L'artiste comédien Mungenzi Kangayi Noël connu sous le nom de scène "Yandi Mosi" a été reçu le 02 novembre, par le Coordination de la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi (FDNT) dans le cadre du programme de soutien médical aux artistes comédiens lequel s'appuie sur l'axe santé de la Fondation.

En effet, souffrant d'un problème du cœur, "Yandi Mosi" est appelé à être acheminé en Afrique du Sud pour des soins appropriés. Il est couvert, comme tous les artistes comédiens et leurs familles respectives, par une police d'assurance maladie signée entre la FDNT et Activa Assurances. C'est ce qui explique qu'il soit actuellement suivi médicalement dans le cadre de cette police d’assurance maladie et que des options plus sérieuses d’intervention chirurgicale prise en charge par la FDNT sont actuellement en étude. Assurant ainsi une prise en charge dans un nombre donné de centres de santé plus important à travers la ville/province de Kinshasa.

Il sied d'indiquer que c'est lors de sa rencontre avec une délégation des artistes comédiens et acteurs congolais en 2020, la Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi, avait épinglé un problème majeur posé par eux-mêmes à savoir : bon nombre d’illustres comédiens ont trouvé la mort dramatiquement suite à des problèmes de santé qui parfois nécessitaient une simple prise en charge, qui faisait défaut faute de moyens financiers.

En effet, les cas de campagnes de prises en charge des frais d’obsèques de nos artistes comédiens ne manquent pas. Mais la solution n’était-elle pas plutôt de travailler en amont ? D’essayer plutôt d’intervenir quand la maladie se déclare et la combattre afin d’éviter le drame ?

C’est dans cet ordre d’idée que la Présidente de la FDNT avait pris un engagement ferme envers eux : la Fondation dans son axe santé travaillerait à trouver un moyen d’assurer une prise en charge de la santé de nos artistes comédiens, afin d’agir de leur vivant : "aimons-nous vivants", lançait Denise Nyakeru Tshisekedi. Un premier pas avait été posé dans ce sens avec un partenariat mis en place avec HJ Hospitals, Limete 1er rue. Cet accord permettait d’assurer une prise en charge des artistes répertoriés par l’association des artistes, représentée par M. Elombe.

Dans l’optique d’élargir le nombre de centre médicaux de prise en charge et ainsi répondre à la problématique géographique, en effet nos bénéficiaires étant disséminés à travers Kinshasa, un seul centre de prise en charge poserait problème en cas de nécessité de prise en charge d’urgence.

actualite.cd/CC

 
 

Les mariages de l’impossible



Une grande marche est prévue ce samedi 06 novembre à Kinshasa. C’est pour dire NON à beaucoup de choses. Non à une CENI politisée. Non à la paupérisation des enseignants. Non au RAM. Non à l’absence de l’autorité de l’Etat. Non à l’abrutissement des enfants. Non à la  dictature fatshiste etc. Enfer et damnation ! Tout ça ?

L’entérinement par ordonnance présidentielle, le 22 octobre, de Denis Kadima comme Président de la CENI était la ligne rouge à ne pas franchir ! La coalition LAMUKA a appelé le 19 octobre tous les contestataires à rejoindre les Forces sociales et politiques du pays afin de constituer un Bloc patriotique pour chasser Fatshi du pouvoir.

Sonnés, le cardinal Fridolin Ambongo et ses ouailles ne décolèrent pas. Ceci expliquant cela, ils lancèrent une fatwa sur la CENI de Denis Kadima. Ils invitèrent le CALCC ( Conseil de l’apostolat des laïcs catholiques du Congo) et le MILAPRO (Ministère des laïcs protestants) à mutualiser leurs efforts pour barrer la route à ceux qui s’obstinent à faire passer ces lois et ces personnages à la tête de la CENI. Saperlipopette !

