Leader impérial de son groupe malgré la présence de l’Algérie et du Burkina Faso, l’Angola continue l’aventure et valide son billet pour les 1/4 de finale de la CAN. Malgré une rapide réduction à 10 joueurs en raison de l’expulsion de Neblu, le gardien angolais qui prenait le ballon de la main en dehors de sa surface (17e).

Cela n’a pas empêché les Gazelles Noires de s’amuser et de s’imposer 3-0 face à la Namibie avec des buts de Gelson Dala (38e et 42e) mais aussi Mabululu pour clore le score (66e).

Une prestation parfaite pour l’Angola, qui affrontera le vainqueur du match du match Nigéria vs Cameroun en quarts de finale.



Le DCMP a perdu, vendredi 26 janvier, son match contre l’AS VClub par forfait (0-3).

Cette décision émane de la Commission de gestion de la Ligue nationale de football (LINAFOOT) qui suspendait le résultat de ce match remis de la 13è journée qui s’était soldé sur des émeutes au stade Tata Raphael.

Avec cette décision, les Moscovites terminent cette saison avec 34 points alors que les Immaculés ont stagne à 28 points.

Ce derby kinois s’était arrêté à la 36e minute, après que l’AS VClub a eu un penalty boudé par les Imaniens.

Et, les échauffourées avaient empêché l’arbitre de ce match de faire jouer ce penalty et cette rencontre s’était interrompue dans la confusion totale.

Toutefois, le DCMP et l’AS VClub sont tous deux sont qualifiés à la phase de Play Off de la LINAFOOT comme Maniema Union et Dauphins noirs dans le cadre du groupe B.

Tandis que dans le groupe A, les qualifiés sont : FC Luppo, TP. Mazembe, Lubumbashi Sport et Don Bosco.

radiookapi.net/CC

 

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'ancien directeur général de la Régie des Voies Aériennes (RVA), Alphonse Shungu Mahungu, est interdit de quitter la République démocratique du Congo.

C'est ce qu'a confié à 7SUR7.CD ce vendredi 26 janvier 2024, une source proche de la Régie des Voies Aériennes qui a requis l'anonymat. D'après notre source, l'ancien DG, mis de côté depuis le 12 décembre 2023 par ordonnance présidentielle, se sert des réseaux sociaux pour contester ladite ordonnance. 

« Remplacé à la RVA depuis le 12 décembre 2023, par ordonnance présidentielle, l'ancien DG de la RVA Alphonse Shungu passe son temps à se lamenter sur les réseaux sociaux, utilise sa femme qui fût sa secrétaire particulière à la RVA SA, pour prétendre d'abord que ce fût une fausse ordonnance présidentielle, ensuite que c'est le PCA de la RVA qui est derrière cette révocation », fait savoir notre source.

Dans la foulée, elle affirme que l’ancien DG Shungu finance des groupes de femmes prises dans la rue pour tenter de salir le PCA de la RVA au ministère du portefeuille.

À l'en croire, l'ancien directeur général de la Régie des Voies Aériennes est interdit de quitter le pays. Une plainte a été déposée contre lui par la nouvelle équipe dirigeante de la RVA.

« La vérité est que Shungu est interdit de quitter le territoire national. La direction générale de la RVA SA a déposé une plainte contre Shungu auprès du procureur général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, avec copie au procureur général du Parquet près de la Cour de Cassation contre l'un de ses agents influenceurs, pour des faits d'injures publiques, d'imputation dommageable, des faux bruits, d'incitation à la haine ratiale et de rébellion », poursuit notre source.

En outre, Alphonse Shungu a, à en croire toujours notre source, signé un contrat de 300.000$ avec une firme américaine, sans requérir l'avis du conseil d'administration. 

« Alors que Shungu avait sollicité auprès du PCA et obtenu l'autorisation de se rendre en congé de reconstitution en Belgique, l'ancien DG s'y est rendu en réalité avec deux directeurs et sa parsec, et a signé le 23 décembre 2023, sans titre ni pouvoir, un contrat de 300.000$ avec une firme américaine AIREON LLC, sans requérir l'avis du conseil d'administration », révèle notre source.

