Le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi a visité dans la soirée de ce mercredi 2 février le lieu du drame à Matadi Kibala (commune de Mont Ngafula, à l'ouest de la capitale) où 26 personnes ont péri dans la matinée à la suite de la coupure d’une conduite haute tension de la SNEL.

Accompagné du gouverneur de Kinshasa Gentiny Ngobila, le Président de la République a fait un amer constat :

Les corps des victimes, 24 femmes et 2 hommes, ont été levés dans la journée et déposés à la morgue de l'hôpital général de Kinshasa (ex-Mama Yemo). La plupart étaient des vendeuses de produits de première nécessité dans un marché local.

Très affecté, le Chef de l'Etat a décidé de la prise en charge par l'Etat congolais des frais funéraires des victimes de l’accident du marché de Matadi Kibala. Il a par la même occasion instruit le gouverneur de la ville de Kinshasa d'accélérer le processus de délocalisation de ce marché, rapporte la Présidence.

Le drame semble survenu à la suite d'une coupure des câbles électriques haute tension.

Le Chef de l'Etat a obtenu des plus amples explications techniques des équipes de la SNEL présentes sur lieu qui ont confirmé cette thèse. Il a exprimé sa compassion et son soutien aux victimes et à leurs proches.

Le compte twitter de la Présidence rappelle que cette problématique du marché de Matadi Kibala avait fait l'objet d'une communication présidentielle au cours de la réunion du conseil des ministres du 7 janvier dernier.

En effet, s'adressant aux membres du gouvernement, le président de la république déclarait :

« dans ma vision de modernisation des infrastructures et de l’urbanisation de nos grandes villes qui doivent intégrer la forte croissance démographique actuelle et prévisible à moyen terme, j’attire l’attention du Gouvernement sur la problématique du positionnement actuel du marché de Matadi Kibala ».

Clément Muamba/radiookapi.net/CC

 



Les Lions de la Teranga se sont qualifiés pour leur troisième finale de la CAN après avoir défait le Burkina Faso mercredi (3-1).

Après une première période poussive au stade Ahmadou-Ahidjo, à Yaoundé (Cameroun), mercredi 2 février, le Sénégal a ouvert le score à la 71e minute sur un corner obtenu par Ismaila Sarr et réceptionné par Kalidou Koulibaly qui a trouvé Abdou Diallo pour offrir le premier but au Sénégal.

Quelques minutes plus tard, les Lions de Tarenga ont confirmé leur bonne lecture du jeu. Bamba Dieng déborde sur le côté gauche et permet aux Lions de Teranga de s’envoler au score. Seul Ibrahim Blati Toure est parvenu à casser la dynamique sénégalaise en marquant du tibia droit à la 82e minute. De quoi redonner espoir au Burkina Faso. Espoir très vite douché par Sadio Mané, qui asssure une contre-attaque éclair et conclue par un tir piqué par-dessus le gardien (3-1).

Franceinfo/CC



Le Président de la République Félix Tshisekedi a dévoilé, ce mardi 1er février 2022, le monument de l'ancien Premier ministre Étienne Tshisekedi à son Mausolé situé à N'sele (Kinshasa). Cette cérémonie est intervenue à l'occasion de la célébration du 5ème anniversaire d'Etienne Tshisekedi organisée par la Maison civile du chef de l'État.

 

" Pour moi, la première raison de cette motivation, c'est qu'il est bon de sacrifier sa vie pour les autres. C'est une motivation très importante dans la mesure où ce Monsieur là, cette icône là représentée par ce monument sera ineffaçable dans la mémoire du peuple congolais et du peuple africain. Nous qui avons bénéficié de son combat, moins le premier fruit après quatre décennies de son combat, nous avons le devoir de le pérenniser notamment par l'érection d'un monument tel que vous le voyez là ", a expliqué Dr Bruno Miteyo, Chef de la Maison civile du chef de l'État.

