La tournée de campagne électorale du président de la République, Félix Tshisekedi, dans l'espace Kasaï a débuté mardi 12 décembre par une descente à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï Oriental. 

Accompagné de son épouse, Denise Nyakeru Tshisekedi, le candidat numéro 20 à l'élection présidentielle, a été accueilli par les autorités politiques et coutumières et une foule immense.

Après l'atterrissage de l'avion aux alentours de 17 heures locales, F. Tshisekedi a entamé une procession vers Saint-Jean Baptiste de Bonzola, lieu de son meeting, déjà assiégée par des milliers de personnes qui attendent son message.

À Mbuji-Mayi, tout comme dans les autres endroits qu'il a déjà visités et qu'il visitera, le candidat de l'Union sacrée a écouté les préoccupations des citoyens et a présenté ses projets ainsi que sa vision pour l'avenir du pays.

Il s'est aussi exprimé sur la situation qui prévaut dans l'est du pays. Toujours lors de ce meeting, le candidat numéro 20 à l'élection présidentielle a réitéré son engagement à défendre l'intégrité territoriale et à assurer la sécurité des Congolais. Cependant, il a tiré la sonnette d'alarme concernant la présence des candidats soutenus par les ennemis du pays dans la course à la magistrature suprême.

"Il est temps que la population ouvre les yeux. Notre pays est fortement combattu. Chaque Congolais doit se tenir debout pour défendre la patrie. Les ennemis de notre pays se trouvent parmi les candidats à la présidentielle. Ils seront bientôt ici. Soyez vigilants. Vous connaissez bien la guerre qui sévit à l'est de notre pays. Mais je vous assure que je suis déterminé à me battre pour vous, et j'ai besoin de votre soutien pour vaincre l'insécurité dans l'est du pays", a-t-il déclaré.

Il a également encouragé les jeunes à rejoindre l'armée et la police, réaffirmant ainsi sa volonté d'améliorer les conditions de vie des militaires et des policiers.

"Vous devez intégrer l'armée et la police afin d'assurer, protéger et défendre l'intégrité territoriale de notre pays. Au cours de mon deuxième mandat, nous allons améliorer les conditions de nos militaires et policiers, car nous devons être forts pour faire face à nos ennemis", a ajouté le candidat de l'Union sacrée. 

En dehors des enjeux sécuritaires, il a également abordé des questions sociales, promettant d'instaurer la gratuité de l'enseignement secondaire s'il est réélu. La poursuite de la couverture santé universelle et du programme de développement local des 145 territoires sont également des priorités de son action à la tête du pays.

Enfin, le président sortant a sollicité d’eux le deuxième mandat pour poursuivre l’élan amorcé dans la reconstruction du pays. Félix Tshisekedi a eu un message particulier à cette occasion:

« Vous connaissez notre souffrance, notre souffrance avec des anciens régimes qui nous regardaient comme de non congolais. Je n’aime pas que les kasaiens se divisent vous êtes des frères, notre Kasaï a été abandonné, soudons-nous pour que notre Kasaï puisse se développer », a déclaré Félix Tshisekedi à Mbujimayi.

Après son passage à Mbuji-Mayi, le président sortant est attendu ce mercredi à Kabinda et Mwene-Ditu dans la province de Lomami pour la suite de sa campagne électorale dans l'espace Kasaï.

CC/Actu RDC/Merveil Molo et Kazadi Lukusa, à Mbuji-Mayi

 



La Fondation Cédric Bakambu a obtenu, mardi 12 décembre, le trophée de la Fédération internationale de footballeurs professionnels (FIFPRO), à Kinshasa.

La cérémonie de remise de ce prix a été organiseé au siège de la FECOFA.

Le vice-président de la Fondation Cédric Bakambu ,Jonathan Bakambu, père biologique de Cédric Bakambu, a reçu ce prix entre les mains du représentant de l’Union de footballeur du Congo, Olivier Sefu.

