L'artiste musicien belge, Paul Van Haver connu sous le nom de "Stromae" a largué, ce vendredi 15 octobre 2021, le single "santé" qui marque, ainsi son retour sur la scène musicale et médiatique, après plus de 5 ans d'absence.

Le chanteur âgé de 36 ans avait mis une pause à sa carrière musicale, en 2015, suite aux problèmes de santé. Et depuis lors, il se consacre avant tout à son activité de producteur et travaille en parallèle sur les projets de son label "Mosaert", dont une ligne prêt-à-porter unisexe. Il fait malgré tout plusieurs apparitions remarquées, notamment avec des featurings pour un single d'Orelsan, La Pluie, ou de Coldplay, Arabesque.

Stromae s'est fait connaître en Belgique et dans quelques pays du continent européen en 2010 avec la chanson "Alors on danse" extraite de "l'album Cheese". En parallèle, il crée son propre label Mosaert, afin d'assurer la production de ce premier album.

Au niveau mondial, grâce à son deuxième album "Racine carrée" sortie en 2013 qui a fait un succès critique et commercial majeur, avec des tubes comme Papaoutai, Formidable et Tous les mêmes. La tournée qui suit le fait connaître mondialement avec plus de deux cents dates dans plus de vingt-cinq pays. Au total, plus d'un million de personnes assisteront à cette tournée.

Gratis Makabi



Le Président de la République a achevé, ce jeudi 14 octobre, sa visite officielle de travail aux Émirats Arabes Unis.

Ce matin, le Chef de l'État a salué des compatriotes congolais résidants à Dubaï. 

Avant de s'envoler pour Kinshasa, le Président Tshisekedi a visité la tour Burj Khalifa qui fait 828 mètres de hauteur. C'est la plus haute tour du Moyen-Orient et la 3ème au rang mondial.

Elle symbolise la réussite économique et technologique des Émirats.

Cette tour est une construction du groupe émirati EMAAR Properties qui a signé un accord avec les ministères congolais de l'urbanisme et des Affaires foncières pour développer des projets immobiliers en RDC.

Opinion info/CC



Cinq femmes métisses retirées à leurs mères noires par l’administration coloniale, assignent ce 14 octobre l’Etat belge pour crimes contre l’humanité. Si le Premier ministre Charles Michel s’était "excusé" en 2019, ces femmes demandent une indemnisation. Le jugement devra être rendu dans quelques semaines. Son issue pourrait avoir une portée historique.

Léa Tavares Mujinga, Monique Bintu Bingi, Noëlle Verbeken, Simone Ngalula et Marie-José Loshi, sont toutes nées de l'union entre une mère congolaise et un Blanc. A l'âge de deux, trois ou quatre ans, ces femmes aujourd'hui grands-mères ont été retirées de force à leur famille maternelle, puis placées dans une institution religieuse située "parfois à des centaines de kilomètres de chez elles", explique Maître Michèle Hirsch.

Avec son collègue Christophe Marchand, qui fut avocat de la famille Lumumba, Me Hirsch, qui a représenté les victimes du génocide tutsi au Rwanda, assigne l’Etat belge pour crimes contre l’humanité.

Un racisme érigé en système

"Durant la colonisation, le métis était considéré comme une menace pour la suprématie de la race blanche, il fallait l'écarter", relate Me Hirsch, parlant d'un "système généralisé" mis en œuvre par l'administration belge.

Me Clémentine Caillet, avocate de l'Etat, a contesté ces accusations, ainsi que la qualification de crime contre l'humanité brandie par les plaignantes. Les "crimes contre l'humanité" sont imprescriptibles en droit belge, comme les crimes de génocide et de guerre.

Or pour cette avocate l'action est prescrite. S'appuyant sur un régime juridique applicable à l'Etat belge depuis le XIXe siècle, elle a assuré qu'une faute supposée de l'Etat, en l'occurrence ce retrait forcé d'enfants à leur famille, ne pouvait lui être reprochée que dans un délai de cinq ans.

