À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre la drépanocytose, célébrée chaque 19 juin de l’année dans le but de sensibiliser le public et à mobiliser des ressources pour la recherche et le traitement de cette maladie, la Fondation Vodacom a lancé sa campagne de dépistage contre cette maladie génétique du sang qui, principalement, affecte les globules rouges.

Comme le rapporte un communiqué parvenu ce jour à 7SUR7.CD, la fondation va également, dans le cadre de ses initiatives de responsabilité sociale, organiser des activités et campagnes pour sensibiliser la population.

« (…), la Fondation Vodacom, dans le cadre de ses initiatives de responsabilité sociale, œuvrant dans les domaines de l’éducation, la santé et le bien-être pour tous, organise divers événements et campagnes pour éduquer les communautés sur la drépanocytose, soutenir les patients et leurs familles, et promouvoir des programmes de dépistage et de soins médicaux. Ces efforts s'inscrivent dans une démarche plus large pour améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de cette maladie et pour encourager la solidarité et l'action collective contre la drépanocytose », indique le communiqué.

À en croire cette source, la Fondation Vodacom organise, en collaboration avec le Programme National de Lutte Contre la Drépanocytose, les Cliniques Universitaires et le Centre Cefa Care, des journées de sensibilisation à Kinshasa et à Lubumbashi dans le but de contribuer à la promotion de la prévention et de la prise en charge de la drépanocytose.

A Kinshasa, l’activité sera faite avec les cliniques universitaires et le Programme national de lutte contre la drépanocytose dans le but de sensibiliser les étudiants dans les universités, notamment l’UNIKIN, Bel Campus et ISTM en organisant des séances de dépistage du 26
au 28 juin 2024.

Quant à Lubumbashi, une activité sera organisée avec le Centre de Formation et d'Appui Sanitaire (CEFA-Mokole) pour sensibiliser la population sur la Drépanocytose et fournir des produits médicaux à 500 patients.

Jephté Kitsita

 


Un appel à l’amélioration de la  communication auprès de la populationde la République démocratique du Congo (RDC)a été lancé jeudi à Kinshasa, par le Réseau « Drepano SS  pour lutter contre la drépanocytose, communément appelée « Anémie SS ».

« Nous lançons un appel à l’amélioration de la communication auprès de la population sur la drépanocytose pour nous permettre de dépister un bon nombre de personnes ainsi que des cas complications pour lutter contre cette maladie en RDC », a déclaré le Dr Ange Christian Ngonde, coordonnateur du Réseau « Drepano SS ». Pour le coordonnateur du Réseau « Drepano SS », qui l’a dit en prévision de  la Journée mondiale de la drépanocytose, célébrée le 19 juin de chaque année, le dépistage précoce chez le drépanocytaire joue une grande importance car il permet de limiter les complications étant donné que cette maladie est chronique et ses interventions doivent être quantifiées et orientées.

Le Dr Ngonde a fait savoir que la drépanocytose (une maladie génétique héréditaire touchant les globules rouges)  est une invitée indésirable qui dérange le confort de la famille et appauvrit l’économie du pays.  Il a, en effet, soulevé que les drépanocytaires sont souvent victimes des stigmatisations et des rejets dans la société. D’où, il a insisté sur l’attention des autorités pour combattre cette maladie caractérisée par une anomalie de l’hémoglobine, principale protéine du globule rouge avec pour symptômes, entre autres, l’essoufflement, l’inflammation des doigts ou des orteils, de la  peau et des yeux jaunes, le retard de développement, le faible taux d’oxygène dans l’organisme,  la fatigue, l’inconfort physique ou les vertiges, la présence de sang dans les urines, les douleurs aux os.

Par ailleurs, le coordonnateur du Réseau « Drépano SS », a salué la vision du Président de la république, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui veut que le citoyen congolais bénéficie des soins de santé de qualité sans exception des catégories en ne laissant  aucune maladie à l’écart  grâce au programme de la couverture santé universelle. Selon le ministère de la Santé publique, Hygiène et Prévoyance sociale, la drépanocytose qui entraîne des douleurs, des infections avec des impacts socio-économiques très graves, demeure un grand problème de santé publique en République démocratique du Congo.

ACP/CC



Ce projet de six mois a pour objectif de renforcer la surveillance, la prise en charge médicale et psychosociale des malades de M-Pox dans les deux provinces de l'équateur et de la Tshopo.Le coût global est de 5 mille dollars américains, l'organisation mondiale de la santé sous  bureau de Mbandaka confirme avoir reçu 1 million de dollars américains du bailleur des fonds USAID.

