Pour garantir la liberté de création artistique en RDC, pays avec un potentiel créatif reconnu dans le monde, la ministre de la culture, des arts et du patrimoine, Yolande Elebe Ma Ndembo entend réformer la commission nationale des censures des chansons et des spectacles. Cela devra se faire avec le concours du ministère de la justice et garde des sceaux qui en a la responsabilité.

Pour ce faire, la nouvelle patronne du secteur culturel congolais a fait ce plaidoyer auprès de son collègue, ministre de la justice, Constant Mutamba, en déposant, ce jeudi 18 juillet, une note qui résume sa vision de la réforme de la commission de censure.

“ Se faisant le porte-voix des artistes et opérateurs culturels qui se voient menacés très souvent dans leur liberté d’expression et de création artistique, pourtant garantie par la constitution du pays en son article 46, la Ministre Yolande Elebe Ma Ndembo envisage une table de travail mixte (commission interministérielle) qui aboutirait à la mise sur pied d’un organe de régulation plus adapté aux valeurs démocratiques de notre nation et plus efficient ”, indique un communiqué du ministère de la culture.

La problématique de la censure dans laquelle la ministre Yolande Elebe s’implique est un élément très décrié dans le milieu musical congolais. Des artistes tels que Koffi Olomide, Alesh, Paul le Perc, Romain Kukielukila et bien d’autres élèvent leurs voix quand ils en ont l’opportunité pour décrier l’existence d’une commission de censure dans un pays démocratique. 

Le mot "censure", soutiennent-ils, est par définition, une limitation de la liberté d’expression par un pouvoir sur des livres, médias ou diverses œuvres d’art.

Les œuvres des artistes tels qu’Innoss’b, Alesh, MPR, Bob Elvis ont déjà été recalés par la commission de censure.

actualite.cd/CC



Des frondeurs de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti présidentiel, ont destitué ce jeudi 18 juillet, Augustin Kabuya, de son poste de secrétaire générale du parti. Ils lui reprochent d’accaparer les postes au sein du Gouvernement à son profit, rapporte Adrien Kalenga (photo ci-dessus), porte-parole, de l’UDPS.  

Cette décision a été annoncée ce même jeudi à Kinshasa lors d’un point de presse organisé par l’exécutif national de l’Union pour la démocratie et le progrès social.

Ces frondeurs parmi lesquels l’on compte le porte-parole du parti, le président du groupe Forces du progrès et des leaders des jeunes, mais aussi 33 secrétaires nationaux, accusent Augustin Kabuya d’abus, de corruption, de  gestion solitaire et personnalisée du parti  ou encore de clientélisme. 

Des sorties médiatiques inopportunes, hasardeuses et non concertées l’absence de vision figurent aussi parmi les griefs mis à charge d’Augustin Kabuya. 

L’ancien ministre de la Santé, Eteni Longondo, mène la fronde contre le secrétaire général du parti présidentiel. 

Les tentatives de Radio Okapi pour avoir la réaction d’Augustin Kabuya ou même de ses proches n’ont pas abouti. Toutefois, dans un communiqué signé mercredi 17 juillet, Augustin Kabuya, agissant comme président intérimaire de l’UDPS exhorte toute la base du parti à rester unie, sereine et calme.

Le secrétaire général recommande le respect des textes de l'UDPS, qu'il considère comme leur patrimoine commun.

« Le secrétaire général faisant fonction du Président intérimaire du Parti en appelle à la vigilance de toutes les combattantes et tous les combattants car l'ennemi compte déstabiliser le Parti, et par ricochet le régime », note Augustin Kabuya.

radiookapi.net/CC


Le Chargé d’Affaires de l’Ouganda en RDC, Matata Twaha, a été reçu ce vendredi matin par la Vice-Ministre des Affaires étrangères, Coopération internationale et Francophonie, Gracia Yamba Kazadi. Cette rencontre survient après la publication d’un rapport par des experts des Nations Unies accusant l’Ouganda de soutenir les rebelles du M23. Matata Twaha a fermement réfuté ces accusations, dénonçant une manœuvre maladroite des Nations Unies susceptible de refroidir des liens diplomatiques jusque-là cordiaux.

