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L’entérinement de Denis Kadima et son staff par l’Assemblée nationale pour occuper la tête de la Centrale Électorale est loin de faire l’unanimité au sein de la classe politique congolaise. À travers une correspondance adressée ce mercredi 20 octobre à Félix Tshisekedi, Moïse Katumbi, son allié de taille au sein de la coalition au pouvoir Union sacrée, manifeste son refus. L’ancien gouverneur de l’ex-province du Katanga demande au chef de l’État de rejeter tout simplement la liste des membres entérinés par la chambre basse du Parlement.

« En nous rassurant hier dans vos discours que vous ne laisseriez aucun engagement politique de quelque nature que ce soit primer sur l’intérêt supérieur du peuple congolais et en nous assurant que vous ne ménageriez aucun effort pour préserver la paix et l’unité nationale, vous me donnez aujourd’hui l’occasion de vous demander de rejeter purement et simplement la liste entérinée par l’Assemblée Nationale. Cautionner les irrégularités qui ont émaillé le processus d’entérinement des membres de la CENI conduira inévitablement le pays vers un nouveau cycle de désordres », écrit Moïse Katumbi.

L’ancien opposant à Kabila et actuellement Président du Parti « Ensemble pour la République » rappelle que l’entérinement de Ronsard Malonda, dans un contexte aussi similaire à celui de Kadima, a été rejeté.

« Hier, vous avez rejeté une première fois et à juste titre une première liste non consensuelle. Nul ne peut envisager un seul instant qu’aujourd’hui vous puissiez avaliser le travail partisan d’une commission paritaire contestée au risque de jeter sur la CENI un tel voile de suspicion qu’il lui sera impossible d’accomplir sa mission d’organiser, en toute indépendance, neutralité et impartialité des scrutins libres, démocratiques, transparents et inclusifs », poursuit-il.

Se disant ne pas être à la recherche de poste, Moïse Katumbi rassure « demeurer soucieux de préserver les valeurs de la République ». Il invite Félix Tshisekedi à réparer là où l’Assemblée Nationale a échoué.

« En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas à la recherche des postes. Par contre, nous demeurons soucieux de préserver les valeurs de la République au rang desquelles figure le consensus qui demeure le ferment de la cohésion nationale. Nous vous demandons également d’imposer aux responsables de l’Union Sacrée le respect des textes afin de ne pas y laisser prospérer les anti-valeurs, notamment la corruption, le débauchage, l’achat des consciences, contre lesquelles vous avez engagé une lutte sans merci », a martelé Moïse Katumbi qui rappelle à Tshisekedi que « des millions de Congolais espèrent que qu’il au rendez-vous de l’Histoire ».

Stéphie MUKINZI



Le secrétaire général de l'UDPS, Augustin Kabuya dément formellement les accusations selon lesquelles son parti serait l'auteur d'une agression ayant conduit à la mort d'un militant de l'Ecidé. 

Augustin Kabuya estime que les accusations faites par le SG de l'Ecidé, Devos Kitoko visent à discréditer l'UDPS au niveau de l'opinion. " Quand on fait la politique on ne doit pas être malhonnête", explique Kabuya pour qui la posture de Devos Kitoko traduit un manque de respect envers les militants de l'UDPS. 

D'après Kabuya, l'opposition est dans la logique de pousser le pouvoir à la faute. "Nous connaissons comment ça se passe", réplique t-il. 

Bien avant sa mort, le militant décédé était acheminé à l'hôpital Saint Joseph de Limete pour des soins après l'agression. Sa mort a suscité une vive indignation du côté de l'opposition, parti au sein de son parti.
Martin Fayulu a, dans son point de presse tenu ce mardi , convié l’assistance à observé une minute de silence pour sa mémoire.

