C’est depuis le 12 juin dernier que les rebelles du mouvement du 23 mars (M23), soutenus par le Rwanda, se sont emparés de Bunagana, une cité frontalière avec l’Ouganda, située à plus ou moins 90 kilomètres de Goma, dans le territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).

C’était après que les éléments des forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) venaient d’annoncer un repli stratégique de cette entité qu'ils contrôlaient pendant qu'ils pourchassaient l'ennemi en profondeur.
 

Ce jour-là, de nombreuses familles ont été contraintes de vider la cité stratégique de Bunagana. La plupart se sont réfugiés en Ouganda voisin alors que d'autres ont pris la direction des agglomérations jugées sécurisées du côté congolais dont Burayi, Ntamugenga, Rumangabo, Rubare, Rutshuru- centre, Kiwanja et autres.

Un mois après, ces réfugiés et déplacés disent traverser des moments difficiles.

«  La vie n'est pas aisée ici. Nous n'avons ni nourriture, ni eau. Nous sommes exposés à toute forme d'intempéries. On nous demande seulement d'envoyer les malades dans des structures de santé les plus proches pour une prise en charge gratuite », témoigne  Eugène Budacha, rencontré dans le camp des réfugiés de Bunagana, dans le district de Kisoro en Ouganda.

Il ajoute que certains réfugiés sont obligés de rentrer en RDC pour chercher quoi mettre sous la dent.  

« De fois, nous traversons la frontière pour aller s'approvisionner en nourritures. Avant-hier, je suis allé dans mon champ de Kisiza. J'ai croisé les éléments du M23. Ils m'ont laissé récolter quelques produits de mon champ et m'ont même dit de demander à d'autres réfugiés de rentrer.  Nous demandons aux autorités congolaises de pacifier notre cité. Nous avons besoin de retourner chez nous », a ajouté Eugène.

Et, à cette femme voisine de l'abri de Mr Eugène dans le camp de Bunagana d’ajouter :

« Nous vivons difficilement. Nous achetons l'eau. Si nous ne rentrons pas à Bunagana, nous ne trouverons pas à manger. Nous traversons par Kibaya parce que la douane est fermée. Nous avons besoin de retourner mais nous ne saurons pas tant que les rebelles du M23 sont encore là. Que nos autorités fassent tout pour mettre fin à cette guerre. Nous sommes fatigués de vivre dans ce camp », a dit Denise, originaire de Basigari dans la cité de Bunagana.

Les rebelles du M23 font payer des taxes à tout congolais qui traverse la frontière.

« Ils nous font payer en shillings (Ndlr : monnaie ougandaise). À chaque traversée, surtout quand on veut rentrer en Ouganda en provenance de la RDC, on est obligé de payer l’équivalent de 1 000 FC et entre 2 000 et 3 000 FC pour celui qui transporte un colis », témoigne, pour sa part, Emmanuel Nzainambaho, qui habite le camp de Kibaya.

Les députés provinciaux du Nord-Kivu, élus du territoire de Rutshuru, appellent, de leur côté, à l'assistance en faveur de ces populations en errance. Ils estiment qu'il est aussi grand temps pour la communauté internationale de demander au Rwanda de retirer ses troupes du sol congolais afin de permettre aux réfugiés et déplacés de retourner dans leurs entités respectives.

« Nous ne cessons d'alerter la communauté tant nationale qu'internationale sur cette question afin d'attirer leur attention pour épargner la population de toutes ces contrées qui se sont vidées suite à cette guerre. La population vit dans des conditions de non assistance dans des écoles, dans des familles d'accueil et il y a d'autres qui passent nuit à la belle étoile. Nous demandons à la communauté internationale d'interpeller le M23 avec son allié le Rwanda de cesser de faire souffrir notre population », a dit, à ACTUALITE.CD, le député provincial Élie Nzaghani, élu du territoire de Rutshuru.

Alors que la cité de Bunagana, poste frontalier avec l'Ouganda, situé en territoire de Rutshuru est sous occupation des rebelles du M23, depuis pratiquement un mois, les opérateurs économiques, réunis au sein de la fédération des entreprises du Congo (FEC), ont également décidé de suspendre tout trafic à l’importation et à l'exportation à partir de la douane de Kasindi dans le territoire de Beni. Les membres de l'association congolaise des commissionnaires agréés en douane (ACCAD) au Nord-Kivu ont d'ailleurs salué cette mesure qui vise à exiger plus de sécurité en faveur des commerçants dont les véhicules et marchandises sont, ces derniers temps, fréquemment incendiés par les présumés ADF sur axe Kasindi-Beni. Ils ont d'ailleurs demandé que des escortes militaires soient organisées sur cet axe, à l'instar de Kiwanja-Kanyabayonga et Beni-Bunia où des cas d'insécurité ont sensiblement diminué suite aux escortes militaires en faveur des usagers de ces axes.

