Maniema Union de la République démocratique du Congo s’est déplacé pour ne pas compromettre sa qualification a déclaré, Papy Kimoto, entraineur du club congolais en conférence de presse  d’avant match, a appris l’ACP vendredi de cette équipe.

Ce match de la 4ème journée avec le Far du Maroc, de la Ligue des champions de la Caf,  est prévu samedi, à 20h00, au stade d’Honneur Meknès, au Maroc, dans le cadre de la 4ème journée du groupe B, de la Ligue des Champions de la Confédération africaine de football (Caf), selon le calendrier de cette compétition.

« Nous ne sommes pas déplacés dans le sens de ne pas compromettre notre éventuel chance de se qualifier. C’est avec cette ambition que nous sommes ici au Maroc. Tout le monde est en forme, il y a deux joueurs qui sont en infirmerie et ils sont resté au pays »a-t- dit

Et d’ajouter que « Dans ce groupe rien n’est encore fait, les matches vont se jouer jusqu’à la fin, ça sera un match complique maintenant qu’on connait bien l’équipe de Far avec ses forces et se faiblesses, Nous avons eu suffisamment des temps pour préparer ce match et nous avons travaillé là-dessus. J’ose croire que demain ça va nous sourire, par ce que  depuis le début, on a eu beaucoup d’occasions dans chaque match, j’espère que demain il y aura un déclic  pour concrétiser toutes les occasions ».

Concernant le climat, le coach de Maniema Union a laissant entendre que ce climat froid est aussi avantageux pour ses poulains car ils seront  moins fatigués contrairement lors qu’ils jouent sous le soleil. L’équipe est en déplacement pour des bons résultats, a-t- conclut.

Pour rappel, l’AS Maniema Union  est classée 3ème, avec 3 points en 3 sorties pour ses nuls devant Mamelodi Sundowns (0-0), Raja du Maroc (1-1) et  l’AS Far (1-1). Ils ont inscrit deux buts et en ont aussi encaissé deux. Dans ce groupe B Mamelodi Sundowns est premier avec 5 points,  suivi de  Far 5 points, Maniema est 3ème avec 3 unités et Raja a 1 points

ACP/C.L./CC



L'As Maniema Union, sous la direction de Papy Kimoto, est en pleine campagne pour la Ligue des Champions Africaine de la CAF. Ce samedi 4 janvier, les Congolais seront opposés à l'As FAR dans un match de la 4e journée de la phase du groupe B qui s'annonce décisif pour eux. Cette rencontre aura lieu au stade d'honneur et réserve son lot de surprises, tout comme d'autres, malgré la taille impressionnante des Marocains sur le papier.

Pour ce duel et pour leur participation à cette compétition, les unionistes ont clairement pour objectif de faire un bon résultat afin de conserver leur chance de se qualifier pour le prochain tour et aller le plus loin possible dans cette compétition. En quête d'une victoire dans ce tournoi, les Congolaises ont hâte de décrocher leur première victoire. En effet, Papy Kimoto et ses hommes doivent rester concentrés et prendre les Marocains au sérieux, surtout qu'ils vont évoluer sur leur terrain avec une température glaciale.

Jonathan Kanu, le milieu défensif des Kembelembele, est pleinement conscient de l'importance de ce match et a affirmé que son équipe est en bonne santé, avec une morale au bon niveau. Il exprime leur forte détermination à obtenir un bon résultat à l'extérieur.

« Nous sommes déjà ici au Maroc et il fait très froid, mais on espère qu’on va s’habituer dans les jours qui nous restent avant ce match. L’équipe se porte bien et notre morale est au bon niveau pour ce match car nous sommes très déterminés à faire un bon résultat pour ce match », a déclaré Jonathan Kanu, milieu défensif de Maniema Union à la direction de communication de ce club.

