L’artiste comédien Hernan Amisi a reçu une grosse force du chanteur Fally Ipupa.
Herman Amisi prépare son spectacle au Casino de Paris ce 30 juin 2024 et de nombreuses célébrités lui donnent de la force et l’encouragent.
Une seule date le 30 juin au Casino de Paris.
Merci à mon fils @fallyipupa01 pour la force. Tokoss dans le seigneur ».
Dans la nuit du vendredi 21 à samedi 22 juin, la police a arrêté 10 personnes, femmes et hommes, dans la commune de Ngaba, alors qu’elles faisaient le sexe en groupe, une pratique communément appelée « partouze ».
Selon l’inspecteur provincial de la police, Blaise Kilimbalimba, ces pratiquants d’orgie ont été interpellés suite au signalement de la population.
« Ils ont été arrêtés suite aux plaintes des voisins qu’ils dérangent(…). La police les a trouvés nus comme Adam et Ève. Il faut arrêter ces pratiques qui détruisent le monde ou les jeunes de Kinshasa en particulier », a commenté le commissaire divisionnaire adjoint.
Dans la même nuit, les forces de l’ordre ont interpellé quelques responsables des bars et confisqué 300 baffles et autres matériels de sonorisation.
« Des DJ ont été interpellés et leurs baffles confisqués. Les Kinois doivent vivre dans le calme. Lorsque la musique franchit les murs de la maison où elle est jouée, ça devient un dérangement. Les églises et autres organisations doivent désormais respecter la loi », a ajouté Blaise Kilimbalimba.
Ces interpellations sont intervenues quelques jours après l’ordre du procureur général près la Cour de cassation aux procureurs généraux provinciaux d’engager des poursuites judiciaires contre les « auteurs des pratiques déviantes à caractère sexuel et homosexuel, ainsi que les auteurs des nuisances sonores ».
Bienfait Luganywa
Le Comité exécutif de la Confédération Africaine de Football (CAF) a annoncé, vendredi 21 juin, la tenue de la 46e Assemblée générale ordinaire de la CAF à Kinshasa, en RDC, le jeudi 10 octobre 2024.
Cette décision a été prise, à l'issue de la réunion du Comité exécutif de la CAF conduite par le président de la CAF, Patrice Motsepe.
Au cours de cette réunion, a annoncé, vendredi, les dates de l’édition 2025 de la Coupe d’Afrique des Nations CAF Total Energies qui se déroulera au Maroc.
La CAN CAF Total Energies Maroc 2025 est programmée comme suit :
- Match d'ouverture : dimanche 21 décembre 2025
- Finale : dimanche 18 janvier 2026.
Le Comité exécutif de la CAF a également annoncé les dates de la Coupe d'Afrique des Nations féminine CAF Total Energies qui sera également organisée au Maroc.
La CAN Féminine CAF Total Energies est programmée de la manière suivante :
- Match d'ouverture : samedi 5 juillet 2025
- Finale : samedi 26 juillet 2025.
radiookapi.net/CC
L’auditorat supérieur près la Cour militaire vient d’ouvrir une information judiciaire contre neuf officiers des FARDC en opération contre les groupes armés dans la province de l’Ituri.
Parmi ces officiers, se trouvent le directeur administratif de la 32e région militaire, le chargé de logistique au secteur opérationnel des FARDC et son adjoint du régiment 1301 basé à Djugu.
La justice militaire les poursuit pour tentative de détournement des effets militaires et faux en écriture, indique une note d’information de l’auditorat supérieur près la Cour militaire de l’Ituri, adressée au gouverneur de cette province.
D’autres sources judiciaires précisent que ces officiers FARDC sont accusés de détournement et vente de nouveaux uniformes de l’armée aux éléments du groupe armé Zaïre.
Certains parmi les officiers accusés sont déjà en garde à vue à Bunia, ajoutent les mêmes sources.
D’après le porte-parole de l’armée en Ituri, lieutenant Jules Ngongo, cette action en justice contre des officiers militaires s’inscrit dans le cadre de la lutte contre les antivaleurs au sein des FARDC.
Elle vise par ailleurs à couper la chaine d’approvisionnement de l’ennemi et à redynamiser la discipline au sein des forces armées.
La justice militaire poursuit des enquêtes afin de dénicher les personnes impliquées de près ou de loin dans ce dossier, a ajouté le lieutenant Jules Ngongo.
radiookapi.net/CC
La session ordinaire de l’examen d’Etat édition 2024 a débuté ce lundi 24 juin pour environ 962 000 finalistes de l’enseignement secondaire.
