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Lors d'une causerie avec des jeunes, samedi 13 décembre à Kinshasa, le président Félix Tshisekedi a adressé des éloges à sa ministre de la Jeunesse, Grâce Kutino, affirmant avoir enfin « trouvé la personne adéquate » pour piloter ce ministère.

Face aux critiques d’inefficacité portées contre la jeune ministre notamment sur les réseaux sociaux, le Chef de l’Etat a rendu hommage à Grâce Kutino, « qui m’étonne de jour en jour ». Félix Tshisekedi a par ailleurs révélé qu’elle avait « passé brillamment son premier test » d’entrée au Gouvernement Suminwa II :

« C’est lorsqu’on lui a posé la question de sa mission et de sa vision pour la jeunesse de la République démocratique du Congo.  Et ce jour-là l’ai compris que j’avais trouvé la personne adéquate, qui m’aidera à me rapprocher davantage de la jeunesse congolaise et à travailler avec celle-ci pour la préparer aux défis futurs de notre pays ».

Appel au patriotisme

Devant plus de trois mille jeunes venus de toutes les provinces, le Chef de l’État a appelé la jeunesse à contribuer à l’amélioration de la situation sécuritaire et au développement du pays. Selon lui, les jeunes doivent jouer pleinement leur rôle dans l’avenir de la société congolaise. 

Cet échange a permis au Chef de l’État de donner la parole aux jeunes, ayant exposé leurs différentes préoccupations sur des sujets aussi variés que l’emploi, l’entrepreneuriat, la lutte contre la précarité, le financement des projets et l’encadrement des start-ups.

Félix Tshisekedi a répondu sans détour aux diverses questions avant de lancer un appel à un engagement patriotique accru de la jeunesse, en ces temps difficiles où la RDC fait face à l’agression rwandaise :

« C’est pour cette raison que je dis que le patriotisme a quelque peu disparu dans ce pays. Mais il n’est pas trop tard. Notre population est majoritairement jeune, et nous devons réinculquer cette valeur fondamentale du patriotisme à notre jeunesse. C’est à ce prix que la nation sera sauvée dans les années à venir ».

Cette activité intervient un mois après la Table ronde nationale sur l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes. Ce forum avait rassemblé de nombreux acteurs institutionnels, économiques et sociaux afin d’identifier des pistes pour créer des opportunités professionnelles et soutenir l’initiative privée des jeunes à travers le pays.

radiookapi.net/CC



Le président de la Chambre basse du Parlement congolais, Aimé Boji Sangara, en séjour à Abidjan, capitale de la Côte d'Ivoire, où il représente le chef de l'État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, à la cérémonie d’investiture du Président ivoirien Alassane Ouattara, a accordé, lundi 08 décembre 2025, une audience au Sous-secrétaire d’État américain chargé des questions économiques, Jacob Helberg.

L’émissaire du Président américain Donald Trump a salué la tenue de cet échange "franc, amical et constructif".

Cet entretien intervient alors que la RDC et le Rwanda viennent de signer un accord de paix historique conclu sous la médiation de Washington. Dans ce contexte d’avancée diplomatique, Abidjan a offert un cadre propice à un dialogue renforcé entre Kinshasa et Washington DC.

"Nous avons échangé sur les priorités de nos deux pays. J’ai partagé avec mon collègue les orientations économiques de l’administration Trump, notamment la nouvelle stratégie nationale que nous venons de publier", a indiqué Jacob Helberg au sortir de l’audience.

L’émissaire américain a souligné la volonté des États-Unis et de la RDC de hisser leur relation bilatérale à un niveau supérieur, en construisant un "comprehensive partnership"; un partenariat global couvrant les domaines économiques, institutionnels et stratégiques.

"Ce n’est, à mon avis, que le début d’une conversation de long terme entre nos deux pays, d’une amitié durable et d’un partenariat solide", a-t-il ajouté.

Cette rencontre sur le sol ivoirien confirme le rôle essentiel du Parlement congolais dans la diplomatie parlementaire, en appui aux efforts du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo pour la paix, la stabilité régionale et la consolidation des alliances stratégiques.

Serge Mavungu



Le gouvernement congolais a ordonné, à travers un télégramme signé le lundi 1ᵉʳ décembre par le vice-premier ministre en charge de l’Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires coutumières la suspension immédiate des activités du mouvement « Sauvons la RDC ».

Le document, adressé aux gouverneurs de provinces et à toutes les autorités administratives, instruit l’arrêt de toute activité publique, réunion ou initiative organisée au nom de cette plateforme.

« Sauvons la RDC » a été lancé à l’issue d’un conclave tenu du 14 au 15 octobre 2025 à Nairobi, regroupant plusieurs responsables politiques proches de l’ancien président Joseph Kabila. À l’issue de cette rencontre, l’ancien chef de l’État a été désigné leader de cette nouvelle plateforme.

