La troisième édition de l’exposition «Aspire to Greatness» ouvre ses portes avec un focus sur la créativité des arts plastiques et graphiques des années 70,  le 31 août 2024 à l’espace Mont des arts à Lingwala au centre de Kinshasa, en République Démocratique du Congo, a appris l’ACP d’un artiste.

«J’invite les amoureux de l’art plastique à découvrir l’essence des années 70 à travers une célébration immersive de l’art graphique et plastique. C’est la créativité des années 70 qui sera mise en lumière lors de cette exposition itinérante. À part la date du 31 août, cette exposition, qui se tiendra également du 4 au 5 septembre 2024 au Centre Wallonie Bruxelles, va révéler l’harmonie créative de cette décennie vibrante», a indiqué Henmart Mutela, artiste plasticien congolais et participant à l’exposition.

Cet événement, qui en est à sa troisième édition, se déroule chaque année à Kinshasa. Pour cette édition, la thématique des années 70 apportera une touche unique, offrant une immersion totale dans cette époque emblématique à travers l’art.

«Les visiteurs pourront se plonger dans une atmosphère rétro unique, animée par des œuvres d’art exceptionnelles, une musique d’époque, et une scénographie immersive», a-t-il indiqué.

Des dizaines de tableaux seront exposés relatant le vécu quotidien antérieur de la vie dans ville de Kinshasa.

ACP/C.L./CC



 Le conseil communal de Mont-Ngafula, dans l’Ouest de Kinshasa, en République démocratique du Congo, a envisagée, jeudi, l’élaboration des nouvelles lois pour l’organisation et le développement de cette municipalité lors de l’ouverture de la session ordinaire. 

« La session de ce mois sera axée sur l’organisation de la commune et le vote de nouvelles lois pour la bonne conduite et le développement de cette juridiction telle que la Constitution nous en a conférée le pouvoir. Nous sommes déterminés à développer la commune de Mont-Ngafula, c’est notre message d’assurance à nos électeurs, ils ne seront pas déçus », a déclaré Yoshoua Kasongo président du conseil communal de Mont-Ngafula.

Il a, à cette occasion, invité le collège exécutif, dirigé par le bourgmestre à ouvrir l’atelier sur l’élaboration du budget de la commune afin de le présenter aux conseillers municipaux dans le délai prescrit pour son adoption.

« J’invite donc le service mobilisateur de la commune à faire preuve de responsabilité afin de donner la commune un budget qui correspond à ses ambitions », a-t-il ajouté.

Le bourgmestre de Mont-Ngafula a pour sa part, sollicité l’accompagnement de ses administrés pour l’aboutissement de ce projet de développement.

« À la population, nous demandons son accompagnement, qu’elle soit à côté des conseillers communaux et des bourgmestres, nous attendons leurs propositions pour que cette commune puisse aller de l’avant au travers de ce projet. Cette plénière a été centrée sur l’évolution de cette juridiction, c’est pour nous un jour de fête, je pense que nous devons marcher ensemble, communier pour atteindre de bons résultats», a souligné Séverin Lumbu bourgmestre de la commune de Mont-Ngafula.

Cette session va durer un mois et sera largement consacrée à l’élaboration du budget de la commune de Mont-Ngafula. Le conseil communal a émis le vœu de voir la vie des administrés être impactée grâce au budget qui sera élaboré.

Ce conseil a également promis de relever les défis auxquels la commune de Mont-Ngafula fait face, notamment l’insécurité, insalubrité et les érosions. Lors de sa toute première déclaration, après son élection, il s’était engagé à garantir le  droit d’expression, le mieux-vivre et le respect mutuel rappelle-t-on.


ACP/C.L./CC



Kinshasa, le 14 août 2024 La Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi (FDNT) a organisé, au chapiteau du Palais du Peuple, la cérémonie de remise des prix à 74 nouveaux boursiers du programme ambitieux EXCELLENTIA. L'événement s'est déroulé en présence du Couple présidentiel, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et la Distinguée Première Dame.

