Augustin Kabuya a, lors de la matinée politique tenue ce mercredi 22 décembre 2021 au siège de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) dans la commune de Limete à Kinshasa, fustigé l'attitude de ceux qui parlent d'un retour de Joseph Kabila à la tête de la République démocratique du Congo. 

Pour le secrétaire général de l'UDPS, la place de Joseph Kabila n'est plus à la tête du pays. Augustin Kabuya ajoute que ceux qui ont des telles pensées n'aiment pas Joseph Kabila dont, a-t-il dit, la place est à la Cour Pénale Internationale (CPI) ou à la prison de Makala.

« Ceux qui pensent au retour de Joseph Kabila au pouvoir ne l'aiment pas. Il lui cherche des problèmes inutilement. Qu'ils sachent que la place de Joseph Kabila n'est plus à la tête du pays. Si ce n'est pas à la CPI c'est à Makala qu'il [Kabila ndlr] doit partir. Comme ils disent que les prix des denrées alimentaires ont connu une montée vertigineuse sous Tshisekedi, peuvent-ils comparer aussi la situation des droits de l'homme sous Fatshi-béton et celle de Joseph Kabila caractérisée par des crimes d'État et des fosses communes? », a déclaré Augustin Kabuya. 

Parlant des élections de 2023, Augustin Kabuya a affirmé qu'elles seront remportées par le président de la République Félix Tshisekedi et l'UDPS. Il a, dans le même registre, rassuré que le parti présidentiel a un discours à tenir devant la population en 2023.

Jephté Kitsita



Le procès en flagrance sur la torture ayant entrainé la mort d’Olivier Mpunga Tshimanga poursuit son cours normal ce mercredi devant la Cour Militaire de Kinshasa. Pour ce qui est de la deuxième audience, elle s’est focalisée sur l’audition des renseignants, le Général Awashango Vital, Directeur national des renseignements généraux de la Police nationale congolaise, du Commissaire supérieur principal Gerry Bokomo, Chef de département des renseignements généraux ainsi que le Commissaire supérieur adjoint  Nseya chargé de réception des courriers ainsi que la poursuite de l’audition des prévenus.

         Après leur audition, une constance s’est dégagée. Acheminé physiquement par Ikamba le soir du 16 décembre au sein des installations des services spéciaux de la police, la plainte contre Olivier Mpunga Tshimanga n’ a été déposée que  le vendredi 17 décembre 2021 après 8 heures du matin par l’OPJ Crispin Nzita à la réception. Et pendant l’enregistrement de ladite plainte, le suspect contre qui l’on avait retenu la prévention de vol simple avait déjà trouvé la mort. Phénomène qui a suscité l’attention particulière du ministère public. Voulant en savoir plus, l’organe de la loi ainsi que la Cour ont noté de la part de l’OPJ Crispin Nzita que cet enregistrement d’une plainte contre un mort n’était fait que par formalité administrative. Pour ce qui est du rapport fait par la police scientifique et lu par l’organe de la loi,  il ne s’agit pas d’un suicide, mais ce serait une mort provoquée par la torture. Car, aucune trace du suicide n’était relevée. La victime avait sa langue normale et n’avait pas des matières fécale dans ses vêtements.

         Autre chose qui a suscité une grande curiosité a été le fait que le procès-verbal d’audition d’Olivier Mpunga n’a pas été signé non seulement par le prévenu mais également par l’OPJ instructeur. Selon ce dernier, l’absence de sa signature était due au fait qu’il faisait déjà presque minuit. Comme le dossier devrait se poursuivre le lendemain, il envisageait d’apposer sa signature à la fin de la procédure. Mais déjà, son nom, qui y est mentionné, est une preuve qui crédibilise ce procès-verbal. Autre absence inquiétante : c’est le billet d’écrou qui accompagnait l’incarcération d’Olivier Mpunga dans l’amigo. A cette question, l’OPJ Crispin Nzita a rejeté la balle au chef de poste de l’amigo. Selon lui, le chef de poste, encore introuvable en ce moment, ne pouvait pas recevoir et placer un détenu dans l’amigo sans document. Ce chef de poste reste la personne la mieux indiquée pour dire où se trouverait le billet d’écrou.

