nord-Kivu. Mais les soldats de l’armée régulière congolaise, épaulés par les milices d’autodéfense Wazalendo, ont riposté avec force.
Mais cette reprise de la radio-télévision nationale par les troupes loyalistes leur permet de reconquérir ce terrain stratégique et de rétablir leur version des faits. Une victoire symbolique et médiatique dans cette âpre bataille qui fait rage à Goma.
Malgré cette avancée, la situation humanitaire reste extrêmement préoccupante à Goma, où les civils subissent de plein fouet les affrontements entre les FARDC et les rebelles.
mbote/CC
Un footballeur international de la République démocratique du Congo (RDC), Glody Makabi Lilepo, évoluant en France, au sein du club, Valenciennes FC, s’est engagé pour deux ans et demi, avec le club, Kaizer Chiefs d’Afrique du Sud, selon le site de l’équipe sud-africaine, consulté lundi par l’ACP.
« Les Kaizers Chiefs ont rapidement et avec audace renforcé leurs options offensives avec la signature, ce lundi, de l’international congolais, Glody Makabi Lilepo, du club français de Valenciennes FC pour deux saisons et demi », a-t-on lu.
Selon la source, le montant du transfert de cet attaquant congolais est évalué à 500. 000 Euros. Précisant que, l’acquisition de ce joueur doté d’une expérience internationale est une valeur ajoutée pour l’équipe sud-africaine.
A en croire cette source, l’arrivée de cet ailier droit, buteur congolais, Glody Makabi Lilepo, au sein de Kaizer Chiefs, est une joie, qui ne manquera pas de ravir les supporteurs d’Amakhosi.
De son côté, Jr Motaung le directeur sportif du club, a souhaité la bienvenue au joueur congolais : « Nous ferons de tout notre possible pour aider Glody Makabi, à s’intégrer rapidement et nous avons hâte de le voir en action », a-t-il déclaré
Pour rappel, avant de s’installer en France, Glody Makabi Lilepo a joué, au soudanais d’Al Hilal et l’AS V.Club de Kinshasa, capitale de son pays d’origine, apportant une expertise à ces équipes dans leurs diverses compétitions, tant nationales qu’internationales.
C’est l’ancien entraineur de V.Club de Kinshasa, Jean Florent Ibenge, le même qui l’a fait venir au Al Hilal, qui l’a recruté au sein du FC Renaissance du Congo de Kinshasa.
ACP/CC
Les 24 équipes qualifiées pour la CAN 2025 sont fixées sur leur destin depuis le tirage au sort des groupes, qui s'est déroulé lundi à Rabat, à moins d'un an du début de la compétition au Maroc.
C'est à Rabat, au Maroc, que s'est déroulé, lundi 27 janvier, le tirage au sort de la 35e Coupe d'Afrique des nations (CAN), organisée dans le pays du 21 décembre 2025 au 18 janvier 2026.
Les 24 sélections, classées dans quatre chapeaux en fonction de leur classement Fifa, ont été réparties en six groupes de quatre. Les deux meilleures équipes de chaque groupe ainsi que les quatre meilleures troisièmes iront en huitièmes de finale.
Le Maroc, pays organisateur, ouvrira les festivités contre les Comores, le 21 décembre à Rabat. Les Lions de l'Atlas, annoncés comme favoris, joueront ensuite le Mali et la Zambie.
Le choc Côte d'Ivoire-Cameroun
Dans le groupe F, le choc opposera la Côte d'Ivoire, tenante du titre, et le Cameroun, cinq fois champions d'Afrique.
D'autres belles affiches aussi au premier tour, avec notamment Sénégal-RD Congo, Nigeria-Tunisie et Égypte-Afrique du Sud.
Le Sénégal affrontera le Bénin de Gernot Rohr. Les Lions de la Teranga croiseront aussi la RD Congo du Français Sébastien Desabre et le Botswana.
