La Confédération africaine de football (CAF) a réagi avec fermeté suite à l’agression de l’arbitre Jean Pierre Kibingu lors de la demi-finale de la Coupe du Congo entre l’OC Renaissance et le FC Tanganyika au stade Tata Raphaël à Kinshasa.

Dans son communiqué de presse publié ce jeudi 13 juin, l’instance faîtière du football africain a demandé à la Fédération congolaise de football association (FECOFA) de prendre des mesures sévères contre les auteurs.

« La CAF a demandé à la FECOFA de prendre des mesures sévères conformément à son règlement contre les auteurs afin de dissuader de futurs incidents similaires et de protéger les arbitres lors des matchs de football. La CAF suit cette affaire de près et exige que des sanctions exemplaires soient prises contre les auteurs de cette agression », peut-on lire le communiqué de la CAF. 

Pour rappel, la fin de cette rencontre a été émaillée de troubles et de scènes de violence. Les supporteurs de l’OC Renaissance étaient entrés sur l’aire de jeu pour s’en prendre aux officiels de la partie ainsi qu’aux joueurs de l’équipe adverse lors des tirs au but. Des images amateur qui ont fait le tour des réseaux sociaux montrent l’arbitre en train d'être agressé, et tente par l’occasion de fuir. D’autres images montrent ce même arbitre, inconscient, allongé dans la zone des vestiaires. 

Fiston MOKILI



Au total, 70.000 enfants, dont des filles et garçons victimes de viols, des filles mères victimes de grossesses et des enfants vulnérables de la communauté, ont été sortis des sites miniers en l'espace de deux ans dans les provinces du sud-est de la République démocratique du Congo, dont le Lualaba et Haut-Katanga, grâce au Fonds des Nations-Unies pour l'enfance (UNICEF).

Grant Leaity, représentant de l'UNICEF en RDC l'a dit, le jeudi 14 juin 2024, lors d'un atelier sur la vulnérabilité des enfants dans le contexte minier à la 19e édition de la DRC Mining Week ou semaine minière organisée à Lubumbashi (Haut-Katanga).

Le numéro un de l'UNICEF au pays a affirmé que 12% des enfants dont l'âge varie entre 12 et 17 ans sont répertoriés. Selon leur enquête, dans les mines au Lualaba et Haut-Katanga. 

À part cette situation dans les carrés miniers, Grant Leaity a souligné que les rues des villes de ces deux entités du sud-est de la RDC sont aussi remplies des enfants sans toit paternel. Parmi d'autres problématiques rencontrées au Lualaba et Haut-Katanga, il y a notamment le problème lié à l'accès à l'éducation, à la santé, à l'eau et l'assainissement.

Des participants à la 19e édition du DRC Mining Week à une activité organisée par l'UNICEF

"En dépit du fait que dans le Haut-Katanga et Lualaba, il y a beaucoup de ressources minières, il y a aussi des situations très précaires. À Lubumbashi et à Kolwezi, on voit aussi le phénomène des enfants de rue. Il y a aussi beaucoup d'orphelins qui sont en train de travailler sans leurs parents et ne sont pas dans une situation très bien protégée. Tous les enfants entre 5 et 17 ans. Selon nos enquêtes menées en 2017 et 2018, selon les normes de l'OIT, 12% des enfants de Lualaba et Haut-Katanga sont dans le travail dangereux. Pour les adolescents, entre 15 et 17 ans, 1/3. Bien qu'il y a d'autres formes de travail dangereux, pour ces deux provinces, il s'agit bien de travail dans les mines. Cette problématique des enfants qui travaillent dans les mines est vraiment beaucoup focalisé ici. Nous sommes vraiment contents d'être là. Mais nous sommes là aussi pour tendre les mains aux miniers pour une collaboration", a-t-il déclaré au micro tendu par 7SUR7.CD.

De son côté, Ramatou Touré, cheffe de protection de l'enfant à l'UNICEF en RDC a précisé que la majorité de 70.000 enfants sont sortis des mines de la province du Haut-Katanga et du Lualaba.