Saisi quant à ce, le conseil d'administration a mis en place une commission ad hoc en vue de vérifier des contrats de travaux et de fournitures signés récemment par l'ex-DG. 

D'après une autre source proche du conseil d'administration de la RVA, contactée ce jour par notre rédaction, il ressort de cette commission qu'en moins de deux semaines, l'ex DG a signé 9 contrats avec différentes firmes totalisant 62,7 millions $ dans l'illégalité et l'irrégularité totale. 

« En clair, sans requérir l'autorisation du conseil d'administration qui envisage de les annuler », renseigne cette source.

Pour rappel, c'est le 5 juillet 2021 que Shungu Mahungu Alphonse avait été nommé directeur général de la RVA. Il avait remplacé à ce poste Abdallah Bilenge, condamné à 20 ans de prison le 09 janvier de la même année.

Jephté Kitsita



Le chef de service de l’Inspection générale des Finances (IGF), Jules Alingete a annoncé une allocation annuelle de plus ou moins 324 millions de dollars américains pour la construction des routes sur l’étendue de la République démocratique du Congo, grâce au partenariat Sino-congolais.

« Sicomines devra financer les infrastructures en RDC en termes de routes nationales à la hauteur de 7 milliards de dollars américains. Cette somme sera débloquée par tranche de 324 millions de dollars chaque année. Pour l’exercice 2024, le montant est porté à 624 millions de dollars », a révélé le patron de l’IGF précisant que le prix de référence dans les négociations est de 8 mille dollars américains la tonne pour le cuivre.

« Le montant de 324 millions pourra être revu à la hausse lorsque le cuivre monte et légèrement baisser lorsque le cuivre baisse », a indiqué Jules Alingete.

Lors de la cérémonie de son investiture le 20 janvier dernier, le Président Tshisekedi a annoncé avoir trouvé une solution en termes de financement pour la résolution de L’épineuse question relative au désenclavement des territoires.

Il avait annoncé l’affectation prochaine de fonds issus de l’enveloppe obtenue dans le cadre de la renégociation du projet SICOMINES et qui devrait atteindre un montant global de 7 milliards de dollars américains.

L’accord entre la RDC et des entreprises minières chinoises, appelé aussi « contrat du siècle », du cobalt et du cuivre en échange d’investissements dans les infrastructures avait été signé avec la Chine en 2008 par le Président son honoraire, Joseph Kabila. Felix Tshisekedi, au pouvoir depuis 2019, avait estimé que ce contrat ne profite pas suffisamment aux congolais.

Colonisation économique

Un certain 15 février 2023, l’Inspection Générale des Finances (IGF) publie les conclusions finales du rapport d’audit commandé par le Président Félix Tshisekedi sur la convention passée en 2008 entre Gécamines et le Groupement d’entreprises chinoises (GEC), qui a donné lieu à la création de la coentreprise sino-congolaise baptisée la Sino-Congolaise des Mines (SICOMINES). À la suite de cet accord, la Chine est devenue le premier destinataire des exportations minières congolaises.

Dans son rapport, l’Inspection Générale des Finances avait exhorté le gouvernement à renégocier le contrat minier afin « d’ajuster et d’équilibrer » les devoirs et les avantages des deux parties et de les mettre en conformité avec la valeur de leurs contributions respectives. Pour cause, le méga-deal ou même le contrat du siècle « ressources naturelles contre infrastructures » signé avec la Chine en 2008 par l’administration de Kabila n’a pas profité à la RDC.

L’institution dirigée par Jules Alingete Key avait révélé que Sicomines n’a jusqu’ici investi que 822 millions de dollars dans les infrastructures alors que les entreprises chinoises ont déjà engrangé 10 milliards de dollars.

« Les entreprises chinoises ont déjà encaissé un gain évalué à près de 10 milliards de dollars américains, tandis que la République démocratique du Congo n’a bénéficié que de 822 millions de dollars en termes d’infrastructures », avait révélé l’Inspection Générale des Finances dans son rapport.