Pour répondre rapidement à la riposte contre la variole de signe M-Pox à l'Equateur,l'OMS a remis 66 kits des médicaments adéquats à la division provinciale de la santé.Les intrants de prélèvement des examens au laboratoire, les médicaments contre les infections les moyens de transports et de communication sont également prévus dans ce projet.

La situation épidémiologique actuelle de mpox dans les 18 zones de santé de l'équateur est de 4 mille 689 cas confirmés dont 270 décès.Les principales victimes sont les enfants de moins de 15 ans.Ceci en espace de 6 mois en daté du mois de janvier 2024 précise Madame chef de division provinciale de la santé, docteur Nicole KUMBOLANI AFUWA.

Le taux de prévalence est de 9 % ce qui est très élevé par rapport à toutes les provinces de la RDC précise le ministre provincial de la santé, docteur Didier MBULA IBENGE qui a lancé ce projet de la réponse à l'épidémie de mpox à Mbandaka.Il a invité tous les prestataires de la santé de travailler en collaboration avec la communauté et les partenaires du ministère de la santé pour vaincre cette épidémie de variole de singe.

Notons que ce projet est financé par l'USAID en collaboration avec Fhi360 en collaboration avec le ministère national de la santé en vue de sauver des vies humaines indique, Docteur Braham AJONG le point focal mpox OMS .

Peter GBIAKO NGBALA à Mbandaka



Le médecin vétérinaire de la chefferie des Bashu, alerte sur la présence d'une maladie dite anthrax dans certaines entités du territoire de Beni, au nord de la province du Nord-Kivu. Selon le docteur Justin Kasayi, cette pathologie est signalée dans cette région depuis déjà six mois, et, commence peu à peu à se propager à Kasindi, Mangina et Cantine.

Tenez, l'anthrax ou encore la maladie du charbon est une pathologie causée par une bactérie sporulante et touche principalement les animaux. Les humains peuvent contracter la bactérie par contact avec un animal infecté ou par inhalation de spore.

À en croire le Docteur Justin Kasayi, médecin vétérinaire de la chefferie des Bashu en territoire de Beni, cette maladie se transmet généralement sous trois formes: la forme respiratoire , la forme digestive et forme cutanée [qui est la plus virulente que les deux autres]. 

«Récemment, on l'a constaté à Kasindi. Il y a deux semaines, la maladie a été constatée à Cantine aussi. Les plus touchés par cette maladie sont les bouchers et les abatteurs», a-t-il indiqué.

Et dans le cadre de prevenir cette maladie, notre personne ressource a exhorté la population à éviter de prendre la viande d'un animal non inspecté, et surtout le sang des animaux. Mais aussi, il est interdit de préparer à la hate la viande. Aux bouchers et abatteurs de se protéger avec des gants et cache-nez dans leurs services.

Prehoub Urprus



La consommation régulière de la papaye permet de prévenir plusieurs maladies, a indiqué jeudi en République démocratique du Congo une nutritionniste au cours d’un entretien.

 « La papaye contient l’enzyme papaïne qui aide à décomposer les protéines et à faciliter la digestion. Manger la papaye aide à réduire les symptômes des troubles digestifs tels que les ballonnements, la constipation et les brûlures d’estomac », a déclaré Mme Nadège Luzolo, nutritionniste à l’hôpital général de Matete, au centre de la capitale.

« Les graines noires à l’intérieur de la papaye ont des propriétés antiparasitaires et sont utilisés en médecine traditionnelle pour traiter les vers intestinaux », a fait savoir la nutritionniste Luzolo.

« La chair bien sucrée de la papaye est pourvue d’une grande quantité de vitamines et de minéraux. La papaye existe sous de nombreuses variétés. Mais seule une minorité est aujourd’hui commercialisée. La papaye contient des propriétés anti-inflammatoires. En combinaison avec de la vitamine C et d’autres antioxydants présents dans ce fruit tropical, la papaye soulage les symptômes de l’arthrite, de la goutte, du syndrome du côlon irritable ainsi que les maux de tête », a-t-elle expliqué. 

La papaye est riche en antioxydants qui peuvent aider à réduire l’inflammation dans le corps qui est liée à de nombreuses maladies chroniques notamment le cancer, le diabète et les maladies cardiaques, a-t-elle indiqué. Le jus de papaye est également apprécié pour ses bienfaits favorisant la santé de l’œil, a-t-elle encore dit. 

Elle a recommandé de consommer la papaye chaque fois que c’est possible pour prévenir des maladies et pour garder le corps en bonne santé.  

ACP/KKP/CC



 Un cas suspect de décès lié à la maladie de Monkeypox (également appelée variole du singe) a été enregistré depuis mardi à l’hôpital général de référence de Gemena au Sud-Ubangi, dans le Nord-ouest de la République démocratique du Congo, a appris l’ACP jeudi de source officielle.

