Le ministère de l'aménagement du territoire, dirigé par maître Guy Loando Mboyo, porte à la connaissance de l'opinion tant nationale qu'internationale que, contrairement aux allégations "mensongères" véhiculées par des personnes qu'il considère mal intentionnées ou sous informées, le Camp militaire Lieutenant-Colonel Kokolo à Kinshasa n'a jamais fait l'objet d'une quelconque vente.

Dans un communiqué de presse publié mercredi 20 avril 2022, il affirme que le gouvernement de la République s'est engagé dans un processus d'amélioration des conditions de vie des militaires et des policiers depuis plusieurs années. D'où sa volonté exprimée depuis 2016 de leur construire des nouvelles casernes répondant aux normes et standards internationaux.

« C'est dans ce cadre que le Gouvernement de la République a autorisé la réalisation des études de préfaisabilité de ce projet de relocalisation des camps militaires qui cible dans un premier temps, le Camp Lieutenant-Colonel Kokolo, le Camp Lufungula à Kinshasa et le Camp Katindo à Goma. Ainsi, le ministère de l'Aménagement du territoire tient à rassurer les différentes familles qui y habitent qu'à ce jour aucun périmètre du camp militaire Lieutenant-Colonel Kokolo, relevant par ailleurs du domaine foncier public de l'Etat congolais, n'a jamais été vendu ou cédé », rapporte la cellule de communication du ministère de l'aménagement du territoire.

Et d'ajouter :

« Les ministères sectoriels concernés travaillent en étroite collaboration avec les Forces Armées de la République Démocratique Congo et la Police nationale congolaise, en cette phase d'études devant aboutir à la mise en œuvre dudit projet qui rentre en ligne droite de la Vision du président de la République, Chef de l'État, Félix Tshisekedi ».

Au cours d'une émission diffusée sur la toile, le député national Léon Nemba Lemba avait affirmé que le gouvernement de la République a vendu le camp Kokolo. Lors d'une séance de travail qu'ils ont sollicitée auprès du ministre d'État chargé de l'Aménagement du territoire, Guy Loando Mboyo, les élus nationaux de la ville de Kinshasa et sénateurs ont été éclairés sur le projet Fatshi city, spécialement dans son volet relocalisation des camps militaires  Kokolo et Lufungula.

« Il était important de puiser la bonne information à la source pour notamment casser la désinformation qui tente de s'installer autour de ce projet. Les élus du peuple se sont convenus avec le ministre d'Etat sur la régularité de ce genre de rencontres afin non seulement de mieux suivre l'évolution de cet ambitieux projet mais aussi, de l'accompagner », avait déclaré au nom du groupe le député national Daniel Mbau.

Clément MUAMBA



 Dans le but d'améliorer l'accès aux outils de dépistage et de soins pour les communautés les plus affectées par la trypanosomiase humaine africaine (THA) (appelée aussi maladie du sommeil) en RDC, 30 centres et postes de santé ont été réhabilités et dotés d'équipements de laboratoire dans 6 provinces endémiques (Kwilu, Maï-Ndombe, Kasaï, Kasaï Central, Kasaï-Oriental et Lomami). 

Cette initiative s'inscrit dans le cadre du projet intitulé : « Appui programmatique pour la mise en œuvre d'activités dans le programme de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine en RDC », arrivé à terme depuis le samedi dernier.

Financé par la Banque Mondiale à travers le projet de développement du système de santé (PDSS), ce projet a ciblé 14 zones de santé reparties dans les provinces précitées. Il a été exécuté pendant près de deux ans par le programme national de lutte contre la trypanosomiase humaine africaine (PNLTHA) en collaboration avec DNDi (fondation de droit suisse engagée dans des traitements nouveaux contre les maladies les plus négligées). 