Pour Me Caillet "il faut se replacer dans la réalité de l'époque", qui concevait que ces mises sous tutelle d’enfants métis dans les années 1940 et 1950 "relevaient des politiques de protection de l'enfant".

Ce procès est le premier en Belgique à mettre en lumière le sort réservé aux métis nés dans les anciennes colonies belges (Congo, Rwanda, Burundi), dont le nombre est généralement estimé autour de 15.000.

La plupart des enfants nés de l'union entre une Noire et un Blanc n'étaient pas reconnus par leur père, et ne devaient se mêler ni aux Blancs, ni aux Africains. Ils étaient donc mis sous tutelle de l'Etat et placés en orphelinat moyennant le versement de subventions à ces institutions, généralement gérées par l'Eglise catholique. 

"A l'école, on nous traitait de café au lait. Nous n'étions pas acceptés", s'est souvenue une des plaignantes, Simone Ngalula, lors d'un entretien avec l'AFP en septembre 2020.

"On nous appelait les enfants du péché. Un Blanc ne pouvait pas épouser une Noire. L'enfant né de cette union était un enfant de la prostitution", a raconté Léa Tavares Mujinga, née d'un père portugais qu'elle n'a revu qu'à 14 ans.

Des indemnisations de l’Etat belge

Pour ces femmes, les excuses de l'Etat formulées en 2019 par le Premier ministre belge doivent être suivies d'indemnisations. Charles Michel, désormais président du Conseil européen, avait alors reconnu "une ségrégation ciblée", et déploré des "pertes d'identité" avec la séparation des fratries, y compris au moment des rapatriements en Belgique après l'indépendance du Congo en 1960.

"On nous a détruites. Les excuses, c'est facile, mais quand on pose un acte il faut l'assumer", a soutenu Monique Bitu Bingi peu avant le procès devant des journalistes.

"On ne peut pas mourir avec ça", a-t-elle déclaré à la fin du procès.

Devant des journalistes, elle a dénoncé "un deuxième abandon", lorsque après l'indépendance ces fillettes, contrairement aux religieuses blanches, n'ont pas pu monter dans les camions de l'ONU pour être rapatriées avec les Occidentaux.

Certaines d'entre elles, âgées alors de 10-12 ans, disent avoir été "violées avec des bougies" par des rebelles. 

Toutes réclament aujourd'hui à la justice belge "une somme provisionnelle de 50.000 euros" et la nomination d'un expert pour évaluer leur préjudice moral.

Elles exigent aussi le plein accès à tous les documents susceptibles d'éclairer leur histoire.

Il a fallu passer par une mise en demeure de l'Etat pour obtenir les dossiers des pères de Simone, Noëlle, Marie-Josée et Monique, tous fonctionnaires belges à l'époque, a expliqué Me Sophie Colmant, associée de Me Hirsch.

"Ce qu'on lit est à vomir", a lâché l’avocate, disant y avoir découvert "une décision de non lieu (au Congo) pour des faits avérés de viol commis par un fonctionnaire belge".

Le jugement devrait être rendu dans plusieurs semaines. Alors que la Belgique attend la publication d'un rapport sur la colonisation cet automne, l’issue de l’action judiciaire de 14 octobre pourrait relancer la réflexion et revêtir une portée historique.

TV5MONDE/AFP/CC



Le chanteur congolais Koffi Olomide va livrer 25 concerts pour célébrer les 37 années de succès connu durant sa carrière. C'est une "grande tournée mondiale", baptisée "Amy World tour", que va effectuer le Quadra en trois étapes.

La première étape aura lieu du 10 au 31 décembre 2021 et sera marquée par 3 productions dans deux villes, à savoir Niamey et Bamako, respectivement capitales du Niger et du Mali.

La deuxième étape de la tournée amènera le Rambo dans 12 autres villes africaines pour y livrer autant de concerts entre le 17 février et le 28 mars 2022. Il s'agit de Praia (Cap Vert), Dakar (Sénégal), Banjul (Gambie), Ouagadougou (Burkina Faso), Cotonou (Bénin), Lomé (Togo), Accra (Ghana), Lagos (Nigeria), Nouakchott (Mauritanie), Bissau (Guinée Bissau), Monrovia (Liberia) et Freetown.

