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(Agence Ecofin) - L’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Algérie, le Maroc et le Kenya sont les cinq pays africains où il fait bon vivre numériquement. Ils figurent parmi les 85 pays du monde où le coût d’accès et la qualité d’Internet, l’infrastructure IT, la sécurité et l’e-gouvernement sont appréciables, selon Surfshark.

L’Afrique du Sud, le Nigeria, l’Algérie, le Maroc et le Kenya sont les cinq nations africaines, qui affichent une qualité de vie numérique appréciable, sur les 85 pays évalués à travers le monde par Surfshark dans son Digital Quality of Life Index 2020. Bien que ces nations ne soient pas parmi les meilleures dans l’étude, elles présentent tout de même des efforts qui contribuent au bien-être numérique de leurs populations.

Le Digital Quality of Life Index 2020 s’appuie sur cinq piliers que sont le coût de l’accès à Internet, la qualité de l’Internet, l’infrastructure électronique, la sécurité électronique et l’e-gouvernement. En rassemblant ces critères, l’Afrique du Sud se révèle être le pays où la qualité de vie numérique est la meilleure. La nation arc-en-ciel occupe la 59e place sur les 85 pays évalués. Le Maroc vient à la 70e place, suivi du Kenya qui occupe la 77e place. Le Nigeria vient à la 81e position tandis que l’Algérie clôt ce classement africain avec la 84e place.

Cependant, pris séparément, certains pays africains se démarquent des autres sur quelques aspects. Si le Nigeria est meilleur que l’Algérie en matière de sécurité, l’Algérie passe tout même devant pour ce qui est de l’e-gouvernement.

Sur les 85 pays de l’étude, c’est le Danemark qui est le champion en matière de qualité de vie numérique. Il est suivi de la Suède, puis de la Norvège et de la France.



 

Libre depuis la résiliation de son contrat avec Trabzonspor en mars, John Obi Mikel rentre en terrain connu. Ce lundi, Stoke City, 15e du dernier exercice de Championship (D2 anglaise), a en effet annoncé la signature du milieu de terrain de 33 ans, qui retrouve l’Angleterre, pays où il a effectué l’essentiel de sa carrière avec Chelsea (2006-2017) puis Middlesbrough (2019). La durée du contrat de l’ex-international nigérian n’a pas été communiquée.

Afrik foot



Comment les pays d’Afrique peuvent-ils gérer la crise du Covid-19, rouvrir leurs économies et accélérer la relance ? (BAD)

(BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT) - Charles Lufumpa, économiste en chef par intérim et vice-président de la Gouvernance économique et de la gestion des connaissances à la Banque africaine de développement, s’exprime à l’occasion de la publication du supplément de « Perspectives économiques en Afrique 2020 » (PEA). Il fait part de recommandations sur les politiques à mettre en place pour atténuer l’impact du Covid-19 sur les pays africains.

Quelle a été l’évolution de la trajectoire économique de l’Afrique depuis la publication, en janvier dernier, des « Perspectives économiques en Afrique 2020 » ?

Depuis janvier, presque tout a changé. L’arrivée de la pandémie de Covid-19 a bouleversé l’économie mondiale et notamment les économies africaines. En janvier dernier, lors de nos prévisions de croissance économique et de perspectives pour l’Afrique, personne ne pouvait imaginer l’ampleur des bouleversements que provoquerait le Covid-19.

Sur le plan économique, la pandémie et les mesures de confinement mises en place par les gouvernements pour limiter sa propagation ont eu des répercussions importantes. Les restrictions sur les déplacements internationaux, la fermeture des écoles et des lieux de travail, l’annulation des événements publics, les restrictions sur les rassemblements et la fermeture des frontières nationales et des entreprises non essentielles ont eu un impact sans précédent sur l’environnement économique, sanitaire et politique de l’Afrique.

Les conséquences directes et indirectes de la pandémie ont inversé la forte trajectoire ascendante que suivaient encore de nombreux pays d’Afrique en 2019. Nos analyses et projections contenues dans le supplément de l’édition 2020 de PEA rendent compte de cet environnement ébranlé.

Pourquoi un supplément de « Perspectives économiques en Afrique 2020 » est-il nécessaire aujourd’hui ?

La pandémie a inversé les prévisions de forte croissance présentées initialement dans nos « Perspectives économiques en Afrique 2020 » à cause des bouleversements importants qu’elle a provoqués dans les pays d’Afrique sur les plans économique et sanitaire.

Pour tenir compte de l’impact de la pandémie sur l’environnement socio-économique du continent, il a fallu réévaluer sa situation économique et revoir nos projections de croissance et nos perspectives pour 2020 et 2021.

Le supplément de l’édition 2020 de PEA présente une révision de la croissance économique et des perspectives pour l’Afrique en 2020 et 2021. Il évalue l’impact de la crise du Covid-19 et propose des politiques s’appuyant sur des stratégies sûres pour rouvrir les économies et accélérer la relance après la pandémie.