À l'heure actuelle, Maniema Union accroché (1-1) au match aller à domicile par l’As FAR, occupe la troisième place du groupe B avec 3 points, juste devant Raja Casablanca du Maroc qui n'a qu'1 point. Par ailleurs, AS FAR du Maroc et Mamelodi Sundonws sont en première et deuxième position, avec 5 points chacun.

Fiston MOKILI



es embouteillages ont été enregistrés sur les principales artères de la ville de Bukavu (Sud-Kivu) le 1er janvier.

Véhicules et piétons se bousculaient sur les principales avenues de la ville.

L’avenue Patrice-Emery Lumumba, principale artère de la ville de Bukavu, était la plus encombrée. Même les piétons devraient se débrouiller pour se frayer un chemin.

Les chauffeurs, eux, ont scindé la distance de différents axes de parcours afin de doubler, tripler, voire quintupler le prix habituel de la course.

radiookapi.net/CC



Le nouvel an 2025 s’est déroulé dans une ambiance relativement calme dans la commune de Limete, dans le Centre de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), a constaté l’ACP mercredi.

« Contrairement aux festivités des années précédentes, le nouvel an 2025 s’est déroulé dans une ambiance relativement calme à Limete. On n’a pas vraiment ressenti l’esprit de fête cette année », a indiqué Marie Mumbela, une commerçante du quartier Kingabwa.« Beaucoup de familles n’ont pas pu organiser des fêtes comme d’habitude. On espère que l’année prochaine sera meilleure », a dit Jean-Pierre, un habitant de la 11ème rue, quartier Industriel.

Les rues de Limete, habituellement pleines de musique et de réjouissance, sont restées étonnamment calmes. De nombreux habitants ont exprimé leur déception face à cette ambiance jugée « timide ».Toutefois, des espaces publics ont tenté de maintenir l’atmosphère festive, bien que la participation ait été limitée. Les autorités locales n’ont pas encore commenté les raisons de cette célébration modérée, mais plusieurs habitants appellent à un renforcement de l’accompagnement somcial et économique pour 2025.

La fête de la bonne année célébrée dans le monde entier chaque 1er janvier, reste une occasion de renouveler l’espoir pour une année meilleure. Pour Limete, cet espoir est marqué par un vœu collectif de changement.

ACP/JF/CC



Les travaux de construction de la rocade se poursuivent à Kinshasa, six mois après leur lancement par le Président Félix Tshisekedi. Un reporter de Radio Okapi l’a constaté mardi 31 décembre sur terrain sur le tronçon compris entre Kimwenza Gare et N’djili Brasserie.

Le chantier connaît une progression rapide dans la construction des buses et des dalots mais aussi dans l’aménagement de cette route de quatre bandes. La chaussée est en train d’être remblayer de la caillasse.

C’est une vaste route de deux bandes aller et deux autres bandes retour qui est en pleine construction depuis juin dernier entre Kimwenza Gare et N’djili Brasserie.

Cette route, appelée la rocade, part de Lutendele jusqu’à l’aéroport international de N’djili passant par Mitendi, Kimwenza, Ndjili Brasserie, Kimbanseke pour se déverser sur la nationale numéro un au niveau de l’avenue Ndjoko. Elle reliera les quartiers Mbudi, Mitendi à l’aéroport international de N’djili.

En six mois de travail sur ce tronçon, le constructeur chinois a déjà réussi à aménager toutes les quatre bandes et couvrir la chaussée d’une couche de caillasse, prête à accueillir l’asphalte.

En ce moment, plusieurs caniveaux, buses et dalots sont en pleine construction pour faciliter le drainage des eaux jusqu’à la rivière Lukaya.

D’après un ingénieur trouvé sur place, cette route sera asphaltée à partir du mois de mai 2025. Grâce à cette route, les habitants de Mont Ngafula et Ngaliema auront désormais un accès facile et rapide à l’aéroport international de N’djili.

Le chef de l'Etat Félix-Antoine Tshisekedi avait lancé ce samedi 22 juin dernier les travaux de construction des rocades Sud-Ouest et Sud-Est de la ville de Kinshasa depuis Mitendi.