D'une dimension de 8.50 m de hauteur et 2,50 m de largeur pesant 2 tonnes, le monument d'Etienne Tshisekedi est partie d'une initiative du musicien Gospel Mike Kalambay. C'est un assemblage d'aciers et de résine sur une base des tôles strelis, une couche de zinc et patine celiosic pour la protection de l'œuvre contre les intempéries et pour une longue durée de vie avec entretien périodique. L'œuvre est une conception du promoteur d'Arts, Oscar Manikunda.

Auguy Mudiayi



Le gouvernement belge a approuvé en première lecture vendredi 28 janvier l’avant-projet de loi reconnaissant le caractère aliénable des biens liés au passé colonial de l’État belge et déterminant un cadre juridique pour leur restitution et leur retour. Un autre texte a été également validé, toujours en première lecture. C’est le projet d’accord bilatéral de coopération scientifique et culturelle entre la République démocratique du Congo et le Royaume de Belgique en vue de la reconstitution du patrimoine culturel congolais par la restitution et le retour des biens liés à leur passé commun. Ces documents fixent le cadre juridique et définit clairement l’approche belge. Ces textes ont été proposés par le Premier ministre Alexander De Croo et le secrétaire d'Etat à la Politique scientifique.

La prochaine étape sera consacrées aux échanges avec les autorités de la RDC. Le Secrétaire d’État à la Politique scientifique Thomas Dermine, la Vice-Première Ministre et Ministre des Affaires étrangères Sophie Wilmès et la Ministre de la Coopération au Développement Meryame Kitir ont été chargés de discuter le projet d’accord de coopération avec les autorités congolaises.

Avant leur adoption, ils doivent recevoir l’approbation du Conseil d’État.

« Depuis ma prise de fonction, j’ai beaucoup travaillé sur ce dossier concernant la reconstitution du patrimoine culturel congolais. Aujourd’hui, c’est une étape très importante qui a été franchie. Nous nous réjouissons avec mes collègues du Gouvernement de pouvoir intensifier le dialogue bilatéral avec les autorités congolaises sur ce sujet important dans les prochains mois », conclut le Secrétaire d’Etat Thomas Dermine.

L’action belge s’appuie également sur un travail de réflexion et d’analyse lancé à travers notamment la Commission spéciale « chargée d’examiner l’état indépendant du Congo (1885-1908) et le passé colonial de la Belgique au Congo (1908-1960), au Rwanda et au Burundi (1919-1962), ses conséquences et les suites qu’il convient d’y réserver ».

Des milliers d’objets (œuvres d’art, objets de tradition, armes, drapeaux, etc.) congolais sont encore présents  au Musée royal de l’Afrique centrale, à l’Institut royal des Sciences naturelles, au Musées royaux d’Art et d’Histoire, etc.

actualite.cd/CC



La culture congolaise a perdu un des siens dans la soirée de ce lundi 31 janvier. Le professeur Bienvenu Sene Mongaba est décédé des suites d’une crise cardiaque, affirment plusieurs sources fiables.

M. Sene Mongaba était le fondateur de la maison d’édition Mabiki, laquelle met un accent particulier dans l’édition des ouvrages en langues congolaises. Il était aussi numéro un d’une école, située dans la commune de Kimbanseke, qui dispense des enseignements bilingues (en Lingala et français).

CC



Deux artistes visuelles se rencontrent le 5 février prochain au centre culturel Aw’art, pour échanger et exposer autour du thème « l’expression féminine dans l’art visuel ». Nyota Mihaline est peintre et sculptrice, et Judith Kaluaji est peintre et bédéiste ; toutes deux étudiantes à l’académie des beaux-arts de Kinshasa.

L’exposition qui se tiendra pendant environ 2h, débutera aux alentours de 14h. C’est aussi une manière de promouvoir les femmes artistes évoluant dans le secteur de l'art visuel. Elle se tiendra dans le cadre des activités du Salon International des Arts visuels de Kinshasa (Siavkin).

actualite.cd/CC


Né le 14 décembre 1932, Étienne Tshisekedi wa Mulumba est mort le 1er février 2017 d'une embolie pulmonaire, à Bruxelles. Ancien Premier ministre (premier commissaire d’État), ancien candidat à la présidentielle, le Président de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) a marqué l’histoire politique de son pays jusqu’à sa mort.