Pour ce qui concerne les politiques, quelles sont les principales recommandations faites pour encourager une croissance atteignant 3% en 2021 ?

 Tout d’abord, il est important de souligner que les projections de reprise de la croissance atteignant 3% en 2021 sont soumises à d’importants risques de révision à la baisse pouvant résulter de facteurs externes et internes. Par exemple, un risque non négligeable d’une deuxième vague d’infections au Covid-19 subsiste et pourrait obliger les pays d’Afrique à imposer à nouveau des mesures d’éloignement physique, de confinement et de quarantaine.

Nous ne devons pas non plus oublier les autres catastrophes naturelles, comme les nuées de criquets pèlerins dans certaines parties de l’Afrique de l’Est, qui affectent lourdement les rendements et les moyens de subsistance des exploitants agricoles. D’autres facteurs aggravants, dont la baisse des cours des matières premières, le poids considérable de la dette et le durcissement des conditions de financement au niveau international, accroîtront probablement les incertitudes quant aux perspectives de reprise économique en Afrique.

Le supplément de l’édition 2020 de PEA met en avant une approche politique à plusieurs volets pour lutter contre la pandémie, impliquant : des mesures d’intervention en matière de santé publique pour contenir la propagation du virus et minimiser les décès ; des mesures de politique monétaire pour atténuer les effets de l’insuffisance de liquidités et les risques d’insolvabilité ; des mesures budgétaires pour limiter les impacts économiques de la pandémie sur les moyens de subsistance des populations et aider les entreprises ; de nouvelles réglementations sur le marché du travail destinées à protéger les salariés et les emplois ; des politiques structurelles devant aider les économies d’Afrique à se reconstruire et à améliorer leur résilience face aux crises futures. Des détails concrets sur la façon de mettre en œuvre ces réponses politiques sont présentés en particulier dans la section 3 du supplément.

Comment les pays d’Afrique peuvent-ils bâtir des économies plus résilientes face à des crises futures ?

L’actuelle pandémie de Covid-19 n’est certainement pas le dernier choc majeur auquel sera confronté le continent. Dans le supplément de PEA, nous avons souligné qu’il était nécessaire d’accélérer les réformes structurelles pour permettre aux pays d’Afrique d’établir des économies plus résilientes et de mieux se préparer à faire face aux crises futures.

En augmentant la productivité et en éliminant les obstacles qui pèsent sur l’environnement des entreprises, les pays d’Afrique pourraient relancer leur base productive et accroître leurs niveaux d’industrialisation. Ces réformes destinées à renforcer la résilience nécessiteraient des investissements dans le capital humain pour constituer une main-d’œuvre possédant les compétences adéquates pour les secteurs à forte productivité ainsi que des investissements destinés à combler le déficit d’infrastructures, cela pour faire progresser le développement industriel de l’Afrique.

En outre, la promotion de la diversification des économies aidera les pays africains à s’adapter à une économie mondiale de plus en plus instable et à mieux se protéger face aux crises futures. Cela nécessitera des politiques ciblées, qui stimulent la productivité agricole et permettent de faire passer la main-d’œuvre des secteurs à faible productivité vers des secteurs à forte productivité, ainsi qu’une aide à des secteurs compétitifs, dont l’agro-industrie, les technologies numériques ou les services basés sur les technologies de l’information et de la communication, essentiels pendant la pandémie.

Parmi les autres problèmes qu’il faudra essayer de résoudre pour parvenir à des économies africaines à croissance plus rapide et plus résilientes, on peut citer la formalisation du secteur de l’économie parallèle, la garantie d’une stabilité politique, de la bonne gouvernance et de la transparence, et des mécanismes de protection renforcés des droits de propriété.

bad



La crise politique qui couve en République démocratique du Congo (RDC) s’est transformée jeudi en manifestations violentes, avec au moins trois morts – deux manifestants et un policier – lors des marches interdites et réprimées contre le choix du nouveau président de la Commission électorale.

Les deux manifestants ont été tués dans les deux principales villes Kinshasa et Lubumbashi, selon le bureau des droits de l’homme des Nations unies au Congo, qui s’inquiète « de l’usage de la force létale par les forces de l’ordre ».

A Lumbumbashi (sud-est), la victime, un homme de 32 ans, a été tué par la police militaire, ajoute cette même source sur Twitter qui « déplore la participation des soldats de l’armée congolaise aux tâches de maintien de l’ordre ».

Le service onusien « condamne également la mort d’un agent de police » à Kinshasa. Il « a été lynché après avoir tiré sur les manifestants », avait indiqué cette source à l’AFP.

La Libre Afrique 



La commission spéciale de la Chambre qui sera chargée de se pencher sur le passé colonial de la Belgique aura une large mission, dont celle de «formuler des recommandations sur la manière d’aborder le passé dans l’État indépendant du Congo et le passé colonial belge au Congo, au Rwanda et au Burundi au travers de souvenirs communs», a-t-on appris vendredi.