"L’Ouganda, qui est un partenaire de la RDC dans la pacification de l’Est dans l’opération Chuja, ne peut être un soutien d’un quelconque mouvement rebelle actif sur le territoire congolais. En outre, cette publication est intervenue alors que le gouvernement ougandais n’a pas été saisi officiellement sur ladite question," a déclaré Matata Twaha.

Sur les allégations de soutien au M23: "Il reste une allégation. Pourquoi devrions-nous soutenir le M23 ? Notre position a été claire au sein de la communauté de l'Afrique de l'Est : nous devons travailler ensemble pour éliminer toutes les forces négatives qui nous perturbent," a insisté le Chargé d’Affaires.

Sur les accusations concernant l'armée rwandaise: "Les allégations selon lesquelles des éléments de l'armée rwandaise sont passés par l'Ouganda avant d'occuper certains villages en RDC doivent être examinées en détail pour que nous puissions réagir de manière appropriée," a-t-il ajouté.

Réaction au rapport des experts de l'ONU: "Le rapport du groupe d'experts de l'ONU a été rendu public, et nous attendons la communication officielle. L'ONU a le devoir de nous transmettre officiellement les rapports pour que nous puissions répondre au contenu. Enflammer les choses n'est pas une bonne pratique. Nous devons recevoir les détails avant de pouvoir réagir de manière appropriée," a souligné Matata Twaha.

En réponse aux accusations du gouvernement de la République Démocratique du Congo qui appelle à des sanctions contre le Rwanda, Matata Twaha a souligné la coopération continue entre les forces ougandaises et congolaises contre les rebelles des Forces Démocratiques Alliées (ADF), affiliées à l'État islamique.

Contexte des relations et des conflits: La publication de ce rapport intervient alors que la région de l’Est de la RDC reste en proie à de violents conflits. La rébellion du M23 contrôle plusieurs villages dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi et Lubero, où ils ont instauré une nouvelle administration. Cette situation a conduit à l'ouverture de procès en flagrance avec des sanctions sévères pour certains officiers militaires congolais.

Kinshasa a toujours pointé du doigt le Rwanda pour son soutien au M23, une accusation désormais étendue à l’Ouganda par le rapport des experts de l’ONU, malgré les efforts conjoints pour restaurer la paix dans la région.

L’Ouganda persiste dans sa position de déni de toute implication dans le soutien au M23 et appelle à une communication officielle et détaillée des Nations Unies pour pouvoir répondre de manière appropriée aux accusations formulées. La situation demeure tendue alors que les efforts pour stabiliser la région se poursuivent.

actualite.cd/CC



Le ministre national du Commerce extérieur a visité, ce jeudi 18 juillet 2024, toutes les douze (12) directions qui composent le secrétariat général de ce ministère de la République démocratique du Congo. Cette descente a été effectuée dans le but de s'imprégner des défis auxquels le Gouvernement va s'attaquer, pour faire du secteur du Commerce extérieur le levier de la croissance économique du pays.

Pour le secrétaire général de ce secteur, cette visite est un message qui pourra motiver les agents de son administration, en plus d'être le lancement de renforcement d'un mariage entre les agents du cabinet et ceux de l'administration.

Ainsi donc, Julien Paluku Kahongya a palpé de ses propres droits les difficultés auxquelles se heurtent les agents et cadres du secrétariat général du ministère de Commerce extérieur. Parmi les défis auxquels il faut apporter des solutions, figurent le manque du charroi automobile pour la mobilité du personnel, l'insuffisance des locaux ainsi que l'absence de paie de 4.000 agents sur les 11.000 que compte cette administration.

