Il s'est tenu à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo(RDC), en prélude du 42 ème Sommet de chefs de l'État, membres de la SADC, la 6 ème semaine annuelle d'industrialisation de la SADC.

À la clôture de ces assises qui ont débuté, le 02 août au Palais du peuple, le ministre de l'Industrie de la RDC, Julien Paluki, a souligné que "tous les seize pays membres de la SADC se sont convenus que le moment est arrivé pour que l'Afrique signe sa révolution industrielle, au regard de ses différentes ressources".

 

Il est à noter qu'il existe dorénavant un accord de cooperation dans le cadre de la création de chaînes de valeurs autour de l'industrie de batterie.
C'est la RDC et la Zambie qui pilotent ce projet.

" Comme l'Afrique australe n'a pas que les ressources minérales qui vont produire les batteries électriques demain, il y a eu des piliers principaux qui ont  constitué l'essentiel de cette semaine d'industrialisation, c'est notamment l'agriculture et le secteur pharmaceutique, ajouté le secteur minier", a déclaré Julien Paluku.

Et d'ajouter:" Ce sont donc ces trois secteurs qui ont fait l'objet des échanges, pour qu'à partir de l'agriculture, des mines et le secteur pharmaceutique, l'Afrique australe puisse révolutionner son industrie de manière à offrir au monde entier, les produits pharmaceutiques; agricoles; et les produits miniers transformés".

 

Le ministre de l'industrie, Julien Paluku, a aussi fait mention de l'appui financier bénéficié de la part de l'Union Européenne et du gouvernement allemand de près de 750.000€ , au cours de cette semaine annuelle d'industrialisation, pour encourager les premières entreprises qui sont dans la création de chaînes de valeurs.

"Il s'agit des entreprises qui sont dans le domaine pharmaceutique et celles qui sont dans l'industrie du cuir.Comme d'aucuns le savent la région est peuplée de vaches,de moutons et de chèvres et toutes ces peaux de ces battages ne sont pas utilisées parce qu'il n'y a pas de tanneries", a-t-il indiqué.

Pour rappel, le ministre de l'industrie Julien Paluku et son collègue de la Coopération régionale et Francophonie, 
Didier Mazenga,
avaient co-animé une conférence, lundi 01 août 2022, à la salle Panorama de l'hôtel Fleuve Congo, dans la commune de la Gombe.



Le gouverneur de la province du Kasaï-Central, John Kabeya Shikayi a nommé un nouveau directeur général à la Direction générale des recettes du Kasaï-Central (DGRKAC). Sa nomination est contenue dans un arrêté publié jeudi 04 août 2022.

C’est le député provincial, Simon Ntumba Luabala, ancien questeur de l'assemblée provinciale, qui sera secondé par Kabeya Kabeya John, comme adjoint. Muala Kamusawu Gustave est nommé directeur technique de la DGRKAC.

L'autorité provinciale motive cette prise de décision par la nécessité de redynamiser, de mobiliser et de maximiser les recettes par cette régie financière provinciale afin de répondre aux aspirations profondes de la population, traduites par la mise en œuvre du programme d'actions du gouvernement provincial du Kasaï-Central.

Il convient de noter par ailleurs que le député ayant les finances dans ses attributions a été chargé d'exécuter cet arrêté.

Alain Saveur Makoba, à Kananga



En République démocratique du Congo, les recettes mobilisées en juillet 2022 sont évaluées à 1.701,9 milliards de francs congolais (850 millions USD) soit un taux de réalisation de 117% par rapport aux prévisions budgétaires dudit mois qui s'élevaient à 1.458,8 milliards de francs congolais.

C'est ce qui ressort de la réunion mensuelle de mobilisation des recettes présidée le jeudi 04 août dernier par la vice-ministre des Finances de la République démocratique du Congo, O'Neige N'Sele.