« Je salue cette initiative de DNDi soutenue par la Banque Mondiale à travers le PDSS, qui a permis pendant une année et 5 mois de faciliter l'accès au diagnostic et au traitement de la THA auprès des communautés affectées dans les 6 provinces cibles. Ce qui a permis complètement d'augmenter l'utilisation des services de santé offerts grâce à la réhabilitation des structures sanitaires, le renforcement des capacités du personnel de santé par la formation, etc. Après la présentation des résultats que nous venons de suivre avec attention, c'est vraiment une grande satisfaction pour moi. Je réalise les effets positifs de ce projet dans l'atteinte de l'objectif d'interruption de la transmission de la maladie du sommeil d'ici 2030 et je souhaite que des actions de ce genre soient multipliées pour le bonheur des populations affectées non seulement par la maladie du sommeil, mais par les autres problèmes prioritaires dans la communauté vers la couverture santé universelle », a déclaré Body Ilonga, secrétaire général à l'intérim au ministère de la santé publique, lors de la cérémonie de clôture dudit projet, le mardi 19 avril 2022 à Kinshasa.  

Outre la modernisation des infrastructures sanitaires, le renforcement des capacités de système de santé était aussi l'un points clés. À ce sujet, plus de 300 prestataires de santé ont acquis des connaissances sur le diagnostic et le traitement du THA dans les 14 zones de santé d'intervention.  

« Ce projet a donc permis de renforcer la capacité des communautés affectées dans les provinces concernées de se faire dépister, diagnostiquer et traiter de la THA et vise aussi à tirer profit du récent développement en matière des outils du diagnostic et de traitement de la THA afin d'améliorer l'accès aux services de santé liés à cette maladie négligée qui affecte la santé des communautés des zones de santé endémiques. Il s'agit notamment de la formation des prestataires sur l'exécution de TDR et parasitologie, la formation de formateurs sur le diagnostic du THA à l'INRB et la formation des formateurs sur les aspects communautaires, la dotation des 12 motos dont 8 du PDSS et 4 d'autres partenaires notamment ELMA », a souligné le directeur régional de DNDi, Chirac Bolanga. 

Pour sa part, le directeur général du PNLTHA s'est réjoui du fait que ce projet a donné des résultats escomptés. 

« En un temps record, nous avons réhabilité 30 formations sanitaires en les dotant des matériels de laboratoire. Cette première expérience de la mise en œuvre des activités de la lutte contre le PHA avec l'appui de la Banque Mondiale à travers l'unité de gestion PDSS, nous a permis de conclure qu'il est possible avec la volonté et le pragmatisme de ramener des soins auprès de la population abandonnée suite à l'inaccessibilité géographique. En évidence, cette nouvelle approche de réaliser les activités appliquées au développement des communautés touchées par la maladie du sommeil représente pour nous, tout un défi dont la réalisation requiert des moyens énormes. Mais, nous sommes très satisfaits des résultats obtenus avec peu de moyens », a-t-il fait savoir. 

Représentant du coordonnateur du PDSS, le docteur Claude Sese a martelé sur l'importance pour tous les acteurs de multiplier des efforts pour vaincre la maladie du sommeil d'ici 2030. Par ailleurs, il a félicité DNDi pour l'utilisation efficiente des fonds qui ont servi à la réhabilitation des formations sanitaires à de moindres coûts. 

À ce jour, la maladie du sommeil est soignée par Fexinidazole, le tout premier médicament entièrement oral approuvé pour traiter les deux stades de cette pathologie.

Merveil Molo



La 9e édition de la semaine de la science et des technologies s'est ouverte lundi 18 avril au Musée national à Kinshasa. Cette édition est placée sous le thème : « Les technologies spatiales au service du développement durable en Afrique. » 

 L’un des orateurs de ce lundi, l’astronaute sénégalais Maram Kaire, explique l’importance des technologies spatiales au service du développement durable en Afrique : 

« Il y a très longtemps, on a pensé que la technologie spatiale était réservée aux pays occidentaux. Mais depuis quelques années, les universités américaines ont développé des systèmes de satellites qui sont très petits, miniaturisés (…). Ces derniers permettent aujourd’hui à des pays, par exemple, en voie de développement de pouvoir accéder à ces technologies. Mais si la technologie est accessible, il faut savoir à quoi elle peut servir. » 

Selon l’astronaute, l’Afrique est confrontée aux problèmes que l’on connait : « la surveillance de nos frontières, de nos ressources maritimes et énergétiques. » L’Afrique a également besoin d’une éducation de qualité, d’une agriculture productive qui puisse anticiper sur les aléas climatiques. 