Il sied de noter qu'après cette visite, l'étape suivante sera consacrée à la visite des établissements publics et services sous tutelle du ministère de Commerce extérieur, a rapporté la cellule de communication du ministre Kahongya.

Prosper Buhuru

 



Le CVAR -Collectif des Victimes de l'Agression Rwandaise- en RDC, se dit profondément préoccupé par la prorogation (pour 15 jours) de la trêve humanitaire, entre les FARDC -Forces Armées de la République démocratique du Congo- et les rebelles M23-AFC soutenus par le Rwanda, telle que décrétée par les États-Unis d'Amérique.

Dans une interview exclusive accordée à la Rédaction d'Opinion-info.cd, ce vendredi 19 juillet 2024, le communicateur de cette organisation de défense des droits humains a indiqué que cette trêve humanitaire révèle la complicité de l'Amérique avec les pays agresseurs du Congo-Kinshasa. D'après Aimable Gafurura, c'est inadmissible de prolonger cette mesure qui a connu des graves violations de la part des rebelles.

«Vous avez décidé qu'il y ait trêve, il y a eu violation, vous dénoncez, vous ne sanctionnez pas, en quoi vous nous êtes utile ? Pour nous, les États-Unis jouent le jeu de l'ennemi. Ils cherchent à favoriser le renforcement de l'ennemi», a-t-il déclaré.

Reconnu pour son franc-parler, Aimable Gafurura n'a pas su mâcher ses mots, pour justifier toutes ses accusations contre le pays de Joe Biden, partenaire fiable de Kagame. À l'en croire, cette trêve humanitaire a été déclarée pour des raisons sécuritaires en cette période électorale dans le pays de mille collines.

«Les USA sont en train de renforcer le Rwanda, qui est en période post-électorale, où l'on a nécessairement besoin de la sécurité, parceque l'on ne sait pas ce qui peut subvenir après ces élections. Vous savez qu'au Rwanda, les militaires sont aussi électeurs. C'est lui donc le bénéficiaire direct de la trêve humanitaire, et pas nous les Congolais», a-t-il souligné.

En outre, ce défenseur des droits humains a exprimé sa désolation quant aux résultats des quinze premiers jours de cette trêve, qui expire ce 19 juillet 2024. Selon Aimable Gafurura, aucune assistance humanitaire n'est parvenue aux populations vivant dans les zones en conflit, depuis la déclaration de cette trêve. À cela s'ajoutent les tueries des civils par les M23, à Bweremana, dans le territoire de Masisi, au Nord-Kivu.

Par ailleurs, «le Gouvernement congolais doit être vigilant dans cette situation de guerre», a exhorté Aimable Gafurura, avant de rappeler :«une nation ne tombe en ruine, non seulement à cause des méchants, mais à cause de la naïveté et la passivité des hommes bons.»

Prosper Buhuru



Membre de l'équipe gouvernementale Judith Tuluka, le ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité, Teddy Lwamba, a évoqué les priorités du Gouvernement en matière de desserte en eau et la fourniture en électricité en RDC -République démocratique du Congo-.

C'était lors d'un briefing spécial qu'il a co-animé, jeudi 18 juillet 2024, à 17h00’, dans la salle de la Presse RTNC3, avec son collègue de Communication et Média, Patrick Muyaya. 

Ancien DGA de la SNEL, le ministre Teddy Lwamba a, de prime abord, fait un état des lieux de la situation en eau et électricité, et, en même temps, abordé la question sur les perspectives. 

"Le plan du Gouvernement et le programme que nous mettons en place est axé sur quatre points", a-t-il dit.

Il s'agit de de la fiabilisation du secteur de l'eau ; de la revitalisation de la croissance économique en partant du secteur d'électricité ; de l'investissement dans le secteur de l'eau et électricité ; et de la réglementation, l'assainissement du cadre légal.

