Selon le président du CSAC, Christian Bosembe, TikTok “encourage la délinquance” et “facilite l’enrôlement de jeunes dans des groupes terroristes” dans le pays.

Alors que les États-Unis viennent de suspendre l’accès à TikTok sur leur territoire, la République Démocratique du Congo suit de près cette décision. Christian Bosembe, président du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC), a vivement réagi sur Twitter, n’hésitant pas à qualifier la plateforme de “vecteur de propagande nuisible” pour le pays.

Selon M. Bosembe, TikTok “encourage la délinquance” et “facilite l’enrôlement de jeunes dans des groupes terroristes, offrant ainsi aux extrémistes un espace pour recruter des enfants et promouvoir leur idéologie de destruction”. Une situation que les autorités congolaises condamnent fermement, y voyant une “apologie du terrorisme”.
 
Malgré les multiples plaintes et avertissements émis par les institutions congolaises, le président du CSAC déplore que TikTok “persiste dans son inaction”. Une négligence qui, selon lui, “met en péril [la] jeunesse, compromet la sécurité intérieure et fragilise la souveraineté numérique” de la RDC.
 
Face à ces graves menaces, Christian Bosembe n’exclut pas que la RDC envisage des mesures similaires à celles prises par les États-Unis, “pouvant aller jusqu’à la suspension de cette application sur l’ensemble de son territoire”. Une décision qui illustrerait la détermination des autorités congolaises à “défendre [leurs] valeurs fondamentales : la protection de la vie privée, la sécurité nationale et l’avenir de [leurs] enfants.”
 
Pailleurs, le président du CSAC appelle toutes les plateformes numériques à “engager un dialogue sincère et constructif” avec les institutions du pays, afin de mettre en place des mécanismes de contrôle des contenus et de protection des données personnelles des Congolais.

La suspension de TikTok aux États-Unis semble avoir servi d'”avertissement” à la RDC, qui entend désormais “agir avec fermeté et détermination pour protéger son peuple, ses valeurs et sa souveraineté numérique”.

mbote/CC



Al Ahli Ladies s’est offert à domicile Al Itthiad au forceps (4-2) ce samedi 18 janvier 2025 en match de la 11è journée de la Saudi Women’s Premier League.

Ce derby a livré un spectacle sensationnel : un ascenseur émotionnel qui s’est décidé en deuxième période. Le moins que l’on puise dire, Kabakaba a allumée la première brèche à la 63è minute d’une extérieure du pied au premier poteau après un superbe appel entre deux défenseures jaunes. Insaisissable la congolaise marche sur l’eau et affole son record en nombre des buts. Le total en championnat grimpe à 15 buts à trois longueurs d’Ajara Njoya la camerounaise toujours en tête du royaume des buteuses.

Son aventure saoudienne atteint crescendo son point culminant. La réalisation de ce soir sonne fort. Elle s’ajoute comme la 31è réussies toutes compétitions confondues en une année d’expérience seulement au pays de golfe. Son acclimatation s’est très vite avérée. Sa forme actuelle est une plus value indispensable pour la sélection nationale senior qui joue les Mares de Botswana en février en double confrontation du premier tour des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations féminine Maroc 2026.

Jenovic Lumbuenadio



La récente rencontre entre Fally Ipupa et les anciens membres du groupe Quartier Latin à Paris a suscité l’attention des fans sur les réseaux sociaux. Mais ce qui a particulièrement retenu l’attention, c’est un geste apparemment anodin de la part de Fally Ipupa : la désinfection du micro qu’il allait utiliser.

Alors que Fally Ipupa et plusieurs anciens membres du groupe Quartier Latin étaient présents pour rendre hommage à leur camarade Passekoss, décédé récemment, Fally a pris soin de désinfecter minutieusement le micro avant d’entamer sa prestation. Ce geste, bien que banal dans le contexte actuel de pandémie, n’a pas manqué d’attirer les regards et les commentaires des fans sur les réseaux sociaux.