D'où, a-t-elle poursuivi, le but du Fonds des Nations-Unies pour l'enfance de s'assurer que les enfants ne soient pas utilisés dans les conditions dangereuses et spécifiquement dans les mines artisanales.

"Les 70.000 enfants sont des enfants que l'UNICEF a réussi à assister au cours de deux dernières années, soit des enfants qui sont sortis dans des mines, qui travaillaient avant dans les mines et qui ne le font plus, soit les enfants qu'on a réussi à faire qu'ils n'aillent pas dans les mines ou les enfants vulnérables. On explique cette situation par le contexte de vulnérabilité dans lequel se trouvent ces provinces mais aussi par le contexte d'opportunités", a-t-elle expliqué.

Ramatou Touré a soutenu que la participation de l'UNICEF à la 19e édition de la DRC Mining Week entre dans le cadre d'appeler les miniers à travailler ensemble pour le bien-être des enfants et non les laisser dans les mines.

"Le message que nous sommes venus apporter aux miniers est travaillons ensemble. Nous avons tous l'intérêt à ce qu'il n'y ait aucun enfant dans les mines artisanales, dans la chaîne de production et dans la chaîne de valeur. Donc, mettons nos ressources ensemble de pour le bien-être des enfants dans les provinces du Lualaba et Haut-Katanga mais aussi ailleurs sur l'étendue du territoire. On a tous notre rôle à jouer", a-t-elle conclu.

Parmi les enfants sortis des mines dans le Haut-Katanga et Lualaba, certains ont été formés sur différents métiers. Au jour d'aujourd'hui, quelques enfants sont devenus des mécaniciens, des maçons, des coiffeurs, des couturiers et des entrepreneurs grâce à l'appui de l'UNICEF. 

Ce Fonds des Nations-Unies pour l'enfance a souhaité aussi le concours des partenaires, des miniers, des banques et du gouvernement congolais pour arriver à sortir au moins 361.000 enfants dans les mines dans cette entité du sud-est de la RDC. 

Cet atelier s'est tenu en présence de plusieurs responsables des services étatiques de la province, de la directrice provinciale de l'UNICEF, des responsables des entreprises minières, des chercheurs et étudiants.

Patient Lukusa, à Lubumbashi



Le prix Nobel de la paix et fils d'un grand pasteur de Bukavu dans la province du Sud-Kivu, Denis Mukwege, a présenté ses condoléances à la famille du pasteur Marcelo Tunasi et à la communauté de l'église la Compassion. 

Dans son message adressé au désormais veuf Marcelo Tunasi, Denis Mukwege a indiqué qu'en ce moment de chagrin, les mots ne suffisent pas pour exprimer toute notre compassion.

"Notre foi en Jésus-Christ, nos prières et notre affection vous accompagnent dans cette dure épreuve", a-t-il dit.

Pour rappel, Blanche Tunasi est décédée le mercredi 12 juin, en Turquie, des suites d'une crise cardiaque. Le corps de l'épouse du pasteur est arrivé à Kinshasa tard dans la nuit du même mercredi.

Les programmes des obsèques rendus publics se présentent comme suit :

Du jeudi 13 juin au samedi 15 juin, recueillement au chapiteau du collège Boboto, de 18 heures à minuit; dimanche 16 juin, veillée mortuaire au stade Tata Raphaël; le lundi 17 juin, exposition du corps à la morgue du Cinquantenaire, à 9 heures, puis à 10 heures au stade Tata Raphaël, et à 13 heures départ pour le cimetière.

Fadi Lendo



Il aura fallu attendre près d'une semaine pour que la décision très sévère contre un groupe de professeurs de la Faculté de l'économie de l'UNIKIN -Université de Kinshasa- tombe. Et ce, après la remise de la toge à leur collègue Vital Kamerhe, président de la chambre basse du Parlement. Dans la note rendue publique jeudi 13 juin, le Recteur de la colline inspirée, Professeur Jean-Marie Kayembe, reproche à ce groupe de six professeurs de faute professionnelle lourde et empiétement de fonction.