La troisième étape va se dérouler du 24 mai au 27 juin 2022 en Amérique du Nord où il est programmé 10 concerts dans 8 villes états-unienne et canadienne. Aux États-Unis, Koffi Olomide sera sur scène à New-York, Atlanta, Washington, Boston et Huston. Au Canada, il va se produire à Montréal, Toronto et Vancouver.

Gabin K.



La Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) est disposée à revenir à la table des « négociations », en vue d’aboutir à la désignation des animateurs de la Commission électorale nationale indépendance (CENI), a déclaré mercredi 13 octobre au cours d’un point de presse à Kisangani, Mgr Marcel Utembi, président de la CENCO et de la plate-forme Confessions religieuses. 

Les confessions religieuses ne sont pas parvenues à un consensus autour d’un candidat à la présidence de la CENI. A la question de savoir pourquoi elles ne sont passées au vote comme le prévoit leur charte, le président de la CENCO a indiqué que « le vote comme mode décision ne peut intervenir qu’en dernier ressort si toutes les conditions sont réunies ». 

Il s’agit notamment « des valeurs de vérité, d’honnêteté, de crédibilité et de justice ».  Or, celles-ci font défaut, a déclaré le prélat catholique. 

« Lorsqu’on s’aperçoit qu’en amont il y a des personnes qui développent des manœuvres qui vont à l’encontre de la vérité, qui vont à l’encontre d’une valeur morale, on ne peut pas arriver à organiser un quelconque vote. Nous en sommes arrivés à ce niveau-là », a rétorqué Mgr Utembi.   

Il a expliqué notamment que, selon la loi organique de la CENI, ne peuvent participer à ce processus que les « membres de la société civile et des confessions religieuses ayant une expérience avérée en matière électorale ». Pour la Cenco et l'ECC (églises néocoloniale), les six autres confessions religieuses (retenues par la loi du pays) n'ont pas une expérience avérée en matière électorale.

Par ailleurs, l’homme de Dieu exhorte la population à la vigilance pour, dit-il, qu’aucune personne ni institution ne puisse lui ravir sa souveraineté dans la gestion de la CENI. 

Le Nonce apostolique à Kisanagni 

Le processus étant actuellement en impasse, Mgr Marcel Utembi suggère par ailleurs la poursuite des opérations techniques par le secrétariat de la CENI, en vue d’éviter le retard dans la préparation des élections de 2023 au pays. 

Au cours de ce même point de presse, l'archevêque de Kisangani a annoncé l’arrivée ce jeudi 14 octobre dans la ville du Nonce apostolique. Celui-ci vient présider la cérémonie d’ouverture des manifestations relatives aux 125 ans d’évangélisation des missionnaires catholiques de la Congrégation de Sacré-Cœur de Jésus à Kisangani.  

radiookapi.net/CC



Le Musée national de la RDC (MNRDC) a dévoilé jeudi dernier des œuvres photographiques de 2 photographes américains pour une exposition permanente dénommée « l’esprit créatif : cultures traditionnelles de la République Démocratique du Congo ». La ministre de la culture, arts et patrimoine, Mme Catherine Kathungu, l’ambassadeur des USA, Mike Hammer, ainsi que le directeur général du musée, Henry Bundjoko, ont procédé au vernissage de l’exposition qui, du reste, est gratuite et pour une durée indéterminée.

Ces œuvres sont essentiellement composées des photos prises à l’intérieur du pays, notamment dans les tribus Kuba, Pende, Luba, Tshokwe, Lunda, Mangbetu ou encore Kitawala et bien d’autres. L’ambition de cette exposition conduite par les photographes Carol Beckwith et Angel Fisher ainsi que Angelo Turconi est de mettre en valeur les richesses des cultures et la vigueur des traditions congolaises, et donner un aperçu de la variété des ethnies qui composent la nation.