« Le déséquilibre criant qui a été constaté, le bradage, la dilapidation de nos minerais constatés dans ce contrat a été également l’œuvre de fils égarés de notre pays, qui ont accompagné les entreprises chinoises dans cette œuvre macabre contre notre pays », avait déploré l’IGF tout en exigeant un investissement « immédiat » d’un milliard de dollars par la Sicomines, et un engagement à ce que la main-d’œuvre des projets d’infrastructures soit congolaise à 50 %.

Dans le même rapport, l’IGF avait exigé 17 milliards de dollars d’investissements supplémentaires dans les infrastructures dans le cadre de cet accord en vertu duquel les groupes chinois Sinohydro Corporation et China Railway Engineering Corporation ont accepté de construire des infrastructures (routes, ponts, hôpitaux, fourniture de l’eau potable, etc.) en échange d’une participation de 68 % dans la Société sino-congolaise des mines (Sicomines), une coentreprise spécialisée dans l’exploitation du cuivre et du cobalt avec la société minière publique congolaise Gécamines.

Au moment de sa signature, « le contrat du siècle » , les investisseurs chinois se sont engagés à consacrer 3 milliards de dollars à des projets d’infrastructure, mais l’IGF a demandé que cet engagement soit porté à 20 milliards de dollars, afin de refléter la valeur réelle des concessions minières que la Gécamines a apportées à l’accord.

Les chinois ont gagné beaucoup d’argent au détriment des congolais

Dans une interview lors du Forum économique mondial de Davos, en Suisse, le Président Félix Tshisekedi avait déclaré que les Chinois ont fait beaucoup d’argent et beaucoup de profit grâce à ce contrat ».

« Maintenant, notre besoin est simplement de rééquilibrer les choses de manière à ce que cela devienne gagnant-gagnant », souhaitait-il.

La renégociation du contrat faisait partie d’une campagne du Président pour s’assurer que le pays soit payé pour la pleine valeur de ses ressources, qui sont de plus en plus demandées.

Selon ses propos, l’objectif visé était de consolider et d’élargir davantage la coopération Sino- Congolaise en s’appuyant sur des bases saines garantissant les principes de respect mutuel, d’équité et de transparence, profitable à la fois au peuple congolais et au peuple chinois.

Carmel NDEO



L'artiste musicien Tsaka Kongo vient de tirer sa révérence, ce vendredi 26 janvier 2024, à Kinshasa, capitale de la RDC-République démocratique du Congo-

De son vrai nom Edmond Langu Masima.

Il était initiateur de l'Asbl Artiste en danger. Une structure qui a valablement défendu, jusqu'à la preuve du contraire, les causes des artistes de la RDC tant vivants que décédés.

opinion-info/CC



Gentiny Ngobila de Kinshasa, Bobo Boloko de l'Équateur, César Limbaya de la Mongala, Pancrace Boongo de la Tshuapa, et deux vice-gouverneurs (Tshuapa et Kasaï Central) suspendus pour fraude électorale viennent d'être réhabilités dans leurs fonctions. Cela découle d'un message télégramme du Vice-Premier Ministre, ministre de l'Intérieur, de la Sécurité et des Affaires Coutumières, Peter Kazadi, adressé aux personnes concernées en date du mercredi 25 janvier 2024.

"Suite à vos recours administratifs et requêtes devant la Cour constitutionnelle, vous êtes autorisés à reprendre vos fonctions dans vos provinces respectives en attendant les décisions judiciaires afin de préserver la tranquillité et la paix sociale. Vous devez observer des attitudes de réserve et ne pas faire obstruction à la procédure judiciaire en cours", a écrit Peter Kazadi dans ce message de télégramme.

La Commission Électorale Nationale Indépendante avait publié une liste de plus de 80 candidats députés invalidés pour fraude électorale aux législatives du 20 décembre 2023. Outre la fraude, la CENI leur reproche des actes de vandalisme de matériel électoral, de détention illégale des machines à voter et d'autres griefs.