Les réserves émises par le groupe de professeurs incriminés de la Faculté de l'économie de l'UNIKIN, au moment de leur geste envers le Dr Vital Kamerhe, n'ont pas été bien digérées par le Recteur, le Comité de gestion ainsi que le Comité exécutif de l'APUKIN -Associations des Professeurs de l'Université de Kinshasa-. Contre toute attente, après concertation, le Recteur et les siens sont passés à la vitesse supérieure. Et la sanction disciplinaire infligée, c'est la suspension de ces six professeurs.

Une sanction justifiée qui trouve sa raison d'être d'autant plus que les professeurs incriminés eux-mêmes avaient reconnu, le jour de la remise de la toge au professeur Vital Kamerhe, que leur geste ne revêtait aucun caractère officiel. Avant de poursuivre que la cérémonie d'accueil du nouveau professeur devra avoir lieu dans les prochains jours au sein cette prestigieuse université.

Très respectueux des textes, le Professeur Vital Kamerhe avait, à son tour, promis de se rendre à la colline inspirée, pour prendre part à la cérémonie officielle tant attendue. Aussi, le speaker de la chambre basse avait humblement émis les vœux de présenter publiquement aux étudiants de la Faculté de l'économie sa brillante thèse.

En dépit de ce tableau préalablement peint et sagement souligné par le groupe incriminé, le Professeur Jean-Marie Kayembe dit se conformer à la loi de l'Enseignement supérieur et universitaire ainsi que ses différentes mesures d'application. Hélas !

Cette décision concerne les professeurs suivants :

1. Batamba Balembu, 

2. Sinzidi Kabuki,  

3. Aly Kyamasa,

4. Honoré Mbatshi,

5. Nemoyato Begepole,

6. Bofoya Komba

Jusque-là, aucune réaction n'a cependant été entendue du côté de la partie incriminée, malgré la tendance à une quelconque politisation du dossier.

Grevisse Tekilazaya



Décédé le samedi 01 juin 2024, au Canada, des suites d'une maladie, la dépouille mortelle du pasteur Léonard Baruti Kasongo va quitter Montréal, le lundi 17 juin, pour arriver à Kinshasa, deux jours plus tard.

D'après un communiqué signé par le président du comité d'organisation, le pasteur Carlos Baruti Kalala, l'exposition du corps sans vie du responsable de l'église "Tabernacle" est prévue pour le samedi 22 juin, au stade Père Raphaël de la Kethule. L'enterrement interviendra le lendemain, au mausolée à Nsele.

Pour rappel, le corps sans vie du pasteur Baruti a été exposé pendant deux jours successifs, soit le samedi 08 et dimanche 09 juin dernier, dans la salle Magnus poirier de Montréal. La diaspora congolaise a rendu des vibrants hommages au patriarche.
 
Gratis Makabi
 


Le baptême de feu a été bien réussi pour la première ministre Judith Suminwa et son gouvernement. A l’Assemblée nationale, elle a présenté son programme d’action et ses membres et est passée la séance de questions et réponses avec les élus nationaux. L’investiture, partie pour être longue, elle a pris toute la journée et une partie de la nuit jusqu’à 2h du matin, du 11 au 12 juin dernier.

Devant les parlementaires, Judith Suminwa a placé l’emploi au cœur de l’action de son gouvernement, avec pour ambition de créer 6,4 millions d’emplois d'ici 2028. Ce qui n’a pas manqué de susciter les questions des députés qui pensent que la lutte pour le rétablissement de la paix à l’Est de la RDC est plutôt la priorité des priorités. 

La sécurité est le deuxième pilier de l’action gouvernementale. En plus de l’armée, le gouvernement veut mettre l’accent sur la police. Judith Suminwa a déclaré que les efforts de son gouvernement seront orientés vers le financement et l'opérationnalisation des actions et projets contenus dans la loi de programmation de la police. Cela inclut la construction d’une académie de haut niveau, la formation de nouveaux policiers, et leur répartition équilibrée sur l’ensemble du territoire national.

