Biographie du Général de Brigade Eddy KAPEND YRUNG

Né le 25/12/1964

Études :
- Licence en philosophie des sciences, études supérieures en logique mathématique, agrégé d'enseignement secondaire, études de droit (non accompli);
- École d'infanterie Tigre (Angola), Centre d'Instruction Kasapa, Centre Supérieur Militaire BEM, Académie de BURNO, Études des questions stratégiques en Défense en République TCHÈQUE, École de guerre KIM IL SUNG, Académie Militaire ABDER NASSER (Égypte);

Fonctions :
- S2 6e Bn Tigre ;
- Officier de liaison 1ère Région Militaire ;
- Cmd 2e Bn/21Bde d'infanterie ;
- Cmd 3e Bn AFDL ;
- Cmd 11e Bn Kikwit ;
- S2 Adj 50e Brigade Kinshasa ;
- Cmd 2nd CDTR-EMG ;
- Aide de camp et Chef d'Etat Major Particulier (Maison Militaire) du Chef de l'État ;
- Cmd 22ème Région Militaire

Analyse :

Avec cette nomination, Tshisekedi se révèle un grand stratège.

Il fait de la nomination d'EDDY KAPEND , d'une pierre trois coups:

1. TSHISEKEDI est entrain de purifier en douceur  l'armée Congolaise des infiltrés Rwandais.

Retenons que l'ancien colonel Eddy KAPEND  remplace à  ce poste un sujet infiltré Rwandais, impliqué dans l'affaire de vol d'un camion des minerais (cathode) au Katanga ;

2. Felix TSHISEKEDI, par cette nomination, lance un message très fort au GÉNÉRAL-CIVIL John NUMBI,qui croyait faire du KATANGA sa base arrière ;

3. Felix TSHISEKEDI sait très bien que Joseph KABILA qui a fuit KINGAKATI pour se réfugier à KASAMATA se verra enclaver dans un territoire administré militairement par le général EDDY KAPEND. En d'autres termes, l'ancien président Joseph KABILA se trouve dans une prison à ciel-ouvert dont il ne va plus respirer !

Conclusion :

Il faudra être Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO pour opérer un tel choix en cette période où les ennemis de la paix étaient entrain de préparer un chao avant et après les élections.

Merci FATSHI pour la clairvoyance.


Me Auguy KUPITSHIK



Félix Tshisekedi a appelé le gouvernement à évaluer la situation sécuritaire dans les territoires de Masisi, Rutshuru et Kwamouth. Il souhaite ainsi déterminer la faisabilité d'organiser des élections dans ces régions.

Au cours d'une réunion du conseil des ministres tenue vendredi dernier, le Président a noté un apaisement significatif de la situation sécuritaire à Kwamouth et la libération progressive des territoires de Masisi et Rutshuru, autrefois sous l'emprise du groupe rebelle M23 soutenu par le Rwanda. Cette évolution l'a amené à exiger que le gouvernement et la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) évaluent la situation et prennent des mesures pour garantir la sécurité des électeurs dans ces régions.

Le Président a donné des instructions spécifiques au Vice-Premier Ministre, Ministre de l'Intérieur, de la Sécurité et des Affaires Coutumières, pour le déploiement et le renforcement de la Police Nationale Congolaise à Kwamouth. De plus, en collaboration avec le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Défense et Anciens Combattants, il devra superviser le retour des populations déplacées dans les zones récemment libérées de Rutshuru et Masisi.

Le gouvernement doit également sécuriser les opérations de la CENI dans ces régions, notamment l'ouverture des centres d'inscription pour l'enrôlement de la population et la convocation du corps électoral pour les élections générales.

En septembre, la CENI avait déjà exprimé son souhait de disposer de garanties sécuritaires de la part du gouvernement pour lancer les opérations d'identification et d'enrôlement des électeurs dans ces territoires. La centrale électorale assure qu'elle est prête techniquement à réaliser les opérations, mais la sécurisation des zones reste un obstacle majeur. 

Le mois d'octobre est une période charnière pour ces opérations. En cas d'une absence d'amélioration sécuritaire, il sera difficile de recenser les populations de ces régions pour les élections à venir, prévues en décembre 2023. Le déroulement de ces élections dépendra largement des développements futurs en termes de sécurité.

actualite.cd/CC



Le pasteur congolais Joseph Mukungubila en exil et ses adeptes voient leurs lourdes peines annulées, pour leurs attaques en 2013 dans plusieurs villes du pays, après la suspension par le président Félix Tshisekedi des arrêts de la justice militaire à l’encontre de cet ancien candidat à la présidentielle et farouche opposant à Joseph Kabila.