C’est la Première ministre qui a lancé officiellement ces épreuves au lycée Monseigneur Shaumba à Kinshasa.
L’inspecteur général de l’éducation et nouvelle citoyenneté, Patrice Odia Musungayi, a lui, procédé à l’ouverture symbolique des malles contenant les épreuves.
Judith Suminwa a salué les efforts du Gouvernement et de tout le personnel de l’éducation pour l’organisation de cette session. Elle a également encouragé les élèves à travailler et réussir.
A travers le pays et les écoles consulaires dans quelques pays limitrophes, ce sont 2 800 centres qui accueillent les candidats à cet examen de fin d'études secondaires.
radiookapi.net/CC
Le Chef de l'État Félix Tshisekedi a instruit, lundi 24 juin, le ministre de Pêche et Elevage, Jean-Pierre Tshimanga de livrer, dès la semaine prochaine, des intrants aux pêcheurs de Kinshasa et de Kisangani (Tshopo).
Il a fait cette recommandation lors de sa visite à Kinkole, quartier de la commune urbano-rurale de la N'sele, à Kinshasa en marge de la 57è journée nationale du poisson.
D'après Jean-Pierre Tshimanga, ministre de Pêche et Élevage, le président Tshisekedi est venu s’enquérir de l’évolution des travaux de ce port de pêche en vue de son inauguration dans les prochains jours.
Malgré l'arrêt des travaux, Félix Tshisekedi s'est dit tout de même satisfait du niveau d'exécution des travaux déjà atteint, a ajouté le ministre Tshimanga.
En juin 2023, des pêcheurs, réunis au sein de la Coopérative de pèche et de commercialisation des poissons (COPRCOP), avaient déploré la pêche de capture est devenue peu rentable dans le pool Malebo de Kinshasa.
Cette situation est due à la pratique de la pêche illégale et non-règlementée mais aussi à une forte demande des poissons sur le marché kinois.
Ces facteurs entrainent la raréfaction des poissons de capture dans le pool Malebo.
radiookapi.net/CC
Des activités commerciales, académiques, le travail quotidien sont perturbés dans le secteur de Tanganyika en territoire de Fizi au Sud-Kivu pour dénoncer les tracasseries et érections d'une vingtaine de barrières dont la plupart sont tenues par les FARDC et dont a été victime le mwami Charles Nsimbi.
Ces habitants ont répondu à l'appel de 3 journées villes mortes convoquées par la synergie des organisations de la société civile après le meurtre du mwami Charles Nsimbi de Babungwe Nord, du commandant compagnie basé à Mboko et du responsable adjoint de la DGM à Mboko.
" On a facilité les examens d'État et pour dénoncer également la multiplicité des barrières érigées par les militaires et qui ont poussé à ça ", dit, à ACTUALITE.CD, Martin Fikiri, coordonnateur de la SNCX axe Uvira-Fizi.
Cependant cette situation n'est pas restée sans conséquences, des élèves finalistes de Makobola en partance pour Fizi et Swima ont ont été obligés de voyager par boat à partir de 5 heures pour se rendre aux centres de passation de l’Exetat.
Nombreux sont partis à 5 heures du matin, renseignent les sources locales.
Dans un entretien avec ACTUALITÉ.CD, l'administrateur du territoire de Fizi, Samy Kalonji, a retracé les faits qui, selon lui, le mwami Charles Nsimbi était une victime collatérale en précisant que c'est un élément FARDC du QG de la 21ème Brigade qui a tiré sur son adjudant. Il a précisé le bilan de 4 morts.
" Parmi les morts, nous avons le chef de poste adjoint de la DGM, monsieur Willy Yukawa Mbagwa, le mwami Nsimbi Charles chef de groupement de Babungwe Nord, adjudant commandant compagnie FARDC en place Kibali Musongi, et un garde du corps. Pour le blessé, c'est l'épouse du feu mwami Charles Nsimbi ", explique Samy Kalonji.
Toute la journée du dimanche 23 et lundi 24, la circulation était perturbée, des habitants en colère ont dressé des barricades, d'autres brûlaient des pneus et ainsi handicapé la circulation. L'administrateur les appelle à l'apaisement avant l'aboutissement des enquêtes.
" Vu le contexte sécuritaire volatil dans le territoire de Fizi, je demande à la population de Fizi en général et celle du secteur de Tanganyika en particulier de rester calme et privilégié la paix en attendant les enquêtes qui sont en cours ", plaide Samy Kalonji Badibanga.