Le bénéficiaire a salué les organisateurs de ce prix pour avoir reconnu leur mérite.

Selon Olivier Sefu de l’Union de footballeur du Congo, la Fondation Cédric Bakambu s’est distinguée à travers plusieurs œuvres caritatives en RDC :

« C’est par rapport aux œuvres caritatives dont l’organisation du concours de dictée françaises dans des écoles kinoises. Elle a remis des vivres aux orphelinats avant d’organiser un marathon, réservé uniquement aux femmes ».

Cette fondation s’est investie notamment dans alphabétisation et l’éducation numérique, la sécurisation des lieux historiques de la RDC dont le lieu de déportation des esclaves congolais vers l'Amérique à Moanda (Kongo Central) dans le domaine sportif.

La Fondation Cédric Bakambu est opérationnelle depuis le 12 décembre 2019.

radiookapi.net/CC



Parmi les promesses électorales, le président de la République, Félix Tshisekedi, a exprimé mardi à Mbuji-Mayi, son engagement à trouver des "solutions urgentes" concernant la Minière de Bakwanga (Miba) et la Société Anhui Congo d’investissement minier (Sacim Sarl).

" Le problème de la Sacim et la Miba, laissez moi m'en charger. Je vous promets plus d'emplois, l'autosuffisance alimentaire, plus de pouvoir d'achat et je vais mettre fin à l'instabilité économique", a dit le président Félix Tshisekedi cité par le correspondant de DESKECO.COM à Mbuji-Mayi.

Poumon économique du Grand Kasaï, la Miba est dans une situation de précarité dans tous ses aspects. Le jeudi 28 septembre 2023, lors de la cérémonie officielle de prise de fonction du nouveau comité de gestion, le Président du Conseil d'Administration avait déclaré : " la Miba est encore récupérable avec ce comité". Il comptait ainsi sur trois atouts majeurs de cette entreprise de l'État, à savoir "son personnel qui jouit d'une longue expérience dans l'exploitation du diamant, ses ressources géologiques variées et la volonté politique clairement affichée par le chef de l'État, déterminé à voir cette société retrouver ses lettres de noblesse".

Quant à elle, la Sacim SARL, deuxième société minière après la Miba en difficulté, n’exploite plus le diamant faute d’approvisionnements en intrants de traitement. Obligée désormais de vendre ses colis de diamants à des acheteurs choisis par le ministère des Mines, cette société chinoise vend actuellement jusqu’à 13.000 USD le carat au moment où son prix de revient est supérieur à ce prix.

Abordant la hausse du prix du maïs, le président a promis de faire une descente sur le marché pour s'enquérir de la situation avant de reprendre son vol pour le Kasaï central. Sur le marché de Mbuji-Mayi, le Service national a revu à la baisse le prix du maïs, passant de 12 000 à 4 150 francs congolais la mesurette, en raison de la production de Kanyama Kasese.

Marie-Jeanne Mupela



Les fans de musique ivoirienne seront gâtés ce jeudi avec la sortie du clip de « Arc de triomphe », la collaboration entre deux poids lourds de la scène, DJ Kerozen et Didi B.

C’est par le biais d’un post Instagram ce mercredi que DJ Kerozen, surnommé « l’élu », a annoncé la bonne nouvelle à sa communauté. Il a dévoilé la cover du titre mettant en avant les visages de lui-même et de son invité Didi B.

Réunissant deux figures majeures du coupé décalé et du rap ivoirien, ce featuring s’annonce déjà comme l’un des temps forts de la scène musicale ivoirienne en cette fin d’année.

DJ Kerozen apportera sa touche énergique tandis que Didi B soufflera sans doute dans sa flûte langoureuse.