Elle disposera d’un an pour mener à bien ses travaux, avec l’aide d’experts belges, congolais, burundais et rwandais, qui devront remettre un premier rapport le 1er octobre prochain, indique l’avis rédigé par la présidente de la commission des relations extérieures de la Chambre, Els Van Hoof (CD&V) et adressé à la conférence des présidents.

Celle-ci devrait donner la semaine prochaine son aval à la mise sur pied de cette commission spéciale. «Le monde entier tourne ses regards vers cette commission. Il est unique qu’un pays mette sur pied une commission spéciale au sein de son parlement (pour étudier) la période coloniale et ses conséquences», a affirmé Mme Van Hoof.

La présidence de cette commission de dix-sept membres devrait revenir au groupe Ecolo-Groen.

Plusieurs objectifs

Le mandat de la commission est étendu. Elle doit faire la clarté sur l’État indépendant du Congo (EIC, 1885-1908) et sur le passé colonial de la Belgique au Congo (1908-1960); au Rwanda et au Burundi (1919-1962) et d’en tirer des enseignements pour l’avenir. Elle est aussi chargée d’examiner ’le rôle et l’impact structurel que l’État belge, les autorités belges et les acteurs non étatiques (comme par exemple, la monarchie, l’Eglise, les exploitants des économies coloniales, …) au sens large ont eu sur l’EIC et sur le Congo belge, le Rwanda et le Burundi (1885-1962).

Le travail de recherche historique portera aussi sur l’examen de l’impact économique de la colonisation sur la Belgique et les pays colonisés, «y compris notamment les manières dont les profits de l’exploitation du Congo ont été transférés à la Belgique, et les personnes, entreprises et institutions qui en ont été les bénéficiaires».

La commission sera aussi chargée de formuler des recommandations sur la manière d’aborder le passé au travers de souvenirs communs et d’élaborer des propositions pour la réconciliation entre les Belges (y compris les Belges d’origine congolaise (rwandaise et burundaise), et «optimaliser les relations» entre les Belges et les ressortissants de ces trois pays.

Les experts doivent quant à eux indiquer dans leur rapport s’il existe des indications selon lesquelles certaines archives susceptibles de contenir des informations précieuses ne sont pas ou sont peu accessibles et quelles sont les solutions pour y remédier.

Ils doivent aussi déterminer quels sont les points de vue historiques sur lesquels il existe un consensus parmi les historiens, en particulier sur les violations des droits humains, le racisme et la ségrégation institutionnels, la violence structurelle, le travail forcé et l’exploitation économique.

Belga



Élu aux élections présidentielles du Malawi, Lazarus Chakwera demande l’aide de Dieu pour diriger le pays.

À l’issue d’une année de bataille judiciaire, le Malawi, pays au sud-est de l’Afrique, a un nouveau président, Lazarus Chakwera. Ce père de quatre enfants est un ancien pasteur. Il a même dirigé les Assemblées de Dieu du Malawi pendant près de 25 ans.

Dirigeant du Parti du Congrès du Malawi depuis 2013, Lazarus Chakwera s’était présenté aux élections présidentielles de 2013 et 2019 sans succès.

En 2019, 160 000 voix le séparaient du vainqueur Peter Mutharika. Un scrutin invalidé en février dernier par la Cour Constitutionnelle pour « fraudes massives ». Le second vote a donc eu lieu le 2 juin.

Lazarus Chakwera, diplômé de philosophie et de théologie, prône l’unité, la lutte contre la corruption, l’emploi et la prospérité. Il termine chaque meeting par la prière et dit être envoyé par Dieu.

« Dieu m’a parlé. Dieu m’a dit : ‘je ne te retire pas ton ministère’. Il m’a dit : ‘je prolonge ton ministère pour que tu puisses diriger une nation toute entière’. »

Samedi soir, il a prononcé son discours d’investiture.

« Moi, docteur Lazarus McCarthy Chakwera, jure solennellement exécuter bel et bien les fonctions de haut fonctionnaire de la République du Malawi, préserver et défendre la Constitution. »

Avant d’ajouter, « alors, Dieu, aide-moi ».

Le président sortant, Peter Mutharika, estime qu’il s’agit de « la pire [élection] de l’histoire de nos élections au Malawi », et demande un troisième vote. Mais la Commission des Droits de l’Homme du Malawi parle elle de « vote paisible et transparent ».

Infochretienne.com



« Volte-face, Revirement total, changement de cap … » Des réactions ont fusé de partout après la déclaration du président Evariste Ndayishimiye sur la lutte contre le coronavirus lors de la prestation de serment des ministres du nouveau gouvernement. « Je déclare la pandémie de la Covid-19 comme étant le plus grand ennemi du peuple burundais… Nous nous engageons à combattre résolument cette pandémie”. Enfin…

Pour donner le ton et aller vite, le gouvernement va, entre autres, subventionner le prix du savon à 50% et baisser le prix de l’eau de la Régideso. La lutte contre la pandémie du coronavirus devient donc la priorité du gouvernement, sa préoccupation.