Jonathan Kombi



Environ 81.900 personnes ont fui leurs villages suite aux violences armées dans les territoires de Kalemie, Kongolo et Nyunzu en province du Tanganyika, depuis le mois de janvier dernier.

Ces statistiques sont contenues dans un rapport du Bureau de la Coordination des Affaires Humanitaires des Nations-Unies (OCHA) dont une copie a été consultée par 7SUR7.CD ce mercredi 13 juillet 2022.

Dans ce document, OCHA note une augmentation de mouvement des populations à cause de la résurgence des violences communautaires.

« Depuis janvier, près de 81.900 personnes ont été contraintes de fuir leurs villages, particulièrement dans les territoires de Kalemie, Kongolo et Nyunzu. Une augmentation des mouvements de population est observée dans le Tanganyika à cause de la résurgence de violences communautaires dans plusieurs zones jadis stables », lit-on dans ce document. 

La province du Tanganyika est en proie à l'insécurité causée par des groupes armés notamment, les Twas, les coupeurs de routes et les Maï-Maï en province du Maniema voisin.

Le mardi 14 juin de l'année en cours, les coupeurs de routes ont tué trois personnes dont deux militaires, près du village Kagunda, dans le territoire de Kalemie.

Marcelo Mfumu, à Kolwezi



Au Centre culturel Boboto, les professionnels des médias, accompagnés des juristes, s'y sont retrouvés, mardi 12 juillet 2022, pour réfléchir au sujet du "renforcement de l'autorégulation de la profession journalistique et de la régulation des médias Congolais face au processus de réforme de la Loi n°96-002 du 22 juin 1996 en RDC".

Les réflexions ont été menées dans le cadre d'un atelier organisé par le Conseil supérieur de l'audiovisuel et de la communication (CSAC) et l'Union nationale de la presse du Congo (UNPC), respectivement organes de régulation et d'autorégulation. A cet atelier, il a été assigné l'objectif de "contribuer le plus possible à l'amélioration du cadre légal de l'exercice de la liberté de la presse en RDC". 

Pour ce faire, il a été proposé aux cogitations des participants, de "faire une analyse critique des mécanismes de régulation et d'autorégulation dans la promotion des réformes de la Loi de 1996". Au-delà des analyses, ils ont été priés de faire "des propositions qui puissent cadrer le plus possible avec le contexte et rencontrer les différents questionnements soulevés pendant l'atelier".

Pour éclairer la lanterne du beau monde ayant marqué leur présence à ces assises de Boboto, 3 exposés, au contenu enrichissant, ont été organisés.

Le premier, œuvre du professeur Bernard Munsoko, a été axé sur "les défis et les remèdes du cadre normatif et institutionnel de l'autorégulation des médias (analyse situationnelle et prospective des textes qui régissent l'autorégulation et de l'organe chargé de l'autorégulation de la profession journalistique)".

Haut-conseiller au CSAC, Primo Mukambilwa a succédé au prof. Munsoko à la tribune pour exposer au sujet de "défis et remèdes du cadre normatif et institutionnel de la régulation des médias". 

Puis, il est arrivé le tour du professeur Séverin Bamani de prendre la parole et d'entretenir l'assistance sur "l'autorégulation des médias comme facteur d'un journalisme de qualité et gage de la protection de la liberté des médias et du pouvoir des médias".

Au cours de ces différentes interventions, il s'est dégagé une réelle détermination de rendre à la profession journalistique ses lettres de noblesse en RDC, notamment en rendant rigoureux le processus d'acquisition du statut de journaliste, la moralisation des professionnels et surtout la prise de conscience pour une autorégulation personnelle sur base du respect des textes.

Gabin K.



« La République démocratique du Congo doit construire son système de défense », a recommandé mardi 12 juillet Julien Paluku, ancien gouverneur du Nord-Kivu pendant douze ans. Il réagissait à l’occupation par les terroristes du M23 de la cité de Bunagana, dans le territoire de Rutshuru, il y a déjà un mois. 

« Dans son discours du 30 juin, le Président de la République, Félix Tshisekedi a appelé à la mobilisation générale pour demander la jeunesse à s’enrôler dans l’armée. [Il a lancé cet appel], parce qu’il a constaté les problèmes (d’effectifs de notre armée) », a déclaré le ministre de l’Industrie, Julien Paluku. 