« La situation des recettes du mois de juillet demeure satisfaisante : les recettes mobilisées s’élèvent à 1.701,9 Milliards CDF soit 117% par rapport aux assignations du mois évaluées à 1.458,8 milliards CDF. Ces recettes se répartissent de la manière :
DGDA : 329 milliards CDF soit 82% sur les prévisions mensuelles de 403,6 milliards CDF ; DGI : 1.025  milliards CDF soit 132% sur les prévisions mensuelles de 778,2 milliards CDF ; DGRAD : 347,8 milliards CDF soit 126% sur les prévisions mensuelles de 277 milliards CDF
 », lit-on dans une dépêche de la cellule de communication du ministère des Finances consultée par 7SUR7.CD ce vendredi.

Selon la même source, les recettes cumulées de Janvier à Juillet 2022 sont évaluées à 11.419,1 milliards CDF soit 113% de réalisation par rapport aux prévisions de ladite période chiffrées à 8.605,2 milliards de francs congolais. Les chiffres jusque-là mobilisés représentent 77% par rapport aux prévisions annuelles fixées par le parlement, poursuit notre source.

Il sied d'ajouter que la vice-ministre des Finances a félicité les régies financières pour la bonne évolution des recettes. Elle leur demande de mener des actions pour accroître le niveau des recettes.

Jephté Kitsita



KCB Group PLC annonce l’acquisition de la banque congolaise Trust Merchant Bank (TMB) et signale que la transaction verra KCB acquérir 85% de l’établissement de crédit basé en RDC. C’est ce qui ressort d’un communiqué conjoint rendu public ce mardi 2 août 2022 par KCB Group PLC et TMB.

D’après le communiqué parvenu à la presse, KCB Group PLC a signé un accord définitif avec les actionnaires de la TMB avec comme finalité acquérir une participation majoritaire dans la banque basée en République démocratique du Congo.

La transaction devrait être finalisée d’ici la fin du troisième trimestre de l’annee 2022 (septembre), dépendamment de l’accord des actionnaires, des autorités de régulation et autres autorisations.

« Cette transaction verra KCB acquérir 85% des actions de la TMB pendant que les anciens actionnaires garderont le reste des parts pendant au moins 2 ans, après lesquels KCB fera l’acquisition des 15 % restants, KCB paiera en numéraire les actions sur la base de la valeur de l’actif net de la TMB à la date de conclusion de la transaction envisagée, en utilisant un facteur multiplicateur de 1.49. », peut-on lire dans le même communiqué.

Andrew Wambari Kairo, président
de KCB Group, révèle que leur organisation est ravie de faciliter le développement économique de la RDC ainsi que de l’Afrique de l’Est.

« Ceci fait partie de notre stratégie continue d’exploiter les opportunites de nouvelle croissance en investissant et en maximisant les rendements des activites existantes du Groupe. Cela nous donne une grande marge de manœuvre pour accélérer nos ambitions de croissance afin de produire de la valeur pour nos actionnaires, de soutenir l’effort pour une inclusion financière plus large, et pour la transformation sociale et économique en Afrique, et au-delà. Nous sommes ravis de pouvoir jouer un rôle de catalyseur du développement économique de la RDC et de l’Afrique de l’Est », a-t-il expliqué.

Pour Robert Levy, président du Conseil d’administration de la TMB, ils sont fiers d’apporter leur connaissance « approfondie » de la RDC ainsi que leur expérience au service de KCB Group PLC.

« Nous sommes enthousiasmés par les opportunites que KCB offre dans cette transaction, et sommes fiers d’apporter notre connaissance approfondie du Congo et notre expérience au Groupe KCB. Nous pensons qu’avec notre connaissance du marché local, appuyé par la taille et l’expertise du Groupe KCB, nous devrions être en mesure d’augmenter nos parts de marché et les rendements pour les actionnaires, de mettre en commun nos synergies en vue d’exploiter les opportunités d’affaires. », a-t-il fait savoir.

Les clients de la TMB bénéficieront de nombreux services proposés par KCB Group PLC

À en croire la même source, les clients de la TMB bénéficieront d’un accès aux opportunites commerciales régionales offertes par le groupe KCB.