Le colonel Mupepe n’a pas exécuté de l'ordre de sa hiérarchie

         Alors qu’il avait reçu l’ordre de la part de son chef, le Général Awashango Vital, directeur national des renseignant généraux de la Police nationale congolaise d’acheminer tous les suspects devant le magistrat, le Commissaire supérieur principal Mupepe a laissé partir en homme libre Ikamba, auteur de la plainte contre Olivier Mpunga, le receleur, etc. Ce qui laisse croire qu’il n’avait pas respecté l’ordre a confirmé à la Cour le Général Awashango lors de sa déposition. Selon lui, c’est le vendredi 17 décembre vers 7 heures qu’il était informé, par téléphone, par le Commissaire supérieur principal Gerry Bokomo, chef de département de renseignements généraux d’un cas de mort dans un des amigos. Et que la personne serait morte par pendaison. Et, c’est comme ça que des consignes précises étaient données au commissaire supérieur Mupepe en sa qualité de chef des opérations. Malheureusement, il a laissé partir certains suspects, bien qu’ils étaient en ce moment là avec lui dans son bureau.

         Aidant la Cour militaire à retracer la scène macabre, le Commissaire supérieur principal Gerry Bokomo ,chef de département de renseignements généraux a confirmé que c’est le vendredi 17 décembre vers 6h15, à son arrivée au bureau, qu’il était informé par le chef de poste. Pendant ce temps, l’OPJ Nzita était dans son bureau. Aussitôt, l’information était donnée à Mupepe en sa qualité de chef des opérations ainsi qu’au Général Awashango. Jetant un coup d’œil sur le rapport de permanence aucune allusion n’était faite à la mort de Olivier a-t-il fait savoir.

          Quant au major Nseya, chargé de la réception des courriers, il a confirmé que c’est le 17 décembre qu’il avait reçu l’OPJ Nzita pour l’enregistrement de  la plainte aux environs de 7h30. Comme observation, il avait mentionné «mort au cachot». A la question de l’organe de la loi tendant à connaitre le nombre des policiers qu’il avait trouvé à son entrée au service, le major Nseya a confirmé qu’il n’y avait personne.

         Au regard des dépositions des renseignants et ses prévenus, il saute aux yeux que la thèse du suicide ne tient pas la route. La Cour militaire attend le rapport d’autopsie pour connaître la cause exact du décès d’Olivier Mpunga.

ves Kadima

 
 


Pourtant non inscrit par le prococole d’État pour prendre la parole, le collectif de gouverneurs des provinces a au cours de l’ouverture de la 8ème session de conférence de chefs d’exécutifs provinciaux, dénoncé en premier lieu des « atteintes répétées et systématiques » portées à leur droit de mouvement par la Direction Générale de Migration. Pour les Gouverneurs, ces actes contribuent à « désacraliser » la fonction de gouvernement.

« Bien que la constitution dans son article 30 et les lois de notre pays garantissent à tous les citoyens le droit de circuler librement sur tout le territoire national, les Gouverneurs des provinces constatent avec amertume depuis quelques mois, des atteintes répétées et systématiques portées à leurs mouvements par des fonctionnaires de la DGM notamment à l’aéroport de N’djili contribuant ainsi à désacraliser et infatiliser la fonction de gouverneur de province aux yeux de la population », disent les Gouverneurs dans leur mémorandum lu devant le Chef de l’État.

Toujours dans leur mémorandum lu par le Gouverneur de la Tshuapa, Pancrace Bongo, le collectif de Gouverneurs prend pour illustration le cas Atou Matubuana qui a été « arrêté, traumatisé, ridiculisé et traîné dans les rues de la capitale ». Un traitement, selon eux, qui s’inscrit au « mépris de l’État de droit » initié par Félix Tshisekedi.

« La dernière illustration en date est l’humiliation subies par le Gouverneur du Kongo-Central, M. Atou Matubuana arrêté, traumatisé, ridiculisé et traîné dans les rues de la capitale par les services de sécurité comme un vulgaire Monsieur. Sans égards et sans aucune considération de son rang social pourtant revêtu de la qualité du Représentant du Chef de l’État en province et ce, au mépris de l’état de droit prôné par votre haute autorité », dénoncent-ils.

