La Fédération Internationale de football Association FIFA demande aux comités de normalisation ( Conor) de transmettre aux autorités de la République démocratique du Congo, le caractère indépendant de sa gestion suite à des faits d’ingérence en ce qui concerne le football congolais. L’annonce a été faite dans une correspondance adressée ce mardi 22 août 2023, aux à la fédération congolaise de football Association (FECOFA), dont une copie est parvenue à ActuRDC.
« Nous constatons que la Fecofa dirigée par le Comité de normalisation à ce jour, n’est ni à l’origine de la mise en place de la commission. Cela dit, pour le bon ordre, nous souhaitons rappeler que chaque association membre de la FIFA, la Fecofa en l’occurrence, se doit de jouir d’une indépendance et d’une autonomie qui la préserve de toute ingérence indue de la part des tiers, qu’elle soit étatique ou autre. Les associations membres de la FIFA sont en effet statutairement tenues de gérer leurs affaires de manière indépendante et sans influence des tiers. Tout manquement a ces obligations peut entraîner les sanctions prévues dans le statut de la FIFA, pouvant aller jusqu’à la suspension de la fédération concernée et ce même si n’influence d’un tiers n’est pas imputable à l’association membre », peut-on lire dans la correspondance de la FIFA adressée à la Fecofa.
Ce dernier intervient après l’interpellation des membres de la FECOFA par les services des renseignements militaire DEMIAP, l’interdiction d’utilisation les installations sportives ou publiques et sur l’organisation du championnat National.
Une probable suspension de la FIFA aujourd’hui contre la fédération congolaise de football Association FECOFA, les léopards de la RDC ne vont pas jouer le match contre le Soudan, et les clubs congolais, aurons plus le droit de disputer les inter clubs CAF durant la période de cette suspension.
Actu RDC/CC
Le FC Celeste s'est imposé (1-0) ce mercredi 23 août à Bukavu face à l'Étoile du Kivu lors de la première journée de la compétition. Malgré une première mi-temps dominée en possession de balle par l'équipe adverse, les joueurs de Kinshasa ont réussi à sortir du piège et Kapela Ndonguisi a inscrit le seul but du match à la 46ème minute suite à une hésitation de la défense.
Malgré les efforts des joueurs de Bukavu et les changements effectués par leur staff technique, le score est resté inchangé jusqu'à la fin du temps réglementaire.
Celeste reprend ainsi le même élan que sa première saison dans cette compétition de l'élite congolaise, enregistrant trois points grâce à cette victoire. En revanche, l'Étoile du Kivu n'a pas réussi à atteindre son objectif lors de cette première journée.
Fiston MOKILI
Thierry Henry va tenter un nouveau challenge en sélection quelques mois après son départ avec les Diables Rouges de la Belgique.
Le champion du monde 1998 a été nommé dans la soirée du lundi 21 Août, sélectionneur principal de l’équipe de France espoirs jusqu’en 2025.
D’après la FFF, le joueur de 46 ans aura la lourde mission de conduire les Bleuets à la prochaine qualification à l’Euro U21 et pour les jeux olympiques de Paris 2024.
De son côté, Titi devra muser sur son expérience acquise dans sa carrière d’entraîneur pour trouver la bonne formule dans cette sélection.
Pour la mémoire, l’équipe de France espoirs a été sortie en quarts de finale par l’Ukraine (1-3), à l’Euro en Juillet dernier.
Coopération sino-congolaise
Première semaine du cinéma chinois à Kinshasa : succès plein !
Du vendredi 11 au jeudi 17 août 2023, la Chine a marqué sa présence à Kinshasa au travers d'une Semaine Cinématographique reflétant, « fidèlement l'esprit chinois et les valeurs chinoises », a déclaré Zhao Bin, nouvel Ambassadeur de ce pays en République Démocratique du Congo. Cadre choisi à cet effet : salle Showbuzz, au pied du saut-de-mouton Place Socimat, jonction bd du 30 juin et avenue du colonel Mondjiba...
