Initialement prévu pour ce vendredi 29 avril 2022 en Algérie, le tirage au sort des éliminatoires du championnat d'Afrique des nations (CHAN) a été reporté à une date ultérieure par la Confédération Africaine de Football (CAF).
L'annonce a été faite à travers un communiqué de la CAF rendu public jeudi dernier, n'évoquant pas les raisons de ce report.
Par ailleurs, l'organe dirigeant du football continental a tenu à s'excuser auprès des sportifs pour ce changement "soudain" de date.
La phase finale proprement dite du CHAN est programmée pour le mois de janvier 2023 en Algérie, et la RDC se classe parmi les têtes d'affiche des éliminatoires.
Les léopards locaux de la RDC qui seront dirigés désormais par le staff technique conduit par Otis Ngoma, devront attendre avant de découvrir leur adversaire.
La RDC jouera deux matchs en aller et retour contre son prochain adversaire après tirage et va se qualifier directement en cas de bon résultat.
Pour rappel, l'équipe locale de la RDC compte 2 titres du CHAN comme le Maroc. Les congolais ont remporté la première édition en 2009 en côte d'ivoire et en 2016 au Rwanda.
Gede Luiz Kupa
L'Association des Médias en Ligne de la République démocratique du Congo (MILRDC) a outillé des journalistes de la ville de Kinshasa sur le Fact-cheking comme moyen de lutte contre les infox (fausses informations). C'était au cours d'un atelier tenu, le jeudi 28 Avril 2022, dans la capitale congolaise et appuyé par Internews. Cela, dans le but traquer les fausses informations répandues régulièrement via les médias sociaux en RD Congo.
Le président de MILRDC, Israël Mutala, intervenant sur les typologies des infox, a évoqué leurs effets néfastes dans la cité et les motivations derrière.
Parmi les types de Fake news, il a cité notamment :
- La désinformation ;
- La mésinformation ;
- La réinformation ;
- Le complot ;
- Le hoax ;
- La fake news ;
- Le canular ;
- La propagande et ;
- L’intox.
"La désinformation, c'est le fait de communiquer sciemment une fausse information dans le but de tromper la cible. La mésinformation, quant à elle, est un processus par lequel s'élabore et se diffuse une fausse information incomplète du fait du manque de vigilance, d'un excès de confiance et de la paresse. La Fake news est une nouvelle qui a l'air d'être vraie car elle reprend les codes traditionnels du journalisme", a-t-il expliqué.
Parmi les motivations qui poussent individus ou institutions à inoculer des mensonges, le directeur général de 7SUR7.CD a noté la quête du gain, de la gloire, du pouvoir, de l’amour.
Les journalistes ont donc appris comment détecter les Fake news et les outils qui sont mis à leurs dispositions dans ce processus en vue de rechercher la vérité qui éclairera la cité.
Prenant la parole au cours de cette séance de formation, le professeur Lino Joseph de l'Université Catholique au Congo(UCC) a insisté sur les techniques de Fact-cheking, à savoir : le discernement de types des Fake news et l'application des règles classiques de vérification des sources et de recoupement des informations.
Rappelons que cet atelier de formation sur les Fact-cheking intervient un mois après celui animé en mars dernier par le vice-président de cette association, Patient Ligodi, toujours avec l'appui technique et financier de Internews.
Christel Insiwe
L’ancien sélectionneur des Léopards de la RDC, Florent Ibenge, a affirmé, mercredi 27 avril dernier, se porter mieux.
Il a donné cette assurance au lendemain de son accident de circulation au Maroc.
« Je vous appelle pour vous tranquilliser et vous dire que ça mieux. J’ai été bien pris en charge par les passants, les pompiers et le service médical. Ils ont été merveilleux tous ces gens. Je m’en tire avec peu de dégâts qui ne vont pas demander un grand travail pour la consolidation », a-t-il indiqué.
