L'entraîneur de RSB Berkane (Maroc), Jean-Florent Ibenge Ikwange sera indisponible pour 7 à 10 jours, a indiqué le club marocain lundi 25 avril dans un communiqué sur ses réseaux sociaux.

D’après le club marocain, le technicien congolais s’est blessé au niveau de la colonne vertébrale à la suite d’un accident de circulation. Ce, à son retour d’entraînement, au lendemain de la qualification en demi-finale de la Coupe de confédération. 

Pour l'heure, l’ancien entraîneur de l’A.S Vclub de Kinshasa est à l’hôpital CHU Mohammed VI où il a passé des examens médicaux.

La Renaissance Sportive de Berkane jouera sa demi-finale aller le 8 mai prochain à Lubumbashi, contre le T.P Mazembe. 

radiookapi.net/CC



Les députés nationaux poursuivent ce mardi 26 avril à la chambre basse du Parlement, leur troisième jour de débat général sur la loi électorale entamé depuis vendredi 22 avril.  

Au cours de la séance du lundi 25 avril, la majorité des députés proposent la « suppression de seuil de représentativité ». Par rapport à l’interdiction de designer un membre de la famille pour la suppléance, les députés veulent se choisir eux-mêmes leurs suppléants car, il s’agit d’une question de confiance.  

Les élus plaident notamment pour la suppression de l'élection des gouverneurs au second degré afin qu’ils soient directement élus par la population.  

Des questions ayant trait à la fiabilité de la machine à voter ont fait également débats. 

« Il y a eu beaucoup de controverse autour de la machine à voter. Pour certains c’est une machine à voler, pour d’autres, machine à tricher. Alors comme la question est revenue sur la table et que nous allons en 2023 aux élections, j’ai voulu que soit précisé à l’opinion l’aspect de dire nous allons dans quel format de vote. Si les bulletins sont là, qu’on adopte un principe : soit qu’on vote par bulletin soit on continue par la machine à voter. Donc nous devons lever les options pour ne pas laisser l’ambigüité dans l’opinion », a expliqué le député Emmanuel Leku, élu de Mambasa.  

L’autre question évoqué est celle liée à la cartographie électorale qui ne correspond pas aux limites administratives, qui est source des tensions entre les communautés locales. 

 « Il y a le problème de la cartographie électorale et la cartographie administrative. Les limites administratives ont toujours existé mais quelque part, dans d’autres coins ça ne se marie pas avec la cartographie électorale. Ce qui pose maintenant un conflit entre communauté. Et là, c’est comme si la CENI devenait un cadre géographique pour délimiter les cartes administratives. C’est qui n’était pas bon pour moi. Il fallait qu’on puisse corriger ça à temps pour ne pas laisser les conflits dans les milieux parce que nous sommes tenus à vivre en symbiose », a poursuivi le député Emmanuel Leku. 

radiookapi.net/CC



À la suite de son l’appel à candidatures lancé il y a peu (lien hypertexte), la Fédération Congolaise de Football Association (FECOFA) procède (déjà) à l’analyse des dossiers et profils de tous les postulants. C’est au cours des réunions tenues au siège même de l’instance faîtière du foot congolais que ce travail se fait. Selon les informations reçues par notre rédaction, la majorité des participants a plébiscité Otis Ngoma.

Le poste du sélectionneur des Léopards A’ (locaux) est vacant depuis le départ de Florent Ibenge. À l’approche des éliminatoires du CHAN 2022, la FECOFA avait le devoir de vite se trouver un coach, et constituer le staff technique qui conduira l’équipe. Au milieu de plusieurs dossiers de candidatures reçues, entre autre celles de Pamphile Mihayo, Guy Bukasa, Bertin Maku autre Raoul Shungu, le choix à faire n’était pas facile pour la Fédé, surtout pour le sélectionneur principal premièrement.