« Avec cette acquisition, les clients de la TMB bénéficieront de ce qui se fait de mieux en solutions numériques, de solutions bancaires transactionnelles, d’une expertise en financement du commerce et d’un accès aux opportunites commerciales régionales offertes par le groupe KCB. La TMB ouvrira au Groupe KCB l’accès au deuxième plus grand pays d’Afrique, avec une population estimée à plus de 93 millions d’habitants. », souligne le communiqué.

Le même document renseigne que le bénéfice de KCB Group PLC a augmenté de 9.9 milliards de Shillings Kenyans au premier trimestre 2022, et ce, après le paiement des impôts.

« Au cours du premier trimestre 2022, le bénéfice après impôts de KCB Group PLC a bondi de 54.6% atteignant 9.9 milliards de Shillings Kenyans. Cette hausse, partant de 6,4 milliards de Shillings Kenyans pour la même période de l’année passée, a été stimulee par la croissance du revenu total et la réduction des provisions pour pertes sur prêts. », mentionne le même communiqué.

D’après la même source, les revenus ont progressé de 26% atteignant 29 milliards de Shillings Kenyans, sur base notamment d’une hausse des revenus d’intérêts, d’un accroissement dans les revenus provenant des engagements hors bilan, des commissions de service, et d’une hausse de 21.1% dans les gains sur les autres actifs.

La TMB est une société anonyme, dont le siège se trouve à Lubumbashi. Elle « est une des plus grandes banques de la RDC », avec l’équivalent de 1.5 milliards de dollars américains d’actifs, indique le communiqué conjoint entre KCB Group PLC et TMB.

« L’importante palette de services à la clientèle de la TMB couvre le retail banking, les PME, les grandes entreprises, et les canaux digitaux. La banque compte plus de 110 agences et guichets à travers la République Démocratique du Congo, auxquels il faut ajouter un réseau d’agents bancaires. », rapporte le même document.

Cette acquisition rentre dans le cadre de la stratégie du Groupe KCB, celle de renforcer sa présence a l’échelle régionale, apprend-on.

« Une fois finalisé, cet achat complétera l’empreinte régionale du Groupe KCB avec une base d’actifs de 1 500 milliards de Shillings Kenyans (l’équivalent de 12,6 milliards de dollars américains) et devrait consolider les réseaux bancaires Retail et Corporate du Groupe. », ajoute le communiqué.

Christian Malele



Kinshasa, la Capitale de la RDC arbitre la 6ème semaine annuelle de l’industrialisation de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC). Cette activité qui se tient en marge du 42ème sommet des Chefs d’État a été lancée par le premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde ce mardi 02 août 2022.

Pour cette année, le thème retenu est : « promouvoir l’industrialisation par l’agro-transformation, la valorisation des minéraux et les chaînes de valeur régionales pour une croissance économique inclusive et résiliante ».

Selon les ministres de l’Intégration et celui de l’Industrie, le plan directeur d’industrialisation de la RDC, qui est l’un des piliers du programme économique du gouvernement constitue pour le pays, le sous bassement de ces assises axées sur la promotion de l’industrialisation par l’agro-industrie pour une croissance économique inclusive et résiliente.

En présence des Ministres et Vice-Ministres, membres du Gouvernement, des délégués et représentants des pays membres de la SADC, le Chef du gouvernement congolais, Jean-Michel Sama Lukonde a souligné qu’au regard des ressources naturelles dont regorge la RDC avec plus de 80 millions de terres arables ainsi qu’une pluviométrie régulière, une faune et une flore très riches et variées, son industrialisation permettra de mettre en valeur toutes ces potentialités du pays.