« Je suis ému de voir que des amis, nos frères, nos partenaires ont le souci que notre pays sorte de son isolement. Et lorsqu’on fait des photos du royaume Kuba, je me dis que c’est une occasion pour nous de contribuer à une bonne écriture de notre histoire. Nous l’avons apprise, elle a été racontée mais aujourd’hui, on présente des images de ce qui est réel, ce qui existe, ce que nous vivons. Nous pouvons écrire notre propre histoire avec nos propres mots. Je suis fière de voir qu’avec la photo, nous pouvons projeter beaucoup d’activités. Aujourd’hui, plus que jamais, nous avons l’obligation de ramener notre culture à sa place, la place de la préséance », a déclaré la ministre de la culture, Mme Catherine Kathungu Furaha.

Pour l’ambassadeur des USA, Mike Hammer, qui a eu le privilège de parcourir la RDC, cette exposition merveilleuse des œuvres des photographes de classe mondiale présente la riche vie culturelle du Congo saisie au cours d’une vie dédiée à documenter l’héritage culturel à travers le continent africain.

« Les liens entre les USA et la RDC sont très proches, mais c’est la culture qu’on doit préserver. Les traditions pour connaître l’histoire de la RDC. On peut également découvrir l’incroyable histoire de la culture de la RDC, à travers le travail des photographes américains, c’est très spécial. Ça montre que nous sommes amis du peuple congolais. Les Etats-Unis est un grand pays grâce à sa diversité et voilà aussi la diversité de la RDC qui a la même opportunité que les USA d’être un grand pays », a-t-il dit.

Des photographes à vocation africaine et congolaise

Carol Beckwith et Angela Fisher, internationalement reconnues pour leur travail photographique sur les traditions africaines, sont passées dans plus de 40 pays africains. Elles considèrent, cependant, les cérémonies traditionnelles congolaises comme les plus puissantes de toute l’Afrique. En 2011, elles ont été invitées au royaume Kuba par le prince Guy Kwete pour photographier les cérémonies des masques qui ne pouvaient se produire qu’en présence de la cour royale.

Au cours des années suivantes, les deux femmes ont suivi les rituels d’initiation et les cérémonies guerrières de Salampasu, le festival des masques du peuple Pende ou encore les rites d’initiation des Tshokwe. Elles ont photographié les parures originales des Mangbetu et des adeptes du Kitawala. Elles ont documenté les rituels et les cérémonies de plus de 150 groupes ethniques en Afrique et ont publié 17 ouvrages de référence tels que Africa Adorned (1984), African Ceremonies (1999) et plus récemment African Twilight (2018).

Quant à Angelo Turconi qui a passé 50 ans en RDC, il a toujours cherché à montrer l’importance des cérémonies traditionnelles dans l’organisation des ethnies congolaises. Il a publié de nombreux livres sur l’art et la culture des peuples congolais dont l’infini du Congo (2010), les Lunda (2017), Au cœur du Congo (2019) ou encore Les Tshokwe qui sortira en 2022.

Emmanuel Kuzamba



Le mouvement de grève est observé dans plusieurs provinces : Kinshasa, Kasaï oriental, Sud-Kivu, Nord-Kivu, Lualaba, Haut-Katanga. La sénatrice Francine Muyumba du FCC initie une question orale avec débat au ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique. Tony Mwaba devra s’expliquer sur la sanction extrême infligée aux enseignants qui ont décrété la grève qui dure depuis la rentrée scolaire le 4 octobre dernier. Ils ont décidé d’aller en grève pour réclamer l’amélioration de leurs conditions salariales. A la tête de ce mouvement, les enseignants des écoles conventionnées catholiques.

Face à cette fronde, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique a suspendu les discussions avec les syndicats des enseignants, avant de se raviser quelques jours plus tard. Tony Mwaba Kazadi a entretemps suspendu la paie des grévistes et a fait remplacer ces derniers par des non-grévistes.

Selon le secrétaire général du syndicat des enseignants catholiques, Jean-Bosco Puna (photo), il s’agit d’une violation grave de la Constitution. Jean-Bosco Puna se réserve le droit de porter plainte contre le ministre Tony Mwaba. Pour lui, la grève doit continuer jusqu’à la satisfaction totale des revendications.