En attendant l’annonce officielle, notre rédaction a appris en exclusivité que l’heureux élu se nomme Otis Ngoma, ancien coach du Daring Club Motema Pembe. Les tractations se poursuivent quant à la désignation de ses adjoints. Guy Bukasa et Bertin Maku sont parmi les favoris, cependant, rien n’est encore décidé jusqu’au moment où nous rédigeons cet article. En revanche, le préparateur physique et l’entraîneur des gardiens sont déjà trouvés, nous renseignent nos sources. Male Makanzu jouera le premier rôle, et Paulin Tokala le second. D’autres détails sont à suivre sur votre site…

Isaac B’ampendee



Deux personnes sont mortes dans un éboulement signalé dans une carrière des pierres à Mujumba dans le groupement de Mudusa en territoire de Kabare au Sud-Kivu.

Selon la société civile locale, le drame s'est produit le dimanche 24 avril 2022 lorsque les victimes creusaient les pierres.

« Cette carrière est située non loin du sous village de Kabungo. Les deux jeunes victimes seraient des ressortissants des villages Kalangwe et Cirhagabwa. Ils seraient aussi âgés de 20 ans et 25 ans. Nous regrettons encore ces pertes en vies humaines », a expliqué à 7SUR7.CD Justin Bahati, president de la société civile de Mudusa. 

Il demande aux autorités locales et provinciales de fermer toutes les carrières des pierres présentant des dangers dans le groupement de Mudusa.

La montagneuse province du Sud-Kivu, a subi plusieurs éboulements ces derniers mois. Ce dernier cas s'ajoute à ceux enregistrés à Kamituga ou encore à Misisi et Mwenga les mois précédents, cette fois dans des carrières minières.

Déogratias Cubaka, à Bukavu



Le gouvernement de la République mutualise certaines activités opérationnelles liées à l'identification et l'enrôlement des électeurs, à l'identification de la population et au recensement général de la population en République démocratique du Congo.

Le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a signé le décret portant organisation de la mutualisation des activités opérationnelles dans le cadre de l'identification et de l'enrôlement des électeurs, de l'identification de la population et du recensement général de la population et de l'habitat le 02 mars 2022. 

D'après ce document consulté par la Rédaction de 7SUR7.CD ce lundi 25 avril, la mutualisation opérationnelle consiste en la mise en commun des ressources humaines, techniques, logistiques et matérielles dédiées à la réalisation des activités communes, en vue de contribuer à la production des cartographies opérationnelles, du fichier électoral et du fichier général de la population.

Cette mutualisation, précise la même source, concerne les activités opérationnelles liées à la collecte des données cartographiques, la collecte des données identitaires de la population selon le cas, l'acquisition et au déploiement du matériel, au recrutement, à la formation et la gestion du personnel opérationnel, à la transmission physique et électronique des données collectées, au traitement général des données collectées selon le cas, et la gestion du patrimoine dédié à la collecte des données.

Ce décret précise, en revanche, que les activités qui ne sont pas concernées par cette mutualisation sont notamment la production des cartes censitaires, des cartes thématiques électorales et des cartes thématiques administratives, le dénombrement général de la population et de l'habitat, les traitements spécifiques et l'analyse des données collectées, la constitution et la tenue du fichier électoral, la constitution et l'entretien du fichier général de la population, la production et la délivrance des cartes d'identité nationale.

La mutualisation opérationnelle, indique ce même décret, est assurée par un Comité de pilotage composé notamment du premier ministre et des ministres sectoriels, mais aussi un Comité technique. 

Prince Mayiro



En date du 2 mars 2022, le premier ministre Sama Lukonde a signé un décret portant création de la Carte d'Identité Nationale (CIN). Elle certifie et fixe l'identité congolaise de la personne qui la porte.

D'après ce décret, la CIN est un document administratif d'une validité de 10 ans, produit et délivré par l'Office National d'Identification de la Population (ONIP).

La procédure de la demande, le coût et les conditions d'obtention et de renouvellement seront fixés par un arrêté du ministre de l'Intérieur.

La CIN sera composée en tout de 26 informations personnelles, dont 16 seront visibles à l'oeil nu et 10 lisibles de manière électronique ou numérique.

Les informations visibles à l'oeil nu sont les suivantes : le nom du pays, le nom du ministère de l'intérieur, la dénomination de la carte, le numéro de la carte, le prénom du porteur, son nom, le post-nom, le lieu et date de naissance, le sexe, la photo, son domicile/résidence, sa signature, la signature de l'autorité délivre la carte, le lieu et la date de la délivrance de la carte, la validité et les armoiries de la République.