Parmi les 405 députés présents, 397 ont voté en faveur de l'investiture. Cela, sans surprise car la majorité parlementaire est du côté de la famille politique de la première ministre, l’Union Sacrée de la Nation (USN), également famille politique du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi. 

Ce gouvernement de la première ministre Judith Suminwa a été rendu public dans la nuit du 28 au 29 mai. Les 54 membres nommés ne font pourtant pas l’unanimité au sein de l’USN. La question de la représentativité a été posée dans la famille politique du chef de l’Etat de sorte à pousser pour que chaque province ou zone géographique du pays se retrouve dans l’équipe gouvernementale.

actualite.cd/CC



Les Léopards tennis dames de la République Démocratique du Congo (RDC) disputent leur dernière confrontation de la phase des groupes ce vendredi 14 juin face à leurs homologues algériennes pour le compte du Groupe 4 Afrique de la Billie Jean King Cup, les qualifications de la Coupe du monde de tennis chez les dames. Le tournoi se dispute à Kigali au Rwanda comme ce fut le cas déjà l'année.

Les Fauves congolais n'ont plus rien à jouer dans cette compétition. Elles ont déjà perdu leur 2 matchs face à leurs homologues tanzaniennes et mozambicaines malgré leur victoire au 1er match devant les angolaises. Elles vont tenter, pour ce dernier match, de terminer en beauté mais ce sera très compliqué devant la meilleure équipe de ce groupe avec 9 victoires sur les 9 possibles et qui va jouer la finale. Les congolaises sont au nombre de 3 dans ce tournoi à savoir : la capitaine Nancy Onya, Marie Agathe et Cathy Ndeko. Ce sont des résultats qui peuvent se justifier dans la mesure où cette équipe ne s'est préparée suffisamment par les pouvoirs publics n'accompagnent pas malheureusement cette discipline malgré les efforts fournis par les autorités fédérales qui cassent en mille morceaux pour faire voyager avec les moyens de bord.

Onya-Ndeko

Les Congolaises vont se battre pour ce dernier match pour tenter d'améliorer leurs statistiques alors qu'elles sont pour le moment à 4 victoires pour 5 revers.

Michel TOBO 



À l'occasion du débat sur la transition énergétique à Lubumbashi, dans le cadre de la DRC mining dans le Haut-Katanga, le Royaume des Pays-Bas, a réuni plusieurs acteurs de la société civile pour réfléchir sur les questions relevant notamment de la sécurité. 

C'est dans ce contexte que le commandant de la 22ème région militaire, le général Eddy Kapend  à pris parole pour expliquer la présence des militaires dans les zones minières, une présence dénoncée régulièrement par les structures de la société civile.

Pour lui, il s'agit d'une présence qui rentre dans le cadre de ses missions régaliennes, cas de la surveillance des matières sensibles recevant du domaine de la défense. 

"(...)Tous les secteurs miniers du Katanga contiennent certaines matières qui relèvent exclusivement de la défense, c'est-à-dire que la présence de l'armée dans les sites miniers se justifie par l'exploitation de cuivre par exemple, ou encore du cobalt, il existe donc des matières d'uranium. Or, le pays est sous surveillance, sous contrôle pour cette matière d'uranium et à ce titre, partout où on exploite le cuivre, l'armée doit être là pour contrôler tout ce qu'il y a trait au gisement d'uranium", dit-il ce jeudi à la matinée d'échange. 

Le général Eddy Kapend a clairement indiqué que partout où on fait usage par exemple des explosifs, l'armée est là. 

"Il est donc impossible de trouver par exemple à Shinkolobwe ou dans d'autres sites d'exploitation du cuivre l'absence de l'armée. Dans toutes les  mines à caractère industriel où on exploite à l'aide des explosifs, on doit savoir que ces explosifs sont du domaine de la défense. Et nous ne pouvons pas laisser l'utilisation de ces explosifs sans notre présence. On doit se rassurer de ce qu'on en fait et de ce qu'on fait des explosifs qui restent ",  a ajouté le général Eddy Kapend dans sa prise de parole. 

Des militaires sont présents dans plusieurs sites miniers dans la région du Katanga. Une présence qui a toujours été dénoncée par les acteurs de la société civile. 