Certains ont vu dans cette action une forme de précaution et de prudence de la part de Fally Ipupa, soucieux de se protéger et de protéger les autres d’une éventuelle contamination. En effet, l’utilisation d’un microphone partagé par plusieurs personnes peut représenter un risque de transmission, notamment lors de la période de grippe hivernale.
 
« Un micro se désinfecte toujours, surtout que ça bave et puis on est dans une période de grippe hivernale. La contamination par la salive et les éternuements n’est pas à exclure », explique un fan sur les réseaux sociaux.

Au-delà de l’aspect sanitaire, certains y ont vu une dimension plus symbolique, une sorte de “purification” du micro avant de prendre la parole. Fally Ipupa, connu pour son professionnalisme et son souci du détail, aurait ainsi marqué son respect envers ses anciens camarades et l’événement auquel il participait.

Quoi qu’il en soit, ce geste de Fally Ipupa a suscité de nombreux commentaires, témoignant de l’attention portée par les fans aux moindres faits et gestes de leur artiste préféré. Une attention qui souligne l’importance accordée à la santé et à la sécurité, même dans des moments de recueillement et de célébration.
 
mbote/CC


Dans une toute nouvelle rubrique, le desk femme d’Actualite.cd vous propose de revenir chaque semaine sur des femmes qui ont marque l’actualité en RDC, en Afrique et dans le reste du monde.

Cette semaine, retour sur les nominations de deux femmes à des postes de décision, un transfuge politique et la libération d’une activiste au Kenya. 

Brigitte Nsensele Wa Nsensele, Première Présidente du Conseil d'État de la RDC

Le 16 janvier 2025, Brigitte Nsensele Wa Nsensele a été nommée Première Présidente du Conseil d'État de la République Démocratique du Congo. Titulaire d’une licence en droit privé et judiciaire de l’Université de Kinshasa, elle succède à Marthe Odio Nonde, désormais désignée juge à la Cour constitutionnelle. Cette nomination marque une étape importante dans l’institutionnalisation de la présence féminine à des postes clés dans le pays.

Mamitsho Pontshia, nouvelle directrice générale adjointe de Congo Airways

Le même jour, une autre avancée notable a eu lieu avec la nomination de Mamitsho Pontshia au poste de directrice générale adjointe de la Compagnie nationale d'aviation Congo Airways. Cette décision, également annoncée le 16 janvier, souligne l'importance croissante des femmes dans les secteurs stratégiques du pays.

Néné Nkulu quitte Kabila pour rallier l'opposition républicaine et soutenir les institutions

Dans une annonce faite le 11 janvier 2025, une page d’histoire a été tournée pour le parti politique AFBC (Alliance des Forces pour le Bien-être des Congolais) et son initiatrice, Nene Nkulu. Cette formation politique a officiellement quitté le FCC (Front Commun pour le Congo) de Joseph Kabila pour rejoindre l’opposition républicaine, tout en exprimant son soutien aux institutions de la République, en particulier pour le rétablissement de la paix dans la région Est de la RDC (République Démocratique du Congo).

Maria Sarungi Tsehai, militante des droits humains, enlevée à Nairobi

Au-delà des frontières de la RDC, l'activiste tanzanienne Maria Sarungi Tsehai, connue pour son combat en faveur de la liberté d'expression et des droits des femmes, a été enlevée le 12 janvier en plein cœur de Nairobi. Elle a été libérée quelques heures plus tard, sous la pression de plusieurs ONG. Cette attaque souligne les risques auxquels sont confrontées les militantes des droits humains dans certaines régions d'Afrique.

Nancy Clémence Tshimueneka



Au moins 138 cas positifs de l'épidémie de Mpox ont été enregistrés dans la province du Nord-Kivu depuis le début de cette année. Ce chiffre a été révélé par Prisca Luanda Kamala, conseillère principale du gouverneur militaire chargée des questions sanitaires, lors d'une réunion d'évaluation du plan de riposte provinciale ce vendredi 17 janvier 2025.