Des organisations citoyennes se joignirent aussi au mouvement. C’est là que le FCC de Kabila amorça un retour remarqué.  On vit les ennemis d’hier parader devant la presse lors de la signature de la Déclaration du 24 octobre des Forces sociales et politiques. Le FCC affirme l’avoir fait  à l’appel des pères des églises catholique et protestante. Enfer et damnation !

Les signataires avaient annoncé de grandes actions citoyennes pour obtenir la dépolitisation, l’indépendance et la non-instrumentalisation de la CENI. Mais ces alliances contre nature durent généralement l’espace d’un matin. Il ne faut jamais chercher à guérir le mal par le mal.

Le 26 octobre dernier, les diplomates des pays occidentaux ont regretté le manque de consensus dans la désignation de Kadima. Selon eux, le consensus est un élément important pour renforcer la confiance à l’égard du processeur électoral. Ils affirment néanmoins leur soutien au gouvernement pour l’organisation des élections transparentes, libres et inclusives. Ils étudient les modalités pour répondre à l’invitation de Fatshi à accompagner le processeur électoral ! 

Le parti Ensemble pour la République avait menacé de quitter l’Union sacrée de la nation en cas de désignation sans consensus des membres du bureau de la CENI. Ceci expliquant cela, Moïse Katumbi Chapwe est arrivé à Kinshasa ce 29 octobre pour consulter ses troupes sur le maintien ou non de son parti dans la majorité présidentielle. To be or not to be ? That’s the question. Il joue son avenir politique. Saperlipopette !

Suivant mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, il est tiraillé entre deux forces sur lesquelles il s’appuie. Il s’agit des princes de l’église catholique et des ambassadeurs des pays occidentaux. Les ambassadeurs des USA et de l’Union européenne lui ont conseillé de suivre la voie constructive de Jean-Pierre Bemba. Mais certains de ses lieutenants ne sont pas prêts à abandonner leurs postes ministériels juteux. Aussi les députés de son parti lorgnent sur les postes réservés au parti dans les entreprises publiques. Il est rentré, le 1re novembre, à Lubumbashi, où beaucoup de militants lui demandent de quitter l’Union sacrée. Il va donc les consulter avant d’exposer le point de vue de sa famille politique.

D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, le FCC négocie en catimini la nomination aux trois postes vacants de la CENI. Mon ami qui sait tout est d’avis qu’Il est temps de regarder vers l’avenir. Le problème est que chacun poursuit ses intérêts personnels.

Il faut prendre l’exemple de Lucius Quinctius Cincinnatus, un politicien romain du Vᵉ siècle av. J.-C, consul puis dictateur à deux reprises. Il est considéré comme un modèle de vertu et d’humilité. Il avait sauvé Rome de l’anarchie et de la guerre civile. On dit chez nous que si quelqu’un fait semblant de mourir, il faut faire semblant de l’enterrer.

GML



Après son feuilleton judiciaire au tribunal de Versailles en France, le chanteur congolais nommé "Dobolo King" s’est produit dimanche 31 octobre, au terrain GD, dans la commune de Lemba, à Kinshasa, pour un concert live, à partir de 15 heures. Le terrain était noir de monde, sans jeu des mots !

Sans nul doute, le "Grand Mopao" a retrouvé son public local encore une fois, après avoir été notifié du report à une date ultérieure de son grand concert qu'il devait livrer à la Défense Arena, à Paris, en France.

Selon des témoins, le Quadra qui a regagné Kinshasa après ses déboires judiciaires, a paru serein et confiant pour son avenir. A tout considéré, ses fans lui ont témoigné un attachement viscéral.

Ali Kalonga



Les enseignements n’ont toujours pas repris dans plusieurs écoles publiques à travers la République. Les enseignants, censés rependre les cours ce lundi 1er novembre à l’appel de l’intersyndicale de l’EPST, ont résolu de poursuivre leur grève.  

Plusieurs parents, qui ont amené leurs enfants pour un début éventuel des enseignements, ont été déçus ce lundi. Les lignes n’ont pas bougé, malgré les négociations en cours entre l’intersyndicale de l’EPST et le gouvernement à Kisantu.   