À cet effet, ils prient Félix Tshisekedi de « bien vouloir instruire les directions nationales des services concernées de respecter des gouverneurs des provinces ».

Stéphie MUKINZI



En visite au Cameroun, le président de la Confédération africaine de football, Patrice Motsepe, a confirmé, mardi, que la CAN-2022 aurait bien lieu aux dates prévues : du 9 janvier au 6 février. Une annonce qui répond aux notamment aux clubs européens qui appelaient à une annulation en raison du Covid.

La CAF a tenu bon. Le président de la Confédération africaine de football (CAF), Patrice Motsepe, a confirmé, mardi 21 décembre, que la Coupe d'Afrique des nations, prévue du 9 janvier au 6 février, se tiendrait bien à la date prévue au Cameroun, malgré des rumeurs insistantes de report ou d'annulation pour cause de pandémie.

"Le 9 janvier, je viendrai voir (le match d'ouverture) entre le Cameroun et le Burkina Faso", a déclaré devant la presse Patrice Motsepe, après une rencontre avec le chef de l'État camerounais, Paul Biya.

Le variant "Omicron est un énorme challenge", a toutefois souligné Motsepe, qui a assuré que "personne ne sera(it) admis dans les stades sans un test PCR", alors que les organisateurs avaient déjà annoncé l'obligation de vaccin et de test pour accéder aux stades. 

Sommé par la Fifa et Gianni Infantino en personne de reporter ou d'annuler la Coupe d'Afrique des nations, son président s'était déjà voulu rassurant, lundi, lors du premier jour de sa visite au Cameroun.

Romain HOUEIX



La sœur Josée Ngalula, a été nommée le 29 septembre 2021 par le Pape François, au sein de la commission théologique internationale du Vatican. Elle est la première femme africaine a intégré cette structure.

Originaire de la République Démocratique du Congo, Josée Ngalula est enseignante dans plusieurs instituts théologiques sur le continent africain. Elle est notamment professeure à la Faculté de théologie de l’Université Catholique du Congo et à l’Institut œcuménique Al Mowafaqa de Rabat, au Maroc.

D'après le journal Vatican News, la Sœur Josée situe sa nomination dans le cheminement de la formation théologique féminine en Afrique.

"Elle se penche également sur la théologie africaine, spécialement son évolution, avec un accent particulier sur l’ecclésiologie. Sœur Josée Ngalula apporte son analyse de la formation de la femme dans le domaine théologique. De ce fait, elle situe sa nomination dans le cheminement de la formation théologique féminine en Afrique et son engagement au sein de l’œcuménisme comme une spécificité de la congrégation des sœurs de Saint André", fait savoir Vatican News.

J. Ngalula se dit également ouverte pour offrir une formation aux groupes laïcs catholiques de Kinshasa.

« Dans cette dimension, elle affirme que son cœur de théologienne reste ouvert en offrant une formation aux groupes laïcs catholiques de Kinshasa. Ce qui explique aussi son engagement à repenser la théologie africaine en lisant les signes des temps », a ajouté la même source.

Signalons que la commission théologique internationale est un organisme de la curie romaine. Elle est l'une des 6 commissions pontificales. Elle traite des questions théologiques de grande importance.

Elle a été créée par le pape Paul VI le 11 avril 1969. Ses statuts ont été fixés par le motu proprio Tredecim anni iam [2] du pape Jean-Paul II, le 6 août 1982. L'objectif de la Commission est d'aider le Saint-Siège et principalement la Congrégation pour la doctrine de la foi dans l'examen de questions théologiques jugées de grande importance.

Née à Kinshasa le 28 janvier 1960, sœur Josée Ngalula fréquente l’école primaire à Kinshasa, puis le lycée de Kimwenza, toujours dans la capitale congolaise. Elle intègre la congrégation des religieuses de Saint-André où elle prononce ses premiers vœux en 1979 et ses vœux perpétuels le 21 mai 1993. 