Cette annonce du chef de l’Etat met un terme aux critiques surtout des défenseurs des droits humains et des instances onusiennes en l’occurrence l’OMS envers le gouvernement burundais dans la lutte contre la Covid-19. « L’approche irresponsable des autorités face à la pandémie ajoute plus d’incertitude et de peur, alors que des statistiques précises et la transparence sont nécessaires pour sauver des vies », avait déclaré notamment le directeur pour l’Afrique centrale de Human Rights Watch. C’est aussi un message fort pour les Burundais réputés observer sans rechigner la parole du chef. Ils commençaient à négliger les gestes barrières, les mesures d’hygiène comme le lavage régulier des mains et ne croyaient plus aux données fournies par le ministère de la Santé sur l’état de la pandémie dans le pays.

Certes l’équipement des structures de santé est une nécessité, mais il faudra mettre le paquet sur le volet information. En effet, la grande majorité de la population reste désinformée ou sous informée sur l’origine, les modes de transmission et les traitements du coronavirus. Le Burundi profond croit dur comme fer que la pandémie ne se limite qu’à la capitale économique, Bujumbura, alors que le pays n’a pas observé de confinement. Par ailleurs, la peur hystérique d’être contaminé, les rumeurs, les fausses nouvelles poussent à la stigmatisation des gens ayant été testés positifs et leurs familles. En raison de cette stigmatisation, de nombreuses personnes atteintes de la maladie pourraient préférer se taire et cette dissimulation accélérerait la propagation de la pandémie.

Il est du devoir des autorités habilitées de donner en temps réel des informations sur l’évolution épidémiologique ainsi que des notes scientifiques à l’attention du public le plus large, de préférence dans toutes les langues parlées sur le territoire burundais. Ce qui constitue un moyen de ralentir la propagation de la Covid-19 au sein de la population, de se protéger et de protéger les autres contre une infection en évitant la psychose.

iwacu-burundi.org



Diriger l’avenir de l’Église à travers le séminaire biblique en ligne avec le pasteur Ock Soo Park»

Fort de 30 ans d’expérience dans les missions à l’étranger et des médias et des technologies Internet, le «Séminaire biblique avec le pasteur Ock Soo Park» diffusé dans 94 pays a atteint environ 800 millions de personnes. Télévisé dans un total de 209 chaînes de télévision, radio, réseaux sociaux…. Les téléspectateurs ont commenté «Mots exacts de la Bible», «Mots purs et précis». En raison de la demande de rediffusion, le ‘Séminaire biblique en ligne’ tiendra un séminaire bis du 20 mai (mercredi) au 22 (vendredi) à 19h30.

Avec la propagation mondiale de la pandémie de COVID-19, de nombreuses personnes inquiètes et inquiètes se sont rassemblées devant leurs téléviseurs, radios, ordinateurs et smartphones avec leurs Bibles ouvertes pour écouter l’Évangile.

Le principal orateur, le pasteur Ock Soo Park, est actuellement connu comme le pasteur le plus influent qui ouvre la voie dans la prédication de l’Évangile dans le monde entier. Il a présenté le vrai salut avec l’évangile précis à travers le séminaire biblique en ligne.

La Korea Christian Association (KCA) a accueilli le «Séminaire biblique avec le pasteur Ock Soo Park» diffusé dans 94 pays sur le thème «Le repentir pour la rémission des péchés» du 10 mai (dimanche) au 15 (vendredi). Ce séminaire a été diffusé sur 209 stations, Youtube, Facebook et d’autres médias sociaux atteignant près de 800 millions de téléspectateurs.

Ce séminaire biblique en ligne a été organisé par la mission Good News, qui est rapidement passée aux services en ligne au cours des premières étapes de la percée de COVID-19 en Corée. La mission Good News compte environ 2 000 missionnaires dans 100 pays du monde, le séminaire biblique en ligne étant traduit en 26 langues, de l’anglais aux langues tribales kenyanes, par le biais de divers réseaux de médias dans chaque pays.

Ce séminaire biblique en ligne a été diffusé à travers des stations nationales de premier plan rassemblant diverses races, générations et pays. Les participants comprennent: environ 200 millions de téléspectateurs d’Amérique du Nord via des stations comme ABC et NBC, 100 millions de téléspectateurs d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud via des stations comme Enlace, 140 millions de téléspectateurs européens via des stations comme TBN Russie et TBN-ESPANA Espagne, 100 millions des téléspectateurs africains via des stations telles que Ghana GTV et Kenya GBS, 260 millions de téléspectateurs asiatiques et 2 millions de téléspectateurs océaniens via les stations nationales des Fidji et des Îles Salomon. Avec l’aide de ces stations, le message a été diffusé à environ 800 millions de téléspectateurs. C’était sans précédent et jamais dans l’histoire du christianisme, Il y a eu un moment où autant de gens ont entendu l’évangile dans un laps de temps si court.