G.T

 

CENI: Denis Kadima, le bon choix



Un conglomérat d’individus avec à leur tête la Conférence épiscopale nationale du Congo (cenco) et l’Eglise du Christ du Congo (ecc) s’oppose à l’entérinement de Denis Kadima Kazadi en qualité de président de la Commission électorale nationale indépendante (ceni) au motif que ce dernier serait proche du président Félix Tshisekedi.

La croisade contre cet expert électoral s’est cristallisée lorsqu’il a éliminé tous ses concurrents y compris le candidat présenté par l’Ecc et soutenu par la Cenco. L’argument de l’abbé Donatien Nshole, secrétaire général de la cenco, est que la candidature de Kadima est entachée de corruption et des pressions de la présidence de la République. Mais Mr l’abbé n’amène aucune preuve !

Qui s’assemble se ressemble, dit-on. Moïse Katumbi, Martin Fayulu, Adolphe Muzito, Kabila et consorts sont vent debout pour chercher le blocage et un nouveau dialogue en vue du partage du pouvoir. Leur agenda caché serait, sans nul doute, le glissement. Tous pressent le chef de l’Etat à refuser l’investiture à Kadima comme pour Malonda, faute de consensus.

Malgré que Malonda fut le fruit du FCC tandis que Kadima est présenté par l’église Kimbangiste, les opposants à l’expert électoral font l’amalgame et soutiennent que le processus électoral avec l’entérinement de Kadima, vient là d’être entaché d’une irrégularité qui ne peut garantir une issue favorable.

Tandis que pour les autres, selon notre consoeur « La Prospérité », l’entérinement du nouveau bureau de la CENI par l’Assemblée nationale, avec à sa tête Denis Kadima, est une étape décisive pour la tenue des joutes électorales de 2023. Pour ce deuxième groupe composé manifestement des progressistes, poursuit le tabloïd, il y a une nécessité absolue d’avancer et de débloquer le processus électoral pour éviter tout glissement des échéances électorales. Ces derniers soutiennent, mordicus, que toute tergiversation, qu’elle vienne des religieux ou des politiciens, ferait le lit du retardement du processus électoral, (sic).

Ali Kalonga



Le député national élu de la ville de Goma au Nord-Kivu, Patrick Munyomo Basilwango, membre de l'Union sacrée de la Nation, affirme que la taxe sur le Registre des Appareils Mobiles (RAM) sera supprimée de manière progressive, conformément au vœu de la population congolaise.

Dans une conférence de presse animée le vendredi 15 octobre 2021 à Goma, Patrick Munyomo a dit avoir obtenu cette assurance après avoir rencontré le ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et la Communication (PT-NTIC) à Kinshasa, le jeudi dernier dans la soirée.

D'après cet élu, après avoir échappé à une motion de défiance initiée à l'assemblée nationale par des députés de l'opposition (FCC), le ministre Augustin Kibassa Maliba, a assuré que cette taxe sera supprimée mais de manière progressive selon les catégories de smartphones.

« Je voulais vous informer aujourd'hui, que le ministre des PT-NTIC m'a rassuré la suppression du RAM. Et elle sera progressive. Je vous le dit, on va supprimer RAM, progressivement. La suppression est déjà en téléchargement, ça va venir, je vous l'assure en tant que votre représentant à l'assemblée. Je ne pouvais pas dormir avec ce message, je ne pouvais pas vous le dire au téléphone, il fallait que je vienne le dire devant mes électeurs », a-t-il dit. 

Dans la foulée, revenant sur la motion rejetée contre Augustin Kibassa Maliba, Patrick Munyomo estime qu'aucun député tant de l'opposition que de l'union sacrée ne soutient cette taxe, mais « destituer le ministre n'était pas non plus la solution pour répondre aux revendications des Congolais ».

Cependant, il reconnait aussi « l'opacité » dans la gestion des revenus récoltés par cette taxe, et souhaite figurer dans la composition de la commission parlementaire qui sera constituée afin d'enquêter sur cette fin.