Florent Ibenge a connu cet accident après les entraînements avec son équipe de RS Berkane du Maroc. Le coach de RSB football a quitté l’hôpital mercredi et va porter une MINERVE pendant 10 jours. "Ibenge en mode Fatshi", comme disent ses fans !
RSB joue le 8 mai prochain contre le TP Mazembe, à Lubumbashi.
Cette rencontre va compter pour la demi-finale aller de la Coupe de Confédération de la CAF. Et le match-retour est fixé le 15 mai au Maroc.
Florent Ibenge avait remporté deux Championnats d’Afrique des nations (CHAN) avec les Léopards de la RDC.
radiookapi.net/CC
Le ministre de l’Industrie, Julien Paluku, signe, ce vendredi 29 avril à Lusaka en Zambie, un accord de coopération avec son homologue Zambien.
A travers cet accord, la Zambie va installer, dans les jours à venir, une usine de fabrication des batteries électriques, à Lubumbashi( Haut-Katanga).
Ceci s’inscrit dans le cadre du développement d'une chaîne de valeur régionale.
Cet accord sera signé en présence des chefs d’Etat Zambien et Congolais.
Le ministre congolais de l’Industrie séjourne, depuis jeudi 28 avril dans la capitale zambienne, accompagné de son collègue des Mines, Antoinette N’Samba.
Le président zambien, Hakainde Hichilemaa, était en novembre dernier, à Kinshasa dans le cadre des échanges sur cet accord bilatéral.
La porte-parole-adjointe du chef de l’Etat, Tina Salama, a expliqué que cet accord permettra à la RDC de traiter des matières premières et de bénéficier de leurs valeurs ajoutées.
radiookapi.net/CC
Un masque sculpté d'Afrique centrale datant du XIXe siècle a été adjugé pour 4,2 millions d'euros hors-frais samedi en France, malgré les protestations lors de la vente de quelques Gabonais réclamant sa "restitution" à son pays d'origine. Rarissime, ce masque de bois aux lignes pures, apanage d'une société secrète du peuple Fang du Gabon, a "pulvérisé" son estimation, très prudente, de 300.000 à 400.000 euros, s'est réjoui dans un communiqué l'Hôtel des ventes de Montpellier (sud).
Avec les frais, il a atteint 5,25 millions d'euros, selon la même source et "talonne de peu" le record de 5,9 millions d'euros atteint à Paris en 2006 par un autre masque du peuple Fang, dont l'esthétique a inspiré les peintres Modigliani ou Picasso.
"Il s'agit d'un recel", s'était exclamé depuis le fond de la salle de ventes un homme se présentant comme un membre de la communauté gabonaise de Montpellier, a constaté un journaliste de l'AFP.
"Ne vous inquiétez pas, on va porter plainte. Nos ancêtres, mes ancêtres, de la communauté Fang, on va récupérer cet objet", un "bien mal-acquis colonial", a-t-il lancé, accompagné d'une demi-douzaine de ses compatriotes.
Le commissaire-priseur, Jean-Christophe Giuseppi, lui a répondu que la vente se faisait "en toute légalité, dans l'état actuel de (ses) informations". Accompagnés par le service de sécurité, les manifestants ont quitté la salle dans le calme, mais en continuant à protester contre la mise aux enchères d'oeuvres d'art africaines, où divers objets ont été dispersés, dont un siège du Congo adjugé à 44.000 euros.
Disputé par dix enchérisseurs, selon la salle de ventes, le grand masque Fang a été acquis par un acheteur au téléphone, sous les applaudissements de la salle.
Le masque de 55 cm de haut avait a été collecté vers 1917, dans des circonstances inconnues, par le gouverneur colonial français René-Victor Edward Maurice Fournier (1873-1931), en poste à Dakar puis au Moyen-Congo, probablement lors d'une tournée au Gabon, selon la salle de vente.