Les participants avaient présenté « Sauvons la RDC » comme un mouvement politique et citoyen destiné à :

- Dénoncer la crise multidimensionnelle que traverse le pays,

- Défendre l’ordre constitutionnel ;

- Promouvoir la réconciliation nationale,

- Appeler à un dialogue inclusif sur la gouvernance et la paix.

La naissance de « Sauvons la RDC » a entraîné une réaction rapide du gouvernement. Dans les semaines ayant suivi le conclave de Nairobi, plusieurs partis politiques ayant participé à la création de la plateforme ont été ciblés par des mesures administratives.

Parmi les formations suspendues par des arrêtés du ministère de l’Intérieur figuraient notamment le PPRD, l'ATD de José Makila, le LGD de Matata Ponyo et plusieurs autres partis membres du regroupement politique proche du FCC.

Ces mesures avaient été dénoncées par l’opposition comme une tentative de « réduire au silence toute expression politique indépendante ».

Merveil Molo



La Maison Blanche a confirmé lundi que les présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame se rencontreront le 4 décembre à Washington. Certains dirigeants de la sous-région, dont les présidents burundais et kényan, sont également attendus.

Cette rencontre, annoncée comme une étape clé du processus diplomatique soutenu par les États-Unis, doit permettre aux deux chefs d’État de ratifier l’accord signé en juin et de donner suite au cadre d’intégration économique adopté début novembre. Washington cherche à stabiliser une zone stratégique pour les chaînes d’approvisionnement occidentales en cobalt, cuivre, lithium, or et tantale, et dit continuer à « travailler avec les deux parties », tout en envisageant de faciliter des investissements de plusieurs milliards de dollars.

Mais à l’approche de l’échéance, les divergences persistent. Aucun progrès notable n’a été enregistré dans la mise en œuvre des engagements annoncés en septembre, notamment la neutralisation des FDLR et le retrait des troupes rwandaises du territoire congolais. À Kigali, Paul Kagame affirme que les blocages ne viennent pas du Rwanda et accuse Kinshasa d’avoir renié certains séquencements convenus. Le président rwandais reproche à son homologue congolais d’ajouter des conditions et met en cause ce qu’il décrit comme une position fluctuante des autorités congolaises.

À Kinshasa, la position est inverse. Le gouvernement congolais répète qu’aucun déplacement du président Tshisekedi à Washington ne serait possible sans un début de retrait des forces rwandaises. Le porte-parole du gouvernement, Patrick Muyaya, l’a affirmé mi-novembre, et Félix Tshisekedi a réitéré cette exigence vendredi en Serbie, évoquant le respect de la souveraineté congolaise et la nécessité de rétablir la confiance.

Sur le terrain, la situation reste inchangée. Le M23 contrôle toujours Goma, Bukavu et plusieurs axes du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Kigali continue de nier tout soutien au mouvement, tandis qu’un rapport du groupe d’experts de l’ONU publié en juillet affirme que le Rwanda exerce un « commandement et contrôle » sur la rébellion.

La médiation conduite au Qatar entre Kinshasa et le M23 constitue un autre volet du dispositif. Un accord-cadre a été signé, mais son contenu doit encore être négocié et aucune avancée n’a été observée sur les lignes de front. La coexistence des deux processus — Washington et Doha — illustre la complexité du dossier, entre médiation interétatique et discussions politico-militaires.

La question de l’intégration régionale reste également en suspens. Félix Tshisekedi affirme en faire un axe de sa diplomatie, tout en rappelant que les événements de 2022 ont fragilisé la confiance régionale.

À une semaine de la rencontre, les positions demeurent éloignées. Les États-Unis misent sur une fenêtre diplomatique, Kigali accuse Kinshasa d’incohérences et le président congolais maintient ses conditions de départ. La réunion du 4 décembre pourrait ouvrir une séquence décisive ou mettre en lumière les contradictions qui freinent la mise en œuvre du processus engagé depuis près de deux ans.

actualite.cd/CC



A l’issue de leur tête-à-tête vendredi 28 novembre à Belgrade (Serbie), les Présidents congolais, Félix Tshisekedi, et serbe, Aleksandar Vučić, ont réaffirmé leur engagement d’élargir la coopération entre leurs pays par le développement des secteurs tels que l'agriculture, la défense, l'éducation, la santé, et la jeunesse.

L’échange a porté, selon Aleksandar Vučić, « sur l'élargissement de la coopération République démocratique du Congo (RDC)- Serbie, par l'intégration de l'agriculture, (...) la coopération militaire, et l'encadrement de la jeunesse ».

La coopération dans le secteur de l'éducation implique notamment l'octroi des bourses d'études aux étudiants congolais. A cela s’ajoutent le transfert de technologies, la formation et la modernisation des pratiques agricoles.