Pastor Park prêche sur le repentir, la foi et l’Évangile pour 11 sessions de 90 minutes chacune

Le séminaire biblique qui était initialement prévu du 10 au 13 a été prolongé de 2 jours jusqu’au 15. Tout cela est dû à la grande réponse des téléspectateurs de chaque pays. Le pasteur Ock Soo Park a prêché l’évangile pendant 11 sessions de 90 minutes chacune. Il a souligné que l’homme n’est pas justifié par les œuvres, mais par le sang de Jésus-Christ et que la vie spirituelle n’est pas par la loi, mais par la grâce.

Le pasteur Ock Soo Park a déclaré: «Aujourd’hui, de nombreux dirigeants chrétiens disent que nous sommes toujours des pécheurs malgré le fait que Jésus a été crucifié pour nos péchés.» Il a ensuite demandé si nous fesons confiance aux paroles de la Bible ou aux paroles d’un leader chrétien. Il a ajouté: «Nous devons retourner à la Bible. La Bible dit que nos péchés sont lavés. “Par la volonté de qui nous sommes sanctifiés par l’offrande du corps de Jésus-Christ une fois pour toutes.” Si la Bible dit que nous sommes justes, alors nous sommes justes, et si elle dit que nos péchés sont lavés, alors ils sont lavés. Ne croyons pas nos paroles ou nos pensées, mais croyons à la Bible. »

Diffusion en direct en 6 langues, retransmission TV et radio en 26 langues

De plus, en Amérique du Nord seulement, ce séminaire biblique en ligne a été diffusé sur 26 chaînes de télévision, dont ABC et NBC, et 23 stations de radio. TBN Russia couvre 85% des foyers dans toute la Russie, avec une moyenne de 2 millions de foyers régulièrement connectés. De plus, près de 9 millions de téléspectateurs russes répartis dans 186 pays ont également pu se connecter. De plus, ce séminaire a été télévisé sur Youtube, Facebook, VKontakte (réseaux sociaux russes), Christian Leaders Fellowship (CLF), et bien plus encore dans les régions intérieures de la Sibérie, dans les régions d’Extrême-Orient, dans l’ancienne Ukraine et en Asie centrale.

Le séminaire a été retransmis à 200 millions de téléspectateurs hispanophones via des stations de radiodiffusion chrétiennes comme Enlace et TBN. De plus, le séminaire a été télévisé dans des pays comme le Mexique, le Pérou, la Colombie, le Paraguay, la Bolivie, le Costa Rica, le Chili, le Honduras et bien plus encore. En Afrique, il a été retransmis via Kenya GBS, la station nationale du Ghana GTV, Togo AC TV, Côte d’Ivoire Benie TV et d’autres stations de télévision et de radio.

Le réalisateur Roger Leon Jimenez d’Enlace, qui est la plus grande station chrétienne d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, a déclaré: «Je connaissais Good News Mission of Korea depuis de nombreuses années et j’ai diffusé plusieurs sermons du pasteur Ock Soo Park tels que« Lectures on Genesis ». Les méthodes de prédication du pasteur Park, les enseignements bibliques et son esprit d’évangélisation évangélique sont des modèles à suivre. » Il est très reconnaissant à Dieu qu’Enlace puisse servir en première ligne pour diffuser cet évangile en coordination avec la Mission de la Bonne Nouvelle.

Les pasteurs confessionnels étrangers disent: «Nous prêcherons cet évangile jusqu’aux extrémités de la terre.»

Le message qui a été délivré lors de ce séminaire a uni les chrétiens du monde entier uniquement par le biais de l’Évangile, et a donné de l’espoir et une force nouvelle aux personnes en difficulté de COVID-19.

Des pasteurs confessionnels de chaque pays ont participé à ce séminaire: le chancelier de Epic Bible College aux États-Unis, le révérend Dr Ronald Harden, l’évêque Joaquin Pena de l’Église de Dieu aux États-Unis, le président Alekseev Oleg de la Central Baptist Association à Voronej, Russie , Le président Rigoberto Vega de la Christian Protestant Association au Costa Rica, l’archevêque chrétien le révérend Kiseve Arthur Kitonga au Kenya, le président de la Christian Pastoral Union et le président présidentiel le révérend Joseph Serwadda en Ouganda, le président Luther Prasanth Kumar Chatla de Bethel Baptist Gospel Union en Inde, Le président révérend Tevita N Banivanua de la Fiji Church Association, et de nombreux autres dirigeants chrétiens dans chaque pays ainsi que 240 000 pasteurs membres de la Christian Leaders Fellowship (CLF), ont entendu le message du séminaire.