La cité frontalière de Bunagana, occupée par les rebelles du M23 constitue une des principales sources des recettes douanières de la République démocratique du Congo (RDC), au regard de sa position stratégique par rapport au Rwanda et à l’Ouganda.

Pendant ce temps, la première réunion de la commission mixte RDC-Rwanda, prévue le même mardi 12 juillet à Luanda en Angola, est reportée à la dernière semaine du mois de juillet. Ce report fait la suite au décès de l'ancien Chef d'Etat angolais, Eduardo dos Santos. 

Pour sa part, le M23 continue à revendiquer des pourparlers avec le gouvernement congolais afin de mettre fin à la crise sécuritaire dans le Nord-Kivu. 

L’ancien gouverneur du Nord-Kivu, Julien Paluku, estime que les accords de paix ne suffisent pas pour résoudre le problème comme celui du M23. Ils traduisent plutôt la faiblesse des Etats qui y recourent. 

« A mon avis, les accords de paix sont les faits de la faiblesse militaire de l’Etat. Les Etats qui sont militairement forts ne recourent pas aux accords de paix. C’est une interpellation que j’ai toujours faite depuis que j’étais gouverneur », a indiqué le ministre de l’Industrie. 

Julien Paluku rappelle que les accords de paix répétitifs que la RDC a signés « depuis la nuit de temps », n’ont jamais amené à résoudre effectivement les problèmes de sécurité. 

radiookapi.net/CC



L'ex-ministre provincial de l'Intérieur du Kasaï Oriental dans le gouvernement de Mme Lola Musuamba et cadre de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), fédération de Mbuji-Mayi, Denis Kalombo Ilunga, est décédé ce mercredi 13 juillet à la clinique MIBA où il était admis aux soins d'urgence depuis vendredi.

Son corps est gardé, pour l’instant, à la morgue de l'hôpital général de référence de Bonzola.

Marie Jeanne Molly MUPELA, à Mbuji-Mayi



Au cours d’une conférence de presse tenue, ce mardi 12 juillet 2022, le président de la fédération congolaise de boxe, Ferdinand Ilunga Luyoyo a confirmé le combat qui va opposer Junior Ilunga Makabu contre le belge d’origine ivoirienne Ryad Merhy, le 30 septembre prochain à Kinshasa au stade des martyrs.

D’après Ferdinand Ilunga Luyoyo l’enjeu de ce combat est l’unification de la ceinture des deux fédérations à savoir le WBC et WBA.

« Le 30 septembre on aura un grand combat ici d’unification entre Junior Makabu et le boxeur belge Ryad Merhy d’origine ivoirienne. Il a presque 31 combats, dont 29 victoire(25 par K.O) et 2 défaites. Il est champion du monde comme on venait de vous le dire. Le combat est maintenant confirmé le 30 septembre au stade des Martyrs », a indiqué Ferdinand Ilunga Luyoyo.

Dans la foulée, le numéro 1 du noble art congolais appelle le public sportif congolais à soutenir leur compatriote Junior Makabu.

« Je les invite à venir soutenir leur frère congolais parce que c’est notre honneur et c’est notre fierté. Ne voyez pas Junior comme Junior Makabu, mais il faut le voir comme un patrimoine », a-t-il lancé.

Le boxeur congolais de 34 ans va tenter le challenge d’unifier les ceintures des deux fédérations WBC et WBA.

Acturdc.com/CC



La province du Nord-Ubangi a un nouveau gouverneur. Il s'agit de Malo Ndimba Mobutu, petit-fils du maréchal Mobutu, qui a remporté l'élection organisée par la Commission électorale nationale indépendante (CENI) dans cette province située au nord-ouest de la République démocratique du Congo, ce mardi 12 juillet 2022.

Il a été crédité de 11 voix sur 18 votants dans un marathon électoral qui alignait au total 6 candidats gouverneurs.

Le nouveau chef de l'exécutif provincial du Nord-Ubangi succède ainsi à Izato Nzege Koloke qui avait démissionné de ses fonctions suite à la pression, disait-il, exercée sur lui par les élus provinciaux.

Le nouveau gouverneur du Nord-Ubangi, Malo Mobutu, est issu de l'Union Sacrée du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. 

Auparavant, le gouverneur Mobutu était Conseiller principal en charge de l’investissement et mobilisation des ressources au Ministère de l’Aménagement du territoire.

Il a aussi presté comme Conseiller chargé du Développement à la présidence de la République entre avril et novembre 2019.