Les jugements n’ont pas été revus, ni cassés par la haute cour militaire, mais suspendus par une ordonnance du président. Condamné à mort par contumace en 2015, une peine confirmée en appel en juin dernier, le pasteur congolais Joseph Mukungubila bénéficie avec ses adeptes d'un acte politique à deux mois des élections générales.

Exilé en Afrique du Sud, Joseph Mukungubila avait été condamné à mort, après avoir été considéré comme instigateur des attaques qui avaient fait plusieurs dizaines de morts dans les villes de Kinshasa, Lubumbashi et Kolwezi au 30 décembre 2013. De lourdes peines de prison avaient également été prononcées à l’endroit d’une trentaine de ses adeptes. Leur avocat Guy Mbuya espère qu'ils seront libérés après des formalités administratives.

Cette décrispation, selon ce dernier, est la suite des accords de la Saint-Sylvestre, conclus en 2017 entre le gouvernement et l’opposition sous la présidence de Joseph Kabila. Mais leur application était sélective : « Il est l’unique compatriote qui était resté en exil, tout le monde était rentré. Dans les accords de la Saint-Sylvestre par apport à la décrispation, c’était le général Munene, après c’était le prophète Joseph Mukungumbila, résume Guy Mbuya. La première des choses, l’ordonnance a été lue avant qu’on ne parle de celui qui est en exil, voyons d’abord la libération de ceux qui sont à Ndolo ».

Dans les milieux politiques, on considère que cette décision a été prise à des fins électorales, notamment pour la région du Katanga, fief de Joseph Mukungubila, connu pour ses diatribes contre le Rwanda. La région est aussi fief de l’ancien président Joseph Kabila et l’opposant Moïse Katumbi.

RFI/CC



La Cour constitutionnelle a été saisie, ce samedi 21 octobre, d’une requête de M. Junior Tshivuadi tendant à obtenir l’invalidation de la candidature de Moïse Katumbi.

D’après la fameuse requête lue par nouveaumedia.cd, le requérant veut l’annulation de la candidature de Katumbi pour notamment « défaut de nationalité congolaise d’origine ».

D’après Junior Tshivuadi, « La Cour constitutionnelle doit rejeter la candidature présidentielle de ce dernier et le retourner devant le parquet général près la cour d’appel du haut Katanga pour la continuité de la procédure pénale (tautologie avec la requête du 10 août et 23 août 2023) ».

En effet, l’auteur de la requête accuse Moïse Katumbi de corruption, détournements des mains d’œuvres, falsification des contrats des travailleurs, usages des faux, des numéros d’immatriculation, des dates d’engagement, au faux en écritures, à la banque route, à la participation de l’exploitation illégale des ressources congolaises dans le fait de transfert des minerais vers une autre destination…

La candidature de Moïse Katumbi comme celles de tous les autres postulants à la Présidence de la République ont été jugées recevable la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI).

actuRDC/CC



L’artiste JB Mpiana s’est dit satisfait de l’évolution de son album « Balle de match » sur les marchés.

En tournée aux Etats-Unis avec son groupe, Papa chéri a livré une conférence de presse au cours de laquelle il a répondu aux questions sur plusieurs sujets, notamment les phénomènes Combattants et son album « Balle de match », sorti en deux volumes en décembre 2022 et février 2023.

« L’album se comporte bien sur les marchés. On est satisfait », a-t-il répondu aux journalistes.

Rappelons que récemment, JB Mpiana s’était exprimé sur l’affaire de l’obtention des visas pour des personnes en vue des tournées à l’étranger et a déclaré qu’il ne s’occupe plus de ces histoires qu’il a fait à de nombreuses reprises dans sa carrière. Il réagissait aux déclarations de Fally Ipupa qui a affirmé avoir obtenu des visas pour 54 personnes pour l’accompagner dans son concert à U-Arena.
mbote/CC
 


Lors du match décisif entre la RDC et le Soudan comptant pour les qualifications à la CAN 2023, le Président Félix Tshisekedi a posé un geste qui a été loué par le célèbre chanteur congolais Koffi Olomide.

Avant le coup d’envoi, les supporters présents au stade des Martyrs de la Pentecôte ont demandé au chef de l’État de faire un bisou à son épouse, la Première Dame Denise Nyakeru. Le Président s’est exécuté sous les acclamations de la foule

Pour Koffi Olomide, ce geste d’affection envers son épouse avait une portée symbolique forte.