Et par rapport à l'amélioration de la desserte en eau et en électricité, le ministre Teddy Lwamba a expliqué qu'"il faut passer par plusieurs étapes. Le secteur de l'électricité, aujourd'hui en RDC, est en train de s'accroître et de se développer. Si nous devrions rentrer sur son état des lieux, aujourd'hui, c'est pratiquement 2800 mw de capacité installée, dont nous avons 2100 qui est disponible. Alors, il y a des lacunes pratiquement dans le domaine de la planification. Il nous faut des outils de planification, notamment, la politique sectorielle qui doit être définie. Et c'est sur base de cela que nous sommes en train de doter le pays des outils de travail".

 

Il a, par la même occasion, indiqué que "dans le lot d'outils de travail, nous avons par exemple, la politique sectorielle qui doit être définie ; un plan de l'énergie. Ici, il s'agit de doter le pays de documents de planification, pour pouvoir avancer dans le travail ; une feuille de route sectorielle est en cours de téléchargement, pour pouvoir déterminer les étapes à suivre ; et il y a aussi un élément essentiel qu'est le cadre légal".

Et d'indiquer : "Avant de poser tous nos actes, nous nous basons sur le socle de la réglementation. Nous sommes en train de nous atteler sur de réformes. La loi sur l'électricité existe depuis 10 ans, mais nous avons constaté certaines lacunes que nous devons combler, notamment, dans le régime juridique dont la distribution de titres".

Le ministre Teddy Lwamba a aussi révélé que dix ans après, le secteur de l'électricité ne connaît pas d'ascension avec de nouveaux projets, parce qu'il y a des difficultés dans l'octroi des titres. 

 

"Par exemple, pour l'acquisition de tout titre, il faut que ça soit procédurale avec des études de faisabilité, dont nous avons du mal à financer. Généralement, nous passons par des tierces. Nous passons beaucoup de temps en régime d'octroi de titres que dans l'exécution des projets. Nous devons donc réduire le délai d'octroi des titres", a dit le ministre des Ressources hydrauliques et Électricité.

Quant à la l'acquisition de titre, le ministre Teddy Lwamba a indiqué qu'il y a aussi des problèmes.

"Le marché public applicable au secteur de l'électricité est parfois contraignant, c'est-à-dire même si vous avez des urgences, vous devez suivre de procédure qui prend plus de temps", a-t-il déploré. 

Et d'ajouter : "Il faut une stratégie agressive, c'est-à-dire, face au déficit d'environ 2500 mw programmé, nous devons mettre en place un plan de 9 sites que nous pouvons développer pour produire 2500 mw". 

Il importe de souligner qu'à ce jour, les miniers consomment 1400 mw et ce qui va dans ce secteur permet de générer un PIB d'au moins 35 millions USD, dont le pays capte près de 7000 USD. 

"Alors, c'est important de renflouer les mines pour que nous ayons un développement dans ce secteur. Nous avons mis en place le plan de récupération de l'énergie indisponible. Nous faisons une politique de substitution avec l'énergie photovoltaïque, par exemple, pour venir en appui à la consommation domestique. Avec la consommation domestique, nous comptons récupérer, par exemple, la puissance des immeubles publics pour les injecter dans le secteur industriel. Cela sera un levier important; car, pour 1 mw produit, ça permet de générer 20 millions USD sur le PIB. Donc, nous devons plus autonomiser nos instances et immeubles, pour donner plus d'énergies au secteur industriel, qui peut faire de la compensation", a-t-il expliqué.

Serge Mavungu 

 

Quid de l'autonomisation de certains sites prioritaires de production d'eau? 

 

Le ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité parle d'un million trois cent mille m3 disponible, alors que le besoin est autour de 3 millions 500 mille m3 par jour. 

"Nous avons la consommation en termes d'usine : 80 % qui vient de l'eau de surface et 20% de l'eau de forage. Parmi les mesures prises pour la sécurisation de sites de captage d'eau, il y a l'identification des sites, parce qu'il y a la pollution et nous devons avoir une politique pour assainir tous ces milieux ; la politique de la chaîne de valeur autour de l'eau et l'électricité, c'est-à-dire, nous avons la production de l'eau et électricité, mais nous manquons le service d'appoint, c'est-à-dire, fournitures de PVC et tout ce qui va avec", a fait savoir Teddy Lwamba.