Les descendants du gouverneur l'ont retrouvé au moment de la vente d'une propriété familiale dans l'Hérault (sud-ouest de la France) dans le grenier où il dormait depuis les années 1920. Ils ignoraient tout de sa rareté, selon le commissaire-priseur Jean-Christophe Giuseppi qui rappelle qu'il n'existe qu'une dizaine de masques de ce type dans le monde.
"Il appartenait à la société secrète du Ngil, des +justiciers+ qui parcouraient les villages pour débusquer les fauteurs de troubles, parmi lesquels figuraient des individus soupçonnés de sorcellerie. Leurs sentences pouvaient aller jusqu'à la mort", a précisé M. Giuseppi.
Depuis quelques années, un débat existe sur la question des objets et oeuvres d'art africains présents dans les collections des pays européens qui avaient colonisé le continent.
Des pays comme la Belgique et la France ont ainsi entamé des processus de restitution. En novembre 2021, la France a ainsi remis 26 trésors royaux au Bénin pillés dans le palais d’Abomey en 1892 par les troupes coloniales.
actualite.cd/CC
En séjour dans la ville de Lubumbashi chef-lieu de la province du Haut-Katanga, le Président de la République a mis à profit son agenda pour présider le conseil provincial de sécurité ce jeudi 28 avril 2022. Au cours de cette rencontre, Félix Tshisekedi a analysé la situation sécuritaire avec les services attitrés.
Cette réunion du conseil provincial de sécurité a connu notamment la participation du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde, du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’intérieur et sécurité Daniel Aselo, et du Gouverneur du Haut-Katanga Jacques Kyabula Katwe.
Au terme de cette reunion, le Ministre de l’intérieur qui en a fait le compte-rendu, a indiqué que suite à des tensions alimentées dans le Haut-Katanga et qui a amené le Premier Ministre à conduire une délégation à Lubumbashi, le Président de la République est venu s’entretenir avec les autorités politico-administratives ainsi que les services de renseignement et de sécurité « afin que chacun contribue à sa manière pour sécuriser et faire respecter les droits reconnus à tout citoyen congolais. »
D’après Daniel Aselo cité par la cellule de communication de la présidence, il a été recommandé à toutes les communautés Kasaïenne et Katangaise « le respect mutuel pour une cohabitation pacifique dans la paix, l’unité et la cohésion nationale. »
Il sied de noter que le Chef de l’état Félix Tshisekedi a posé ses valises à Lubumbashi dans la soirée du mercredi 27 avril 2022. Le Président de la République est venu participer aux travaux de la conférence interprovinciale pour la cohabitation entre les communautés Katangaise et Kasaïenne. La clôture de cette table ronde initialement prévue ce jeudi 28 avril à été renvoyée au samedi 29 avril 2022.
Junior Ngandu
Les réactions ne cessent de tomber au sujet des propos tenus par Jules Alingete, inspecteur général des finances chef de service, affirmant qu'il n'y a pas de guerre en République démocratique du Congo.
La dernière en date est celle du député national Jackson Ausse. Cet élu du peuple a déposé ce jeudi 28 avril 2022, au bureau de l'Assemblée nationale, une interpellation adressée à J. Alingete pour qu'il s'explique devant la représentation nationale sur les raisons de ces propos tenus aux USA.
« Me fondant sur les dispositions de l'article 93 du règlement intérieur de notre chambre, j'ai l'honneur de vous transmettre en annexe l'interpellation adressée à Monsieur l'inspecteur général des finances, chef de service », lit-on dans cette correspondance.
Il sied de rappeler que lors de sa prise de parole à la première édition du North Southern Investment Forum qui se tient à Houston aux États-Unis d'Amérique, Jules Alingete a déclaré devant des investisseurs américains qu'il n'y a pas de guerre en RDC.
Roberto Tshahe
L’ouvrage sur le « code du travail congolais annoté et commenté » a été présenté, mercredi 27 avril, en la salle polyvalente de l’Eglise Parole du salut, à Kinshasa.
A travers cette publication de 704 pages, l’auteur, Christian Hemedi Bayolo dit avoir explicité les décisions de cours et tribunaux, s’appliquant à chaque article de ce code du travail.
