La chanteuse Barbara Pravi s’est confiée sur les réseaux sociaux au sujet de sa rencontre avec Ferre Gola à Kinshasa et de leur prestation commune ce week-end.

Dans un bilan rétrospectif de son année 2023 publié ce mercredi sur Instagram, la jeune femme n’a pas caché sa joie d’avoir partagé la scène de l’Adidas Arena avec la star congolaise dimanche dernier, pour interpréter le titre « Regarde-moi ».

Elle a qualifié Ferre Gola « d’artiste qu’on adore et qu’on a eu la chance de rencontrer à Kinshasa », lors de sa venue pour les Jeux de la Francophonie. Cette rencontre a certainement tissé des liens durables entre les deux chanteurs.

Par ailleurs, Barbara Pravi a annoncé être en pleine préparation d’un nouvel album qu’elle souhaite finaliser prochainement. Selon certaines rumeurs, Ferre Gola pourrait d’ores et déjà prendre part à ce projet prometteur.

mbote/CC



Le calendrier pour l'élection du bureau définitif de l'Assemblée nationale pourra être connu d'ici la fin de cette semaine. C'est ce qu'a indiqué le député national Eliezer Ntambwe Mposhi, qui pense que le blocage n'existe plus, et ce, après les primaires organisées au sein de l'Union sacrée, pour la désignation du candidat au perchoir du bureau définitif de la chambre basse du parlement .

Joint par votre rédaction, le président national de l'ACR -Action commune pour la République- n'exclut nullement l'organisation des primaires au niveau de partis ou regroupements politiques concernés par l'occupation des postes au sein du bureau définitif.

"Nous aurons bientôt le calendrier pour l'élection du bureau définitif. C'est sur ça que le bureau provisoire est en train de travailler. Je suis sûr que si tout va bien, avant la fin de cette semaine, le calendrier sera connu. Les primaires ne se feront pas qu'à l'Assemblée nationale, mais pourront se faire aussi dans des regroupements concernés par l'occupation d'un poste au sein du bureau définitif", a-t-il indiqué.

D'après ce membre du regroupement politique 4AC, la question relative au poids politique sera notamment de mise au nom de la démocratie. 

"La grande famille de l'Union sacrée va devoir confier à chaque regroupement qui mériterait, un poste au bureau de l'Assemblée nationale. Dans une démarche démocratique, c'est le poids politique qui compte. Sinon, le reste se passe à l'approximation de l'autorité", a indiqué le président national de l'ACR.

L'élu national Eliezer Ntambwe précise, par ailleurs, que le poste de premier vice-président au sein bureau définitif, revient à l'UDPS -Union pour la Démocratie et le Progrès social-. Le Secrétaire général Augustin Kabuya a promis de révéler sous peu le nom de leur candidat.

Grevisse Tekilazaya



Les travaux de modernisation de la Maternité de Kintambo, (au centre de Kinshasa), chantier confié au Service national(SN) de la République démocratique du Congo ont été lancés mercredi à Kinshasa, en présence du Chef de l’Etat, au cours d’une cérémonie.

« Les travaux de construction d’un bâtiment additionnel pour la maternité de Kintambo et de modernisation de  son ancien bâtiment, est la symbolique de la détermination du Président de la République à rechercher les meilleurs conditions de santé de la population congolaise », a déclaré Dr Roger Kamba, ministre de la Santé publique.

Félix Tshisekedi a visé, à travers ces travaux « à restaurer la dignité humaine et soutenir la mise en œuvre du programme de couverture de santé universelle, particulièrement dans son volet maternité gratuite », a ajouté  Dr. Kamba, en présence du Chef de l’Etat venu lancer les travaux

Pour sa part, le commandant du SN, le général-major Kasongo Kabwik, a salué l’initiative du Chef de l’État à intégrer les jeunes Bâtisseurs du Service national, dans le programme de construction et réhabilitation des infrastructures du pays.

« Le lancement des travaux de modernisation de la Maternité de Kintambo, s’inscrit dans ligne droite de votre vision de faire du Service national l’un des bras séculiers de votre politique de mise en œuvre du programme de Couverture santé universelle », a-t-il dit , s’adressant au Président de la République.

« Le bâtiment additionnel à construire sera de type rez-de-chaussée plus deux niveaux. Le rez-de-chaussée va notamment abriter la salle d’accouchement avec deux compartiments et des salles de soins, tandis que les deux niveaux du bâtiment seront affectés aux salles d’hospitalisation », a-t-il décrit.

Le général-major a précisé en outre que  « le bâtiment à réfectionner fera jonction avec le nouveau bâtiment pour ainsi aller de 110 à 250 lits montés ».