De 2019 à 2024, la FDNT a déjà atteint 313 boursiers sur son objectif d’octroyer 1000 bourses locales et 100 bourses internationales pour 5 années d’études sur 10 ans.

Joël Makubikwa, Coordinateur de la Fondation, a mentionné la répartition actuelle des différents boursiers.
"205 boursiers sont inscrits dans différentes universités au niveau national, 65 poursuivent leurs études en France, 5 se trouvent aux USA et 38 sont actuellement au Maroc. Après avoir obtenu au minimum 85 % au diplôme d'État, les lauréats doivent se qualifier avec au moins 70 % de réussite au test proposé par la Fondation", a-t-il précisé.

Plaidoyer de la Distinguée Première Dame

La Présidente de la FDNT, Denise Nyakeru Tshisekedi, a exprimé sa reconnaissance à l'endroit du Chef de l'État pour son soutien sans faille et son accompagnement dans la réussite de cet ambitieux programme.

De nombreux dignitaires du pays ont pris part à cette cérémonie, en plus des partenaires d'exécution. Dans son discours, la Distinguée Première Dame a également lancé un plaidoyer au gouvernement congolais pour que le programme EXCELLENTIA devienne plus vaste et soit pris en charge par le gouvernement de la République.

"Démarré en 2019, le programme EXCELLENTIA n'a cessé de mettre en avant le rôle de l'éducation dans la transformation de la jeunesse congolaise. Ce rendez-vous, devenu régulier, s'est progressivement élargi, en incluant des enfants issus de tous les coins du pays (...)", a affirmé la Distinguée Première Dame avant d'adresser des mots d'encouragement aux boursiers. "Très chers lauréats, bravo pour votre persévérance, votre assiduité, votre détermination et votre audace. C'est sans doute encore cette même audace qui doit guider vos choix et vos pas. Vous avez la responsabilité de réussir et de contribuer au développement de notre pays."

Pamela Fazila, 18 ans, venant de l'Institut Metanoia de Goma (Nord-Kivu), figure parmi les nouveaux lauréats qui rejoignent la famille EXCELLENTIA. Elle promet de mettre en œuvre tous ses efforts pour réussir son parcours académique. "J'ai été sélectionnée à la suite de la publication des résultats de l'examen d'État. Il fallait ensuite se rendre à Kinshasa pour passer le test. Ma famille et la Fondation se sont accordées sur toute la procédure. Aujourd'hui, je me sens si fière d'être parmi les élèves les plus excellents de la République. Je mettrai toute mon intelligence au service de ma nation. Je dois donc réussir mon parcours académique", a-t-elle affirmé.

Les boursiers des éditions précédentes ont également eu l'opportunité de faire leur stage professionnel en RDC, en particulier ceux qui poursuivent leurs études dans les universités de la France, des États-Unis et du Maroc.

actualite.cd/CC

Il est important de noter que le Programme EXCELLENTIA vise à promouvoir la culture de l'excellence en milieu scolaire, à susciter l'émulation chez les enfants, et à créer une nouvelle élite qui présidera aux destinées de la nation en investissant dans l'éducation des jeunes.

À propos de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi :

La Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi œuvre pour améliorer la qualité de vie des communautés congolaises en mettant l'accent sur la santé, l'éducation, et le bien-être social.



Le nouveau président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, et tous les membres du bureau définitif, sont entrés en fonction ce jeudi 15 août après la cérémonie de remise et reprise entre les bureaux provisoire et définitif. 

Cette cérémonie s'est déroulée en présence des hauts fonctionnaires du Sénat, des collaborateurs des membres du bureau définitif, des membres des cabinets du Bureau provisoire et de plusieurs invités.