À Kinshasa, par exemple, l'intérim a été assuré par Gecoco Mulumba, vice-gouverneur de la ville province de Kinshasa. Sa désignation à la tête de la ville coïncide avec des tensions entre les dirigeants de la ville province de Kinshasa au niveau de l'exécutif, tout comme au niveau de l'assemblée provinciale de Kinshasa.

Plusieurs de ces candidats concernés par la décision de la Commission Électorale Nationale Indépendante ont été déboutés au niveau du Conseil d'État. Certains d'entre eux ont saisi la Cour constitutionnelle dans l'espoir d'être réhabilités dans leurs droits.

Clément MUAMBA



La plateforme gouvernement « Union Sacrée pour la Nation » connaît un début de deuxième mandat difficile avec la création du « Pacte pour un Congo Retrouvé » par Vital Kamerhe, Julien Palulu, Tony Kanku Shiku et Jean-Lucien Bussa. D’après les informations recueillies par notre rédaction, l’initiative divise le présidium de la plateforme et rend invivable la vie politique dans cette classe dirigeante.

Les sources concordantes renseignent que Jean Pierre Bemba s’oppose farouchement à l’initiative qu’il qualifie d’une rébellion au sein de l’Union Sacrée. Pour le président du MLC et ministre congolais en charge de la défense, le camp Kamerhe voudrait faire chanter Tshisekedi et son régime afin de s’attirer des profits politiques. Les choses sont loin d’être roses entre les cadres du régime Tshisekedi.

Des sources sous couvert d’anonymat révèlent la colère de Félix Tshisekedi qui ne voudrait plus perdre du temps dans les guerres politiques internes comme à l’époque du mariage FCC -CACH. Le président déterminé à redonner au peuple congolais le fruit de son choix sur sa personne ne voudrait perdre aucune minute dans l’exécution de son projet de société ; et aussi assainir le champ afin de bloquer tous les parasites.

Toutefois, l’initiative de Vital Kamerhe, Julien Palulu, Tony Kanku Shiku et Jean-Lucien Bussa divise l’Union Sacrée. Dans une déclaration ce mercredi 24 janvier dernier, Augustin Kabuya a indiqué voir dans le PCR aucun danger dans la mesure qu’il respecte les prescrits de l’USN.

Actu RDC/CC

 


La Confédération Africaine de Football (CAF) a publié, le jeudi 25 janvier 2025, quelques récompenses à l'issue de la phase de groupes de cette 34e édition de la Coupe d'Afrique des Nations. 

Dans l'équipe type de la CAF, y figure le latéral gauche congolais de Besiktas, Arthur Masuaku qui, selon l'organisateur de la compétition, a été meilleur à son poste. 

Il est le seul joueur congolais à figurer dans cette composition officielle de la CAF, après que toutes les équipes ont disputé trois matchs dans tous les 6 groupes.

Par ailleurs, il est à noter que le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, a été élu coach de cette première étape. De même pour le milieu sénégalais, Lamine Camara qui a été désigné  "meilleur jeune" de cette phase. 

Ci-dessous, le meilleur 11 de la CAF de la phase de groupes 

Gardien 

Jesùs Owono (Guinée équatoriale) 

Défenseurs 

Achraf Hakimi (Maroc) 
Arthur Masuaku (RDC) 
Kalidou Koulibaly (Sénégal) 
Nayef Aguer (Maroc) 

Milieux

Sofiane Amrabat (Maroc) 
Azzedine Ounahi (Maroc) 
Lamine Camara (Sénégal) 

Attaquants

Gelson Dala (Angola) 
Ismaila Sarr (Sénégal) 
Emilio Nsue (Guinée équatoriale) 

Gede Luiz Kupa



Le gouverneur intérimaire de la ville de Kinshasa, Gérard Mulumba a lancé les travaux de réhabilitation de l’avenue Nguma, située dans la commune de Ngaliema.

Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo est confrontée depuis de nombreuses années à un problème majeur : l’état délabrement de ses routes. Parmi les artères les plus touchées se trouvait l’avenue Nguma, longue de 5 kilomètres, qui s’étend de la place de Kitambo Magasin jusqu’à l’entrée du quartier Mbinza Météo dans la commune de Ngaliema.