4000 jeunes récupérés et professionnalisés

Par ailleurs, le commandant du SN a fait part à l’assistance de l’évolution du SN qui , depuis sa relance en 2019 par le régime Tshisekedi, a réussi la récupération et la professionnalisation de 4000 jeunes dont ceux issus des groupes armés.

 « Le SN a réussi, grâce à un programme d’encadrement civique et patriotique, la récupération, réintégration sociale et la professionnalisation de 4000 jeunes dont un échantillon  est affecté au présent chantier », a expliqué le commandant du SN.

Ces jeunes, agents de l’Etat à  part entière avec rémunération assurée ont bénéficié d’une série de métiers, tels que la conduite des locomotives, la menuiserie, la maçonnerie, et la couture », a -t-il  ajouté.

La Maternité de Kintambo  a été construite en 1952 par  la société Utexafirca, avec une capacité de 110 lits montés , soit un nombre inférieur par rapport à sa capacité d’accueil , en hausse suite à l’explosion  démographique de la population kinoise, a relevé  dans son mot , Dr Brigitte Topela, médecin directeur de cette maternité.

Elle a indiqué que « l’établissement dispose d’un personnel à hauteur de 940 agents, dont 279 médecins, 440 infirmiers, 109 administratifs et autres catégories.

ACP/CC



Le président Félix Tshisekedi a reçu à la Cité de l’Union africaine, Vital Kamerhe, Mardi soir, quelques heures après sa désignation comme candidat unique de l’Union sacrée pour la présidence de l’Assemblée nationale. Cette rencontre intervient après la victoire de Kamerhe aux primaires organisées à Kinshasa pour élire le candidat de la coalition à la tête de la chambre basse du parlement.

Dans une réaction à chaud, Kamerhe confie : « Je n'avais jamais demandé à être candidat à la présidence de l'Assemblée nationale. J'étais en réalité le choix du président de la République depuis plus de deux mois. Les autres ont exprimé leurs désirs, et après des tentatives de conciliation, nous avons été renvoyés aux primaires ». L'homme politique souligne que d'autres postes avaient été proposés, mais son engagement vis-à-vis du Parlement et les enjeux régionaux du Grand Lac l'ont convaincu de revenir au perchoir.

L'expérience des primaires n'a pas été aisée pour Kamerhe, qui reconnaît la tension palpable durant le décompte des votes : « C’est un moment où le cœur bat la chamade. Mais nous sommes des politiciens habitués aux revers comme aux succès. François Mitterrand lui-même avait mis 21 ans avant d'accéder à la présidence française. »

Vital Kamerhe a exprimé sa gratitude envers le présidium de l’Union sacrée, incluant Augustin Kabuya, Modeste Bahati, et Christophe Mboso, soulignant une victoire collective. « Je remercie le présidium de l’Union sacrée, les Présidents Augustin Kabuya, Modeste Bahati et Christophe Mboso. Je voudrais leur dire que nous avons gagné ensemble », a-t-il déclaré après l’audience.

Réaffirmant sa loyauté envers le Chef de l’État, Kamerhe s’est engagé à renforcer la séparation des pouvoirs et à intensifier le contrôle parlementaire pour assurer l'efficacité gouvernementale et l'adoption de réformes nécessaires. « Nous allons faire en sorte que la séparation des pouvoirs soit une réalité, pousser le gouvernement à remplir ses assignations à travers un contrôle parlementaire et faire en sorte que les réformes soient élaborées et adoptées », a-t-il assuré.

actualite.cd/CC



Après un parcours émaillé par la prison et la rédemption, Vital Kamerhe, ancien directeur de cabinet du président Félix Tshisekedi, retrouve son éclat politique. L'homme qui avait été condamné en 2020 à 20 ans de travaux forcés pour détournement de fonds et corruption aggravée, avant que sa peine ne soit réduite puis qu'il ne soit finalement acquitté, vient de remporter les primaires de l'Union sacrée de la nation (USN) pour la présidence de l'Assemblée nationale de la République Démocratique du Congo.

Ce retour en force sur la scène politique semble presque un scénario écrit d'avance pour Kamerhe, qui avait perdu de son influence au cœur du pouvoir après avoir été emprisonné. Son acquittement a marqué le début d'un retour progressif, couronné récemment par sa nomination en tant que vice-premier ministre chargé de l’Économie en mars 2023. Sa participation active dans la récente campagne de réélection de Tshisekedi a solidifié son statut de principal allié du président.

L'ascension continue de Kamerhe se confirme avec la création du Pacte pour un Congo Retrouvé (PCR), une coalition de plusieurs formations politiques visant à renforcer son poids au sein de l’USN. Parmi les membres de cette alliance, on trouve des personnalités comme Julien Paluku Kahongya de l'Alliance-Bloc 50 et Jean-Lucien Bussa Tongba, ministre du Commerce extérieur.