Prenant la parole en premier, le président du bureau provisoire, Pascal Kinduelo, a remercié le chef de l'État pour son soutien indéfectible. Il a salué le travail accompli par le bureau provisoire, qui s'est achevé par l'élection et l'installation du bureau définitif. Pascal Kinduelo a reconnu publiquement que le Sénat de la RDC est aujourd'hui dans les bonnes mains, avec à sa tête l'ancien Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde. 

Le nouveau président du bureau définitif, Jean-Michel Sama Lukonde, a rendu hommage au chef de l'État pour ses orientations et son soutien et l'a rassuré de sa loyauté indéfectible. Il a aussi remercié le bureau provisoire pour la franche collaboration dans le travail accompli. Pour lui, l'élection de son bureau a suscité beaucoup d'espoir au niveau du Sénat. Il a, pour ce faire, exhorté les uns et les autres à ne ménager aucun effort pour améliorer les conditions de travail. Il a invité ses collègues sénateurs à travailler à l'unisson afin de porter la Chambre haute à la hauteur de son image. 

" J’invite donc tous les honorables sénateurs et le personnel des cabinets ainsi que les agents et cadres de l’administration, à travailler, tous d’arrache-pied, sans répit et à l’unisson, aux fins de porter notre chambre à la hauteur de la dignité de son image, pour l’intérêt supérieur de la nation ", a-t-il déclaré dans son mot de circonstance.  

Rappelons que l'élection du bureau définitif du Sénat, lundi 12 août, a marqué la clôture de la session extraordinaire inaugurale, renvoyant en même temps les sénateurs en vacances parlementaires. Ce n'est que le 15 septembre prochain que le Sénat siégera de nouveau pour la session budgétaire de septembre 2024.

Au bureau définitif du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde sera accompagné du 1er Vice président : José Kalala ; 2ème vice-président : Bahati Lukwebo ;  Rapporteur : Ngudianza Néfertiti ; Rapporteur adjoint : Jean-Claude Baende ; Questeur: Sylvain  Mukengeshayi Kabongo ; Questeur adjoint : Pascal Omana Bitika.

Clément MUAMBA



L’ancien ministre du tourisme, Modero Nsimba a quitté la prison Makala dans l’après-midi de ce mardi 13 août. Il sera assigné à résidence surveillée. Il est détenu depuis mars dernier. Me Michel Diembo a confirmé à ACTUALITE.CD la libération de son client. 

Modero est accusé de propagation de faux bruit à la suite de la diffusion d'un audio controversé sur les réseaux sociaux. L'enregistrement en question, attribué à Nsimba, contient des discussions sur plusieurs sujets sensibles, y compris la mort de l'ancien ministre des Transports, Chérubin Okende. D'après l'audio, deux membres de la famille présidentielle, Christian et Jacques Tshisekedi, ainsi que Christian Ndaywel, un haut responsable de l'état-major des renseignements militaires, seraient impliqués dans cette affaire.

Un dossier avait été ouvert contre lui d’abord au parquet général près la cour de cassation, puis devant la Cour de cassation. Sa défense avait contesté la compétence de ces juridictions à juger son client car n’étant plus député, ni ministre. Une requête en inconstitutionnalité avait été introduite à la Cour constitutionnelle. Mais la Cour de cassation avait déjà rendu un premier arrêt assignant Modero à résidence surveillée. 

actualite.cd/CC



Le Ministre de la communication et médias, Patrick Muyaya, a reçu, ce mardi 13 août 2024, le comité préparatoire du Congrès de l’UNPC pour lui faire part de la disponibilité, enfin, du financement de ce congrès. Patrick Muyaya, qui s’est excusé du temps qui s’est écoulé dû aux contingences de la gouvernance financière, s’est réjoui de cet aboutissement qui va permettre de réunir les conditions pour la reprise en charge de la surveillance de la pratique du métier d’informer en RDC par l’autorégulation.