Quant aux informations numérisées, elles comprennent le numéro d'identification nationale, les empreintes digitales, les clés d'identité, les autres noms, l'état-civil, la province d'origine, territoire, secteur ou la chefferie, le regroupement et la localité, la composition familiale, la profession, l'identité des parents et les autres informations autorisées par le ministre de l'intérieur.

Notons que la CIN sera délivrée au pays dans les antennes de l'ONIP et pour les congolais vivant à l'étranger dans les postes diplomatiques ou consulaires.

Rappelons par ailleurs que le dernier recensement général de la population en République démocratique du Congo, à l'époque Zaïre, a eu lieu en 1984. Il indiquait alors 29,9 millions d’habitants dont 30% vivant dans les centres urbains.

Bienfait Luganywa



Idriss Diallo a été élu président de la Fédération ivoirienne de football, ce 23 avril, à Yamoussoukro. Il a devancé Sory Diabaté et l’ex-attaquant Didier Drogba.

C’est finalement l’homme d’affaires Idriss Diallo qui a été élu, samedi 23 avril, à la tête de la Fédération ivoirienne de football (FIF) à l’issue d’une élection organisée à Yamoussoukro, et lors de laquelle l’ancienne star du ballon rond, Didier Drogba, a été éliminée dès le premier tour.

Idriss Diallo est élu pour les quatre prochaines années. Ancien membre de la FIF et vice-président de l’Afad, un club de Ligue 1, il a obtenu 63 voix contre 61 face à son rival du second tour, Sory Diabaté, ancien vice-président de l’institution. Au premier tour, ils ont tous deux largement devancé Didier Drogba qui n’a rassemblé que 21 voix sur 130. Malgré son immense carrière et sa popularité, l’ex-attaquant de Marseille et de Chelsea, qui avait annoncé sa candidature au début de 2020, n’était pas donné favori.

Battu malgré le soutien de la CAF

« Je voudrais féliciter Didier [Drogba] qui a eu le courage de s’engager dans cette course et qui a rendu cette élection plus que populaire au-delà de nos frontières », a déclaré Idriss Diallo dans la foulée de son élection, promettant d’être un « président juste ».

Soutenu, selon plusieurs observateurs, par la Confédération africaine de football (CAF) et la Fifa, Didier Drogba n’a pas réussi à convaincre les présidents de clubs ivoiriens qui constituaient l’écrasante majorité des votants. Il lui a été reproché de ne pas assez connaître le football local et d’avoir fait une campagne minimale, sans labourer suffisamment le terrain.

Cette élection va-t-elle mettre un terme à la longue crise qui a ébranlé la FIF ? Elle avait en tout cas été plusieurs fois reportée depuis 2020, en raison d’un imbroglio sur le système de parrainage des candidats qui avait alors bloqué la candidature de Didier Drogba. La FIF avait été mise sous tutelle en décembre 2020 par la Fifa, qui avait installé un Comité de normalisation.

Ancien dirigeant du plus grand club national l’Asec Mimosas de 1984 à 1998, Idriss Diallo aura pour mission de redonner des couleurs au football ivoirien. Le pays ne s’est pas qualifié pour la Coupe du monde en 2018 et en 2022 et reste sur deux éliminations en quarts et en huitièmes lors des deux dernières Coupes d’Afrique des nations (CAN). La Côte d’Ivoire organisera la prochaine CAN du 23 juin au 23 juillet 2023.

(Avec AFP)



Le ministre de la santé publique, hygiène et prévention a lancé un message à la population congolaise à l’occasion de la célébration de la journée mondiale du paludisme, ce lundi 25 avril.

En effet, pour cette année, le thème retenu est « innover pour réduire la charge du Paludisme et sauver des vies », qui est une recommandation de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à innover pour trouver des nouvelles approches de lutte anti-vectorielles, de nouveaux outils de lutte, de produits de diagnostic, des nouveaux médicaments antipaludiques, et d’autres outils en vue d’accélérer les progrès contre cette maladie.