Et Il déduit que « tous ces éléments trouvent une réponse dans l’utilisation et l’exploitation des données issues des satellites. Et nous constatons que les pays qui sont les plus avancés aujourd’hui dans l’utilisation des satellites le sont également dans l’atteinte de leurs objectifs. » 

A l'initiative de sa fondatrice, Raïssa Malu de l'ASBL « Investing in people », cette rencontre connait la participation des représentants de neuf pays : la RDC, le Congo-Brazzaville, le Soudan, le Nigeria, l'Allemagne, le Cameroun, la Belgique, l'Italie ainsi que le Sénégal. 

radiookapi.net/CC

 



Un buffle fait des apparitions dans le village de Kibolongo dans le territoire de Masimanimba (Kwilu) et agresse violemment les habitants qui sont actuellement dans la panique totale. En l’espace de quatre jours seulement, cet animal a occasionné la mort d’homme et des blessés graves, a indiqué mardi 19 avril l’administrateur du territoire, Jean Bosco Mukubidi.

Selon lui, le comité territorial de sécurité a décidé de refouler ou d’abattre cette bête, qui est une espèce protégée, dans le but de sécuriser la population locale. 

« Un buffle qui avait tué un papa il y a quatre jours passés, et hier encore, il a attaqué quatre personnes qui sont blessées et hospitalisées. Il y a l’autre qui est même fracturé. Ça devient difficile pour passer même sur la route. Même pour ceux qui partent aux champs, ils ont peur », a expliqué Jean Bosco Mukubidi.

Cela fait déjà plusieurs mois depuis que l’apparition de ce buffle a été observée plus précisément au village Kibolongo situé dans le secteur de Kinzenga. 

Des sources locales renseignent que cet animal ne causait de tort à personne. Mais il y a quelques jours, ce buffle est devenu trop agressif, il disperse et attaque les gens, et il a même occasionné la mort d’homme et plusieurs blessés sur place.  

A la suite de cette situation, la population qui, actuellement se sent dans une insécurité totale, n’arrive plus à vaquer à ses activités champêtres.  

Jean-Bosco Mukubidi parle des mesures prises pour sécuriser les paisibles citoyens face à ce danger : 

 « La situation est très dangereuse pour la population. Raison pour laquelle, nous nous sommes décidés au comité de sécurité de refouler ou attaquer ce buffle, au besoin l’abattre. Je sais que le buffle est parmi les espèces protégées. Mais comme il est devenu trop agressif par rapport à la population, on doit l'abattre pour sécuriser notre population. Même les gens de la protection de la nature ne vont pas en tenir rigueur parce qu’il s’agit-là de la sécurité de la population ».

En attendant, il a appelé la population de Kibolongo au calme. 

radiookapi.net/CC



L'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) a exprimé mardi son intention de créer un "corridor écologique" pour éléphants dans une zone habitée du sud-ouest de la République démocratique du Congo, après l'irruption d'un pachyderme dans l'enceinte d'une paroisse catholique le jour de Pâques.

Cela faisait "trois jours que l'animal était signalé dans cette contrée du Kongo-Central", a indiqué à l'AFP Ferdinand Tshikala Etshindo, administrateur du territoire de Lukula. 

"C'est le jour de Pâques qu'il a surpris les fidèles à l'extérieur de l'église" Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, dans le diocèse de Boma et provoqué la panique, a-t-il ajouté, confirmant des informations de la presse congolaise.