« Nous avons enregistré depuis mardi à l’hôpital général de référence de Gemena, un cas suspect de décès lié à la maladie de Monkeypox », a déclaré Papy Naego, ministre provincial de la Santé.

M. Naego, a invité la population de Gemena en particulier et celle du Sud-Ubangi en général au calme, en attendant le résultat de l’examen de l’échantillon qui sera envoyé à l’Institut national des recherches biomédicales de Kinshasa (INRB).

« J’invite la population de Gemena en particulier et celle du Sud-Ubangi en général au calme, en attendant le résultat de l’examen de l’échantillon que nous allons envoyer à l’Institut national des recherches biomédicales de Kinshasa (INRB) », a-t-il ajouté, avant de rassurer que la situation est sous contrôle.

Il a recommandé à la population du Sud-Ubangi de respecter les mesures d’hygiène.

La Mpox (également appelée variole du singe ou Monkeypox) est une maladie initialement présente chez l’animal, notamment chez des rongeurs en Afrique, et qui circule désormais chez l’être humain ; on parle ainsi de zoonose émergente, rappelle-t-on.

ACP/KKP/CC



Plus de 2,5 millions d’enfants sont attendus à la campagne de vaccination contre la polio, prévue du 13 au 15 juin, dans l’espace Equateur,

Cette activité vaccinale consiste en la distribution de la vitamine A et au déparasitage à  l’Albendazole aux enfants de 0 à 5 ans.

Avec l’appui des partenaires techniques et financiers, tout est prêt pour le début de cette campagne ce jeudi. Les équipes et les intrants sont déjà en cours de déploiement à travers les zones de santé.

En revanche, le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), prend en charge le volet communication avec notamment les supports de mobilisation communautaire et la prise en charge des acteurs de communication sur le terrain.

Cette agence du système de l’ONU s’apprête également à appuyer le renforcement de la chaine de froid, en vue de bien conserver le vaccin.

Plus de 900 000 enfants concernés au Kongo-Central

Environ 906 617 enfants sont concernés pour cette campagne de vaccination contre la polio dans les 31 zones de santé du Kongo-Central et cible les enfants de moins de 5 ans.

Au moins, 809 325 enfants de 6 à 59 mois recevront la supplémentation en vitamine A, et 712 665 autres de 12 à 59 enfants vont recevoir l’albendazole. 

Le commissaire général à la santé qui a lancé le début de cette campagne , appelle les parents à s'en approprier, et rappelle que la vaccination ne présente aucun danger pour les enfants.

Cette compagne de vaccination offre aussi aux parents l'occasion de se rattraper concernant leurs enfants de moins de deux ans qui n’ont reçu aucun vaccin de routine et de compléter le calendrier vaccinal pour d'autres enfants de cette même tranche d'âge.

Cette campagne se tient après celle de mars dernier et sa particularité est qu’au-delà du vaccin contre la poliomyélite, elle fait l’intégration de la Vitamine A, pour les enfants de 6 mois à 5 ans, et le déparasitage à l’Albendazole, pour les enfants de 1 à 5 ans.

Les vaccinateurs passeront de porte-à-porte, indiquent les organisateurs.

Dans la province du Tanganyika, cette campagne concerne aussi les enfants âgés  de 0 à 15 ans.

radiookapi.net/CC



Le Gouvernement, à travers son ministère de la Sante publique, hygiène et prévention, organise la campagne de vaccination de masse contre la poliomyélite  dans toutes les 519 zones de sante du pays du 13 au 15 juin 2024.

Pour assurer la réussite de cette campagne gratuite, le Programme élargi de vaccination (PEV) a appelé le weekend dernier, les journalistes à soutenir la campagne de vaccination qui concerne les enfants dont l’âge varie entre  0 et 59 mois.

Le docteur Fabrice Mawa, chargé des opérations de vaccination au sein du comité des opérations d’urgence contre la poliomyélite (COUP) a lancé cet appel lors d’une réunion préparatoire avec les professionnels des médias dans la capitale congolaise.

Il leur a demandé d’utiliser leur influence pour sensibiliser les parents et les communautés réfractaires à la vaccination afin qu’ils puissent faire vacciner tous leurs  enfants contre la poliomyélite, lors de la  deuxième phase de vaccination campagne qui démarre ce 13 juin.

Fabrice Mawa rappelle que cette campagne contre la poliomyélite sera couplée à la supplémentation à la vitamine A et au déparasitage à l’albendazole.

« Nous sommes à quelques jours du lancement, les préparatifs avancent, nous avons fait appel au 4e pouvoir, pour nous aider à sensibiliser les communautés, les parents », a assuré M. Mawa.

Il a également insisté sur le fait que « vacciner c’est aimer, vacciner c’est protéger ».

radiookapi.net/CC

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