César Augustin Mokano Zawa/CC



L’audience de ce mardi 12 juillet du procès François Beya a été suspendue à la Haute Cour militaire siégeant en audience foraine à la prison centrale de Makala par failure d’avocats des accusés.

La date de la prochaine audience n’est pas encore connue.

« L’audience a été renvoyée à une date ultérieure », précise, sur TOP CONGO FM, Victor Tesongo, défenseur des droits de l’homme et porte-parole du Collectif Free François Beya Kasonga.

« Les avocats ont aujourdhui récusé la Cour. Elle ne donne pas de garantie d’un procès équitable. Il faut revoir la composition. Il faut de nouveaux juges », tonne-t-il.

Que s’est-il passé ?

« À l’audience passée, les avocats de tous les prévenus avaient sollicité une mise en liberté provisoire en faveur de leurs clients. La Cour avait annoncé qu’elle allait se prononcer vendredi, alors que la loi exige que cela soit fait dans les 48 heures », explique Victor Tesongo.

« Aujourd’hui, la Cour voulait attaquer directement le fond. Les avocats ont refusé, exigeant que la Cour se prononce d’abord sur les demandes de mise en liberté provisoire et l’accès aux soins appropriés de leurs clients ».

Il rappelle que « les prévenus Guy Vanda et François Beya sont sérieusement malades ».

Ce qui n’a pas été fait.

Officiellement poursuivi pour « complot contre la personne du Chef de l’État, injures, incitation de plusieurs militaires à l’indiscipline », François Beya (photo) a été interpellé chez lui le samedi 5 février 2022 par des hommes du Renseignement militaire et conduit manu militari à l’Agence nationale des renseignements (ANR).

Le 8 février 2022, la présidence de la République avait affirmé que « les enquêteurs disposaient d’indices sérieux attestant des agissements contre la sécurité nationale ».

Pour Tharcisse Kasongo Mwema Yamba Yamba, le porte-parole du Chef de l’État, « les indices sont suffisamment sérieux. Il s’agit d’une affaire relevant de la sûreté de l’État ».

Le 4 avril, François Beya a été transféré à la prison centrale de Makala où il est détenu jusqu’à ce jour.

Le 9 avril 2022, selon le Collectif Free François Beya Kasonga, sa résidence a été perquisitionnée. Il y a eu « une descente dans sa ferme privée » à Mingadi, selon Victor Tesongo.

À ses fonctions de conseiller spécial du Chef de l’État en charge de la sécurité, il a été remplacé par Jean-Claude Bukassa.

Top Congo



La Confédération africaine de football vient de dévoiler la liste des 10 nominés pour le titre de meilleur joueur africain de l'année. Qui pour succéder à l’attaquant sénégalais Sadio Mané tenant du titre ? Réponse le 21 juillet prochain lors d’une cérémonie organisée à Rabat au Maroc.

Sadio Mané à nouveau favori pour le titre de meilleur joueur.

Tout juste transféré au Bayern de Muich, Sadio Mané a remporté cette année-la Coupe de la Ligue et la Coupe d’Angleterre avec Liverpool. L’attaquant sénégalais fait office de favori de la compétition.  Il doit cependant faire face à la concurrence de son ancien coéquipier Mohamed Salah lui aussi nommé parmi les 10 finalistes. Il doit également compter sur la présence de Riyad Mahrez international algérien nommé meilleur joueur en 2016.

Qui vote ?

Les vainqueurs de chaque catégorie sont désignés par un panel composé du Comité technique de la CAF, de professionnels des médias professionnels, d’entraineurs ou de capitaines d’associations membres ainsi que de clubs impliqués dans la phase de groupes des compétitions interclubs pour la saison 2021/2022.

Edouard Mendy sénégalais évoluant à Chelsea et son compatriote Kalidou Koulibaly (Naples) font également partie des nominés. Tout comme les camerounais Vincent Aboubakar (Al Nasr) et Toko Ekambi de l’Olympique Lyonnais. L’Ivoirien Sébastien Haller (Ajax transféré au BVB), le marocain Achraf Hakimi (PSG) et le guinéen Naby Keita font également parti de la liste.