Finaliste de la dernière édition contre la Côte d'ivoire (2-1), le Nigeria du Franco-Malien Eric Chelle va croiser le fer avec la Tunisie et deux outsiders, l'Ouganda et la Tanzanie, qui doivent co-organiser avec le Kenya la prochaine édition de la CAN.
L'Égypte, détentrice du record de victoires avec sept Coupes d'Afrique, est dans le groupe de l'Afrique du Sud, demi-finaliste en 2024.
L'Algérie hérite d'un groupe à sa portée, mais devra se méfier du Burkina Faso et de la Guinée équatoriale, comme il y a deux ans, quand les Verts avaient été éliminés d'entrée.
Le Ghana, quadruple champion d'Afrique, était grand absent de cette cérémonie, n'ayant pas réussi à se qualifier pour la première fois depuis 2004.
Les six groupes de la CAN 2025
Groupe A : Maroc, Mali, Zambie, Comores
Groupe B : Égypte, Afrique du Sud, Angola, Zimbabwe
Groupe C : Nigeria, Tunisie, Ouganda, TanzaniGroupe D : Sénégal, RD Congo, Bénin, Botswana
Groupe E : Algérie, Burkina Faso, Guinée équatoriale, Soudan
Groupe F : Côte d'Ivoire, Cameroun, Gabon, Mozambique
La ville de Goma, située dans l’Est de la République Démocratique du Congo, est plongée dans une situation critique depuis plusieurs jours en raison des attaques répétées des rebelles. Cette insécurité grandissante cause des pertes humaines et plonge les habitants dans une détresse profonde.
Face à cette tragédie, l’artiste congolais de renom Fally Ipupa a décidé de prendre la parole. Sur ses pages officielles, il a exprimé son indignation et sa solidarité envers les victimes. « Nos enfants, frères, sœurs, pères et mères, de cœur avec vous. Nous voulons une vraie paix pour toujours », a déclaré l’artiste, appelant à une paix durable pour Goma et toute la région de l’Est.
Cette déclaration de Fally Ipupa résonne comme un appel puissant à l’unité et à l’action collective pour mettre fin aux violences qui affectent des millions de personnes. Connu pour son influence sur la scène internationale, il utilise sa voix pour attirer l’attention sur la situation critique que traverse la région.
Alors que la crise perdure, les habitants de Goma espèrent que les appels tels que celui de Fally Ipupa permettront de mobiliser les efforts nécessaires pour instaurer une paix véritable et durable dans cette région trop souvent touchée par la violence.
Ce lundi, la ville de Goma n’affiche pas son visage habituel. Des tirs sporadiques sont toujours entendus au lendemain de violents combats entre les FARDC et le M23 dans le territoire de Nyiragongo, proche immédiat de la ville. Mais ce qui frappe à l’œil, la présence des militaires armés et munis des bagages, rassemblés sur la voie publique, notamment entre le carrefour Instigo et le stade de l’unité, sur la route Goma-Sake.
« J’ai vu les FARDC dans leur tenue avec notre drapeau, j’ai également vu les wazalendo dans leur façon habituelle de s’habiller, et j’ai encore vu des hommes en jambières, peut-être ce sont les rebelles du M23 », explique un habitant curieux qui a fait la ronde ce matin au centre-ville de Goma.
Des militaires convergent de différents coins de la ville pour un rassemblement, comme si consigne était donnée.
« Au niveau de la bifurcation TMK j’ai vu des militaires converger vers le stade de l’unité. Là au stade, il y a des militaires debouts avec leurs armes lourdes, sacs et au carrefour Instigo ils sont pleins, entassés. En descendant vers la 34e région militaire, il y a beaucoup de militaires bien armés, avec munitions qui montent en direction du stade sans attitude de guerre, c’est pareil en faisant un tour vers la résidence du gouverneur », ajoute le témoin.
La même source affirme avoir vu « près de 10 jeeps de l’armée utilisées par les Roumains, arborant le drapeau blancs, abandonnées vers le QG de la Monusco vers le lac Kivu ».
Pour l’instant, la vie est timide dans la ville. Les rues sont désertes, seuls quelques curieux sont aperçus le long des voies publiques et devant leurs parcelles.