Dans la confusion, l'éléphant a blessé d'un coup de défense à l'abdomen un jeune homme d'une vingtaine d'années, a encore dit M. Tshikala Etshindo. Le blessé a été admis à l'hôpital de Lukula, a pu constater au lendemain de l'accident un correspondant de l'AFP, lors d'une visite sur place du gouverneur de la province, Justin Luemba Makoso.

On doit faire de "cette irruption d'éléphant dans la cité une source de revenus, en créant des corridors écologiques", a déclaré aux médias Arthur Kalonji, un directeur de l'ICCN (organisme public qui gère les parcs nationaux en RDC), dépêché à Lukala par les autorités de Kinshasa pour suivre cette affaire d'éléphant en divagation.

Avec ce couloir écologique, "il sera question de mettre en place une zone dans laquelle l'éléphant sera protégé et entretenu notamment par la plantation de cultures que l'animal adore", a-t-il détaillé. 

Former les experts, sensibiliser la population sur "le comportement à adopter face à cet animal inoffensif, par exemple en évitant les bruits là où il est, et surtout, ne pas le menacer", a ajouté M. Kalonji.

"Ce corridor écologique sera encadré, ce qui permettra aux visiteurs de voir les éléphants, moyennant paiement", a-t-il conclu.

En mai 2021, un autre éléphant avait surgi dans la même contrée sans faire de victime, a rappelé le gouverneur Luemba Makoso. 

AFP avec ACTUALITE.CD/CC



Le Raja a officiellement protesté auprès de la FIFA contre l’arbitrage de son match face à Al Ahly dans le cadre des quarts de finale de la Ligue des champions africaine.

Le Raja a envoyé une lettre à la FIFA dans laquelle il proteste contre la mauvaise prestation du staff arbitral qui a dirigé son match samedi soir contre Al Ahly, soldée par une victoire du club cairote (2-1).

Dans cette lettre, le club des Verts a énuméré les quatre erreurs commises par l’arbitre congolais Jean-Jacques Ndala et son assistant à la VAR, Mehdi Abid Charif, à l’encontre des coéquipiers de Mouhcine Moutouali.

Il s’agit là d’un pénalty imaginaire sifflé à la 10e minute de la rencontre, d’une agression physique de l’arbitre principale contre Mohamed Zrida, du 2e but d’Al Ahly qui selon le Raja était illégale en raison d’un hors-jeu (23e minute) et d’une agression physique contre le même joueur non sifflé par l’arbitre de la rencontre (51e minute).

Notons que la direction du Raja a aussi protesté auprès de la Confédération africaine de football (CAF).

Amine Oubaha



Le pont Tshondo situé dans la commune de Lubumbashi au quartier Gecamines (Haut-Katanga) s'est effondré ce mardi 19 avril 2022.

Selon des témoins, un camion de marque Howo transportant des sables et graviers qui passait sur ce pont pour se rendre au quartier Karavia a manqué de traverser. Il a finit par casser le pont et se retrouver, une partie du véhicule, dans la rivière Lubumbashi.

Il sied de noter que certains cadres de la société civile estiment que ce pont s'est cassé pour raison de « vétusté ». Ils appellent les autorités de Lubumbashi à jeter un autre pont sur cette rivière « car il permet aux élèves de traverser pour aller à l'école Tshondo qui est à une cinquantaine des mètres ».

Patient Lukusa, à Lubumbashi



Le gouvernement congolais a signé avec l'intersyndicale de l'Administration publique (INAP), ce mardi 19 avril 2022, un avenant au protocole d'accord de Bibwa portant augmentation de salaire de base de tous les fonctionnaires et agents publics de l'État.

Cette augmentation est de l'ordre de 30% en moyenne dès ce mois d'avril et sera portée à un total de 45% pour le mois de juillet. Cette mesure concerne tant les personnels civils de l'État que ceux de l'armée et de la police nationale congolaise.

Selon le vice-premier ministre de la Fonction Publique Jean-Pierre Lihau qui a présidé cette réunion, le gouvernement a la volonté d'améliorer les conditions sociales des agents publics de l'État à travers notamment l'augmentation de leur salaire de base.