« Il découle explicitement de cette thématique, la focalisation d’une attention soutenue sur le paludisme, et les moyens conséquents dans la recherche et le nouveau traitement pour arriver à bout de cette maladie. C’est dans cette logique que s’inscrit le tout premier vaccin recommandé pour lutter contre le parasito-humaine, le RTSS cité aujourd’hui comme un exemple d’innovation en action et une avancée scientifique dans la lutte contre la Paludisme », a dit le ministre Jean-Jacques Mbungani.

L’OMS avait annoncé, le jeudi 21 avril dernier, que plus d'un million d'enfants au Ghana, au Kenya et au Malawi, ont désormais reçu, grâce à un programme pilote, au moins une dose du premier vaccin antipaludique.

« L’ajout de ce vaccin aux autres outils de lutte contre le paludisme recommandé pourrait permettre d’éviter de millions de cas de paludisme et remettre la lutte antipaludique sur une bonne voie. C’est un défi qui est lancé aux scientifiques congolais engagés dans la lutte contre le paludisme si nous tenons, d’une part à l’atteinte des objectifs fixés à l’horizon 2030 c’est-à-dire l’enregistrement de moins de cas, d’envisager l’élimination ; et d’autres part, matérialiser la couverture de santé universelle », a ajouté le ministre de la santé congolais.

La malaria (autre nom du paludisme), a causé en 2020 le décès de 627.000 personnes dans le monde, selon une estimation de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). La même année, 241 millions de cas de paludisme ont été enregistrés dans le monde, selon l'OMS. Le nombre de décès a progressé de 12% sur 12 mois en raison surtout de "perturbations" dans l'accès au soin, liées à la pandémie de Covid-19.

Thérèse Ntumba



Au Stade Benjamin Mkapa de Dar-es-salam ils sont rois, des lions intraitables. Cependant à l’extérieur, Simba SC n’a pas montré le visage de guerriers en Coupe de la Confédération où il s’est fait éliminé par Orlando Pirates au tirs au but (4-3).

Les Pirates ont refait le retard du match aller (1-0) juste après l’expulsion de Chris Mugalu (59è). À 1-1 score cumulé, les deux clubs se sont lancés à la séance de tirs au but avec Inonga Baka de mauvais pied. Le défenseur congolais a placé le ballon sur la barre ouvrant le chemin de la victoire à Orlando Pirates. La poisse !

Les Congolais auront grincé fortement les dents après une soirée ratée. Toutes les forces doivent alors être unies en championnat pour décrocher la deuxième place, synonyme de la qualification en Coupe de la Confédération l’année prochaine.

Orlando Pirates affrontera en demi-finale Al Ahli, vainqueur du derby tripolitain. Après leur nul vierge (0-0) au match aller des quarts de finale, Al Ahli a battu Al Ittihad au match retour et se qualifie donc pour les demi-finales.

Daniel Kabuanga/CC



La RDC est l’invitée d’honneur de la 14e édition du Festival des musiques urbaines d’Anumabo (FEMUA), prévu du 10 au 15 mai prochain, à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

Le commissaire général de ce festival, Salif Traoré, l’a annoncé, samedi 23 avril, au cours d’un point de presse, à Kinshasa.

« Nous sommes au sixième anniversaire de la mort de Papa Wemba. Il est tombé sur la scène au FEMUA. Nous avons trouvé qu’inviter le Congo, en Côte d’Ivoire, c’est rendre un grand hommage à ce monsieur [NDLR: Papa Wemba] qui, de son vivant, avait souhaité que le FEMUA soit une source d’intégration pour les pays africains », a dit le patron du groupe musical ivoirien, Magic System.

Il a expliqué que deux critères ont motivé le choix de la RDC, entre autres la mort de Papa Wemba, il y a 6 ans jour pour jour sur la scène de ce festival et l’inscription de la rumba comme patrimoine mondial culturel immatériel de l’humanité.

Salif Traoré a également reconnu que la mort de Papa Wemba a renforcé les liens d’amitié entre la RDC et la Cote d’Ivoire.

Placé sous le thème : « Entreprenariat et employabilité des jeunes », ce festival de six jours connaitre la participation de plusieurs pays africains dont le Sénégal et le Burkina Faso.

radiookapi.net/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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