Même le processus de rapatriement de sa dépouille avait marqué la scène politique dans le contexte de pression des opposants et des acteurs de la société civile sur le pouvoir de Joseph Kabila. 

Son corps restera pendant deux ans conservé dans un funérarium près de Bruxelles en attendant une attente entre famille, UDPS et pouvoir en place. Finalement, c’est le 30 mai 2019, soit près de quatre mois après l’accession au pouvoir de son fils Félix Tshisekedi que la dépouille arrivera à Kinshasa.

actualite.cd/CC



Le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi a, ce lundi 31 janvier 2022, lancé les travaux de construction du premier port en eaux profondes de la RDC, en présence notamment des membres du gouvernement Sama, du Chairman du leader mondial en solutions logistiques DP WORLD et du ministre d’Etat Emirati.

La pose de la première pierre par le chef de l'État est intervenue après les discours du ministre des Transports, de la ministre d’Etat du Portefeuille, du gouverneur a.i du Kongo Central,  du ministère d'Etat des Emirats Arabes et celui du chairman de la société DP WORLD.

Dans son mot, le représentant du DP WORLD a défini les objectifs de ce mega projet de 1.2 milliard de dollars américains, celui de faire de la RDC « une force commerciale importante » capable d’accueillir de gros bateaux. 

« Nos objectifs consistent à réduire les coûts et le temps et accélérer le commerce et développer le port de Banana. Nous aiderons à faire accroître l’économie locale et régionale ainsi qu’internationale. Et de permettre à la RDC devenir une force commerciale important », a-t-il déclaré.

Le patron de DP WORLD a souligné que l’érection de ce port est un de plus importants investissements que fait sa firme en RDC. 

« Cet investissement est un des investissements le plus important fait par DP World en Afrique. Ils ont  une preuve de notre confiance, de notre croyance en ce projet énorme pour le pays. C’est pour ceci que nous considérons ce projet comme un investissement à très long terme. C’est un partenariat stratégique avec la RDC », a-t-il martelé.

Il a rassuré sur les retombées économiques et sociales envers les populations locales et la RDC en général.

« Le port de Banana deviendra un port de classe internationale, un port moderne, un port efficace qui va permettre de développer l’économie. Cela permettra d’apporter de la prospérité et un futur commercial aux communautés du Kongo Central et du pays. Nous y dédierons toute notre expertise pour construire le port, créer des corridors nécessaires, développer la technologie nécessaire et développer le port de manière générale grâce à l’expérience que nous avons acquise depuis au moins 20 ans en Afrique. Cela permettra de développer un port en eaux profondes et avec de 18 mètres de profondeur qui sera Capable d’accueillir les bateaux les plus larges », a-t-il renchéri.

Le port pourrait s’agrandir au fur et à mesure que les besoins s’accroissent, a-t-il fait savoir.

« Techniquement, le projet et le terminal à venir pourront accueillir les bateaux les plus larges et auront une capacité d’accueil des conteneurs suffisante. Ce sera un port moderne qui pourra permettre de développer aujourd’hui et dans le futur les besoins du pays. A mesure que le commerce et la demande pourraient s’accroître, le port pourrait être prolongé. Le port de Banana sera une nouvelle porte d’accès au continent africain et attirera les bateaux les plus larges venant d’Asie et d’Europe. Cela renforcera le pays et donnera accès aux marchés internationaux et lui permettre également de pouvoir accroître ses capacités d’export », a-t-il rassuré.

Le port est respectueux de l’environnement et offre des opportunités aux opérateurs économiques, d’après le chairman de DP WORLD.

« Le port de Banana pourra directement et indirectement des emplois et attirera nous l’espérons des investissements étrangers à la fois dans la région et dans le pays. Cela fournira des opportunités de commerce et de développement dans la logistique. Le port pourra se développer dans les standards internationaux et il protégera L’environnement et la sécurité des employés », soutient-il.