À la vingtaine de ses interlocuteurs, le Ministre de tutelle leur a demandé de travailler en étroite collaboration avec son cabinet pour les modalités pratiques pour la tenue du congrès. Et vu l’urgence et la nécessité, les deux parties ont convenu que les travaux se tiennent en début de la seconde quinzaine du mois de septembre. Ce délai est conforme aux dispositions des statuts en vigueur de l’UNPC qui prévoient que le congrès doit être convoqué au moins un mois avant la date de sa tenue.

Cette annonce a été accueilli avec grand soulagement dans le camp des professionnels présents après plusieurs mois d’attente. De part et d’autre, il s’est dégagé une ferme volonté de tenir un congrès suffisamment inclusif afin de doter le pays d’une instance légitime d’autorégulation de la pratique du journalisme après vingt années de crises successives.

congoguardian/CC



Les candidats de l'Union sacrée aux postes de président, 1ᵉʳ et deuxième vice-président du bureau définitif du Sénat ont été tous élus ce lundi 12 août.

Jean-Michel Sama Lukonde prend la tête de la chambre haute du Sénat avec 84 voix sur les 95 votants contre 8 voix de Jonas Munkamba.

José Kalala Wa Kala, l'autre candidat sur le ticket de l'Union sacrée, a également été élu avec 91 voix, tout comme Bahati Lukwebo au poste de deuxième vice-président avec 64 voix.

Par contre, le candidat rapporteur attribué par l'Union sacrée au MLC a échoué au premier tour. Ngudianza Néfertiti l'a remporté  au deuxième tour après le désistement de Justin Kalumba.

Même scénario au poste de questeur adjoint où la candidate de l'Union sacrée Isabelle Kabamba est tombée face à Pascal Omana Bitika, au premier tour cette fois.

Le bureau du Sénat se présente donc comme suit :

* Président : Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge 
* 1ᵉʳ vice-président : José Kalala Wa Kalala
* 2ᵉ vice-président : Modeste Bahati Lukwebo
* Rapporteur : Ngudianza Néfertiti
* Rapporteur adjoint : Jean-Claude Baende Etafe Eliko
* Questeur : Taupin Mukengeshayi Kabongo Sylvain
* Questeur adjoint : Omana Bitika Pascal
 

MD



Quatre prêtres, martyrs de la rébellion Muleliste de 1964, seront canonisés le 18 août 2024, dans le diocèse d’Uvira, au Sud-Kivu, dans l’Est de la RDC. Malgré le temps, cette région n’a pas toujours connu la paix durable, et la population de ce diocèse espère obtenir, enfin, la paix par l’intercession de leurs futurs martyrs canonisés.

Ils ont été tués le 28 novembre 1964, dans l’Est de la RD-Congo : Le frère Vittorio Faccin et le père Luigi Carara à Baraka, et, à Fizi, le père Giovanni Didonè ainsi que le père Albert Joubert, prêtre du diocèse d’Uvira. Les trois xavériens et leur confrère diocésain d’Uvira ont été victimes de la rébellion Muleliste, qui a embrasé le pays au lendemain de l’indépendance du Zaïre (actuelle RD-Congo).

Aujourd’hui, «si cette rébellion a été éradiquée dans presque tout le pays, reconnaissons que cette partie de notre territoire national (L’est de la RD-Congo, NDLR) n’a pas toujours une paix durable», constate Mgr Sébastien Muyengo, évêque d’Uvira. «Aussi, appelée à formuler une intention de prière au Seigneur par l’intercession de leurs quatre martyrs, la population du diocèse d’Uvira en particulier, et celle de l’Est en général, au-delà de divergence des religions, a choisi de demander la grâce de la paix durable et véritable».

Les fidèles d’Uvira comptent sur cet événement, pour la promotion de leur diocèse et de leurs cultures. «Nous espérons bénéficier désormais des prières de nos nouveaux bienheureux. Ces canonisations nous permettront de redynamiser notre vie spirituelle et de renforcer notre foi», explique Augustin Mambo Kalolekezo, animateur diocésain du mouvement sacerdotal marial Uvira. Et d’ajouter : «Le tourisme religieux des pèlerins qui reviendront pour vénérer les reliques des bienheureux, va accroître l’attractivité du diocèse. Il galvanisera également l’économie de la région, à travers les dons, les ventes de souvenirs, etc. Nous espérons une renaissance historique et culturelle de notre diocèse».