La conseillère a souligné que la majorité des cas ont été détectés dans les camps de déplacés, où vivent des milliers de personnes ayant fui les violences causées par le M23/RDF.

« Nous avons évalué des recommandations, les défis pour proposer des pistes de solutions. Actuellement, nous avons 1 284 cas depuis que l’épidémie a commencé. A la deuxième semaine de l’année 2025, nous enregistrons 138 cas actifs. La plupart des cas sont concentrés dans les camps de déplacés. Donc, nous devons multiplier des efforts pour travailler dans les camps de déplacés, afin que nos compatriotes ne puissent pas mourir de cette maladie », a-t-elle déclaré.

L'urgence d'une réponse efficace a été mise en avant par Mme Kamala qui a insisté sur la nécessité d'agir rapidement pour protéger la vie de ces populations vulnérables, déjà éprouvées par les conséquences de la guerre.

Il est important de rappeler qu'au total, plus de 1 000 cas de Monkeypox ont été recensés dans la province du Nord-Kivu depuis le début de cette épidémie. En réponse, le Gouvernement provincial assure la continuité des activités de riposte, notamment la vaccination des contacts des cas et la prise en charge médicale des malades dans les zones de santé les plus affectées, à savoir Karisimbi, Goma et Nyiragongo.

Le gouvernement provincial  appelle la population à respecter rigoureusement les mesures barrières, telles que le lavage régulier des mains. La variole du singe, une maladie virale rare, se transmet principalement par contact direct avec des personnes infectées ou leurs fluides corporels, ainsi que par voie sexuelle. 

Les symptômes incluent une forte fièvre soudaine suivie d'éruptions cutanées avec des lésions remplies de liquide.

Face à cette situation préoccupante, les autorités sanitaires ont mis en place des mesures de prévention urgentes. Elles recommandent fortement d’éviter tout contact physique ou sexuel avec des personnes présentant des signes de la maladie, de se laver régulièrement les mains, et de consulter rapidement en cas de symptômes.

La mobilisation de la communauté et le respect des consignes sanitaires sont cruciaux pour endiguer cette épidémie et protéger les populations les plus vulnérables.

Josué Mutanava, à Goma



Le maire de la ville de Boma (Kongo-Central), Senghor Butuyibi, a annoncé samedi 18 janvier, l’ouverture dès la semaine prochaine du nouveau cimetière public à Boma.

Ce nouveau site d’enterrement baptisé « Nlunga Vasa », est situé à environ 20 kilomètres sur la route de Matadi et s’étend sur 31 hectares.

L’autorité urbaine fait savoir que les travaux d'aménagement financés sur fonds propre de la Mairie, sont déjà presque arrivés à terme.

Senghor Butuyibi invite la population de Boma à s’approprier ce lieu d'inhumation, en lieu et place des cimetières privés :

« Jusque-là, la population hésite encore. Nous voulons qu’elle puisse s’approprier ce cimetière. Elle doit donner la valeur à ce nouveau site, au lieu d’aller dans des cimetières privés ».

L’Office de voirie et drainage, (OVD) indique qu’il travaille déjà sur l’aménagement des parkings et l’ouverture des espaces pour rendre ce cimetière facilement accessible.

L'ancien cimetière Kimpungu II est fermé depuis l'année dernière à cause de sa saturation.

radiookapi.net/CC



Le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi a exprimé, samedi 18 janvier, la volonté du Gouvernement congolais de défendre le territoire national et toute la population.

Il a rappelé cet engagement lors de la cérémonie d’échange de vœux avec les membres du corps diplomatique accrédités en RDC, organisée au Palais de la nation, à Kinshasa :

« Le Gouvernement de la République démocratique du Congo, reste résolu à défendre l'intégrité de son territoire et à protéger ses concitoyens contre toute forme d'agressions ».