Selon le ministre d’Etat Emirati, le projet de port de Banana est le testament de bonnes relations économiques entre la RDC et les Émirats Arabes Unis (E.A.U.). D’après lui, En 2021, les échanges commerciaux entre les deux pays ont 1.4 milliards $. Une hausse de 34% par rapport à 2020, affirme-t-il. Ce qui place la RDC parmi les partenaires importants des EAU en Afrique. Ce projet a-t-il dit est soutenu par son Royaume, qui d’ailleurs est prêt à financer d’autres projets . 

« La cérémonie d’aujourd’hui pour le port de Banana qui va être le premier port en eau profonde de la RDC est un testament des relations économiques importantes entre nos deux pays. Le port qui va être développé en partenariat avec DP WORLD va implémenter des réductions des coûts et une accélération du commerce extérieur de la RDC ainsi que ses exports…. Je suis persuadé que ce projet va apporter des bénéfices majeurs pour la RDC, ses citoyens, et la région.  Le port va créer un corridor de commerce dynamique qui va permettre aux PME de s’épanouir et de se développer », s’est-il félicité.

Le ministre des Transports, Voies de communication et de Désenclavement, Chérubin Okende, a affirmé que ces travaux ainsi lancés vont se clôturer en 2025. A l'en croire, ce port contribuera au désenclavement du pays.

"Le port de Banana permettra au pays de disposer d'une porte de sortie maritime en eaux profondes pour recevoir les grands navires. Sur le plan national, il va assurément engendré le développement d'une zone industrielle et logistique, ainsi que la création des emplois directs et indirects pour de nombreux compatriotes. Sur le plan international, c'est une réponse à l'impératif de se connecter aux voies commerciales mondiales et d'avoir accès à un large éventail de marchés tout en réduisant notre dépendance vis-à-vis des ports des pays voisins", a-t-il déclaré.

A l'en croire, la première phase de ces travaux prévoit la construction d'un quai de 600 mètres et d'une plateforme de stockage de 25 hectares permettant l'accostage des grands porte-conteneurs, soit une capacité annuelle de 322.000 conteneurs et de plus de 1,2 million de tonnes de marchandises.

Prenant la parole, la ministre du Portefeuille Adèle Kayinda a salué le leadership du président Felix Tshisekedi qui, a-t-elle indiqué, a permis la matérialisation de ce projet.

"Le coût de ce projet structurant est estimé à 1,2 milliard de dollars américains sur lesquels la première phase coûtera 350 millions USD. C'est ici que nous exporterons nos minérais, des hydrocarbures, mais aussi la production agricole de notre arrière pays. C'est encore autour de ce futur port de Banana que se construiront des industries de transformation. Le port de Banana est un maillon essentiel de la politique de l'émergence économique qui fera de la RDC", a-t-elle déclaré avant d'appeler les Ne Kongo à s'approprier ce projet.

Dans son intervention, le gouverneur a.i du Kongo Central a affirmé que la construction du port en eaux profondes de Banana vient renforcer la souveraineté de l'Etat congolais. Il a salué la matérialisation de ce projet qui, a-t-il indiqué, resorbera le problème d'électrification que connaît cette ville.

Justin Luemba a profité de cette occasion pour faire part au président de la République des problèmes d'érosion qui menacent actuellement la ville de Moanda.

40 ans après, le Projet du port en eaux profondes prend corps. C’est une convention révisée en 2021 grâce à Félix Tshisekedi qui sert de support à l’érection de ce projet conçu en 1972. 

Orly-Darel Ngiambukulu



La province du Haut Katanga compte encore plusieurs foyers de lèpre dans différentes zones de santé, selon le ministre provincial de la santé, Joseph Sambi Bulanda qui l’affirmé dimanche 30 janvier, à l’occasion de la journée internationale de lutte contre la lèpre.