José Mukendi



Finies les longues attentes et consultations. Les remises et reprises entre les ministres, désormais sortants, de l’équipe Sama Lukonde et ceux entrants de Judith Suminwa, désignée le 1er avril par le Chef de l’Etat, ont occupé jeudi le devant de la scène du microcosme politique en République démocratique du Congo.

Le ton a été donné mercredi entre la Première ministre et l’ancien locataire de l’hôtel du gouvernement, siège de la Primature, après près de 3 ans d’exercice.

Tout, sous la supervision de Jean-Albert Ekumbaki, secrétaire général du gouvernement, au cours d’une cérémonie solennelle comme le veut la tradition : réunion en tête-à-tête, plantation symbolique d’un arbre et dévoilement du buste de la nouvelle occupante au Jardin de la Primature, rejoignant ainsi ses prédécesseurs notamment Patrice Lumumba, Etienne Tshisekedi, Antoine Gizenga, Lunda Bululu, Mulumba Lukoji, Birindwa et autres Adolphe Muzito, Samy Badibanga, Augustin Matata Ponyo, et Sama Lukonde.

Jeudi, les différents ministères ont vécu à leur tour l’échange de fanion entre les membres des équipes entrante et sortante.

Des militants et partisans en tricots frappés des effigies d’heureux promus ont envahi dès les premières heures les cabinets ministériels dansant et sifflant.

Finie la recréation. Après le baptême de feu devant 405 députés nationaux réunis mardi au palais du peuple, dans une séance plénière marathon prolongée jusqu’aux aux petites heures, le train a quitté la gare.

Renouveau du travail

Après cette étape, l’heure est au travail. Un travail dure au regard des enjeux et de l’appel pressant aux atteintes des objectifs ainsi qu’à la matérialisation des actions prioritaires consignées dans le programme du gouvernement.

L’atout majeur qui balise la voie de la réussite en faveur de cette nouvelle équipe, avec la femme «comme porteuse des projets majeurs du programme de ce deuxième mandat. La femme congolaise déjà si bien en charge de la famille, cellule mère de la nation».

Et d’ajouter : «Mais aussi la jeunesse, non pas en termes d’âge mais surtout d’engagement, de détermination, d’énergie, de compétence et d’idéal républicain».

La nécessité de «réduire le train de vie des institutions» ainsi que la fin des privilèges et de « la culture de l’enrichissement facile et illégal », sont là des priorités reprises dans les agendas des Congolaise et Congolais, a conclu la source.

Sur un total de 405 députés qui avaient pris part à la plénière de mardi, 397 élus avaient approuvé le programme d’actions 2024-2028 du gouvernement Suminwa, tandis que 8 d’entre eux s’étaient abstenus.

ACP/CC



Les élections des conseillers urbains, des bourgmestres et leurs  adjoints en République démocratique du Congo, initialement prévues le 19 juin, ont été reportées à une date ultérieure, a-t-on appris jeudi dans un communiqué de la centrale électorale.

«Ce report consécutif à des contraintes d’ordre financier liées à l’organisation matérielle desdits scrutins. Par conséquent, les dates opérationnelles annoncées dans le calendrier réaménagé du processus électoral 2022-2027 rendu public par la décision n° 006/CENI/AP/2024 du 25 janvier 2024 ne sont plus d’application. Un autre chronogramme opérationnel sera rendu public dans les meilleurs délais», a-t-on lu dans ce document qui porte la signature de Patricia Nseya, rapporteure de la Commission électorale nationale indépendante (Céni).

 Par ailleurs, la centrale électorale a réaffirmé sa volonté d’organiser ces scrutins dans des meilleures conditions.

 «La CENI réaffirme sa volonté d’organiser les élections des conseillers urbains, Bourgmestres et Bourgmestres adjoints dès que les conditions appropriées seront réunies», a souligné la source qui indique également que les candidatures déposées et enregistrées dans les différents bureaux de réception et Traitement des candidatures (BRTC) restent valables.

ACP/CC

A Propos

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Ali Kalonga

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