« J’ai commenté et annoté le code du travail. Dans le code du travail il y a des notes personnelles d’auteurs sur les articles. Il y a 300 notes et commentaires de l’auteur. J’ai y mis la jurisprudence c’est-à-dire les décisions de cours et tribunaux qui s’appliquent à chaque article du code du travail. J’ai aussi commenté tout ce qui est comme mesure d’application du code du travail », a-t-il indiqué.
Christian Hemedi Bayolo précise également que cet ouvrage est destiné à tous les acteurs du monde du travail : Gouvernement, employeurs, employés, syndicats, professeurs d’universités et chercheurs.
Paru aux éditions "Concorde", ce livre est préfacé par le professeur Jean-Michel Kumbu ki Ngimbi.
radiookapi.net/CC
Le FPM ASBL représenté par son Directeur général, M. Jean-Claude Thetika a signé, le mercredi 27 avril 2022 à Kinshasa un contrat d'assistance technique avec la Coopérative d'épargne et de crédit Akiba Yetu, représentée par le Président de son Conseil d'administration et son gérant, respectivement M. Claude KASIGWA et M. Henry MUZALIWA.
En signant ce partenariat d'assistance technique, le FPM ASBL (véhicule d'assistance technique du FPM) et la COOPEC AKIBA YETU décident de poursuivre leur contribution conjointe à la fourniture d'une meilleure offre de services financiers en faveur des micro petites et moyennes entreprises et des personnes à faibles revenus de la ville de Goma au Nord-Kivu. Il est attendu de ce partenariat trois principaux objectifs qui sont: (i) le développement de la portée des activités (en nombre et en volume); (ii) l'amélioration de l'efficience opérationnelle par le renforcement des capacités des équipes; et (iii) l'amélioration de la notoriété et le positionnement de l'institution sur le marché.
Le Directeur général du FPM explique le choix porté sur la coopérative Akiba Yetu.
"Le FPM étant un fond multibailleur, notre travaille est d'accompagner les institutions financières de manière générale. Nous avons pour mission de les accompagner en mettant en oeuvre des solutions pour les promouvoir au niveau du pays. Nous leur facilitons la tâche pour avoir accès aux crédits. La Coopérative Akiba Yetu a un bon encrage à Goma. Cette troisième convention que nous signons avec Akiba Yetu continue de le renforcer de le cadre de la gouvernance mais aussi à lancer des nouveaux produits et à le soutenir dans le relooking. Nous estimons que cette institution est dans la phase de croissance, elle doit se faire connaître davantage au public", a expliqué M. Jean-Claude Thetika
Créée en 2008, la COOPEC AKIBA YETU est opérationnelle à Goma se veut être un vecteur d'amélioration du bien-être social des populations à faibles revenus. Elle a pour mission d'offrir des services d'épargne sécurisés a ses membres et d'octroyer des crédits à des taux compétitifs, pour lutter contre la pauvreté et promouvoir le développement socio-économique de la population du Nord-Kivu
Le FPM a été créé en 2007 en tant que composante « micro » du Programme d'Appui au Secteur de la Microfinance (PASMIF). Il apporte une assistance technique au secteur financier congolais depuis novembre 2010 sous la forme d'une association sans but lucratif (ASBL) de droit congolais grâce au financement de ses bailleurs de fonds qui sont: la coopération financière allemande (KfW), l'Agence Française de Développement (AFD), la Banque Mondiale et le Programme de Développement des Nations Unies (PNUD/UNCDF).
Jordan MAYENIKINI
A Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, le mois d’avril est compté parmi les mois à fréquence élevée des pluies. Ce quatrième mois de l’année marque aussi l’apparition des différents fruits sur le marché. Ce sont des fruits à pépins tout comme ceux à noyau.