Après avoir effectué des études en philosophie entre 1981 et 1983 au grand séminaire de Lubumbashi, elle passe son premier et son deuxième cycle de théologie, de 1984 à 1989 à l’Université catholique de Lyon. Elle obtient ensuite une licence canonique en théologie entre 1989 et 1992.

Roberto Tshahe



La rumba, genre majeur de musique non seulement en République démocratique du Congo mais aussi en Afrique, a été inscrite au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO (Organisation des Nations-Unies pour la science et la culture) depuis le 14 décembre 2021. 

Dans le cadre de la célébration de cet événement, un festival dénommé "Rumba Congo en fête" sera organisé au Palais du peuple de Kinshasa, du 22 au 24 décembre prochain. L'annonce a été faite, ce mardi, au cours d'une conférence de presse tenue dans la capitale de la RD Congo.

Il s'agit d'un événement de trois jours organisé par conjointement par l'Institut national des arts (INA), le Centre Wallonie Bruxelles, le Festival international de la rumba et de l'élégance (FIRE) et qui va réunir sur un seul podium plusieurs artistes de la RD Congo et de la République du Congo. Et ce, avec l'appui du gouvernement Sama Lukonde.

"Pour fêter, nous nous sommes dits que ce serait bien, pour les deux capitales, que nous puissions faire une programmation pas nécessairement commune. Mais plutôt prendre les groupes de la RDC et de la République du Congo. À Kinshasa, comme vous le savez, il y a beaucoup de genres musicaux. Il nous a apparu intéressant de faire de clin d'œil, par exemple, à la Fanfare. Il y a des ballets traditionnels. Nous avons dit que ça valait la peine de tirer les ballets traditionnels. Évidemment, il y a les pionniers, les précurseurs (de la rumba)", a laissé entendre Brain Tshibanda de la Délégation générale de Wallonie Bruxelles.

Pour sa part, le professeur André Yoka, directeur général de l'INA est revenu sur l'inscription de la rumba congolaise au patrimoine culturel immatériel de l'humanité. Il a fait savoir que le dossier porté par la RD Congo et le Congo-Brazzaville était de qualifié de "béton". 

"Et donc, nous nous sommes acharnés à répondre aux critères que l'UNESCO nous avait imposés. Le premier critère : L'UNESCO nous demande est-ce que la rumba est un élément  d'exception, un élément fédérateur, un élément de cohésion sociale et de paix ? Nous avons dit mais bien-sûr. Et d'ailleurs l'histoire de la rumba épouse l'histoire politique et l'histoire politique épouse l'histoire de la rumba. Deuxième question : Est-ce que les communautés nationales se reconnaissent dans la rumba ? Nous avons dit bien-sûr. Qui ne danse pas la rumba ? Troisième question : Est-ce que les communautés scientifiques se reconnaissent dans la rumba ? Et bien-sûr. Depuis une trentaine d'années, au Congo, en Afrique, dans les Amériques, qui n'a pas réfléchi sur la rumba ? Autre question : Est-ce que les États soumissionnaires de la candidature se reconnaissent dans la rumba ? Mais bien-sûr, parce que les candidatures ont été conjointement signées et envoyées par le ministre Moyongo du Congo-Brazzaville et à l'époque, c'est Jean-Marie Lokundji de Kinshasa", a-t-il expliqué.

Au regard de tout cela, le professeur Yoka a affirmé que cet événement mérite d'être fêté "qu'on le veuille ou non". "La rumba est faite comme fête", a conclu ce scientifique.

Prince Mayiro



Le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, Mohindo Nzangi, a fermé au moins 39 universités et instituts supérieurs de la capitale Kinshasa.

D’après la note circulaire du Ministère de l’ESU parvenue à POLITICO.CD mardi 21 décembre, cette décision est consécutive à un audit organisationnel et une l’enquête de viabilité des établissements de I’ESU initié aux mois de juillet et d’août 2021 sur toute l’étendue du  pays.

Les résultats de cette enquête, enrichis par les données recueillies auprès des conférences des chefs d’établissements, ont permis de faire un classement des institutions de I’ESU viables et non viables.