Dans le territoire de Fizi, la société civile a lancé plusieurs alertes sur la présence d'au moins 40 barrières entre Makobola et Kimbi Lulenge et détenus par les hommes armés et les FARDC.
Plusieurs incidents sont déjà enregistrés sur la route nationale numéro 5 axe Makobola - Baraka - Fizi.
Quelques années avant, c'est Samuel Mulumba, chef de secteur Lulenge qui avait été sévèrement tabassé par un lieutenant colonel lieutenant-colonel Nicho Néhémie, basé dans le secteur de Lulenge plus précisément à Kilembwe (territoire de Fizi). D'autres cas similaires ont été enregistrés, ce que dénonce la société civile.
Justin Mwamba
Le président du Rwanda, Paul Kagame, a déclaré dans un entretien exclusif à France 24 diffusé vendredi 21 juin dernier que son pays est "prêt" à entrer en guerre contre la République démocratique du Congo (RDC). "Nous sommes prêts à nous battre... Nous n’avons peur de rien", ", a-t-il affirmé.
Le président Rwandais Paul Kagame ne sait pas faire la différence entre le soleil et la lune, selon l'ancien Secrétaire d'Etat Américain Herman Cohen cité dans un twett de Mr Abraham Luakabuanga. Herman Cohen réagissait à une interview récente de l'homme fort du Rwanda sur France 24.
Faire une déclaration de guerre sur France 24 contre le RD Congo est l’ erreur la plus grave, affirme Cohen. Et de poursuivre: "Je ne sais pas s’ il est mieux renseigner ce que cache la stratégie Tshisekedi. Dire qu’ il est ready pour la guerre contre la RDC".
Kagame ouvre la porte et donne l’ opportunité a sa chute, analyse l'homme d'Etat américain.
Mais ce qu’ il (Kagame) ignore est que l’ armée congolaise a une autre dimension aujourd’hui, alors que plusieurs personnes ne peuvent pas encore voir ça, commente la même source.
Quand bien même qu'elle cache encore sa vraie puissance au monde sur demande de la stratégie de son chef Tshisekedi, l' action du président rwandais Paul Kagame sur France 24 est suicidaire.
La RDC via son président va surprendre le monde car d’ après nos renseignements La RDC va reprendre sa place de leadership africain.
Le président congolais Félix Tshisekedi joue a une carte de ranger. C’ est à Paul Kagame de faire très attention.
Pour rappel, le président du Rwanda, Paul Kagame, a déclaré dans un entretien exclusif à France 24 diffusé vendredi 21 juin dernier que son pays est "prêt" à entrer en guerre contre la République démocratique du Congo (RDC). "Nous sommes prêts à nous battre... Nous n’avons peur de rien", avait-il affirmé.
CC
Charles Bofasa Djema n’est plus. L’ancien ministre des Sports sous Mobutu est décédé ce samedi 22 juin en début de soirée à Kinshasa. Jusqu’à sa mort, Bofasa Djema était membre du Conseil d’administration du Cadastre minier (CAMI). L’information a d’ailleurs été confirmée par Crispin Mbindule, PCA de CAMI.
Né le 15 mars 1946 à Mbandaka, chef-lieu de la province de l’Equateur, Charles Bofasa Djema était licencié en Sciences sociales de l’Université de Lubumbashi, en plus d’énarque.
Plusieurs fois ministre en RDC, il a également été député national élu en 2006. En 2018, il a été à la tête du groupe de 13 partis ayant claqué la porte de Lamuka pour rejoindre Cap pour le changement du tandem Tshisekedi-Kamerhe. Candidat sénateur en 2019, il n’avait pas réussi à se faire élire.
La Cour des comptes a infligé, vendredi 20 juin, le paiement d’une amende de 20 millions de francs congolais, ( environ 7000 USD), à Moyaka Buela Bienvenue, comptable publique principale des recettes de la ville de Kinshasa, district de la Funa, pour faute de gestion.
Il s'agit d'un troisième arrêt rendu par la Cour qui siégeait en matière de discipline budgétaire et financière.
Moyaka Buela a été reconnue coupable de faute de gestion pour avoir notamment transmis tardivement ses comptabilités mensuelles pour les exercices budgétaires des années 2020, 2021, et 2022 à cette Cour.
Le conseil de l'accusée conteste cette décision qu'elle qualifie d'une ''facilité'' malgré toutes les exceptions soulevées.
« L’arrêt qui a été prononcé à notre sens ne fait pas évoluer le droit, parce qu'il ne se fonde pas sur le bon droit », a dénoncé Noble Feta, avocat de la Moyaka Buela.
radiookapi.net/CC