Permettre une conversion des cœurs qui ouvrira la voie à la diminution des cas de tueries est aussi l’une des espérances de diocésains d’Uvira.

Pour Mgr Muyengo, «la participation des chrétiens des autres confessions religieuses à cet événement favorise le rapprochement entre les communautés ecclésiales». Par ailleurs, «nous savons qu’être bienheureux n’est pas la fin du processus. Il y a, à la fin, la canonisation. Et pour y parvenir, le bienheureux doit réaliser un miracle comme signe».

Des préparatifs pour le grand jour

Depuis le début du mois de mars, moment de l’annonce de la béatification des 4 martyrs, le diocèse se mobilise pour ce grand jour. «Nous nous sommes immédiatement mis à la préparation de cet événement, d’abord de nos cœurs par des retraites, des prières et des enseignements, explique Mgr Muyengo. Là où le péché abonde, la grâce surabonde, rappelle la lettre pastorale publiée à cette occasion.» Pour Mgr Muyengo, le péché évoqué dans cette lettre renvoie aux «tueries qui ont élu domicile ici depuis l’accession de notre pays à l’indépendance.» Quant à la grâce, il s’agit du fait «que notre terre est en train de devenir celle de bienheureux».

Dans cette lettre pastorale, publiée le 15 mars dernier, l’évêque d’Uvira avait lancé un appel à la paix à toute la population : «que chacun prenne la ferme résolution de ne plus blesser la paix intérieure, la paix du cœur des autres d’une manière ou d’une autre».

De leur côté, les responsables des groupes et mouvements diocésains s’activent à dispenser des enseignements aux chrétiens sur la doctrine de la béatification, pour la sensibilisation des fidèles appelés à accueillir chez eux les visiteurs qui viendront de partout. «Nous organisons aussi des neuvaines de prière, pour implorer la grâce divine, en vue de la réussite de l’événement et pour la préparation individuelle à travers le chapelet quotidien», renseigne Augustin Mambo.

Qui étaient ces martyrs

Prêtre de la Pieuse société de saint François-Xavier pour les Missions étrangères (Xavériens), Luigi Carrara, de nationalité italienne, arrive à Uvira en 1962, quelques semaines après l’ordination du premier évêque, Mgr Danilo Catarzi. Ses deux années de service au Congo furent consacrées à l’étude de la langue et à ses premières activités pastorales à Fizi et Baraka, où il fut tué le 28 novembre 1964.

Le père congolais Albert Joubert arrive également au diocèse d’Uvira à sa création en 1962. Son ministère fut concentré sur l’enseignement et la direction des écoles. Son action missionnaire n’a pas été appréciée par les rebelles connus sous le nom de Simba, d’inspiration communiste. Ils s’opposaient ouvertement à la liberté et à la dignité humaine apportée par les missionnaires à travers l’Évangile. «Leur haine était causée par le fait que, bien que noir, Albert Joubert avait adhéré à la nouvelle religion importée par les blancs», précise Mgr Muyengo.

Le père Giovanni Didonè, Italien, était aussi missionnaire Xavérien. Il avait choisi de rester malgré les menaces de plus en plus fréquentes de certains Simba contre les chrétiens.

Malgré la rébellion, le frère Vittorio Faccin, Italien, était convaincu qu’il vaut mieux qu’il soit lui-même, comme Jésus, victime de l’amour oblatif, plutôt que d’offrir la victime Jésus dans le Sacrement eucharistique. Il était conscient du danger pour sa vie, mais il est resté avec ses fidèles, en refusant de s’échapper au Burundi voisin.

Article tiré du journal La Croix International

 
 

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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