Le choix du titre « Arc de triomphe » laisse présager un morceau grandiose, à la hauteur de l’aura des deux artistes. Le public ivoirien sera au rendez-vous pour découvrir ce titre inédit dès sa mise en ligne sur YouTube ce jeudi. Une collaboration que les mélomanes attendaient avec impatience !

mbote/CC

 


Les jours s'égrènent. On s'approche de la date du 20 décembre 2023, prévue pour les élections en RDC -République démocratique du Congo-. Fort malheureusement, à une semaine de ce grand rendez-vous, la CENI -Commission électorale nationale indépendante-n'a pas encore déployé les kits électoraux devant servir au bon déroulement desdits scrutins. Des demandes en appui logistique, pour assurer le déploiement des matériels sont introduites partout. La dernière demande en date est celle introduite au Conseil de sécurité des Nations unies, pour solliciter l'appui logistique de sa Mission basée au Congo (Monusco), tel qu'on peut lire dans la récente correspondance du diplomate rd-congolais auprès de l'ONU. Une situation qui suscite beaucoup d'incertitudes quant à la tenue des élections au 20 décembre 2023.

A sept jours du scrutin, plusieurs sources rapportent que la RDC -République Démocratique du Congo- a saisi, le mardi 12 décembre, le Conseil de sécurité des Nations unies, pour solliciter l'appui logistique de la Monusco, en vue du déploiement des kits électoraux sur l'étendue nationale.

Dans sa correspondance, l'ambassadeur de la RDC auprès de l'ONU, Zénon Mukongo Ngay,  indique que la CENI -Commission électorale nationale indépendante- doit finaliser, dans le délai, l'acheminement du matériel électoral et des équipements électoraux vers les sites à accès difficiles, et permettre ainsi l'organisation des élections sur toute l'étendue du territoire national le même jour du 20 décembre.

Cette demande intervient quelques jours après que le Gouvernement congolais, à travers le VPM en charge de la Défense nationale,  Jean-Pierre Bemba Gombo, ait confirmé qu'un accord est signé avec l'Angola, pour appuyer la CENI en avions et hélicoptères.

Pour rappel, dans une correspondance, la CENI a sollicité urgemment, auprès du Président de la République, quatre Antonov 26 et 10 hélicoptères, pour effectuer le déploiement du matériel électoral dans le pays.

Fadi Lendo



Moïse Katumbi ne foulera pas ses pieds dans les provinces du Kasaï-Central et Kasaï lors de cette campagne électorale. L’annonce a été faite par lui-même via son compte X, ex Twitter.

Toutefois, cette décision donne à Félix Tshisekedi les arguments solides devant le peuple Kasaïen en le détournant de la vision de l’ancien gouverneur. Le président du parti Ensemble pour la République a raté une chance d’aller redorer son image dans cette partie du pays où il est souvent mal vendu mais également de montrer au souverain primaire son majestueux projet de société dans l’espoir de gagner quelques voix. Au-delà de cela, c’est une opportunité de se lier d’amitié avec le Kasaï que Katumbi rate en prenant cette décision.

Moïse Katumbi accepte par sa décision, de faire avec les rumeurs qui circulent contre sa personne dans le Kasaï sans vouloir faire quoi que ce soit. Pour les analystes politiques, il fait preuve d’un manque de caractère pour la carrure politique qu’il a aujourd’hui. Cette décision ne pardonnera jamais à Katumbi d’autant plus qu’il aurait laissé filer toutes les chances en sa disposition en délaissant une partie de la population congolaise.

Gaël Hombo



Le candidat président Moïse Katumbi a décidé, mardi 12 décembre, de suspendre sa campagne électorale.

Dans une déclaration dont une copie est parvenue à Radio Okapi, le candidat numéro 3 a levé cette option au lendemain des échauffourées survenues lors de son meeting à Moanda (Kongo-Central).

Il a pris cette décision alors qu’il est attendu ce mercredi à Kananga au Kasaï-Central avant l’étape de Tshikapa dans le cadre de sa campagne électorale.

Pour Moïse Katumbi, des incidents ayant émaillé son passage à Moanda démontrent la faiblesse de leurs adversaires, qui, selon lui, sont gagnés par la peur de perdre le pouvoir.