Pour rappel, c'est le mercredi 13 octobre dernier que le ministre Augustin Kibassa était invité à l'assemblée nationale pour répondre aux préoccupations des députés. Il s'était déclaré incompétent pour supprimer le RAM, mais la question est aujourd'hui sur la table du gouvernement.

Glody Murhabazi, à Goma



Dans sa communication au cours du conseil des ministres de ce vendredi 15 octobre, le président de la République, Félix Tshisekedi, a annoncé avoir été saisi par plusieurs plaintes  des irrégularités enregistrées dans l'octroi des concessions forestières.

Le chef de l'Etat a particulièrement épinglé les 6 concessions forestières de près de 1,4 millions d'hectares attribuées en septembre 2020 par l'ancien ministre de l'environnement et de développement durable, Claude Nyamugabo, à une seule société. Ceci en violation du code forestier qui impose une limite maximale de 500.000 hectares par entreprise et aussi en violation du moratoire sur l'attribution des nouvelles concessions forestières, en vigueur depuis 2002.

Félix Tshisekedi a ainsi demandé à la vice-premier ministre de l'environnement et de développement durable, Eve Bazaiba, de faire un audit technique et financier de toutes les concessions forestières en RDC. En attendant, il a ordonné la suspension de tous les contrats douteux.

"Il a demandé à la vice-premier ministre, ministre de l'environnement et de développement durable de faire un état des lieux technique et financier de toutes les concessions forestières en RDC, de suspendre tous les contrats douteux en attendant le résultat de l'audit, et d'en faire rapport au gouvernement lors de la prochaine réunion du conseil des ministres", rapporte le compte-rendu du porte-parole du gouvernement.

Pour rappel, toujours en septembre 2020, Claude Nyamugabo avait également attribué  600.000 hectares de concessions forestières, dites de conservation, dans le Maï-Ndombe et l'Equateur à l'Etablissement Buhenwa, basé à Goma. Cette entreprise ne serait qu'un prête-nom, d'après certaines organisations de défense de l'environnement.

Quant aux 6 concessions épinglées par le chef de l'Etat, elles avaient été attribuées à Tradelink, un faux-nez d'un entrepreneur minier belge. En juin dernier, cette vente a été contestée par un recours gracieux déposé par les Ong les Ong CODELT et OCEAN.

Bienfait Luganywa



La députée nationale, élue sur la liste de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS/Tshisekedi), Patricia Nseya a été désignée rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Ceci ressort du rapport de la commission paritaire chargée d'examiner les dossiers individuels des candidats. Le rapport a été entériné par la chambre basse du Parlement.

Après l'entérinement de l'Assemblée nationale, la résolution adoptée sera transmise au Chef de l'État Félix Tshisekedi en vue de l’investiture des personnes désignées. Une fois fait, Nseya va succéder à Jean-Pierre Kalamba qui a occupé ce poste sous la direction de Corneille Nangaa.

Patricia Nseya est élue dans la circonscription de Likasi dans la province du Haut-Katanga. Elle est avocate au Barreau près la Cour d’Appel de Lubumbashi depuis mars 2011. Elle est licenciée en Droit (Droit économique et social) de l’Université de Lubumbashi.

radiookapi.net/CC



L’Assemblée nationale a entériné ce samedi 16 octobre, au cours d’une plénière marquée par des incidents. la désignation des membres de la CENI, dont Denis Kadima en qualité de président de la centrale électorale. 

La commission paritaire chargée d'examiner les dossiers individuels des candidats a présenté son rapport qui a été adopté par la plénière de l’Assemblée nationale. Ce rapport retient, en effet, Denis Kadima comme président de la CENI. 

La candidature de Denis Kadima a divisé les confessions religieuses. L’église catholique et l’Eglise du Christ au Congo estiment que sa désignation a été entourée par des actes de corruption. Les six autres confessions religieuses indiquent qu’il était le candidat idéal pour ce poste, à cause de son expertise.