Dans la ville de Bukavu (Sud-Kivu), la rentrée scolaire n’est toujours pas effective dans les écoles publiques. Et la reprise prochaine des cours est hypothétique car les enseignants membres de syndicats SYNECAT, SYNEP et SYECO réunis en assemblée générale ce matin à Bukavu, ont décidé de poursuivre la grève.  

Au collège Alfajiri, une école catholique de référence de Bukavu, ce sont des passants qui sont aperçus dans l’enceinte de l’école. Toutes les salles des classes sont fermées. Seuls quelques bureaux administratifs et la bibliothèque sont ouverts.  

Quelques élèves sont venus lire quelques livres pour s’occuper en attendant la reprise des activités scolaires. Ils se disent angoissés par cette situation et espèrent un retour à la normale très bientôt.  

A l’athénée d’Ibanda, une école officielle, un groupe d’élèves venus se renseigner sur la reprise des cours.   

« Ils nous ont demandé de rentrer chez nous et de revenir voir demain », témoigne un élève lassé.   

Les enseignants n’ont pas repris la craie bien que présents sur le site. Ils assistaient à l’assemblée générale présidée par le Syndicat des enseignants du Congo pour décider de la levée ou non de la grève. Dans la matinée de ce lundi, ce sont leurs collègues des écoles catholiques et protestantes qui étaient également réunis en assemblée générale.   

Les enseignants membres de ces trois syndicats ont décidé de ne pas reprendre les cours à l’issue de ces assises.   

« Nous n’avons pas reçu assez de garanties pour la prise en compte de nos revendications », confie un enseignant.  

Cependant, les cours ont repris ce lundi 1e novembre dans toutes les écoles publiques de Kigulube dans le territoire de Shabunda (Sud-Kivu). Les élèves ont été accueillis ce matin par les enseignants qui « comptent sur la décision des assemblées générales des parents pour garantir la poursuite des activités scolaires à Kigulube ».   

Les reporters de Radio Okapi ont pu constater cette reprise dans trois écoles de la Shabunda ; à savoir : l'EP catholique Kigulube, l'Institut Tuendeleye et l'école technique Kilembela.   

Partout, les enseignants sont déterminés à poursuivre les cours. Mais, le problème de manque des frais de fonctionnement se pose partout.  

Le constat est mitigé à Matadi au Kongo-Central notamment. A Lubumbashi, certaines écoles publiques ont repris tandis que les écoles conventionnées poursuivent la grève et promettent de donner la suite à leur mouvement après la réunion des syndicalistes.   

Dans la ville de Bandundu, les écoles publiques maintiennent la grève car ayant renvoyé à la maison les élèves. 

radiookapi.net/CC



La célébration, le mardi 2 novembre 2021, de La « Journée Internationale de lutte contre l’impunité des crimes commis contre les journalistes » est célébrée en République Démocratique du Congo alors que le nouveau régime issu de l’alternance politique de 2019 totalise près de la moitié de son mandat, sur fond des manœuvres politiques pour l’organisation des prochaines élections prévues en 2023. C’est dans cette atmosphère que Journaliste en danger (JED) rend public son Rapport annuel 2021 sur l’état de la liberté de la presse et d’expression en RD Congo intitulé « Mauvais temps pour la presse en RDC… ». 

Dans ce rapport, au moins 110 cas d’attaques diverses contre les journalistes et les médias ont été enregistrées cette année, dans un contexte général marqué par la crise sanitaire dûe à la pandémie du Covid-19, une autre crise politique consécutive à la rupture de la coalition « FCC- CACH » entre l’actuel Président Felix Tshisekedi et son prédécesseur Joseph Kabila. Sans oublier, la crise sécuritaire marquée par l’état de siège dans les deux provinces du Nord- Kivu et Ituri à l’Est du pays.  