Félix Tshisekeid a également réaffirmé sa volonté de résoudre pacifiquement la crise qui oppose la RDC au Rwanda, en rejetant toute tentative extérieure de légitimer la rébellion du M23.

Pour le chef de l’Etat congolais, il est temps que les principes de responsabilité et de justice prévalent face à la guerre dans la partie Est de la RDC.

Il a assuré que le Gouvernement congolais continue à renforcer les capacités opérationnelles de ses forces de défense pour éradiquer tous les groupes armés responsables des violences.

Il a toutefois rappelé que mettre fin aux conflits armés passe aussi par une stratégie intégrée de développement, de justice sociale et de gouvernance inclusive.

Pour Félix Tshisekedi, le processus de Luanda, malgré les obstacles, reste une opportunité que Kinshasa privilégie dans un esprit sincère mais lucide.

« La RDC ne se soumettra jamais aux pressions d'acteurs extérieurs qui tentent d'imposer des conditions contraires à nos intérêts et à notre souveraineté. Nous ne cesserons de réaffirmer notre position, le dialogue avec un groupe terroriste comme le M23 est une ligne rouge que nous ne franchirons jamais. Toute tentative de normaliser ou de légitimer ce criminel constitue une insulte à la mémoire des victimes et un affront aux principes fondamentaux du droit international », a-t-il poursuivi.

Devant ses hôtes, M. Tshisekedi a par ailleurs salué les efforts de la SADC avec le renouvellement l’an dernier du mandat de la SAMI/DRC. Il a indiqué que son appui constitue un exemple concret de l'efficacité de la coopération régionale pour faire face aux défis sécuritaires.

radiookapi.net/CC



Le ministre d'État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant Mutamba, a instruit le Parquet Général près la Cour d'appel de Kinshasa/Gombe, afin d'ouvrir un dossier judiciaire à charge des responsables de détournements des deniers publics, à la suite du rapport transmis par l'IGF -Inspection Générale des Finances- sur la gestion de la BCC -Banque Centrale du Congo- de 2018 à 2020.

D'après un communiqué parvenu à notre rédaction, le patron de la Justice congolaise insiste notamment sur le détournement de la somme de 315.612.000 USD résultant des avances fiscales consenties, de 2012 à 2020, par la Gécamines à la République, tel que publié par ledit rapport.

"À ce jour, des mandats d'arrêt internationaux ont été émis à charge des personnes incriminées et transmis aux organes de justice de plusieurs pays, pour les appréhender", a-t-on lu.

Le ministre Constant Mutamba révèle, en outre, que des interpellations vont être lancées, dès la semaine prochaine, à l'égard de toutes les personnes impliquées dans ces actes qui se trouvent au pays.

Pour rappel, des actes de mauvaise gestion ont été identifiés lors des enquêtes menées par les services de l’IGF à la BCC et au ministère de la Santé, en août 2020.

Après des enquêtes menées au sein de la BCC -Banque centrale du Congo-, axées sur la gestion du compte général de l’Etat, les agents de l'IGF -Inspection générale des Finances- accuse la direction de cette institution bancaire de s’adonner à des prélèvements injustifiés sur certaines opérations de paiement de l’Etat. Une façon de faire qui ne s’accommode pas avec la gestion de la chose publique.

Lors de leur passage à la BCC, les agents de l’IGF avaient encore relevé un autre méfait relatif aux cautions versées au profit de l’Etat; lesquelles, à en croire la cellule de communication de l’inspection, n’ont pas été retracées après leur versement. Ce qui, pour une institution financière de l’envergure de la BCC, est une bourde; car, cela dénote de la malversation financière.

Gratis Makabi

 


Les Corbeaux du Tout-Puissant Mazembe, déjà éliminés de la Ligue des champions africaine, ont étrillé le club soudanais d'Al Hilal Omdurman du coach Florent Ibenge, sur le score de 4 buts à 0, dans le cadre de la 6ᵉ et dernière journée de la phase des groupes, ce samedi 18 janvier 2025, à Lubumbashi (RDC).