Tous les pasteurs qui ont assisté au séminaire ont exprimé leur cœur au sujet de la prédication de l’Évangile jusqu’aux extrémités de la terre. Le pasteur Angel Resendiz de l’église baptiste Le Nuevo à Mexico a déclaré: «Il est étonnant que ce séminaire ait atteint 800 millions de personnes dans 94 pays à travers le monde. L’évangile qui a été prêché pendant le séminaire était très précis. Je ne connaissais pas l’évangile précis avant de rencontrer Pastor Park et d’entendre l’évangile. Maintenant, je peux glorifier Dieu. Je veux me joindre à ce travail pour répandre l’Évangile à toute l’humanité. »

Le pasteur Tim de l’église de Chiang Mai Bo Sang en Thaïlande a déclaré: «Grâce à ce séminaire, j’ai pu avoir une compréhension claire de la Bible. Chaque fois que je lis la Bible, elle reste simplement une connaissance. J’ai appris que si je fais bien, alors je suis béni et si je fais du mal alors je suis maudit, et sans connaître la Bible, j’ai essayé de comprendre et d’utiliser la Bible par moi-même. Cependant, grâce à ce séminaire, j’ai réalisé que tous mes péchés avaient été lavés et je me suis perfectionné par la mort de Jésus sur la croix. »

Les téléspectateurs du monde entier disent: «Je n’ai jamais rencontré un prédicateur qui enseigne cela précisément»,

Des milliers et des dizaines de milliers de commentaires sont publiés sur chaque chaîne de médias sociaux qui a diffusé le séminaire. Les babillards de toutes les stations de radiodiffusion qui ont diffusé le séminaire ont été remplis de commentaires des téléspectateurs. La majorité des téléspectateurs ont déclaré: «Je suis parvenu à comprendre précisément l’enseignement biblique sur le pardon des péchés.» «J’ai de l’espoir en Dieu qui agira également dans ma vie.»

Maria Soler du Connecticut aux États-Unis a déclaré: «Je n’ai jamais rencontré un prédicateur de l’Évangile qui ait enseigné cela précisément du salut parfait accompli par Jésus en utilisant les offrandes de l’Ancien et du Nouveau Testament.»

Jennifer Elizondo du Costa Rica a déclaré: «Bien que de nombreux pasteurs parlent de la rédemption de Jésus sur le podium, ils ne le croient pas dans leur cœur. J’ai aussi vécu en diffusant un message qui n’était pas clair, mais ce message que j’ai entendu lors du séminaire a donné de l’espoir à mon esprit et j’ai appris la vérité claire. »

Inna qui a regardé le séminaire à travers TBN Russie a déclaré: «J’ai été étonné des témoignages sur la façon dont les paroles de la Bible ont fonctionné dans la vie du pasteur Ock Soo Park. J’ai été encore plus étonné du fait que lorsque mon cœur et le cœur de Dieu ne feront qu’un, le même changement se produira dans ma vie et je vivrai une vie qui marche sincèrement avec Dieu. »

Surfant sur cette vague de grande publicité, la mission Good News organisera un séminaire biblique en ligne avec le pasteur Ock Soo Park du 20 mai (mercredi) au 22 (vendredi) à 19h30 pendant 3 jours pour prêcher l’évangile à 94 pays une fois de plus. Ce séminaire en ligne sera diffusé en direct sur la page d’accueil officielle du séminaire en ligne sur la Bible, sur GOODNEWS TV, sur GOODNEWS TV Global Youtube et sur les applications.

Guinnee7.com



Dar-es-Salaam, Tanzanie, 22 juin (Infosplusgabon) - Le leader du championnat de première division de football de Tanzanie,  Simba Sports Club, s'apprête à renforcer son attaque en faisant signer le Ghanéen, Michael Sarpong, limogé par African Ryon du Rwanda pour des motifs disciplinaires. 

Des sources à l'intérieur de Vodacom Premier League (VPL) de Tanzanie déclarent, ce lundi, que Simba est sur le point de faire signer l'attaquant qui a inscrit 24 buts en première division de football du Rwanda devenant ainsi le meilleur buteur lors de sa première saison (2018/19). 

L'attaquant de 24 ans est libre après avoir été licencié par le champion du Rwanda pour avoir contesté la décision du club de suspendre les salaires des joueurs en conséquence de la pandémie de Covid-19. 

“C'est vrai que nous sommes entrés dans la phase finale pour faire signer Michael Sarpong, mais la décision sera annoncée à l'ouverture de la fenêtre des transferts en juillet 2020. En ce moment, nous sommes concentrés sur le championnat VPL, que notre équipe s'apprête à remporter", déclare une source du club. 

Selon les informations données par la presse au Rwanda, Sarpong a reconnu qu'un accord est en cours pour le faire signer chez les champions de Tanzanie et que l'accord pourrait être scellé bientôt. 

“Le contrat est en négociation entre mon agent et Simba. Il reste juste quelques détails", aurait déclaré le joueur. 