Pour cette année 2021, plus de la moitié des cas d’atteintes à la liberté de la presse, soit 51%, touchent à la sécurité physique des journalistes, et sont constituées des menaces qui précèdent parfois les assassinats ; des agressions physiques et des journalistes contraints à vivre dans la clandestinité, loin de leurs maisons et de leurs familles pour échapper à la mort, suite à des menaces des miliciens ou des militants politiques.

La multiplication des cas d’attaques et d’agressions physiques contre les journalistes, sont emblématiques d’une tendance à la détérioration de l’environnement sécuritaire de travail des médias qui s’est développée au cours de cette année et qui a culminé par 1 cas d’enlèvement et 3 cas d’assassinats des journalistes. Dans le lot des 110 cas d’atteintes diverses à la liberté de la presse, répertoriés sur l’ensemble du territoire national congolais, 48 cas ont été recensés à l’Est du pays dont 25 cas dans les deux provinces sous état de siège, à savoir le Nord-Kivu et l’Ituri.   

Trois ans après son accession au pouvoir et en dépit de ses nombreuses promesses faites à la presse, le nouveau pouvoir n’a toujours pas su lancer des signaux forts en faveur de la liberté de la presse. A ce jour, aucune action de grande envergure n’a été prise ni sur le plan politique, ni sur le plan judiciaire, ni sur le plan sécuritaire en faveur de l’exercice du métier de journaliste.

A l’analyse de la situation préoccupante actuelle de la liberté de la presse en RDC et en vue de répondre aux attentes urgentes de la presse, JED demande au gouvernement la mise en œuvre des actions prioritaires suivantes : 

 - Réformer sans délai, le cadre légal répressif actuel, à savoir, la Loi N°002 du 22 juin 1996, portant modalités de l’exercice de la liberté de la presse, en consacrant la dépénalisation des délits de presse afin que les journalistes puissent exercer sereinement et librement leur indispensable rôle de quatrième pouvoir ; 

- Doter la RDC d’une loi d’accès à l’information qui fera obligation à tous les mandataires publics de publier toutes les informations d’intérêt général, non couvertes par le secret, pour des raisons de sécurité nationale 

 - Mettre fin aux arrestations des journalistes et aux suspensions arbitraires des médias en confiant à un organe de régulation indépendant l’exclusivité des prérogatives de sanctions et en sensibilisant les forces de sécurité et acteurs du monde judiciaire aux droits et devoirs des journalistes ; 

- Mettre en place un mécanisme national de protection des journalistes doté des moyens et des relais dans les différentes institutions afin que les exactions commises contre les professionnels du secteur ne restent pas impunies ; 

- Mettre fin à l’impunité des crimes commis contre les journalistes

actualite.cd/CC



"Riposte", c’est le thème d’une exposition d’œuvres d’art qui s'est tenue du 29 octobre au 30 novembre dans la salle d’exposition de l’Académie des Beaux-arts à Kinshasa. Cette expo multidisciplinaire présente les travaux de fin d’études académiques 2020-2021 des étudiants finalistes et certains débutants des nouveaux départements.

Les étudiants qui exposent évoluent dans divers domaines, notamment architecture d’intérieur, communication visuelle, peinture, photographie, design, céramique, sculpture, métal et conservation et restauration des œuvres d’art. Le vernissage de cette exposition a eu lieu vendredi 29 octobre. 

radiookapi.net/CC



Les négociations à la Conférence des Nations-Unies pour le Climat (COP26) ont débuté ce dimanche 31 octobre 2021 à Glasgow, en Écosse (Royaume-Uni).

197 parties vont pouvoir négocier afin de stabiliser la température mondiale à 1,5°C  et arriver à l'objectif mondial d'atteindre zéro émission nette de carbone d'ici 2050.

Comment la République démocratique du Congo qui détient plus de 60% de la forêt du Bassin Congo compte-t-elle faire entendre son message ? 