« Ce thème nous interpelle au regard des ressources naturelles dont regorge notre espace, plus particulièrement la République démocratique du Congo. L’industrialisation permettra de mettre en valeur toutes ces potentialités. La République démocratique du Congo détient plus de 80 millions de terres arables avec une pluviométrie régulière, une faune et une flore qui vont bien lui permettre de développer une chaîne agro-industrielle. Elle a besoin, à cet effet, d’investissements privés ainsi que d’infrastructures dans le secteur que j’ai mentionnés, le secteur agricole comme les autres secteurs, en vue de permettre à notre communauté de tirer des dividendes de ses potentiels et de combattre la malnutrition », a déclaré Sama Lukonde.

Au-delà de son aspect relatif à la promotion des produits de la zone de la SADC, la 6ème semaine annuelle de l’industrialisation se veut un cadre où des réflexions seront menées pour trouver des voies de partages scientifiques et technologiques en vue de la matérialisation régionale des infrastructures et des investissements. 

Ainsi pour le Chef du gouvernement congolais, cette 6ème semaine annuelle de l’industrialisation offrira aussi à l’industrie congolaise, l’occasion de bien s’intégrer dans la zone de la SADC en exploitant tous ses potentiels non seulement miniers mais aussi les opportunités de coopération avec les opérateurs économiques de la zone australe.

Jean-Michel Sama Lukonde a, à cette occasion invité les industriels et opérateurs économiques, à explorer les opportunités qu’offre son pays, la République démocratique du Congo.

Carmel NDEO



La ville de Tshikapa, chef-lieu de la province du Kasaï, connaît, depuis quelques jours, une flambée de prix de denrées alimentaires, notamment les maïs. 

Un seau de maïs qui se vendait à 12.000 FC soit 6 dollars américains se négocie aujourd'hui à 20.000 FC soit 10 dollars américains.

Se confiant à 7SUR7.CD, certaines marchandes déplorent la multiplicité des taxes, qui selon elles, est la principale cause de la hausse de cette denrée qui constitue la base de l’alimentation pour la population locale.

« Le gouvernement provincial a multiplié des taxes, notamment celle qui concerne le passage des maïs de la ville de Tshikapa vers d'autres provinces. Les acheteurs de Kinshasa viennent acheter en grande quantité à Tshikapa avec des remorques, et les consommateurs locaux éprouvent beaucoup de difficultés. Si un seau se vend à 12.000 FC l'acheteur de Kinshasa vient acheter à 20.000 FC, c'est ça la cause de cette hausse de prix des maïs. En outre, nous qui achetons à l'intérieur de la ville nous dépensons beaucoup d'argent sur les péages, c'est ce qui fait que l'on augmente aussi le prix à Tshikapa », expliquent-elles à la presse.

Devant cette situation, le ministre provincial des Finances ayant l'économie dans ses attributions, Muller Milambu Muambi, a invité le lundi 1er Août 2022 dans son cabinet de travail, le chef de division provinciale de l'économie, question de lui faire un état des lieux des prix des produits de première nécessité sur le marché. Après cette audience, le ministre Milambu Muambi a diligenté une mission spéciale sur terrain pour s'enquérir de la réalité.

Devant la presse locale, le Chef de division Laurent Shitupa confirme la version des marchandes, celle de la multiplicité des taxes. 

« À notre descente sur terrain, tout le monde confirme que la la multiplicité des taxes est l'unique cause de cette hausse de prix des maïs sur le marché », rassure-t-il.

Le Ministre Müller Milambo qui a pris acte de la réalité trouvée sur terrain par ses services a promis de s'investir au conseil des ministres pour obtenir la solution par rapport à la multiplicité des taxes dans cette ville.

Fabien Ngueshe, à Tshikapa



La frontière RDC-Angola comprise entre la province congolaise du Kwango dans le territoire de Kahemba et la province angolaise de Lunda-Norte dans le territoire de Kahungula a été réouverte jeudi, à Shamaziamo par les deux gouverneurs des provinces, après environ trois ans de fermeture suite à la pandémie de COVID-19.

« C’est par la ferme volonté de deux Présidents en l’occurrence, le Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo de la RDC et Joao Lorenco de l’Angola que cette réouverture a été rendue possible », a indiqué dans son mot de circonstance, le gouverneur de la province du Kwango, Jean-Marie Peti Peti Tamata.