« Nous avons abordé plusieurs sujets qui vont de la sécurité et de la défense jusqu'au secteur agricole, passant évidemment par l'éducation, la santé et les infrastructures. Mon pays, la République démocratique du Congo, offre plusieurs opportunités aux pays qui voudraient partager un partenariat avec nous », a renchéri Félix Tshisekedi.

Ce dernier et son épouse sont arrivés jeudi à Belgrade, à l’invitation de son homologue serbe pour une visite d’Etat de trois jours.

Clle-ci fait suite à la rencontre que Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo avait eue avec Aleksandar Vučić lors de la 79ème session de l’Assemblée générale des Nations unies, à New-York, en septembre 2024. A cette occasion, ils avaient affirmé leur engagement à approfondir les relations d’amitié et de coopération qui lient leurs pays sur des questions d’intérêt commun.

radiookapi.net/CC



Le sénateur Afani Idrissa Mangala a adressé une question orale avec débat au directeur général du Service d’assistance et d’encadrement de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle (SAEMAPE), à propos du tragique accident survenu le 15 novembre dernier dans la mine de Kalando, près du village de Mulondo (territoire de Mutshatsha), dans la province du Lualaba, ayant causé la mort de plus de quarante personnes.

L’élu du Maniema exige des explications claires de la part du responsable du SAEMAPE sur les circonstances du décès de nombreux creuseurs artisanaux.

Pour le président du groupe politique UDPS/Tshisekedi au Sénat, il est inadmissible que des citoyens, en quête de survie, périssent sans qu’aucune explication ne soit donnée à la représentation nationale.

Le sénateur souhaite également connaître le niveau d’assistance apporté par le SAEMAPE dans l’encadrement des exploitants miniers artisanaux sur l’ensemble des sites reconnus à travers le pays.

Idrissa Mangala demande en outre des précisions sur les statistiques de l’exploitation artisanale — notamment de l’or, des 3T (étain, tungstène, tantale) et d’autres minerais — afin d’informer les Congolais sur l’évolution et le niveau de la production, province par province et site par site, dans un secteur qui représente environ 80 % de la production nationale de minerais, et ce, durant la période de gestion actuelle.

Il insiste également sur la nécessité de disposer de données quantitatives sur les activités d’exploitation artisanale ou semi-industrielle des produits de carrières intégrées dans le circuit officiel de production et de commercialisation.

Dans le cadre du contrôle parlementaire, le sénateur souhaite enfin obtenir des informations sur la situation financière du SAEMAPE ainsi que sur sa contribution au Trésor public.

Il appelle le bureau de la chambre haute du Parlement à faire triompher le débat démocratique, afin d’éclairer l’opinion publique sur ce drame qui a coûté la vie à de nombreux compatriotes.

actualite.cd/CC



Le PPRD - Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie - a tenu une réunion inter-organes, mardi 21 octobre 2025, à Kinshasa, sous la présidence de son vice-président national, Aubin Minaku Ndjalandjoko, et de son secrétaire permanent, Emmanuel Ramazani Shadary.

À l'issue de cet échange, les cadres et membres du parti cher à Joseph Kabila ont souscrit à et encouragé la création de la plateforme « Sauvons la RDC ». Ils ont invité l'ensemble du peuple à soutenir massivement cette initiative afin de sauver la RDC, conformément aux prescriptions de la Constitution de février 2006.

L'ancien parti présidentiel a procédé à l'unanimité au réarmement moral de ses cadres et militants, ainsi qu'à la redynamisation de tous les organes statutaires du parti, en prévision d'actions concrètes. Il s'est opposé fermement à toute initiative du régime en place visant à changer la Constitution du 18 février 2006, une démarche jugée inopportune et suicidaire pour la nation.

Les acolytes de l'ancien Président de la République ont affirmé que le PPRD se préparait activement à la reconquête du pouvoir par la voie démocratique.

Pour rappel, l'ancien Président de la RDC, Joseph Kabila Kabange, et plusieurs personnalités de l'opposition congolaise, parmi lesquelles Augustin Matata Ponyo, José Makila, Jean-Claude Vuemba, Frank Diongo et Seth Kikuni, ont pris part au Conclave des Forces politiques et sociales sur l'avenir du Congo, le 14 octobre dernier à Nairobi, où ils ont créé le Mouvement "Sauvons la RDC". Ce dernier s'engage à s'approprier les 12 priorités visant à sauver la République, proposées par Joseph Kabila lors de son adresse à la Nation du 23 mai dernier, et en particulier celle relative à la mise à terme de la "dictature" du Président Félix Tshisekedi. Il s'engage également à améliorer le redéploiement des partis politiques et des forces sociales sur le terrain en vue d'une meilleure mobilisation des masses populaires.