Dans son mot de circonstance, le premier diplomate chinois en RDC a estimé que « Le cinéma est une plateforme importante d’échange culturel, une fenêtre pour présenter la culture d’un pays et un outil d’améliorer la compréhension mutuelle entre les peuples ».
A son avis, « Un bon film peut avoir une répercussion dépassant les frontières et frapper la corde sensible dans les cœurs des personnes d’horizons culturels différents ».
Aussi, a-t-il fait valoir que la sélection des films couvrait « des thèmes variés, représentatifs d’excellentes œuvres cinématographiques chinoises contemporaines », le but visé étant d’« approfondir la compréhension du peuple congolais à l’égard de la Chine et des chinois ».
L'Ambassadeur Zhao Bin a placé ce programme dans deux cadres précis. Premier cadre, l'initiative lancée en mars 2023 par le Président de la République Populaire de Chine Xi Jinping « pour la Civilisation mondiale qui préconise le renforcement des échanges et de la coopération internationale en matière de sciences humaines, enrichir le contenu des échanges, élargir les canaux de coopération, promouvoir la compréhension mutuelle et l’affinité entre les peuples, en vue de promouvoir conjointement le développement et le progrès de la civilisation humaine ».
Second cadre : la visite du Président congolais Félix-Antoine Tshisekedi en Chine en mai dernier. A cette occasion, a rappelé l'Ambassadeur Zhao Bin, « les deux parties ont publié une déclaration conjointe qui élève les relations entre la Chine et la RDC au rang d'un partenariat stratégique et d’une coopération globale, qui certainement, ne peut se réaliser sans un rapprochement davantage entre les peuples chinois et congolais ».
Le diplomate chinois en a déduit des nouvelles opportunités offertes à la coopération culturelle sino-congolaise, avant de considérer que « la semaine du film chinois pourra modestement servir cette cause noble, et qu’au bout de cette semaine, le peuple congolais puisse mieux comprendre la Chine, se familiariser avec la Chine et aimer la Chine », ceci sur toute l'étendue du territoire congolais et, s'agissant particulièrement de la capitale, « contribuer à enrichir la vie culturelle à Kinshasa et renforcer la proximité et l’amitié entre les kinois et la communauté chinoise à Kinshasa ».
En mot de la fin, il s'est déclaré « convaincu qu’avec les efforts conjoints de nos deux parties, la coopération culturelle entre la Chine et le Congo connaîtra un grand élan de développement et donnera une forte impulsion aux échanges et à l’inspiration mutuelles entre les deux civilisations, en vue de la construction d’une communauté de destin partagé de l’humanité ».
Premier film alors projeté : « Terre errante ». Une fiction sur le changement climatique poussant les terriens à déplacer leur planète pour la sortir du système solaire. Le film présente une famille chinoise promouvant les valeurs essentielles de sa nation : esprit de sacrifice, travail, respect des aînés, sens d'engagement, courage...
LA CHINE GAGNANTE ET TRIOMPHANTE
Puissant outil de communication, le cinéma n'a pas d'équivalent dans la découverte du monde en restant calé dans son fauteuil ou allongé dans son lit.
Que ce soit en salle, devant la télévision ou, comme c'est de plus en plus le cas, à partir du téléphone ou de l'ordinateur portable, on a le monde à sa portée.
Le cinéma est un puissant moyen d'information et de formation.
Pour convaincre le monde de sa présence, Pékin utilise évidemment ce moyen.
Dans un pays comme la RDC où sa présence n'est pas suffisamment perçue, le cinéma est indiqué pour faire découvrir aux populations congolaises la Chine Millénaire aux plans historique, démographique, culturel et artistique et la Chine ultramoderne aux plans diplomatique, économique, scientifique et social. Juste un exemple : des 10 ponts les plus longs au monde, la Chine en aligne 7 dont la première, celui de Danyang-Kunshan, long de 165 km ; le deuxième, Viaduc de Changhua-Koahsiung(Taiwan), 157 km, le troisième, Cangde, avec ses 116 km, le 4ème, Tianjin, 114 km, le 5ème le pont de Weinan Weihe pour 80 km et le 7ème, Grand viaduc de Pékin, mesurant plus ou moins 50 km.