Cette route sera construite sur un tracé long de 63 kilomètres. Elle est à réaliser en quatre bandes et formera une partie de la boucle autour de Kinshasa, renseigne l’ACGT.

Ce projet est exécuté dans le cadre du programme sino-congolais, avec un montant d’investissement pour les infrastructures évalué initialement à 3,2 milliards de dollars puis révisé et maintenu à 7 milliards USD, d’après l’ACGT.

Pour la construction de ces routes de la périphérie de Kinshasa, le montant prévisionnel à ce jour est estimé à 273 millions de dollars, y compris les travaux de lutte antiérosive et les fonds d'indemnisation à la suite des expropriations.

radiookapi.net/CC



Ce 2 janvier 2025, les Congolais, particulièrement les habitants de la province du Nord-Kivu, se souviennent avec émotion de Mamadou Mustafa Ndala, colonel des FARDC -Forces armées de la République démocratique du Congo-, assassiné il y a onze ans, jour pour jour. Sa mort, le 2 janvier 2014, à Ngadi, dans une embuscade restée au cœur des controverses, continue de hanter les esprits et de symboliser le prix de la lutte pour la souveraineté de l’Est de la RDC.

Né le 8 décembre 1978 à Ibambi, dans la Province Orientale, Mamadou Ndala s’était distingué comme un officier brillant, formé par des instructeurs belges, angolais, américains et chinois. Commandant du 42ᵉ bataillon des commandos des Unités de Réaction Rapide, il avait gagné la reconnaissance nationale, en menant des offensives victorieuses contre les rebelles du M23, redonnant espoir à une population exsangue.

Le 2 janvier 2014, alors qu’il se rendait vers Eringeti, à bord de son véhicule, le colonel et son escorte tombèrent dans une embuscade, à une dizaine de kilomètres de Beni. Une roquette de RPG-7 détruisit son véhicule, causant la mort du héros national et de trois de ses gardes du corps. Cette tragédie, imputée initialement aux rebelles ougandais d’ADF, soulève encore des interrogations. Des témoins évoquent des assaillants vêtus d’uniformes des FARDC, relançant l’hypothèse d’un assassinat orchestré de l’intérieur.

Militaire charismatique, Mamadou Ndala avait su conquérir le cœur des Congolais par ses victoires décisives contre le M23. En 2013, lors des batailles de Kibati et de Bunagana, ses troupes infligèrent des défaites cuisantes aux rebelles, mettant fin à leur règne de terreur. Ces succès furent salués par la MONUSCO et les Nations unies, mais suscitèrent également des tensions politiques et des jalousies dans les rangs des FARDC.

La mort du colonel souligna les failles internes de l’Armée congolaise. Des enquêtes non concluantes, des rumeurs de trahison, et l’implication supposée de factions proches de Kigali et Kampala mirent en lumière les divisions au sein des Forces Armées. Cette ambiguïté continue d’alimenter un sentiment d’injustice parmi la population congolaise.

Au-delà de ses exploits militaires, Mamadou Ndala incarnait un modèle de leadership. Élevé dans une famille musulmane à Isiro, il s’était illustré dès son jeune âge comme un élève brillant et un footballeur talentueux. Il avait su transformer ces qualités en un courage et une détermination qui lui valurent la confiance de ses troupes et le respect de ses concitoyens.

Le rappel envisagé de Mamadou Ndala à Kinshasa, en 2013, avait provoqué des manifestations à Goma, où les habitants dénonçaient une manœuvre politique visant à entraver ses opérations. Cette pratique, consistant à neutraliser les officiers compétents par des affectations administratives, demeure une critique récurrente envers le Gouvernement congolais.

Aujourd’hui, le camp Kokolo de Kinshasa, où il repose en paix, est un lieu de recueillement pour ceux qui voient en lui un symbole de résistance et de patriotisme. Promu général de brigade à titre posthume, il laissa derrière lui une épouse, trois enfants, et un héritage militaire indélébile.