« En embrassant sa femme devant tout le monde, le Président Tshisekedi a embrassé toutes les femmes de la RDC. C’était un beau geste d’amour et de considération envers les congolaises », a déclaré le chanteur au cours d’une émission diffusée à la Radio Télévision Nationale ( RTNC)

Il a souligné que ce type de marque d’attention de la part du dirigeant contribuait à renforcer le sentiment d’unité au sein de la population.

Koffi Olomide s’est par ailleurs interrogé sur les réalisations de l’ancien président de la République, Joseph Kabila concernant son domaine privé de Kingakati dont la construction l’a surpris.
«  Nous avions un président et qu’à ce jour, il possède Kingakati , je parle en tant que d’abord congolais. Des gens qui y vont s’émerveillent et se demandent, s’ils étaient au Canada ou en Suisse. Mais moi je me demande Kingakati a été construit quand et où il a trouvé l’argent pour sa construction », a fait savoir le chanteur.


La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a lancé, vendredi 20 octobre 2023, à Kinshasa, en République démocratique du Congo, la campagne de sensibilisation pour les élections générales du 20 décembre prochain. 

Il est question, selon le président de cette institution d'appui à la démocratie, de préparer les électeurs à jouer pleinement leur rôle, en les informant des opérations de vote et de la conduite à tenir dans le bureau de vote et devant le Dispositif électronique de vote (DEV). 

« À exactement deux mois des scrutins, il est maintenant question de préparer les électeurs à jouer correctement leur rôle le mercredi 20 décembre 2023. Il est temps de former et informer les électeurs et toutes les parties prenantes sur les dispositions légales et règlementaires relatives aux opérations électorales ainsi que sur la conduite à tenir dans un bureau de vote et devant le Dispositif électronique de vote (DEV). L’enjeu étant la mobilisation maximale des électeurs et l’inclusion de toutes les catégories des citoyens pour une participation de qualité », a dit Denis Kadima Kazadi dans son discours.

Par ailleurs, le numéro un de la Centrale électorale a appelé à une sensibilisation maximale des électeurs pour une importante participation citoyenne aux scrutins.

« Je saisis cette occasion pour lancer un appel à la mobilisation des partenaires de la société civile, particulièrement les associations populaires, les confessions religieuses, les organisations féminines et des jeunes, les structures d’encadrement des personnes en situation d’handicap  et des peuples autochtones, les médias et particulièrement les radios communautaires, pour une sensibilisation maximale des électeurs. J’invite les partenaires financiers à apporter un soutien aux organisations de la société civile en vue de leur permettre la sensibilisation des électeurs aussi bien dans les zones urbaines que rurales », a-t-il déclaré. 

Bien avant, le deuxième vice-président de la CENI, Didi Manara, a mis en avant le respect de toutes les étapes du processus électoral que s'est imposée la CENI de son calendrier.

À l'occasion, il a été procédé à une simulation de l'opération de vote à travers le Dispositif électronique de vote pour expliquer à l’assistance son fonctionnement. 

Cette cérémonie a été clôturée par le lancement de la caravane motorisée qui a arpenté les trois grands axes de la ville (Kin-Est, Kin-Centre et Kin-Ouest), pour sensibiliser la population à se préparer pour participer au vote le 20 décembre de l'année en cours.

Prince Mayiro



Fally Ipupa facilite le déplacement de la presse pour son concert à Paris.

Déjà dans les préparatifs bien avancés de son concert événement du 25 novembre à la Paris La Défense Arena, Fally Ipupa vient d’obtenir de nouveaux visas qui devraient faciliter la couverture médiatique de cet événement.

Comme le rapporte Mbote, l’artiste congolais a non seulement reçu 54 visas Schengen de 4 ans pour ses musiciens comme annoncé précédemment, mais il a aussi obtenu 12 visas pour les journalistes et chroniqueurs qui souhaitent suivre ce spectacle.

Ces visas délivrés aux médias permettent aux professionnels de l’information en République Démocratique du Congo de se rendre en Europe afin d’assister au concert dans les meilleures conditions. Ils pourront ainsi couvrir les répétitions, interviews et coulisses de ce show hors normes à venir.

En facilitant le déplacement de la presse musicale congolaise, Fally Ipupa témoigne de son souci de médiatiser au maximum cet événement qui s’annonce comme l’une des plus grandes sorties d’un artiste africain sur le Vieux Continent.

À moins d’un mois du grand rendez-vous, ces nouveaux visas obtenus par la star nourrissent encore davantage l’excitation et l’attente autour de ce concert parisien qui s’annonce déjà historique.

mbote/CC

 

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

Derniers Articles

Newsletter

Rejoignez notre newsletter et recevez des news dans votre boîte de réception. Nous ne vous enverrons pas de spam et nous respectons votre vie privée.