La veille, plusieurs officiels ont quitté la ville la nuit par bateaux via le lac Kivu en destination de Bukavu. Le vice-gouverneur policier fait partie des délégations parties à Bukavu. Aucun commandement n’est resté dans la ville à part les hommes des troupes, policiers et militaires.
L’aéroport de Goma a été dégarni par l’armée. Cependant, des tirs sporadiques sont toujours entendus aux environs.
A Kinshasa, une réunion de haut niveau a eu lieu autour du Président de la République. Le gouvernement promet de communiquer après avoir reçu tous les éléments nécessaires de terrain.
actualite.cd/CC
Les représentants de plusieurs pays sont intervenus dimanche 26 janvier à New York (USA), au cours de la réunion d’urgence du Conseil de sécurité consacrée à la situation dans l’Est de la RDC.
Tous ont appelé cet organe de l’ONU à prendre urgemment des actions pour stopper l’escalade du conflit et sauver des vies humaines.
Au cours de sa déclaration liminaire, Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire général adjoint de l’ONU en charge des opérations de maintien de la paix, a déploré l’offensive depuis le début de l’année par la rébellion du M23, avec l’appui du Rwanda dans l’Est de la RDC. Cette offensive a conduite à la prise de cités de Minova et Sake.
« Il est encore possible d’éviter le pire pourvu que ce conseil agisse sans délai », a-t-il déclaré.
Sur la même lancée, la cheffe de la MONUSCO, Bintou Keita, a appelé le « Conseil à agir maintenant pour sécuriser la population civile, les aides humanitaires, les travailleurs humanitaires et tout le personnel des Nations unies ».
Des mesures fermes
La situation sur le terrain est grave, a estimé pour sa part, le représentant de la France, demandant au Conseil de sécurité de prendre des mesures qui s’imposent.
La présence des troupes rwandaises en RDC, selon lui, constitue une « violation claire de la charte des Nations unies ». Il exige la fin de l’offensive du M23, le retrait des militaires rwandais du sol congolais ainsi qu’un plan de démantèlement des FDLR.
Intervenant devant le Conseil de l’ONU, les Etats-Unis ont affirmé vouloir aussi des « mesures fermes pour défendre Goma et Sake, face aux avancées du Rwanda et du M23 ». Ils se disent « alarmés par l’information relative à la création d’administration parallèle par le M23, qui constitue une violation de l’intégrité territoriale de la RDC ».
De son côté, le Royaume-Uni se dit « préoccupé par la vitesse et l’ampleur l’offensive du M23 » dans la région, appelant à une action rapide, car le nombre de victimes s’accroît d’heure en heure, a alerté son représentant au Conseil de sécurité.
Tous ces intervenants ont également condamné le brouillage, par les rebelles du M23, des signaux GPS utilisés par la MONUSCO. Cet acte complique le travail de la mission onusienne, l’achèvement de l’aide humanitaire, l’aviation civile. Il peut constituer un crime de guerre, selon eux.
Dialogue indispensable
Le Danemark, la Sierra Leone, le Sri Lanka, la Chine, le Pakistan, le Panama, la Russie, la Corée … ont abondé dans le même sens. Ils ont notamment demandé au Conseil d’agir pour mettre fin aux souffrances du peuple congolais, de pousser les belligérants à créer des couloirs pour permettre l’acheminement de l’aide humanitaire, de renforcer le rôle de la MONUSCO…
Les intervenants de ces pays ont également plaidé pour une solution politique à la crise actuelle.
« Il n’y a pas d’issue militaire à la guerre », a soutenu le diplomate français, appelant Kinshasa et Kigali au dialogue et à la reprise du processus de paix de Luanda.