Il a salué les personnes qui ont été victimes des violences provoquées par les présumés criminels qui portaient les symboles d’un parti de la majorité.

« Les images, les tirs à balles réelles de la police, et les témoignages confirment que ces incidents ont été programmés, planifiés et orchestrés avec une volonté d’aller au crime. Dieu en a voulu autrement », a déclaré le candidat numéro 3.

Moïse Katumbi a en outre promis, une fois élu, d’améliorer la vie des populations congolaises dont celles de Kananga et Tshikapa, en difficulté de s’approvisionner en eau et électricité.

Entre-temps, le candidat numéro 20 poursuit son séjour à Mbuji Mayi (Kasaï-Oriental), où il entend visiter le grand marché Bakua Dianga, dans la commune de Dibindi.

Dans ce lieu de négoce, affirment des sources recoupées, Félix Tshisekedi va se rendre compte du prix réel de la mesurette de maïs sur la ville.

Le même jour, Matata Ponyo est attendu, ce mercredi, dans la ville d'Uvira (Sud-Kivu) dans le cadre de la campagne électorale en soutien au candidat président numéro 3.

 Son parti politique, Leadership et Gouvernance pour le Développement (LGD) a annoncé son arrivée appelant à la mobilisation de la population locale.

radiookapi.net/CC



Le parti politique Bundu Dia Mayala (BDM) a rompu son silence pour protester contre le programme des obsèques établi par la famille biologique, sans consulter la famille politique de son leader, Ne Muanda Nsemi. Cette action viole, selon le Parti, le testament politique de celui qui a été leur guide pendant de nombreuses années.

Lors d'une conférence de presse tenue à Kinshasa le 11 décembre 2023, le secrétaire général de cette formation politique, Me Bakuamisa Milungidi, a affirmé que ce programme foule au pied la dernière volonté de leur leader, qui avait demandé de soutenir la candidature du chef de l'État, Félix Tshisekedi. 

Selon les informations communiquées par le Parti, les obsèques sont prévues du 13 au 23 décembre. D'après la même source, cela empêchera les cadres et militants disséminés à travers le pays de voter le 20 décembre, car ils seront en dehors de leurs circonscriptions électorales.

« Il y a un programme fixé du 13 au 23 décembre. Le BDM n'a pas été associé à ce programme, nous ne le reconnaissons pas et après l'avoir analysé, nous avons constaté qu'il constitue un obstacle au respect de la dernière volonté politique du grand maître, qui était de soutenir la réélection de son neveu, l'excellence Monsieur Félix Tshisekedi, candidat numéro 20 à l'élection présidentielle. Dans ce programme, il est prévu que tous les membres se retrouvent à Luozi le 20 décembre. Si nous mobilisons plus de 100.000 personnes, cela signifie que ceux de Tshela, de Boma, de Matadi, etc., ne pourront pas voter car ils seront en dehors de leurs circonscriptions électorales », a affirmé le secrétaire général de BDM. 

Et de renchérir : « Ce programme constitue un obstacle pour les candidats du BDM qui se retrouveront devant un dilemme entre poursuivre la campagne électorale et se rendre à l'enterrement du grand maître, alors que celui-ci nous a confié le processus électoral, car c'est la seule façon de lui rendre hommage en participant à ce processus et en votant massivement pour le président de la République, Félix Tshisekedi, et nos candidats ». 

Le secrétaire général de BDM a appelé toutes les parties à respecter la dernière volonté politique de Ne Muanda Nsemi. 

« Entre le respect de la dernière volonté politique et ce programme des obsèques établi dans le but de contrecarrer le testament politique du grand maître, le choix est clair : le BDM ne reconnaît pas ce programme et nous prévoyons d'organiser l'enterrement après les élections générales. En effet, nous ne pouvons pas comprendre que le président de la République, qui a pris en charge les obsèques du grand maître, puisse empêcher nos membres de le voter. Nous le remercions par la parole, mais aussi dans les urnes », a-t-il insisté. 