Un sondage réalisé par les Nations-Unies, à travers la commission économique pour l'Afrique, sur le taux de consommation des fruits en milieu rural comme urbain en RDC, note une extrême faiblesse de la consommation congolaise. Ce qui permet de penser que les besoins réels en fruits sont loin d'être satisfaits.
A cet effet, ACTUALITE.CD s'est entretenu avec Evariste Kintoki Makelele. Il est diététicien, nutritionniste et chef de travaux au département de nutrition à l'Université pédagogique Nationale (UPN). Il aborde les questions liées à la consommation des fruits à pépins et à noyau soulignant leurs vertus et bienfaits dans la santé humaine.
D'après Evariste Kintoki, la consommation de fruits à pépins comme à noyau est importante pour l'alimentation humaine, dans la mesure où ils sont riches en fibres alimentaires, en sels minéraux, et en vitamines notamment A et C. Bien plus, cela permet une bonne digestion.
« Les fruits sont très importants dans la consommation alimentaire parce que les fruits sont riches en fibre alimentaire, en sels minéraux et en vitamines. La fibre alimentaire qui est dans le fruit nous aide pour une bonne digestion. Quand vous consommez régulièrement des fruits, vous allez réaliser une bonne digestion. Et en réalisant une bonne digestion, vous prévenez la constipation, les hémorroïdes voire le cancer », a-t-il fait savoir.
La consommation de fruits prévient aussi plusieurs maladies telles que celles cardiovasculaires.
« Les fruits sont riches en sels minéraux comme le magnésium. Il y a aussi le potassium. Ce sont des minéraux très importants pour le fonctionnement du corps humain et le fonctionnement du cœur. Quand on mange régulièrement des fruits, le cœur aussi va bien fonctionner. Dans les fruits, il y a la vitamine A et C. Ce sont des antioxydants qui rajeunissent les cellules et retardent le vieillissement cellulaire, ensuite ça permet un bon fonctionnement cellulaire. La vitamine A consolide le système immunitaire. Il va prévenir beaucoup de maladies, même les maladies cardiovasculaires parce que la fibre alimentaire diminue la dissolution des glucides (...) », a renchéri M. Kintoki.
Pour ce diététicien, il faut consommer les fruits de façon régulière au moins 3 fois par jour afin d’avoir une alimentation complète. Par contre, il défend une consommation excessive étant donné que cela peut aussi nuire à la santé.
« Il faut consommer des fruits chaque jour. Il en faut 3,4 ou 5 par jour. A chaque repas, il faut prévoir un fruit pour avoir une alimentation complète. Dans les fruits, c'est là qu’il y a des vitamines, des minéraux, également la fibre alimentaire. Quand vous êtes à table et que vous ne mangez pas les fruits, c'est que votre alimentation n'est pas complète », dit-il.
Et d’ajouter :
« Il ne faut pas exagérer avec la consommation des fruits parce que si vous consommez une quantité excessive par exemple la banane, en ce moment-là, vous vous exposez à la constipation. La banane est riche en potassium (...). Et si vous consommez les oranges d'une façon excessive, vous vous exposerez à la diarrhée. Il faut donc manger les fruits avec modération. J'ai dit de consommer 5 fruits par jour, il ne faut pas aller au-delà, 1 le matin, 2 à midi et 2 autres le soir ».
La non habitude de la consommation régulière de fruits expose à la constipation, à la carence des sels minéraux et autres vertus tels que la fibre alimentaire et vitamines A et C, qui sont nécessaires pour le fonctionnement du corps humain. En outre, cette non habitude expose à des maladies cardiovasculaires et autres maladies comme le cancer, le diabète et l'hypertension. Ce qui prouve à suffisance que la consommation des fruits est très indispensable dans la vie humaine.
Quelques fruits à pépins et à noyau sont la pomme, l'orange, la mandarine, la papaye, la mangue, le pamplemousse, l'avocat, la fraise, la mûre, le kiwi, le citron, le datte, la figue, la framboise, le Goyave, le Mangoustan, le Melon, etc.
Ghislaine KANDA