« À partir de ce mois d'avril, le gouvernement de la République augmente le salaire de base de tous les fonctionnaires et agents publics de l'État de l'ordre de 30% pour le deuxième trimestre et de l'ordre de plus au moins 45% à partir du troisième trimestre. Il faut noter cette volonté du gouvernement qui n'est pas une volonté de façade, qui est une vraie volonté de soutenir non seulement les agents publics, leur pouvoir d'achat, mais aussi d'améliorer les conditions sociales des agents publics de l'État », a dit le ministre de la Fonction Publique.

Il sied de noter que cette mesure a été prise après le rabattement de l'impôt professionnel sur le revenu (IPR), de 15 à 3% et la mécanisation de plus de 2300 agents publics de l'État.

Roberto Tshahe



Les Léopards évolueront dans le groupe I aux côtés des Panthères (Gabon), des Mourabitounes (Mauritanie) ainsi que des Crocodiles du Nil (Soudan) lors de la phase des groupes des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN Côte d’Ivoire 2023). C’est le verdict du tirage au sort effectué ce mardi 19 avril à Johannesburg en Afrique du Sud par la Confédération africaine de football (CAF).

Les autres groupes se présentent comme suit :

Groupe A

Nigéria, Sierra Léone, Guinée Bissau, Sao Tomé-et-Principe

Groupe B

Burkina Faso, Cap-Vert, Togo, Eswatini

Groupe C

Cameroun, Kenya, Namibie, Burundi

Groupe D

Egypte, Guinée, Malawi, Ethiopie

Groupe E

Ghana, Madagascar, Angola, République centrafricaine

Groupe F

Algérie, Ouganda, Niger, Tanzanie

Groupe G

Mali, Congo, Gambie, Soudan du Sud

Groupe H

Côte d’Ivoire, Zambie, Comores, Lesotho

Groupe I

RDC, Gabon, Mauritanie, Soudan

Groupe J

Tunisie, Guinée Equatoriale, Libye, Botswana

Groupe K

Maroc, Afrique du Sud, Zimbabwe, Libéria

Groupe L

Sénégal, Bénin, Mozambique , Rwanda

Toutefois, il sied de noter que les sélections du Kenya et du Zimbabwe ont été prises en compte lors de ce tirage au sort alors que leurs fédérations sont jusqu’ici suspendues par la FIFA en raison d’interférences politiques. C’est ainsi que la CAF s’était déjà prononcée sur cette contrainte, déclarant que si d’ici deux semaines avant le début de ces éliminatoires ces suspensions ne sont pas levées, ces nations «  seront considérées comme perdantes et éliminées de la compétition ». Et dans ce cas leurs groupes ne seront plus composés que de trois équipes,

Ces éliminatoires iront de juin 2022 à mars 2023. Les deux premières journées se disputeront au mois de juin prochain. Les 3ème et 4ème journées sont prévues au mois de septembre. Enfin, les deux dernières journées sont programmées au mois de mars 2023. 

Japhet Toko



Michel Katebe Ngoy a été élu ce mardi 19 avril président de l'Assemblée provinciale du Haut-Katanga. Sur 44 députés présents, 43 ont voté pour Katebe Ngoy Michel. L'autre candidat en cours, le député Pemba Moto a été crédité d'une seule voix. 

M. Katebe était déjà membre du bureau en tant que vice-président de cet organe délibérant. Il a assuré l’intérim du feu Antoine Gabriel Kyungu wa Kumwanza décédé l'année dernière. Ce jour, il succède officiellement à M. Kyungu. Ce dernier était à la tête de cette première institution provinciale et en même temps il était président du conseil d'administration de la société nationale de chemin de fer du Congo (SNCC). 

Cadre de Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, Michel Katebe Ngoy a été porté par le collectif des députés provinciaux de l'Union sacrée (43 sur 44), eux qui ont même déposé sa candidature.

José MUKENDI

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

Derniers Articles