Profitant de cette occasion, le parti politique de feu Ne Muanda Nsemi, par le biais de son secrétaire général, a réaffirmé sa loyauté envers le président Tshisekedi et sa volonté de porter haut sa candidature jusqu'à la victoire finale. Une fois cette victoire obtenue, le président de la République procédera à l'enterrement de feu Ne Muana Nsemi avec tous les hommages dignes de son rang.

« Le grand maître m'a dit : Je suis membre de l'Union sacrée et je veux travailler pour que le président en place, mon neveu, soit réélu le 20 décembre 2023 (...). Je lui ai promis fidélité en tant que guide », a déclaré Me Bakuamisa. 

Il a également salué le geste du chef de l'État relatif à la libération des adeptes de BDM emprisonnés sous le règne de son prédécesseur, Joseph Kabila. 

Il sied de noter que Ne Muanda Nsemi a tiré sa révérence le 18 octobre dernier à l'âge de 77 ans. 

Merveil Molo



Le président de l'Assemblée nationale, Christophe Mboso N'kodia, coordonnateur de la campagne électorale du chef de l'État Félix Tshisekedi dans le grand Bandundu, s'est adressé à la population de Kenge, chef-lieu de la province du Kwango, précisément la communauté Yaka, au sujet des élections présidentielles et législatives.

Dans son allocution, C. Mboso a mobilisé la population pour la réélection de Félix Tshisekedi à la tête du pays. À l'en croire, il faut voter le chef de l'État pour plusieurs raisons dont notamment, parce que son bilan est largement positif et mérite un deuxième mandat pour achever ce qu'il a déjà commencé. Deuxièmement, parce qu'il a honoré le peuple Yaka en faisant de l'un de ses fils la deuxième personnalité du pays.

Enfin, parce que Félix Tshisekedi est un fils du pays, à la différence des autres candidats dont la nationalité est douteuse.

À cette occasion, Christophe Mboso a aussi parlé de sa candidature aux législatives nationales, ainsi que des autres candidats députés nationaux, dont le bâtonnier Matadi Wamba pour le territoire de Kenge.

Le président national du parti politique Convention de la République et la Démocratie (CRD), et president du Présidium de l'Union sacrée de la nation, est descendu au Pont Kwango, sous une pluie battante. 

La population présente a improvisé une caravane à l'issue de laquelle, Mboso Christophe a été porté sur tshipoy jusqu'à la tribune pour un meeting.

Roberto Tshahe



À quelques semaines des élections générales, la campagne bat son plein en République démocratique du Congo. Si certaines initiatives visent à convaincre pacifiquement les électeurs, d’autres suscitent la controverse.

C’est le cas à Kinshasa où une équipe de campagne a décidé de distribuer gratuitement des préservatifs estampillés du portrait de Mme Baluta Lumona Béatrice, candidate provinciale dans la circonscription de Ndjili.

Dans une vidéo partagée sur les réseaux sociaux, le directeur de campagne explique son action: « Nous allons remettre ces ‘capuccinos’, comme nous les appelons, aux électeurs du couloir Kimbuta et de la place Sainte-Thérèse ». Outre le message électoral, l’objectif affiché est de sensibiliser à la prévention des maladies sexuellement transmissibles.

Si la démarche se veut bienveillante, elle a aussitôt soulevé une levée de boucliers. Certains y voient une récupération malsaine de la santé publique à des fins partisanes. D’autres dénoncent une atteinte à la pudeur en associant de façon aussi crue l’image d’une femme politique à la contraception.

Ce coup marketing insolite renforce les inquiétudes quant aux dérives possibles d’une campagne où tous les coups semblent permis. Il alimente aussi les interrogations sur le respect du code de bonne conduite électorale signé par l’ensemble des candidats.

mbote/CC

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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