Entre-temps, le représentant des USA a appelé à l’opérationnalisation d’un mécanisme de vérification ad hoc, pour garantir le respect du cessez-le feu convenu à Luanda par la RDC et le Rwanda.
radiookapi.net/CC
Alors que les combats s’intensifient autour de Goma, le président du Kenya et président en exercice de l’EAC (Communauté d’Afrique de l’Est), William Ruto, a exprimé sa profonde préoccupation face à la détérioration de la situation sécuritaire et humanitaire dans la région. Les rebelles du M23, soutenus par l’armée rwandaise, continuent d’assiéger la ville, aggravant une crise déjà sévère.
Dans une déclaration publiée sur son compte X, le dimanche 26 janvier, William Ruto a dénoncé l’escalade des violences et ses conséquences sur les populations civiles. Il a notamment souligné l’impact humanitaire de la fermeture de l’espace aérien à Goma, qui complique davantage l’accès à l’aide humanitaire.
« L'escalade de la détérioration de la paix et de la sécurité en RDC est très préoccupante. La crise humanitaire est exacerbée par les actions militaires en cours, notamment la fermeture de l'espace aérien à Goma », a-t-il déclaré.
Le président de l’EAC a appelé à une cessation immédiate et inconditionnelle des hostilités, tout en insistant sur l’obligation pour toutes les parties de faciliter l’accès humanitaire aux populations touchées. Il a exhorté les parties en conflit à privilégier des moyens pacifiques pour résoudre ce conflit.
William Ruto a également annoncé la tenue d’un sommet extraordinaire de l’EAC dans les 48 heures :
« Après avoir consulté les chefs d'État des États membres de l’EAC, nous convoquerons un sommet extraordinaire dans les prochaines 48 heures pour définir la voie à suivre », a-t-il affirmé.
Un appel à la collaboration régionale et internationale
Le président kenyan a réitéré l’engagement de l’EAC à collaborer avec d’autres organisations régionales et internationales, notamment l’Union africaine (UA) et la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC), pour encourager les parties au conflit à privilégier le dialogue.
Il a également appelé les présidents Félix Tshisekedi (RDC) et Paul Kagame (Rwanda), avec lesquels il s’est entretenu, à répondre à l’appel à la paix lancé par les populations de la région et la communauté internationale.
La situation dans l’Est de la RDC reste tendue, avec des combats intenses entre les FARDC appuyées par leurs alliés Wazalendo et les rebelles du M23.
Ces derniers, soutenus par l’armée rwandaise selon plusieurs rapports, tentent de prendre le contrôle de Goma, une ville stratégique, chef-lieu de la province du Nord-Kivu.
La crise humanitaire s’aggrave, avec des milliers de civils déplacés et un accès limité à l’aide humanitaire.
radiookapi.net/CC
Le Nouvel Élan, parti cher au Premier ministre honoraire Adolphe Muzito, salue l'annonce de la rupture des relations diplomatiques entre la RDC -République démocratique du Congo- et le Rwanda. Ce parti de l'opposition encourage dès lors les efforts déployés par le Gouvernement, pour le soutien aux Forces Armées sur la ligne de front.
Dans une déclaration signée, ce dimanche, par son secrétaire général, Me Blanchard Mongomba, Nouvel Élan lance un vibrant appel à la mobilisation de tous les compatriotes et appelle à la vigilance et la détermination, dans un élan d'unité et de sursaut patriotique, afin de gagner définitivement la guerre qui nous est imposée injustement par les ennemis des Congolais et de la RDC.
Par ailleurs, ce parti politique réitère l'idée de son initiateur, celle de faire la guerre au Rwanda. "Face à cette situation inacceptable de violation des principes du droit International sur la souveraineté des Etats et de l'intangibilité des frontières, réitérons l'idée avancée par notre leader Adolphe MUZITO, en date du 23 Décembre 2019, de faire la guerre au Rwanda et ses supplétifs".
En définitive, Nouvel Élan rend un vibrant hommage au gouverneur militaire du Nord-kivu, Peter Cirimwami, décédé la semaine dernière. Ce parti du Premier ministre honoraire dénonce la recrudescence de massacre, il y a plus d'une décennie, dans ce coin de la RDC, sous l'oeil complice de la Communauté internationale.
Grevisse Tekilazaya