Une fois que toutes ces politiques sont mises en œuvre, a-t-il indiqué, la desserte en eau et électricité pourra davantage s'améliorer.



La société Plantations et huileries du Congo (PHC) a inauguré jeudi18 juillet à Kinshasa son nouveau laboratoire de contrôle qualité . Selon les responsables de cette entreprise agricole spécialisée dans la production et la commercialisation d’huile de palme, ce laboratoire permettra de détecter et de corriger rapidement les non-conformités, assurant ainsi le respect des normes rigoureuses du marché. 

« Le laboratoire qui vient d’être inaugure ce matin, je dirai que c’est un nouveau laboratoire qui vient en appui aux trois autres laboratoires que nous avons déjà. PHC a dans chaque usine, au niveau de la production, un laboratoire qui contrôle la qualité des huiles de palme pendant la production jusqu’à l’expédition vers les clients. Maintenant, il arrive que les produits puissent quitter à des milliers de kilomètres, à plus de mille kilomètres par exemple pour arriver jusqu’aux clients et pendant ce temps, lorsque le produit arrive, nous devons encore nous rassurer que le produit n’a pas été altéré, donc ce laboratoire vient encore en appui pour faire un deuxième contrôle pour certifier la normalité des huiles », a expliqué a Radio Okapi Paulin Ndedi, directeur technique de PHC  .

 Selon lui, son entreprise est à la recherche de la perfection :

 « Vous savez que plus on fait des contrôles, mieux on va vers la perfection, donc un seul contrôle peut ne pas être suffisant, donc ce contrôle que nous faisons avec ce laboratoire sera un double contrôle que nous installons.»

La société Plantations et huileries du Congo opère essentiellement dans les provinces de la Tshopo, de la Mongala et de l’Equateur.

radiookapi.net/CC



« Les soldats sont là pour protéger le pays à chaque fois que la menace est signalée. Ils se mettent en ordre opérationnel pour répondre à un besoin spécifique. Les voir circuler n’est pas quelque chose d’extraordinaire », a déclaré jeudi 18 juillet, le commandant de la vingt-deuxième région militaire, le général Eddy Kapend.

Il a rencontré à Lubumbashi, les agences du système des Nations unies qui sont opérationnelles dans le Grand Katanga. A cette occasion, plusieurs questions d’ordre sécuritaire ont été évoquées. C’est notamment celle relative aux cas de braquage et autres crimes qui sont enregistrés à travers les grandes agglomérations de l’ancien Katanga.

Pour le général Eddy Kapend, l’armée fournit beaucoup d’efforts pour mettre fin à cette insécurité.

« C’est un problème de criminalité urbaine, c’est vrai que ça nous dérange et tous les jours nous faisons des efforts pour pouvoir démanteler tous ces réseaux des inciviques qui commettent des crimes au sein de la  population. C’est une préoccupation pour nous. Nous y travaillons. Dans nos cachots c’est plein de tous ces criminels. Dans nos juridictions, au tribunal civil et militaire, tous ceux qui sont attrapés dans ces conditions sont sévèrement punis. Ils agissent de fois de manière imprévue et par surprise », a rapporté le général Eddy Kapend.

Pour lui, des efforts sont fournis afin de mettre fin à cette situation.

« Ce n’est pas facile vous savez, plus nos villes grandissent plus pauvreté est aussi importante. Plus tous ces enfants en rupture familiale qui grandissent sont susceptibles d’être recrutés dans telle et telle voie de fait. Et donc l’insécurité urbaine existe. Nous nous attelons jour et nuit pour y mettre fin », détaille le général Eddy Kapend.

radiookapi.net/CC

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