« D’importants foyers de transmission de la lèpre persistent notamment dans les zones de santé de Kafubu Mitwaba Mufunga Sampwe, Kilwa, Pweto, Sakania, Lukafu, Kapolowe, Lukafu, Kapolowe, Kasenga et Kashobwe. Les zones de santés urbaines de Lubumbashi et de Likasi ne sont pas épargnées », a déclaré, Joseph Sambi Bulanda.

Il a invité toute la population à bannir la stigmatisation et la discrimination de ceux qui souffrent de cette maladie.  Il sollicite notamment la mobilisation de toute la communauté pour le dépistage et le traitement précoce de la lèpre afin d’éviter le pire de ses conséquences dont l’infirmité.

« Notre pays s’est engagé dans la vision de la stratégie mondiale de lutte contre la lèpre pour la période 2021-2030 vers zéro lèpre accès sur l’interruption des chaines de transmission de la maladie, sur les questions d’équité et de justice sociale mettant l’accent sur l’inclusion des personnes atteintes de lèpre, la réduction de la stigmatisation et de la discrimination. A cette occasion, j’invite l’ensemble de notre population à prendre conscience de l’existence de cette maladie invalidante au sein de nos communautés », a renchérit le ministre de la santé de la province du Haut-Katanga.

radiookapi.net/CC



Les travaux des états généraux de la communication et des médias se sont clôturés samedi 29 janvier dernier. Il ressort de ces assises 80 résolutions et recommandations adoptées à l'unanimité par la plénière en vue d'assainir l'environnement médiatique et lui faire jouer son rôle social.

Pour le ministre de la Communication et des médias, Patrick Muyaya, la pertinence des recommandations issues de ces travaux sont la preuve que ces états généraux n’ont pas été des assises de plus encore moins de trop. Il fait savoir qu’il est primordial que l’organe chargé de la mise en œuvre du suivi et de l’évaluation de différentes recommandations intervienne dans un bref délai afin que ces résolutions soient très rapidement mises en application.

« Ce happy-end, comme disent les Anglais, ne saurait être, cependant, une fin en soi. Elle laisse plutôt la place au véritable challenge. Celui de l’après états généraux. Car, vos recommandations n’ont pas vocation à être rangées dans les tiroirs de mon ministère ou à être conservées dans vos flash disk. C’est pourquoi, il me paraît primordial que la mise en place de l’organe chargé de la mise en œuvre du suivi et de l’évaluation de différentes recommandations  intervienne dans un bref délai. La RDC a trop longtemps souffert du déficit d’information et de communication ainsi que du brouillage de son image à l’international pour que l’on traîne les pieds quant à l’application des résolutions du Centre Catholique Nganda », a déclaré Patrick Muyaya dans son discours de clôture devant les chevaliers de la plume et du micro, et plusieurs autres personnalités.

Il a affirmé que le nouveau narratif sur la RDC passe forcément par une politique nationale de communication claire, efficiente et par-dessus tout, efficace.

« Qui veut aller loin ménage sa monture, dit-on. Avec la pile de recommandations  qui vont des réformes du cadre légal à la définition de la politique nationale de communication en passant par la viabilité économique des médias, vous avez tous les outils du redémarrage de votre secteur à l’ère du numérique entre vos mains. D’ores et déjà, vous pouvez compter sur le gouvernement que dirige Son excellence le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde pour le nécessaire  assainissement du paysage communicationnel congolais. On peut donc tout nous reprocher, sauf notre volonté de faire différemment ! », a-t-il ajouté.

Les travaux des états généraux de la communication et des médias ont eu pour thème : « les médias congolais : quelles perspectives à l’ère du numérique face aux défis du développement durable ? ».  Il est question, au cours de ces assises de trois jours de dégager des propositions des réformes pertinentes touchant au régime juridique des médias en général et de la presse en ligne en particulier, au statut du journaliste, à la dépénalisation des délits de presse qui pourra être précédée d’un moratoire dont les modalités d’encadrement feront l’objet d’une concertation entre le gouvernement et les organisations professionnelles, à la modernisation des médias publics, et aux défis de la presse congolaise.

Clément Muamba

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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