Avec une possession supérieure depuis l'entame du match, Mazembe est passé devant Al Hilal, en ouvrant le score grâce à Barthélémy Diouf, à la 21ᵉ minute. Près de 8 minutes plus tard, Ibrahima Keita, sur coup de pied arrêté, va alourdir le score. 2 buts à zéro, c'est le score à la pause.

En seconde période, les protégés de Lamine N'diaye vont intensifier les occasions. À la 58ᵉ minute, Cheick Oumar Fofana va trouver de la meilleure manière Merceil Ngimbi pour le troisième but. Dans les derniers instants de la seconde période, Mazembe va inscrire le quatrième but, grâce au penalty qui va être transformé par Suleman Shaibu.

Par cette victoire, le TP Mazembe va quitter la compétition avec honneur, après 5 journées sans aucune victoire. Ce succès a permis à Mazembe de montrer aux fanatiques qu'ils sont capables malgré l'élimination.

Le classement définitif du groupe A se présente comme suit : 

1. Al Hilal : 10 points (6 MJ)

2. MC Alger : 9 points (6 MJ)

3. Young Africans : 8 points (6 MJ)

4. TP Mazembe : 5 points (6 MJ)

Il convient de signaler que, le Al Hilal Omdurman du Soudan et le Mouloudia Club d'Alger ont validé leur ticket pour l'étape suivante, le quart de finale de la Ligue des Champions de la CAF saison 2024-2025.

Michel Onashoto 

 


Les diplomates accrédités en République démocratique du Congo ont exprimé samedi  leur soutien au Gouvernement congolais et à ses efforts pour relever les défis sécuritaires et socio-économiques, lors de la traditionnelle cérémonie d’échanges de vœux avec le Chef de l’État, au Palais de la Nation à  Kinshasa.

« Nous vous exprimons le soutien des pays accrédités en RDC pour le rétablissement de la paix dans l’est du pays et dans toute la région des Grands lacs, ainsi que pour l’exécution des projets de développement économiques, prioritaires pour les peuples de cette région », a indiqué Rachid Agassim, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume du Maroc en RDC.

S’exprimant en sa qualité de vice-doyen et doyen intérimaire du corps diplomatique accrédité en RDC, l’ambassadeur Agassim a principalement loué le niveau d’implication du Président Félix Tshisekedi au processus de paix de Luanda, en dépit des vicissitudes rencontrées depuis le début.

« Vous avez également manifesté votre intérêt, votre attachement et votre engagement pour la paix dans l’est de la République démocratique du Congo, à travers votre mobilisation et participation aux différentes rencontres autour du processus de paix de Luanda », a affirmé le diplomate marocain.

En outre, l’ambassadeur Rachid Agassim a exprimé le soutien de son organisation aux initiatives diplomatiques du Gouvernement congolais sous le leadership du Président Félix Tshisekedi, citant entre autres la candidature de la RDC au Conseil de sécurité des Nations Unies, pour une troisième expérience de membre non permanent. 

« Les membres du corps diplomatique accrédités en République démocratique du Congo souhaitent un aboutissement positif de la candidature de la RDC comme membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies », a déclaré Rachid Agassim.

Le lancement de cette candidature figure, d’après lui, parmi les événements phares de l’année 2024, au même titre notamment, que l’investiture du Président Tshisekedi pour un second mandat à la tête du pays, l’élection de la RDC au Conseil des droits humains de l’ONU pour la période 2025-2027 et la résolution de la crise tchadienne en tant que facilitateur désigné de la CEEAC.

La Première ministre Judith Suminwa, la ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba, et la vice-ministre des Affaires étrangères, coopération internationale et Francophonie, Gracia Yamba Kazadi, ont assisté à cette cérémonie.

ACP/CC

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