Selon lui, les habitants de deux provinces sœurs vivant à la frontière et qui connaissent les mêmes difficultés, devront profiter de ces nouvelles opportunités afin d’exploiter leurs activités frontalières dans le respect des lois de deux pays.

« La volonté des Kwangolais est d’œuvrer ensemble pour renforcer leurs liens », a-t-il dit, avant de souligner que le souhait le plus ardent de ces deux peuples est de maintenir un climat de paix, d’harmonie, de transparence, d’entente et de coopération, climat assis, d’après lui, sur le socle de l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation, conformément à la charte des Nations Unies et l’acte constitutif de l’Union africaine dans le but de favoriser la mise en place de la zone de libre-échange.

L’ouverture de cette frontière, a-t-il encore ajouté, est la matérialisation de leadership managérial de deux Chefs d’Etat, à travers les accords bilatéraux.

Pour Jean-Marie Peti Peti, la province du Kwango s’est engagée à actionner essentiellement les domaines notamment, de la défense et sécurité pour garantir les échanges d’informations au niveau de deux provinces, la construction des bornes détruites et leur entretien et visibilité ainsi que les domaines de la santé, de la coopération libérale, de transport et voies de communication et celui de l’ agro-pastoral.

Pour sa part, le gouverneur angolais de la province de Lunda-Norte, Ernest Muangala, s’est dit satisfait de la réouverture de la frontière de leurs deux provinces qui permettra les échanges commerciaux et témoigne de la volonté de vouloir vivre ensemble entre les deux pays.

Il a rappelé que cette réouverture n’est que la matérialisation de celle qui a été faite le 5 juillet 2022 à Lufu par les deux ministres nationaux de l’Intérieur de deux pays à laquelle lui-même a assisté.

Pour lui, l’ouverture des frontières va également améliorer les conditions de vie de deux populations.

« Les deux États gagneront économiquement », a-t-il encore souligné, avant de renseigner que leur programme d’urgence est d’asphalter les 18 Km de route qui les séparent de Luanda jusqu’à Dundu afin de permettre aux véhicules de l’Angola d’arriver rapidement à cette frontière sans beaucoup de difficultés.

Ernest Muangala a promis le respect de protocole signé depuis les années antérieures, tout en remerciant les deux Chefs d’Etat qui ont permis la réouverture des frontières par leur décision commune.

Les deux gouverneurs ont visité le lieu où sera érigé le marché congolais.

Les délégations accompagnant les deux gouverneurs ont été composées notamment des ministres provinciaux, des comités provinciaux de sécurité de deux pays, des administrateurs de territoire de la RDC et de l’Angola.

Tandis que du côté Congolais, il y avait en outre, des députés provinciaux, des directeurs généraux des services taxateurs ainsi qu’une foule immense de la population du territoire de Kahungula venue saluer cette réouverture, a-t-on rappelé.

Stéphie MUKINZI M & ACP/CC



Le Ministre de la pêche et élevage, Adrien Bokele Djema a annoncé, ce vendredi 29 juillet, le début du processus d’acquisition de six bateaux de pêche neufs qui entre dans l’ambition du gouvernement de la République, celle de la relance de la pêche industrielle en République Démocratique du Congo.

D’après le ministre, cette flotte comprend trois bateaux de 16 mètres et trois autres de 27 mètres qui vont exploiter les eaux de l’océan Atlantique jusqu’aux pays voisins : l’Angola et la Namibie.

« La vision du gouvernement congolais dans ce secteur, sous l’impulsion du Président de la République Félix Tshisekedi vise à accroître la productivité locale en vue de contrer l’importation des poissons sur le marché congolais», a-t-il indiqué.

À l’en croire, ce premier lot de navires de pêche concerne les eaux marines de l’océan Atlantique et sera suivi d’un deuxième lot dans les jours avenirs pour les eaux intérieures du fleuve Congo et des différents lacs.

politico.cd/CC

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