En résumé, les 10 joueurs nommés 

Sadio Mané (Sénégal, Bayern Munich/GER) 

Riyad Mahrez (Algérie, Manchester City/ENG)

Karl Toko Ekambi (Cameroun, Lyon/FRA)

Vincent Aboubacar (Cameroun, Al Nassr/KSA)

Sébastien Haller (Côte d'Ivoire, Borussia Dortmund/GER)

Mohamed Salah (Egypte, Liverpool/ENG)

Naby Keita (Guinée, Liverpool/EGY)

Achraf Hakimi (Maroc, Paris Saint-Germain/FRA)

Edouard Mendy (Sénégal, Chelsea/ENG)

Kalidou Koulibaly (Sénégal, Naples/ITA)

Du côté des jeunes joueurs on retrouve le burkinabé Dango Ouattara (Lorient), l’ivoirien Karim Konate (ASEC/RB Salzburg), le ghanéen Kamaldeen Sulemana (Renes), le sénégalais Pape Matar Sarr (de Metz) et le tunisien Hannibal Mejbri de Manchester United.

Un choix difficile pour le titre de meilleur entraineur

Sur son site officiel, la CAF annonce que le titre de « coach de l’année » est l’un des plus convoités. Les 5 nominés sont : Aliou Cisse (entraineur du Sénégal), Pitso Mosimane (Afrique du Sud), Carlos Queiroz (Mozambique), Tom Saintfiet (Gambie) et l’entraineur marocain Walid Regragui.

Du côté des jeunes joueurs on retrouve le burkinabé Dango Ouattara (Lorient), l’ivoirien Karim Konate (ASEC/RB Salzburg), le ghanéen Kamaldeen Sulemana (Renes), le sénégalais Pape Matar Sarr (de Metz) et le tunisien Hannibal Mejbri de Manchester United.

Un choix difficile pour le titre de meilleur entraineur

Sur son site officiel, la CAF annonce que le titre de « coach de l’année » est l’un des plus convoités. Les 5 nominés sont : Aliou Cisse (entraineur du Sénégal), Pitso Mosimane (Afrique du Sud), Carlos Queiroz (Mozambique), Tom Saintfiet (Gambie) et l’entraineur marocain Walid Regragui.

Du côté des jeunes joueurs on retrouve le burkinabé Dango Ouattara (Lorient), l’ivoirien Karim Konate (ASEC/RB Salzburg), le ghanéen Kamaldeen Sulemana (Renes), le sénégalais Pape Matar Sarr (de Metz) et le tunisien Hannibal Mejbri de Manchester United.

Un choix difficile pour le titre de meilleur entraineur

Sur son site officiel, la CAF annonce que le titre de « coach de l’année » est l’un des plus convoités. Les 5 nominés sont : Aliou Cisse (entraineur du Sénégal), Pitso Mosimane (Afrique du Sud), Carlos Queiroz (Mozambique), Tom Saintfiet (Gambie) et l’entraineur marocain Walid Regragui.

Du côté des jeunes joueurs on retrouve le burkinabé Dango Ouattara (Lorient), l’ivoirien Karim Konate (ASEC/RB Salzburg), le ghanéen Kamaldeen Sulemana (Renes), le sénégalais Pape Matar Sarr (de Metz) et le tunisien Hannibal Mejbri de Manchester United.

Un choix difficile pour le titre de meilleur entraineur

Sur son site officiel, la CAF annonce que le titre de « coach de l’année » est l’un des plus convoités. Les 5 nominés sont : Aliou Cisse (entraineur du Sénégal), Pitso Mosimane (Afrique du Sud), Carlos Queiroz (Mozambique), Tom Saintfiet (Gambie) et l’entraineur marocain Walid Regragui.

Salim Sijelmassi



L'international congolais, Joyce Lomalisa Mutambala quitte Sagrada Esperança d'Angola pour s'engager avec Young Africans, club évoluant en première division tanzanienne.

L'ancien latéral gauche de l'AS VClub signe chez le champion de Tanzanie après avoir terminé en 3ème position avec le club angolais à Girabola, derrière Petro de Luanda et Primeiro de Agosto.

Avec Sagrada Esperança, le vainqueur du Championnat d'Afrique des Nations (CHAN 2016) a remporté le Championnat et la Super Coupe d'Angola en 2021.

Chez le yanga, Joyce Lomalisa rejoint 6 autres internationaux congolais. Il s'agit de Djuma Shabani, Yannick Bangala Litombo, Jésus Moloko Ducapel, Héritier Makambo, Chico Ushindi et Fiston Mayele Kalala.

Young Africans a été sacré champion de l'édition 2021-2022 avec 74 points, devant son éternel rival, Simba SC qui a fini avec 61 unités.

Gratis Makabi

 

A Propos

www.culturecongolaise.com

Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

Tél (whatsapp): +243 808 856 557

alikalonga@culturecongolaise.com

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