L’affaire prend désormais une tournure politique. La sénatrice Francine Muyumba, du Front commun pour le Congo, a initié une question orale avec débat. Francine Muyumba veut, dit-elle, s’assurer de la légalité de la démarche du ministre Mwaba.

D’autres voix se sont élevées un peu partout à travers le pays. L’ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, notamment, appelle le gouvernement à éviter une année scolaire chaotique.

Kamanda wa Kamanda Muzembe



Le cercle du savoir, une structure de promotion de la jeunesse, a tenu sa première conférence littéraire samedi dernier à la bibliothèque du centre Wallonie-Bruxelles, sous le thème « Le livre délivre de nombreuses ignorances ». Dans le souci de faire aimer le livre à certains, d’initier d’autres à la lecture régulière de ceux-ci ou encore de chercher à faire adapter la société congolaise aux exigences du livre, les panélistes ont exposé leurs propositions.

Sylvie Tshibasu, une des panélistes du jour qui est éducatrice et enseignante de littérature française, a affirmé que les parents devraient s’appliquer à connaître les désirs des enfants et les orienter dans la lecture des livres.

« La première des choses, il faut faire un état des lieux. Si vous avez des enfants, des apprenants, il faut voir ce qui les intéresse, qu’est-ce qu’ils aiment. Pour attirer l’enfant à lire, il faut commencer par ce qui l’intéresse. Un enfant qui aime le football, il faut lui acheter le livre qui parle du football, celui qui aime la technique, on peut acheter des livres qui parlent de la technique. L’enfant va comprendre qu’on peut apprendre dans son domaine de prédilection à travers le livre », a-t-elle dit à ACTUALITÉ.CD.

Et d’ajouter : « c’est le parent qui doit savoir comment faire pour que l’enfant aime le livre et que ce n’est pas une punition à donner à un enfant que de lire des livres, ça doit être un plaisir ».

Mme Tshibasu qui pense que le livre informe, éduque et libère, a exposé sur la question de savoir si la littérature peut contribuer à l’amélioration du vécu quotidien du congolais.

« Le livre peut contribuer à un meilleur dans la vie quotidienne des congolais. Le livre informe, il éduque, il libère. Parfois on ne connaît pas et le manque de connaissance nous empêche de nous libérer de beaucoup de choses. Pour cuisiner, on peut lire un livre de cuisine. C’est de la littérature. Le livre éduque, forme et libère », a-t-elle dit.

Richard Ali, un autre intervenant du jour est intervenu sur les stratégies ou la politique à mettre en place pour que les gens s’intéressent au livre, pour le promouvoir. Il a rappelé que c’est faux de dire que les congolais n’aiment pas lire d’autant plus que quand il y a des activités, des événements, le constat est que les kinois, les congolais sont de plus en plus intéressés par le livre. Il faudrait laver les esprits de ce stéréotype là.

Tony Elebe, écrivain, est intervenu sur la question de savoir en quoi le livre délivre de nombreuses ignorances et Andréa Moloto, entrepreneuse sociale et écrivaine, est revenue sur la question de savoir ce qu’il faut faire pour que la société congolaise s'adapte aux enjeux et exigences du livre.

Cette première conférence organisée par l’association Cercle du Savoir (CEDUSAV) a réuni écrivains, curieux, passionnés et amoureux de la littérature. Elle a été un moment de convivialité, d’initiation, de partage et d’échange autour de la littérature, de donner aux gens le goût de la lecture, les inciter à fréquenter les bibliothèques.

Le Cercle Du Savoir est une association sans but lucratif créé pour promouvoir la jeunesse congolaise dans tous les secteurs, notamment dans l’art et l’entrepreneuriat. Il a pour objectif d’éveiller la conscience de la jeunesse afin de permettre à cette dernière de participer au développement de la société congolaise en particulier et africaine en générale, d'informer et créer de l'engagement chez les jeunes sur les grands sujets et enjeux des sociétés.

Emmanuel Kuzamba

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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