Si ce transfert vers Simba réussi, Sarpong rejoindra un autre joueur importé du Rwanda, Meddie Kagere, une autre menace pour les défenseurs de la Ligue tanzanienne. Kagere, qui a rejoint Simba en provenance de Gor Mahia du Kenya en 2018, et a été le meilleur buteur de VPL avec 21 buts lors de la saison 2018/19. 



Le Covid-19 aurait été vaincu "grâce à Dieu", selon le président tanzanien.

Depuis le début de la pandémie, le président tanzanien John Magufuli a été on ne peut plus clair : il ne compte sur rien d'autre que Dieu pour vaincre le nouveau coronavirus. Ses prières semblent avoir été exaucées. Du moins, c'est ce qu'il annonçait à ses compatriotes le 7 juin 2020 à Dodoma, la capitale politique de la Tanzanie, lors d'un culte. Le Covid-19 "a été éliminé grâce à Dieu", a déclaré le dirigeant tanzanien, rapporte la BBC. "Je tiens à remercier les Tanzaniens de toutes les confessions. Nous avons prié et jeûné pour que Dieu nous sauve de la pandémie qui a frappé notre pays et le monde. Mais Dieu nous a répondu." Et d'ajouter : "Je crois, et je suis certain, que de nombreux Tanzaniens croient que la maladie (...) a été éliminée par Dieu".

Une bonne nouvelle en apparence, si ce n'est qu'elle est l'épilogue d'une série de décisions, pour gérer la crise sanitaire, qui préoccupent l'opposition et l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Un président qui minimise la pandémie

Le chef de l'Etat tanzanien, surnommé le bulldozer ("Tingatinga" en swahili), fait partie de ces dirigeants dans le monde qui doutent de la dangerosité de la pandémie de Covid-19, du moins en publicSon fils a attrapé le virus, dont il a réussi à se débarrasser.

"Je suis sûr que c'est juste le vent qui tourne et que (le virus) disparaîtra comme d'autres avant lui ont disparu, estime-t-il. Il y a tellement de menaces qui circulent autour de ce coronavirus, mais c'est une petite maladie et nous la vaincrons au nom de Dieu. Je demande aussi aux Tanzaniens de continuer à travailler dur", avait-il déclaré en mars dans une église de Dodoma. Comme beaucoup de dirigeants africains, il s'est dit préoccupé des conséquences économiques d'un confinement. 

Lors du Vendredi Saint, le 10 avril, il a tenu des propos similaires, expliquant que Dieu protégerait les Tanzaniens du virus. 

Un confinement a minima, où les rassemblements religieux sont encouragés 

Contrairement à la plupart des pays africains qui ont décrété des mesures plus ou moins strictes de confinement et des couvre-feux, la Tanzanie n'avait fermé que ses établissements scolaires, les commerces et les transports continuant à fonctionner normalement. La fréquentation des gares routières et des marchés n'a donc pas changé.

Si le chef de l'Etat a appelé ses concitoyens à éviter les "rassemblements non nécessaires", il les a aussi encouragés à continuer de faire marcher l'économie et à se rendre à la mosquée ou à l'église. "C'est l'heure de consolider notre foi et de continuer à prier Dieu, plutôt que de dépendre de masques sur le visage. N'arrêtez pas d'aller dans les églises et les mosquées pour prier", avait-il ainsi lancé en mars, aux premières heures de l'apparition de la maladie sur le territoire.  

Matshidiso Moeti, la responsable de l'OMS pour l'Afrique, avait souligné en avril le retard pris dans la mise en œuvre des règles de distanciation physique en Tanzanie, comme le fait d'avoir continué à autoriser les rassemblements religieux et d'avoir tardé à isoler la capitale économique, Dar es Salam, du reste du pays au moment où le gouvernement a su que c'était un foyer épidémique. 

Depuis le 1er juin, les étudiants sont de retour dans les amphithéâtres sans la moindre mesure de distanciation physique.  

Une remise en cause des dispositifs sanitaires

Le président Magufuli s'en est aussi pris au suivi de la maladie fait par le ministère de la Santé et à la fiabilité des tests de dépistage. Le 22 avril, il a ainsi accusé le ministère d'alimenter "la panique" en mettant l'accent sur le nombre de nouveaux cas.

Quelques jours plus tard, le président Magufuli avait évoqué de possibles "sabotages" au sein du laboratoire en charge de les effectuer, affirmant y avoir fait tester secrètement une papaye, une caille et une chèvre, qui s'étaient tous avérés positifs.

"Il est possible qu'il y ait des erreurs techniques ou que les réactifs importés aient des problèmes. Il est également probable que les techniciens soient payés pour induire en erreur", avait-il déclaré dans un discours en swahili retransmis par la télévision publique TBC.