Sur les 15 postes qui composent la plénière de la CENI, 12 candidats ont été entérinés et trois postes restent à pourvoir.

Si la CENCO et l’ECC n’ont pas approuvé la candidature de Denis Kadima à la présidence de la CENI, le FCC et Ensemble de Moise Katumbi n’ont pas délégué leurs candidats à la CENI.

Selon Christophe Mboso, l’Assemblée nationale s’acquitte ainsi de son obligation. Le Président de la République va signer l’ordonnance d’investiture des membres de la nouvelle Commission électorale nationale indépendante pour qu’ils entrent en fonction.

La liste complète des membres de la CENI se présente de la manière suivante :

  • Kadima Kazadi Denis : président ;
  • Ilanga Lembow Bienvenu : premier vice-président ;
  • Deuxième président à pourvoir (opposition) ;
  • Nseya Mulema Patricia : Rapporteur ;
  • Muhindo Mulemberi Paul : Rapporteur adjoint ;
  • Questeur (à pourvoir)
  • Birembano Balume Sylvie : Questeur adjoint ;
  • Lepemba Pascal : membre ;
  • Boko Matondo Fabien : membre ;
  • Ditu Monizi Blaise : membre ; 
  • Bimwala Roger : Membre ;
  • Ngalula Joséphine : membre ;
  • Bisambu Gérard, membre 
  • Omokoko Asamoto Adine, membre.

radiookapi.net/CC



Au point de chute de la marche de Lamuka (1ère rue Limete) ce samedi 16 octobre, Martin Fayulu Madidi, coordonnateur de Lamuka, a pris la parole devant les nombreux militants qui ont participé à cette manifestation partie de l’avenue Kianza dans la commune de Ngaba.

Le candidat malheureux à la présidentielle de 2018 a projeté un sit-in devant le Palais du peuple au cas où Mboso tenterait un passage en force pour la désignation des animateurs de la centrale électorale.

« Nous mettons en garde le président de l'Assemblée nationale. S'il veut mesurer la taille du peuple congolais, dites-lui qu'il ne le saura pas. Nous avons besoin d'une CENI qui va bien travailler demain, et qui va prononcer les résultats attendus par le peuple. Apprêtez-vous, nous irons au Palais du peuple. Je demande aux policiers de ne pas oser ce jour-là déranger la population car c'est pour l’intérêt du pays. Nous avons besoin de la loi sur la CENI. Nous pouvons nous mettre ensemble pendant au maximum trois jours pour finaliser cette loi. Ensuite, on peut désigner les animateurs mais pas des acteurs politiques. Ces derniers ne sont là que pour surveiller », a déclaré Martin Fayulu devant ses sympathisants.

Le coordonnateur de ce qui reste de Lamuka est revenu sur la polémique  du RAM, qualifié selon lui, "escroquerie".

« Aujourd'hui, vous devez savoir là où se trouve notre pays. Le pays est en train d’être détruit. La première cause, c'est la faim et la misère parce que les personnes qui dirigent actuellement le pays ne savent pas où amener le peuple. Au-delà de la misère, on vient de nous imposer cette affaire du RAM. Nous leur demandons la suppression de RAM très rapidement car étant une escroquerie, un vol. Nous devons nous mobiliser autour de cette question pour obtenir sa suppression. Ne vous fatiguez pas, continuons de dénoncer cela », a déclaré Martin Fayulu devant la foule à l'issue de la marche.

Le Premier ministre Sama Lukonde a indiqué vendredi lors de la réunion du Conseil des ministres, qu’il a bel et bien reçu les recommandations faites par les députés au sujet de la taxe sur le Registre des appareils mobiles (RAM). Et que le gouvernement se prépare à apporter des réponses lors du prochain conseil des ministres.