En diffusion sur Canal Sat, l'émission « MEGASTRUCTURES » est en elle-même une véritable attraction en ce qu'elle présente la Chine gagnante et triomphante.
Simon Mutombo/Journaliste Indépendant
Le chef de division provinciale de la santé du Kasaï-Oriental, docteur Bonheur Tshiteku, a indiqué le week-end dernier auprès de Radio Okapi qu’au moins 84 000 enfants âgés de 0 à 59 mois n’ont pas été vaccinés contre le poliovirus depuis l’année passée.
Le médecin a précisé que certains enfants n’ont reçu qu’une seule dose de vaccination lors de leurs naissances. « Nous avons trouvé qu’il y a environ 84 000 enfants qui n’ont pas été en contact avec les services de vaccination, que nous appelons « enfant zéro dose », ou qui n’a reçu juste qu’une dose de VPO (ndlr : Vaccin poliomyélite oral) ou BCG (ndlr : Basile de Calmette et Guérin) à la maternité », a soutenu le docteur Tshiteku.
Accompagné par la délégation de partenaires techniques et financiers dont notamment Bill et Melinda Gates Foundation, Digital Public Infrastructure (DPI), Bonheur Tshiteku a révélé ces statistiques aux députés provinciaux.
Cette rencontre avait pour but de mener un plaidoyer auprès des élus du peuple afin de solliciter leur implication dans la mise en place des mécanismes susceptibles d’attendre tous ces enfants qui échappent encore à la vaccination un an depuis.
« Nous sommes passés par l’assemblée provinciale, qui est l’émanation de la population, sollicitant son implication. Alors, il fallait un plaidoyer fort, analyser les obstacles qui font que les parents ou les gardiens des enfants n’amènent pas leurs enfants au niveau des centres de santé pour bénéficier de leur vaccination », a confié le chef de division sanitaire kasaïen.
La délégation a, à cette occasion, plaidé aussi pour l’accélération de la promulgation de l’édit provincial sur la vaccination dans toute la province du Kasaï-Oriental.
Odon Bakumba
L’ONG internationale Reporters sans frontières (RSF) a appelé, lundi 21 août, les autorités et les acteurs politiques de la RDC à prendre des mesures immédiates pour protéger le travail des médias, essentiel au processus démocratique.
Dans une tribune publiée, lundi, cette organisation de défense des professionnels des médias fait savoir qu’en République démocratique du Congo, les manifestations politiques de la période pré-électorale ont entraîné une recrudescence des attaques contre les journalistes.
RSF indique que depuis juillet, au moins sept journalistes ont été attaqués par des acteurs politiques de tous bords, établis dans la capitale Kinshasa ou encore dans la ville de Kananga au centre du pays.
L’un de ces journalistes, par exemple, doit répondre à la justice à la suite d’une plainte pour diffamation émanant d’un homme politique, précise l’ONG.
Ces incidents mettent en lumière un contexte pré-électoral tendu, qui compromet la sécurité des journalistes, soutient RSF.
Les élections générales sont prévues le 20 décembre prochain. Le président Félix Tshisekedi, au pouvoir depuis 2019, sera candidat pour un second quinquennat.
« Chaque jour compte son lot de violences contre les journalistes en RDC. C’est devenu très inquiétant, d’autant que certaines attaques sont le fait d'acteurs politiques ou de leurs soutiens », regrette Reporters sans frontières.
Pour cette organisation, « à quatre mois des élections, la classe politique doit respecter le rôle crucial des médias. Pour prévenir et empêcher tout type d’attaque contre les journalistes ».
RSF invite les autorités à émettre et diffuser largement une déclaration publique à l’ensemble des candidats et partis en lice, ainsi qu’aux forces de l’ordre, pour rappeler que les médias et les journalistes sont essentiels au processus démocratique et que quiconque porte atteinte à leur intégrité ou entrave leur droit d’informer et celui des citoyens à être informé, devra faire face à la loi, a précisé Sadibou Marong, Directeur du bureau Afrique subsaharienne de RSF.
radiookapi.net/CC
Attendu ce lundi 21 août, à la Cour Constitutionnelle dans le cadre de l'affaire Bukanga-Lonzo, le président du Leadership et Gouvernance pour le Développement (LGD), Matata Ponyo, va se faire représenter par ses avocats car il a décidé de rester pour le moment dans son fief, au Maniema.