Lors de la primaire du mardi 23 avril, Kamerhe a réitéré son engagement envers le président Tshisekedi, tout en mettant un point d'honneur à différencier loyauté et passivité. « La loyauté n’exclut pas l’efficacité. Nous devons être actifs et proactifs, pas juste des chantres ou des flatteurs », a-t-il affirmé, insistant sur la nécessité de combiner respect pour le leadership en place et une action politique vigoureuse.

Cette déclaration semble aussi adressée à ceux au sein de l’UDPS qui voient en lui un rival potentiel pour l'élection présidentielle de 2028. En se positionnant comme un candidat de consensus et de loyauté, Kamerhe cherche à apaiser les tensions et à montrer qu'il est un pilier fiable pour la stabilité et l'avenir politique de la RDC.

Alors que le pays se prépare à un nouveau chapitre avec Kamerhe potentiellement à la tête de l'Assemblée nationale, l'attention se tourne vers la manière dont il gérera cette puissante institution et les défis futurs de la gouvernance congolaise, toujours dans l'ombre de ses propres ambitions présidentielles.

actualite.cd/CC



Ce 24 avril 2024, cela fait exactement 34 ans que feu président Mobutu Sese Seko prononçait un discours dans lequel il annonçait la fin du Mouvement populaire de révolution (MPR), parti-Etat et l’ouverture au multipartisme. Il lançait ainsi le processus de démocratisation qui devait aboutir aux élections des députés et du président de la République en août 1994, selon le chronogramme adopté par la Conférence nationale souveraine.

Mais ce processus va engendrer une transition de seize ans, émaillée des conflits. 

« Comprenez mon émotion »

Cette phrase devenue célèbre a été prononcée par feu le maréchal Mobutu, à l’époque président du Zaïre. C’était le 24 avril 1990 à la cité de la Nsele à Kinshasa. Devant les cadres du parti unique, le MPR, il annonce pleins d’émotions, larmes aux yeux, la fin du monopartisme, ouvrant ainsi le début d’un long processus de démocratisation après 25 ans de dictature. Il avait ainsi estimé seul devant sa conscience, de tenter l’expérience du pluralisme politique dans le pays, avec comme base, le principe de liberté pour chaque citoyen, d’adhérer au parti politique de son choix.

 Bilan mitigé

Le politologue Christian Moleka estime que 34 ans après l’ouverture de l’espace démocratique par feu le président Mobutu, le bilan est mitigé. Il affirme que l’on a malheureusement assisté notamment à l’émergence des « petits Mobutu », aujourd’hui appelés autorités morales dans les partis politiques.

Rappel des faits

Le 24 avril 1990, le président du Zaïre (qui deviendra 7 ans plus tard la RDC), Mobutu Sese Seko décrète la fin du monopartisme.

Les années qui ont suivi cette annonce ont notamment été marquées par trois transitions.

La première, sous la présidence de Mobutu, a duré sept ans. Cette transition s’est ouverte au moment où s’effondrait le bloc de l’Est et que le vent de la démocratie soufflait sur les pays de l’Afrique sub-saharienne.

Un forum national appelé Conférence nationale souveraine (CNS) a été organisé de 1990 à 1992 réunissant les représentants de toutes les couches de la population congolaise vivant au pays et à l’étranger, pour trouver des solutions aux problèmes de développement auxquels le zaïre d’alors était confronté. Etienne Tshisekedi sera élu Premier ministre dans ce forum mais ne réussira pas à achever son mandat à cause des conflits récurrents qui l’opposaient au président Mobutu.

La CNS a fini par laisser la place au Haut conseil de la République-Parlement de transition (HCR-PT) dont les animateurs étaient issus de cette conférence.

Fin de la première transition

La première transition a pris fin le 17 mai 1997. Ce jour-là, Laurent-Désiré Kabila déjà maquisard dans les années 60, met fin aux trente-deux ans de règne sans partage de Mobutu. La rébellion qu’il menait depuis octobre 1996 a bénéficié de l’appui de nombreux pays de l’Afrique des Grands Lacs. Un an après son accession au pouvoir, les anciens alliés de Kabila lancent une nouvelle guerre dans l’est de la RDC en août 1998. Le pays est divisé en trois zones. Kabila meurt assassiné en janvier 2001, sans avoir eu le temps d’organiser les élections.

Joseph Kabila son successeur va ranimer les négociations de paix avec les belligérants. Un autre forum, le dialogue inter congolais, est organisé en Afrique du Sud.

Une nouvelle transition de deux ans est entamée en juin 2003. Joseph Kabila est assisté de quatre vice-présidents (dont deux ex-chefs rebelles, un opposant et un allié). Prévue de s’achever en juin 2005, la transition est prolongée d’une année. Le premier tour des élections présidentielle et législatives couplées est organisé le 30 juillet 2006, mettant fin aux différentes transitions lancées en 1990.