Selon l'Ambassadeur Tosi Mpanu-Mpanu,Négociateur Senior de la RDC sur les questions climatiques, la République démocratique du Congo en tant que "Pays Solution" ne va pas défendre ses intérêts toute seule au risque que sa voix dilue et ne soit pas entendue.

Pour ce faire, elle va négocier à travers plusieurs coalitions notamment les pays de la COMIFAC (Commission des Forêts d'Afrique Centrale). Le pays veillera à ce que sa position vu ses potentialités soit reconnue et prise en compte. 

"Il s'agit d'une négociation multilatérale sous le guide des Nations-Unies où il y a 197 parties. Lorsque vous avez une stratégie à défendre et que vous le faites seul, il y a de fortes chances que votre voix soit diluée parce qu'il y a énormément des pays qui veulent tirer le drap de leur côté. Et la RDC a élu de ne pas défendre ses intérêts non pas toute seule mais à travers certaines coalitions des négociations. Elle essaie de trouver une juste compensation pour le rôle que joue ses forêts. Elle s'engage au sein du groupe des pays de la COMIFAC (Commission des Forêts d'Afrique Centrale)", a expliqué à DESKNATURE.COM et ACTUALITE.CD, Ambassadeur Tosi Mpanu-Mpanu, Négociateur Senior de la RDC sur les questions climatiques.

Et d'ajouter :

"La RDC amène également son message au sein du groupe des pays les moins avancés qui sont les moins responsables de la pollution. La RDC essaie que la position commune de tous ces pays  puisse tenir compte du rôle de sa forêt. Et enfin, la RDC s'engage au sein du groupe des pays africains, 51 pays qui parlent d'une seule et même voix. C'est une voix qui ne peut pas être ignorée. Donc, c'est comme ça que depuis la COP21 la RDC essaie de faire avancer ses intérêts en  parlant haut et fort mais en faisant de telle sorte que sa position soit reprise dans les positions communes de différentes coalitions dans lesquelles la RDC est active".

Lors de la COP26, la République démocratique du Congo, représentée son chef d'État Félix Tshisekedi et L'Initiative pour les forêts d'Afrique centrale, représenté par le Premier ministre britannique, Boris Johnson représentant les groupes des bailleurs , vont conclure la deuxième phase du partenariat RDC-CAFI pour la prochaine décennie (2021-2031) pour un budget de 1 milliard de dollars américains.

Auguy Mudiayi



À travers une déclaration faite ce vendredi 29 octobre, le banc syndical des enseignants a annoncé la suspension de la grève des enseignants déclenchée depuis le début de la rentrée-scolaire 2021-2021, et la reprise des activités dès ce lundi 01 novembre.

« Après concertation, vue l’urgence et la nécessité, conscient de la responsabilité citoyenne et patriotique qui caractérisent l’enseignant congolais, le banc syndical suspend la grève déclenchée sur l’ensemble du territoire national de la République, à dater de ce lundi 1er novembre 2021», peut-on lire dans cette déclaration commune.

Néanmoins, le banc syndical des enseignants a fixé quelques préalables. Il s’agit notamment de :

  • L’obtention de la note circulaire définissant clairement le champ d’application de la gratuité de l’enseignement et ce, séance tenante, impliquant aussi le banc syndical;
  • La définition de la prise en charge, par l’Etat, des enseignants œuvrant dans les écoles primaires publiques non payées ;
  • Le paiement de toutes les N.U identifiées, à partir du mois de novembre avec rappel du mois d’octobre 2021 ;
  • La réactivation des écoles et bureaux gestionnaires victimes de la désactivation depuis le mois de juillet 2021 ;
  • L’identification de la traçabilité du compte reliquat de la paie des enseignants comme source extrabudgétaire à verser au compte de l’EPST.

Cette décision a été prise au deuxième jour des assises de la commission paritaire gouvernement-banc syndical qui se déroulent à Mbuela lodje, dans le territoire de Kisantu, en province du Kongo-central.

Carmel NDEO

A Propos

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Directeur de la Rédaction

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