Candidat à la prochaine présidentielle, Matata Ponyo est soupçonné de détournement de plus de 285 millions de dollars décaissés par le Trésor public pour le projet pilote du parc agro-alimentaire de Bukanga-Lonzo, situé à 200 kilomètres de Kinshasa. Cet ancien premier ne cesse de clamer son innocence en dénonçant un acharnement politique.
Rappelons que dans son réquisitoire adressé le 20 juin dernier au bureau du Sénat, le Procureur général avait fait savoir qu'il aurait des éléments nouveaux qui gisent au dossier de Matata sur l'affaire de la débâcle du parc agro-industriel de Bukanga-Lonzo.
Trois jours après, l’ancien Premier ministre Augustin Matata Ponyo, récusait à son tour le Procureur général près la Cour constitutionnelle, Jean-Paul Mukolo, et le président du Sénat, Modeste Bahati. Il avait déposé, vendredi 23 juin, des plaintes contre eux à la Cour de cassation.
Ben Dongoko
Le professeur Isidore Ndaywel plaide pour la mise en place d'une nouvelle constitution en République Démocratique du Congo. C’est un projet qu’il porte et qui fait surface à quatre mois des élections. Samedi dernier à Kinshasa, il a animé une conférence autour du thème : "Du territoire en quête d'État à l'État maître du territoire : pour une nouvelle constitution de la RDC". Ce chercheur et historien a une nouvelle fois démontré que la RDC depuis sa création au lendemain de la Conférence de Berlin, est sous menace d'éclatement. La cause essentielle a toujours été les convoitises de ses ressources naturelles tant revendiquées par l'économie mondiale à toute époque.
Mais, depuis la fin de la guerre froide, a-t-il démontré, ce danger s'est amplifié à cause des mutations intervenues dans la vie internationale. Il existe d’après M. Ndaywel, une manière plus sûre de résister à ces menaces d'implosion à l'interne et/ou de balkanisation sous des commandes externes. C'est de se préoccuper d'administrer de manière efficiente ce vaste espace que constitue la RDC que plusieurs observateurs considèrent comme à l'abandon. Pour relever les défis, il faut réaliser des réformes audacieuses indispensables dont l’adoption d’une nouvelle Constitution qui tient compte de cet impératif au vu de l'expérience parcourue jusque-là par la RDC.
"En vue d'une plus grande stabilité des institutions, les durées des mandats sont non seulement dans le nouveau projet plus longues mais différenciées. La vie politique devrait miser sur une plus grande stabilité institutionnelle. Pour ce faire, une distinction devrait être établie entre les partis politiques régionaux et les partis politiques nationaux. Seuls ces derniers, dont l'implantation serait attestée dans l'ensemble du territoire national, seraient admis aux compétitions électorales au niveau national", a expliqué Isidore Ndaywel.
Et de poursuivre :
"En matière électoral, la durée des mandats électoraux serait différente suivant les échelons: mandat présidentiel (9 ans non renouvelables correspondant mutatis mutandis au double quinquennat actuel); législatif national (7 ans renouvelable une seule fois); législatif régional (5 ans renouvelable une seule fois). Ainsi, les élections se dérouleraient à des périodes différentes, tous les deux ans, pour éviter qu'une crise électorale malencontreuse ne bloque toute la machine institutionnelle de l'Etat".
Création du poste de vice-président de la République
Pour le professeur Isidore Ndaywel, le président de la RDC et son Vice-président doivent être élus en tandem pour promouvoir le genre et la représentativité.