« En ce qui concerne la question orale avec débat adressée au Ministre des Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (PT-NTIC), le Premier Ministre a informé le Conseil qu’il a reçu le Rapport écrit du Ministre ainsi que les recommandations des Députés Nationaux sur cette question. Il a rassuré le Conseil que le Gouvernement a bien capté le message de la population et qu’il s’attèle à donner des réponses appropriées. Le dossier est en préparation et il sera soumis aux délibérations du prochain Conseil des Ministres », dit le compte-rendu de la réunion du conseil des ministres.

La taxe RAM est fustigée par la majorité de la population. Les députés ont exigé sa suppression pure et simple. Ils ont aussi exigé la création d’une commission d'enquête pour tracer l’utilisation des fonds générés par cette taxe, 25 millions USD selon le ministre des PTNTIC, 266 millions selon l’ODEP.

Devant la représentation nationale, Augustin Kibassa Maliba, Ministre des PT-NTIC s'est dit favorable à la mise en place d'une commission parlementaire d'enquête en vue de statuer sur la traçabilité des fonds déjà récoltés. M. Maliba a précisé que son ministère ne gère pas les fonds en rapport avec le RAM mais plutôt l'ARPTC en tant que service public doté d'une autonomie financière et administrative ayant des ressources propres qui constituent ses revenus.

actualite.cd/CC

 



Le Premier ministre Sama Lukonde a indiqué vendredi lors de la réunion du Conseil des ministres, qu’il a bel et bien reçu les recommandations faites par les députés au sujet de la taxe sur le Registre des appareils mobiles (RAM). Et que le gouvernement se prépare à apporter des réponses lors du prochain conseil des ministres.

« En ce qui concerne la Question Orale avec débat adressée au Ministre des Ministre des Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (PT-NTIC), le Premier Ministre a informé le Conseil qu’il a reçu le Rapport écrit du Ministre ainsi que les recommandations des Députés Nationaux sur cette question. Il a rassuré le Conseil que le Gouvernement a bien capté le message de la population et qu’il s’attèle à donner des réponses appropriées. Le dossier est en préparation et il sera soumis aux délibérations du prochain Conseil des Ministres », dit le compte-rendu de la réunion du conseil des ministres.

La taxe RAM est fustigée par la majorité de la population. Les députés ont exigé sa suppression pure et simple. Ils ont aussi exigé la création d’une commission d'enquête pour tracer l’utilisation des fonds générés par cette taxe, 25 millions USD selon le ministre des PTNTIC, 266 millions selon l’ODEP.

Devant la représentation nationale, Augustin Kibassa Maliba, Ministre des PTNTIC s'est dit favorable à la mise en place d'une commission parlementaire d'enquête en vue de statuer sur la traçabilité des fonds déjà récoltés. S'agissant de sa suppression, Augustin Kibasa a laissé entendre qu'il a déjà soumis la question au niveau du gouvernement et qu’il revient à ce dernier de prendre une décision. M. Maliba a précisé que son ministère ne gère pas les fonds en rapport avec le RAM mais plutôt l'ARPTC en tant que service public doté d'une autonomie financière et administrative ayant des ressources propres qui constituent ses revenus.

actualite.cd/CC



Le report de la plénière « à une date ultérieure » aura duré que quelques heures. Le bureau de l’Assemblée nationale a convoqué une nouvelle plénière ce samedi 16 octobre pour auditionner le rapport de la commission paritaire qui a travaillé sur les candidatures des futurs membres de la Commission électorale nationale indépendante.

La plénière annoncée ce vendredi n’a pas eu lieu « pour des raisons techniques », annonçait le bureau Mboso.

La question de la mise en place du nouveau bureau de la CENI divise la classe politique congolaise. Ensemble pour la République de Katumbi, l’UNC de Kamerhe, le FCC de Kabila et Lamuka de Fayulu et Muzito ont tous plaidé pour un consensus pour désigner les animateurs de la centrale électorale. Ce qui est loin d’être réalisé pour l’instant.

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