Cette avenue, laissée à l’abandon, était parsemée de nids-de-poule et les canalisations des eaux de pluie également délabrées, ce qui entraînait d’interminables embouteillages. Malgré le fait que des personnalités influentes ayant auparavant occupé des postes de pouvoir emprunter cette route, aucune action n’avait été entreprise pour remédier à cette situation.

Cependant, depuis sa prise de fonction en tant que gouverneur intérimaire, Gérard Mulumba a décidé de prendre le problème à bras-le-corps.

« C’est ainsi que dès sa prise de fonction comme Gouverneur intérimaire, Gérard Mulumba Kongolo wa Kongolo a décidé de prendre le taureau par les cornes. Et cela à la grande satisfaction de la population qui a souhaité voir ces travaux de réhabilitation des routes existantes s’étendre sur toute l’étendue de la capitale afin de soulager un temps soit peu la circulation routière », indique la dépêche de l’Hôtel de ville.

Sous la supervision des ingénieurs de l’entreprise Aaron Sefu, ces travaux consistent à réparer partiellement la chaussée et les caniveaux endommagés. En plus de la réparation des caniveaux existants, une nouvelle canalisation sera construite pour gérer les fortes précipitations jusqu’à la rivière Mapenza, à hauteur de l’entrée du Quartier Mont Fleuri.

Ces travaux comprendront également l’identification de tous les défauts possibles, ainsi que la recherche de solutions adaptées pour résoudre les problèmes détectés. Au total, dix chantiers ont été ouverts sur les 5 kilomètres de l’avenue Nguma, chacun étant supervisé par un chef de chantier chargé d’assurer le respect des normes et d’assurer un suivi adéquat.

Certaines parties de l’avenue nécessiteront des réparations complètes, tandis que d’autres seront réparées partiellement. Cette approche vise à garantir que l’ensemble de l’avenue Nguma retrouve un état satisfaisant et facilite la circulation dans cette partie de la capitale.

La réhabilitation de l’avenue Nguma est un premier pas important vers l’amélioration des infrastructures routières à Kinshasa. La population se réjouit de voir enfin des actions concrètes entreprises pour remédier à ces problèmes qui ont longtemps entravé le développement de la ville.

Les kinois espèrent que ces efforts se poursuivront et que d’autres artères de la capitale bénéficieront également de réparations et d’améliorations, afin de créer une ville plus fluide et plus accessible à ses habitants.

Ézéchiel T. Mampuya



La Nouvelle dynamique de la société civile a décidé, jeudi 25 janvier, de mener une lutte contre les disparités salariales entre les animateurs des institutions et les agents et fonctionnaires de l'Etat.

Les représentants de cette structure citoyenne ont levé cette option lors de leur première réunion tenue à Bukavu (Sud-Kivu).

Ensemble, ils ont convenu de mobiliser leurs pairs des autres provinces afin d'engager une lutte commune contre ce fléau au niveau national.

En effet, cette dynamique a tenu coûte que coûte à apporter un changement sur cette situation en RDC où, les animateurs des institutions s'attribuent le gros du revenu au mépris du reste des couches de la population.

Josué Boji, l'un des acteurs-clés de cette dynamique, cette disparité salariale a trop duré et elle a comme corolaires : corruption, népotisme, financements des miliciens et la détérioration du tissu socio-économique du pays.

« L’administration publique a été clochardisée et c’est un problème sérieux. On ne peut pas conduire un pays comme ça. Avec une administration qui n’est pas prise correctement en charge, avec une police nationale qui n’est pas prise correctement en charge, la sécurité des citoyens sera assurée », a-t-il fait savoir.

Pour Josué Boji, ce problème des irrégularités salariales est social et non politique. 

Une seconde réunion de cette dynamique est prévue mercredi 31 janvier au cours de laquelle une pétition sera orientée au président de la République.

Ces activistes de la société civile estiment que les députés nationaux seront mis à contribution pour mener ce plaidoyer.

radiookapi.net/CC

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

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