"S'agissant des institutions centrales: le Président devrait être accompagné d'un vice-président de la République qui l'assiste dans l'exercice de ses fonctions et ils sont élus en tandem. Je suppose que ça veut dire si le Président est par exemple de l'Est, il prendra quand même soin d'imaginer qu'il devrait choisir son vice-président à l'ouest ou par exemple si c'est un homme, le président peut dire le vice-président peut être une femme pour que nous soyons sûrs qu'il y a une représentation au niveau de l'exécutif, de la diversité du pays", a proposé le professeur Isidore Ndaywel.
Et d'ajouter :
"Le parlement c'est l'Assemblée nationale et le Sénat. Le gouvernement central comme le gouvernement de la région doivent intégrer la donne de représentation. Ainsi le gouvernement central doit comprendre au moins 5 membres issus de chaque région parmi lesquels d'ailleurs au moins deux femmes. Dans le gouvernement central, il doit y avoir un minimum de 35 membres, habituellement il y en a 50 ou plus mais au moins dans cette composition chaque région doit pouvoir se retrouver, il doit y avoir au moins 5 membres issus de cette région. Bien-sûr il y a la conférence des régions. De même le gouvernement régional est dirigé par un Gouverneur de région comprenant au moins trois membres issus de la province avec au moins une femme et les provinces sont dirigées par le commissaire des provinces".
D'après Isidore Ndaywel, le présent avant-projet constitutionnel de la RDC est donc le projet constitutionnel de la CNS (Conférence Nationale Souveraine) enrichi des propositions faites par lui-même. Une manière de restituer à la nation congolaise et à ses élites l'ensemble de ces idées qui sont disponibles et à leur portée. Ce projet a été adopté en 1996 mais n'a pas pu être mis en application suite à la conquête du pays par la rébellion de l'AFDL de Laurent Désiré Kabila.
Pour Isidore Ndaywel, ce projet jouit encore d'une certaine légitimité pour être retenu comme document de base à une telle démarche.
Ce projet de nouvelle Constitution surgit à quelques mois de la fin du mandat de l’actuel Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi qui, constitutionnellement, a droit de se présenter une nouvelle fois à la présidentielle du 20 décembre prochain.
Clément MUAMBA
L’artiste Felix Wazekwa s’est exprimé sur la faible mobilisation du public dans son concert au Stade des Martyrs, alors qu’il avait déclaré avoir écoulé plus de 100.000 billets.
Invité à l’émission B-One Music, le Monstre d’amour a déclaré : « J’avais dit ceci : on a déjà écoulé 100.000 billet. Et puis le jour où je parlais ainsi, j’avais encore ajouté 30.000 billets parce qu’ils étaient déjà finis, ces 100.000 billets ».
Pour expliquer la quasi absence du public, Félix Wazekwa a soutenu qu’il est beaucoup combattu et que certains billets avaient été achetés pour être détruits. « Une autre personne achète votre billet pour le détruire », a-t-il dit.
Le concert de Félix Wazekwa au Stade des Martyrs a eu lieu le samedi 12 Août 2023. Cet événement n’a pas connu une importante participation du public, suscitant les moqueries chez certains fans.
mbote.cd/CC
L'attaquant congolais, Dago Tshibamba a offert la victoire au Clube Desportivo Primeiro de Agosto devant l'AS VClub (1-0), ce dimanche 20 août 2023, au Stade National de Tundavala, à l'aller du tour préliminaire de la Ligue des champions de la CAF.
L'ancien sociétaire du Daring Club Motema Pembe (DCMP) a inscrit l'unique but de la rencontre à la 71ème minute de jeu sur une frappe très opportuniste au plan du pied droit qui ne laisse aucune chance au portier burkinabé Ouedraogo.
Deux anciens joueurs de la team vert et noir de Kinshasa, Merveil Kikasa Wamba et Obed Mayamba ont évolué cet après-midi sous les couleurs de la formation angolaise.
Le match retour est prévu, le dimanche 27 août prochain, au stade des Martyrs de Kinshasa. L'équipe qui sera qualifiée rencontrera le vainqueur du duel entre les équato- guinéens de Dragons et les Soudanais d'Al Hilal Ondurman, équipe entraînée par Jean-Florent Ibenge, ancien entraîneur des moscovites.
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