Onze ans après sa disparition, les Congolais continuent de réclamer la vérité sur les circonstances de sa mort. Son assassinat reste une plaie ouverte, illustrant les luttes de pouvoir et les alliances troubles qui minent la stabilité du pays.

Mamadou Ndala n’est pas seulement une figure du passé. Il demeure un phare pour les générations actuelles, un rappel des sacrifices nécessaires pour bâtir une nation forte et unie.

Gloire Balolage 

 
 


L'artiste musicien Ferré Gola et son groupe musical vont livrer un méga concert, ce samedi 04 janvier 2025, au stade Père Carlos de Bumba, dans la province de la Mongala. Le spectacle va débuter à 14h00, heure locale.

Celui qu'on appelle affectueusement "Le Padre" va débuter ses activités musicales dans le Grand Équateur. Le stade a une capacité de 8.000 places assises, et peut accueillir jusqu'à 15.000 personnes en cas d'un concert ou d'un meeting populaire.

Ferré Gola va relever un nouveau défi à l'intérieur de la RDC -République démocratique du Congo-, après avoir livré deux grands concerts, respectivement le 07 décembre 2024, au Complexo da Cidadela Desportiva, à Luanda, et deux semaines plus tard à la FIKIN -Foire Internationale de Kinshasa-.

Pour rappel, les travaux de construction du stade n’ont commencé qu’en 1977, avec le Père Carlos, qui construisit le mur de la clôture du stade, grâce, en partie, au financement de feu Litho Moboti, alors candidat commissaire politique en campagne électorale aux élections de 1977 pour devenir membre du Bureau politique du MPR -Mouvement Populaire de la Révolution-, parti unique au pouvoir du temps de Mobutu, et en partie, lorsque le financement de Litho s’épuisait, par le Père Carlos lui-même, qui s’y est investi par son propre argent, de même pour reconstruire le même mur lorsqu’il s’est écroulé vers l’année 1986.

Au deuxième écroulement du mur en 2008, il aurait fallu 80.000 dollars pour que l’Etat congolais intervienne par le truchement de la ministre de Portefeuille de l’époque, Madame Mabunda Jeanine, pour la reconstruction du mur.

Et c’est encore par son service, alors qu’elle était encore Conseillère de l’ex- Chef de l’Etat Joseph Kabila en matière de droit de la femme, qu’elle a dû peser auprès du ministre des Sports et Loisirs, pour obtenir l’homologation du stade Père Carlos de Bumba, dont la remise publique du Certificat d’Homologation eut lieu dans ledit stade, le vendredi 13 juillet 2018, en présence d’une foule incalculable de la population et de plusieurs personnalités, dont le coach national Florent Ibenge.

Gratis Makabi



Le gouverneur du Kasaï central, Joseph Moïse Kambulu, est rappelé urgemment à Kinshasa par le Vice-premier ministre, ministre de l'Intérieur, Jacquemain Shabani. Dans sa note, le VPM de l'Intérieur parle d'une consultation.

Ce rappel intervient après la récente polémique née à la suite des propos tenus par le gouverneur, lors du briefing co-animé avec le ministre des Médias, à Kananga. Le gouverneur du Kasaï central avait, sans peur d'être contredit, exprimé son regret envers Kinshasa, pour le manque de réalisation des travaux de développement dans sa province.

Au sein de l'Union sacrée, cette position manifestée par le gouverneur du Kasaï était très mal digérée, au point de réclamer sa tête. Dans ce lot, l'on peut, entre autres, citer plusieurs ténors de l'UDPS, parti au pouvoir, qui estiment que le gouverneur aurait manqué de réserve.

Malgré la clameur publique observée, le gouverneur Joseph Moïse Kambulu semble être soutenu par une grande partie de la population de ce coin. Celle-ci estime que Joseph Moïse Kambulu a évoqué la vraie réalité de la province.