Résultat : la ministre de la Santé Ummy Mwalimu avait ordonné le lendemain de son intervention, le 4 mai, la suspension du directeur du laboratoire et du responsable du contrôle de conformité, dans l'attente d'une enquête. 

Quelques jours plus tard, le Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) de l'Union africaine a rejeté les critiques du dirigeant tanzanien en affirmant avoir validé les tests utilisés en Tanzanie, comme dans tous les pays du continent, et qu'ils étaient "très performants". 

"Nous jouons un rôle clé dans la formation dans presque tous les pays africains et nous leur fournissons des kits de dépistage", avait indiqué John Nkengasong, le directeur du CDC Afrique. Il avait également précisé que des tests de la fondation du milliardaire chinois Jack Ma avaient été aussi distribués et que ceux-ci "(avaient) été validés et se sont révélés très, très fiables".

Les autorités tanzaniennes ont décidé de ne plus fournir de chiffres officiels sur l'évolution de la pandémie depuis le 29 avril (le pays comptait alors 480 cas et avait enregistré 16 décès). Seul l'archipel semi-autonome de Zanzibar continue d'actualiser le nombre de cas.

La reprise de la publication des bilans interviendrait, selon le gouvernement, une fois résolus les problèmes de tests au laboratoire national évoqués par le chef de l'Etat.

Au 11 juin, 509 cas et 21 décès ont été répertoriés par l'OMS en Tanzanie, où le premier cas de contamination au nouveau coronavirus a été déclaré le 16 mars 2020. Deux jours plus tôt, la ministre tanzanienne de la Santé annonçait que la capitale politique "Dodoma et 15 autres régions" du pays n'avaient pas enregistré de nouveaux cas.  

Une gestion de la crise sanitaire critiquée par l'opposition 

Depuis avril, l’opposition dénonce l’attitude du pouvoir face à la pandémie. Le leader du principal parti d'opposition (Chadema), Freeman Mbowe, a pointé le manque de transparence du pouvoir face à la propagation du nouveau coronavirus, accusant le président John Magufuli de persister dans le "déni" de la maladie.  

"Il n'y pas de transparence et quand les gens n'ont pas d'information, cela laisse le champ libre aux rumeurs", avait alors déploré le chef de l'opposition"Le gouvernement ne devrait pas traiter cette pandémie comme un secret", a également plaidé Freeman Mbowe, qui a été hospitalisé à la suite d'une agression dans la nuit du 8 au 9 juin. 

"Je suis mécontent du manque de sérieux du gouvernement, du manque de transparence sur le nombre de cas et de décès, et du déni du président par rapport à l'épidémie", avait également confié à l'AFP à la mi-mai Zitto Kabwe, qui dirige l'un des partis d'opposition en Tanzanie, l'Alliance pour le changement et la transparence (ACT).

A l'instar de l'opposition, plusieurs pays étrangers et des militants de la société civile ont critiqué la Tanzanie pour son choix de ne plus diffuser d'informations sur le coronavirus."Il est important que nous ayons des informations complètes et régulières pour connaître la direction à prendre et mettre en place les décisions adéquates" pour lutter contre l'épidémie, a estimé Onesmo Ole-Ngurumwa, coordinateur de la Coalition des défenseurs des droits de l'Homme de Tanzanie.

En 2019, l'OMS avait déja reproché à la Tanzanie de ne pas avoir fourni d'informations détaillées sur une autre maladie mortelle, celle causée par le virus Ebola.

Fin mai, les autorités tanzaniennes ont convoqué le représentant américain, Inmi Patterson (il n’y a plus d’ambassadeur américain dans le pays depuis 2016, NDLR), pour protester contre un avis publié sur le site de l'ambassade des Etats-Unis avertissant les voyageurs d'une "augmentation exponentielle"  des cas de coronavirus dans ce pays d'Afrique de l'Est.

Cette information "n'est pas vraie et peut provoquer de la panique parmi les Tanzaniens et les étrangers", avait rétorqué dans un communiqué le ministère tanzanien des Affaires étrangères.

Une stratégie similaire au Burundi 

Le Burundi s'est aussi placé sous la protection divine pour faire face à la pandémie. La première dame, de retour dans son pays après la mort de son époux Pierre Nkurunziza le 8 juin 2020 d'une crise cardiaque, avait été évacuée au Kenya pour des soins. Elle aurait souffert du Covid-19, une information démentie par les autorités burundaises. A l'instar du Burundi en mai dernier, une élection présidentielle est prévue en Tanzanie en octobre 2020. 

Le Parlement tanzanien a approuvé le 10 juin un projet de loi comportant une série d'amendements qui renforceront l'immunité des principaux dirigeants du pays, malgré les vives critiques formulées par l'opposition ces derniers jours. L'un de ces amendements protège, entre autres, le président, le vice-président, le président de l'Assemblée ainsi que son vice-président, de toute poursuite directe pour tout acte ou omission réalisé dans le cadre de leurs fonctions.

francetvinfo.fr

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