Gratis Makabi



L’opposant Jean-Marc Kabund a dénoncé, ce mercredi 3 septembre 2025, le refus du visa qui lui a été imposé par les autorités sud-africaines, l’empêchant ainsi de prendre part à la Conférence internationale sur la paix organisée par la Fondation Thabo Mbeki.

Dans un message publié sur ses canaux officiels, l’ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale estime que cette décision a été prise « sur ordre » du régime Tshisekedi, qu’il accuse de vouloir réduire l’opposition au silence.

« Le régime de Tshisekedi tremble devant la vérité ! Sur son ordre, le gouvernement sud-africain m’a refusé le visa, m’empêchant ainsi de participer à la Conférence internationale sur la paix organisée par la Fondation Thabo Mbeki », a écrit Jean-Marc Kabund.

Tout en reconnaissant que l’octroi d’un visa relève de la souveraineté d’un État, Kabund pense qu’en cédant à la « pression de Kinshasa », Pretoria viole les droits fondamentaux.

Selon lui, ce refus constitue une ingérence dans les affaires internes de la RDC et marque un éloignement de la ligne politique héritée de Nelson Mandela.

« Tout porte à croire que si le régime tyrannique de Kinshasa demandait au gouvernement sud-africain de traquer les opposants congolais sur son territoire, il le ferait », a encore dénoncé le président de l’Alliance pour le Changement.

Jean-Marc Kabund, dernièrement poursuivi par la justice congolaise dans plusieurs dossiers, voit dans cet épisode une « complicité » entre Kinshasa et Pretoria qu’il qualifie de « fossoyeur de la liberté et de l’héritage de Mandela ».

Pour l’heure, ni les autorités congolaises ni le gouvernement sud-africain ne se sont exprimés publiquement sur ces accusations.

MD



Lors d’une séance du Conseil de sécurité de l’ONU tenue ce vendredi sur la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC -République démocratique du Congo-, le représentant de la Russie à l'ONU Vassili Nebenzia, a exprimé le soutien de son pays au projet de résolution présenté par la France, dans un contexte marqué par une grave détérioration de la situation sur le terrain.

« La Russie a appuyé le projet de résolution préparé par la France du fait de la dégradation de la situation dans l'Est de la République démocratique du Congo », a déclaré le diplomate russe, soulignant l’importance de cette décision, non seulement pour la communauté internationale, mais avant tout pour la population civile congolaise.

Le représentant russe a rappelé que cette résolution est le résultat d’un dur compromis et de négociations ardues, menées tant à New York qu’au sommet de l’Union africaine. Selon lui, cette démarche s’inscrit dans le respect de la Charte des Nations Unies, qu’il qualifie de pierre angulaire du système des relations internationales.

Le diplomate russe a insisté sur l’importance de l’application immédiate de cette résolution par les États concernés. Il a appelé à la fin des hostilités et à un retour à une vie normale pour les populations affectées. Il a en particulier exhorté les forces de défense rwandaises à aller à la table des négociations avec la RDC pour régler leurs différends par des moyens pacifiques.

« Les hostilités doivent cesser et la population doit revenir à une vie normale. Les forces de défense rwandaise doivent aller à la table des négociations et décider avec la RDC de régler toutes les divergences », a-t-il affirmé, en lien avec les efforts menés par les acteurs régionaux en faveur d’une paix durable.

Mettant en garde contre les conséquences d’un échec des initiatives diplomatiques, le représentant russe a souligné que sans engagement sincère, la région connaîtra à nouveau une effusion de sang, une guerre avec de nombreuses victimes. Il a conclu en appelant à ne pas répéter les erreurs du passé, afin d’éviter une nouvelle spirale de violence dans cette région déjà meurtrie.

opinion-info/CC



Au lendemain du premier Conseil des ministres du gouvernement Suminwa 2, le Président Félix Tshisekedi a placé la barre haute pour les membres de l’exécutif. Lors de cette réunion, il a annoncé qu’une évaluation rigoureuse de leurs actions sera effectuée dans les six prochains mois, et que chaque décision ou initiative fera l’objet d’une appréciation, positive ou négative.

Le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’un suivi permanent des chantiers confiés à chaque ministre.

"Il vous appartient d’exercer un contrôle constant sur l’avancement des projets et de rendre compte avec précision et transparence des résultats obtenus", a-t-il souligné, invitant l’ensemble du gouvernement à se montrer réactif, visionnaire et déterminé.

Cette prise de position intervient quelques jours seulement après l’arrivée d’une dizaine de nouveaux ministres, issus de la société civile et de l’opposition, appelés à renforcer l’équipe de la Première Ministre Judith Suminwa. Félix Tshisekedi a conclu son allocution sur un appel à l’unité et à la discipline, rappelant que le peuple attend des actions concrètes pour un Congo plus fort, prospère et solidaire.

Prosper Buhuru 

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