Joseph Kabila remporte la présidentielle de 2006 avant d’être réélu 5 ans plus tard pour un second mandat, prolongé jusqu’en 2018.

Le successeur désigné par Joseph Kabila perd les élections face à Félix Tshisekedi en 2018. Les élections organisées en 2023 ont permis au Président Tshisekedi d’être reconduit à la tête de la RDC.

radiookapi.net/CC



Il revient en force. Après une décennie et demie d’absence, Vital Kamerhe retrouve bientôt le perchoir de l’Assemblée nationale. Il a été élu mardi 23 avril 2024 lors des primaires de la famille politique au pouvoir, candidat unique de l’Union sacrée au perchoir (avec plus de 183 voix) en battant ses principaux concurrents Mboso (11 voix) et Bahati (69 voix). Quelques bulletins blancs ont été enregistrés. Au total 372 députés de l'Union sacrée de la nation ont pris part à cette élection primaire.

Ainsi prend fin le climat de suspens né suite au manque de consensus au sein de la famille politique de Félix Tshisekedi sur le candidat commun au perchoir de l’Assemblée nationale. 

L’idée d’organiser les primaires a été soutenue par les membres du Présidium de l’Union sacrée, a indiqué Augustin Kabuya, secrétaire général de l’UDPS. 

Avant d’être élu, Kamerhe avait adressé un message fort aux députés nationaux, leur promettant une nouvelle ère de transparence et d’engagement. Son discours a particulièrement porté sur la situation d’insécurité persistante dans l’est du pays, affirmant que le débat sur cette question devait redevenir public. Cette démarche vise à offrir aux populations du Nord, Sud-Kivu et de l’Ituri et d’autres régions la possibilité de suivre de près les discussions et les actions entreprises par leurs représentants.

En plus de sa volonté de rendre le débat public, VK s’est également engagé à restaurer l’image ternie de la Chambre basse du Parlement en tant que le véritable temple de la démocratie. Il a souligné l’importance de renforcer le contrôle parlementaire pour garantir une gouvernance transparente et responsable.

En réalité, cet exercice quoique démocratique, était un doigt d’honneur à Kamerhe qui méritait bien le perchoir sans être soumis à une quelconque compétition pré-électorale, d’autant plus qu’il est à la tête de la deuxième force politique de l’Union sacrée après l’Udps. Ainsi, même par voie des primaires, il ne faisait donc pas l’ombre d’aucun doute que VK allait écraser la concurrence car sa candidature bénéficiait du soutien de nombreux élus.

– Kamerhe, victoire logique-

Depuis Genève, il a soutenu Félix Tshisekedi en passant par Nairobi jusqu’aux dernières élections où il est le seul de trois à avoir véritablement mouillé le maillot. Il a battu campagne dans le Bandundu plus que Mboso qui se prévaut de son fief. Dans l’est, il a balisé la voie à Tshisekedi. Il était aux côtés du candidat n°20 dans toutes ses pérégrinations. Bahati s’était limité à la seule étape de Bukavu. Emprisonné puis blanchi par la justice et le chef de l’État lui-même, Kamerhe est resté loyal et prêt à servir son partenaire politique.

Vital Kamerhe, actuellement vice-premier ministre, ministre de l’économie, député national élu de Bukavu, a déjà dirigé l’Assemblée nationale sous Joseph Kabila (2006-2009).

La prochaine étape sera consacrée à la publication du calendrier de l’élection du bureau définitif de l’Assemblée nationale.

OURAGAN / MCP / CC

 



Le « Projet Congo » de Gradur prend forme petit à petit. Après avoir réuni plusieurs poids lourds de la scène urbaine française et congolaise, le rappeur travaillerait désormais à inclure les artistes musiciens Ferre Gola et Koffi Olomide.

En effet, les deux stars de la musique congolaise étaient présentes lors des deux concerts parisiens de Ferre Gola les 20 et 21 avril. Selon certaines sources, Gradur les aurait tous deux rencontrés en coulisses pour parler de ce projet.

Le rappeur français d’origine congolaise prépare cet album événement depuis plusieurs mois. Objectif : rassembler les plus grandes figures musicales congolaises évoluant en France et à Kinshasa.
 
Bien que Gradur n’ait fait aucune annonce officielle pour le moment, la présence de Ferre Gola et Koffi Olomide, figures tutélaires de la rumba, ajouterait encore plus de lumière à ce projet d’envergure.

Leurs futures participations donneraient une dimension encore plus forte à cet hommage musical à la richesse culturelle congolaise voulue par Gradur. Le casting promet déjà d’être exceptionnel.

Miguel Jegou Mpiutu

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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