Grevisse Tekilazaya

 


La dépravation des mœurs  avec impact sur les jeunes  a été le motif de l’interdiction de diffusion du clip  d’un musicien congolais par le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) à Kinshasa,  en  République Démocratique du Congo, a  appris l’ACP lundi, dans un communiqué.

« Est interdite de diffusion dans tous les médias et réseaux sociaux opérant en

République Démocratique du Congo à dater de sa publication, la nouvelle chanson et clip de l’artiste musicien et comédien Lil  Nas  X, non autrement identifié. L’Artiste musicien et comédien concerné, auteur de la chanson « Misukakalikolo n’a cadre ya sentiments » , a été  invité au Conseil pour présenter ses moyens de défense en rapport avec les manquements relevés ci-avant endéans 7 jours », a-t-on lu dans cette correspondance du Csac.

Dans le cadre de cette mesure, le Csac a souligné la nécessité de protéger les valeurs culturelles et morales de la société congolaise mais surtout la jeunesse qui s’avère la première victime de ce fléau. 

« La diffusion de contenus qui portent atteinte aux bonnes mœurs et à l’éthique sociale ne saurait être tolérée », a-t-il ajouté.  

Le Procureur général près la Cour de cassation a reçu l’instruction de veiller à l’application de cet acte, en engageant des poursuites contre quiconque enfreindrait cette interdiction. Ce rappel à l’ordre extériorise l’engagement des autorités à garantir un espace médiatique respectueux des valeurs traditionnelles et culturelles.

« Le Procureur Général près la Cour de Cassation est prié de concourir à la bonne exécution du présent acte qui entre en vigueur à la date de sa publication, et de poursuivre conformément à la loi tous les réfractaires qui contreviendraient au présent acte« , a-t-il renchéri.

Le Csac a réitéré ainsi son rôle de régulateur dans un paysage médiatique en constante évolution, car cette déclaration met en évidence l’urgence d’aborder la question de la dépravation des mœurs dans un monde où les influences externes peuvent rapidement s’imposer.

« La responsabilité collective de préserver notre culture implique de prendre des décisions fermes contre toute forme de dépravation », a-t-il fait savoir. 

ACP/C.L./CC



Le chanteur Fabregas le Maestro de la République démocratique du Congo est programmé pour un concert visant à sensibiliser les jeunes contre le banditisme urbain prévu le 2 janvier dans la commune de Matete, au centre de Kinshasa, a annoncé l’artiste musicien dans une vidéo visionnée mardi par l’ACP.

 » Villageoises et Villageois , je vous invite le 2 janvier à un concert exceptionnel pour la lutte contre le banditisme urbain communément appelé  » le Kuluna  », a déclaré le chanteur Fabregas le Maestro.

À l’en croire, ce concert est une initiative d’une structure qui vise prioritairement lutter contre la recrudescence de l’insécurité dans la commune de Matete.

 » Les Amis de terrain Bomoko ont pensé à nous et nous ne pouvons que nous tenir prêts à répondre à ce genre d’appels lorsque le contexte se justifie  », a-t-il susurré dans la vidéo, avant de renchérir :  » Je vais vous amener à l’ONU britannique ( La commune de Matete) l’orchestre Villa Nova dans son ensemble pour vous faire plaisir et réjouir le cœur de bien des gens avec les chansons de notre nouvel album… »

Le chanteur Fabrice Mbuyulu Bela, mieux connu sous le nom de scène  » Fabregas le Maestro  » est une  ancienne figure marquante de l’orchestre Wenge Musica Maison Mère (WMMM), consortium musical dirigé par le chanteur Ngiama Makanda dit Werrason.

Il venait de réaliser avec son alter ego Fabrice Luangomba Nkoka dit Deplick Pomba, un album commun  » les inséparables  » qui est disponible depuis le 13 décembre sur les plateformes de téléchargement légales.

ACP/C.L./CC

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Ali Kalonga

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