Ces établissements concernés sont du secteur public et privé. Ils ne connaîtront donc pas de rentrée académique en janvier 2022. L’on peut notamment citer l’Institut Supérieur de Gestion/lSG, l’Institut Supérieur d’Etudes Techniques (ISET) de Maluku, l’American University of Kin «AUK», l’Institut du Pétrole et du Ga/ IPG, Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM) Révérend Bokundoa.

Mohindo Nzangi encourage les étudiants inscrits régulièrement dans les établissements fermés sont à prendre l’inscription dans les établissements viables de leur
choix. Il précise cependant qu’ils seront soumis à un test de classement pour intégrer les classes
montante.

Dominique Malala

 



Des sources judiciaires renseignent que le Secrétaire Permanent Adjoint du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD), a été acheminé, dans la matinée de ce mardi 21 décembre 2021, à la prison centrale de Makala, et ce, après avoir passé la nuit au cachot du Parquet Général de Kinshasa Gombe.

Ferdinand Kambere, apprend-t-on, était allé à la justice pour porter plainte contre Ardent Kabambi, un communicateur du PPRD, qu’il aurait frappé à l’aide d’une bouteille au front. À la suite de cela, il a été arrêté en raison d’une autre plainte déposée le samedi 18 décembre contre lui par Ardent Kabambi.

En effet, dans une vidéo qui a circulé sur la toile, Ardent Kabambi dit avoir été blessé par Ferdinand Kambere, SPA du parti de Joseph Kabila. « Il a pris une bouteille et il m’a frappé », avait-il alerté.

Ardent Kabambi fait partie des jeunes du PPRD, qui s’opposent au Comité dirigé par Emmanuel Shadary et dont Ferdinand Kambere fait partie.

Christian Okende



L'artiste musicien, Fabregas et son groupe musical "Villanova" ont regagné Kinshasa, dans la soirée du dimanche 19 décembre 2021, après avoir passé près de trois en France.

Le chanteur congolais et son orchestre ont livré un concert, le 11 décembre à Lyon, puis un showcase, le vendredi 17 décembre à Paris.

Arrivés dans l'hexagone le mercredi 01 décembre dernier, plusieurs membres de Villanova ont pris fuite au lendemain de la prestation scénique de Lyon.

Fabregas rentre dans capitale congolaise avec quelques cadres du mouvement, parmi lesquels l'animateur Chomy, et les danseuses Merveille ya Mado et Brenda.

Lors de son passage au vieux continent, celui qu'on appelle affectueusement "Maestro" s'est produit en playback, le samedi 04 décembre à Stockholm en Suède.

Il sied de rappeler que, Fabregas et ses poulains devraient livrer une prestation scénique, en janvier prochain, à Londres, en Grande-Bretagne.

Gratis Makabi



L'artiste musicien, Héritier Wata va larguer, ce mercredi 22 décembre 2021, son nouveau single "Wosso" sur toutes les plateformes de téléchargement musical.

D'après le service de communication du patron de la team wata, l'audio sera disponible à minuit et le clip à 18h00, heure de Kinshasa.

Quatre jours après la sortie de ce morceau, l'ancien sociétaire du groupe musical Wenge Musica Maison Mère va livrer, un méga concert dénommé "le jour des anges et des hommes", à la Foire Internationale de Kinshasa (FIKIN), de 15h00 à 20h00. 
Le frais de participation à ce spectacle est fixé à 5.000 francs congolais.

Àgé de 39 ans, Héritier Watanabe va prester devant des milliers de personnes, une année après la sortie de son dernier opus "Mi-ange Mi-démon", largué, le 18 décembre 2020.

Les mélomanes de celui qu'on appelle affectueusement "La pulga" viendront déguster les différents morceaux contenus  dans cet opus qui cartonnent depuis plusieurs mois, au nombre desquels, Désolé; Rachœur; et Gombe na Gombe, la liste n'est pas exhaustive.

Héritier Wata compte à son actif deux albums depuis son départ de Wenge Musica Maison Mère de Werrason, en 2015. Son tout premier longplaying, "Retira" est sorti en novembre 2016. Dans cet opus, l'on retrouve des belles mélodies, telles que BM; D de D; Tout en noir; et  Abeti faux et bien d'autres titres.

Gratis Makabi

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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